Le Mercredi 13 Mai 2020 à TOULOUSE...
À l'ensemble de la collectivité des Terres australes et antarctiques françaises (TAAF)...
À travers sa politique de communication, la collectivité des Terres australes et antarctiques françaises (TAAF) a pour objectif de donner davantage de visibilité et de lisibilité aux territoires qu’elle administre ainsi qu‘à l’ensemble des activités qui s’y déroulent ! Logements et environnements dans la nature sauvage.
Il est important de lier les caractères atmosphériques qui lient les conditions météorologiques ! Le Boréal, l’Austral, l’Arctique et le Lyrial :
Mers, Cultures et Marines...
J'ai une passion qui m'est venue naturellement et qu'il m'est impossible de résumer en deux pages. Vos travaux sont remarquables et je connais la charte de l'antarctique qui est un aspect de vos travaux sur l'international géographique et astronomique.
Je me présente : je suis Tignard Yanis, né le 08/11/1975 à Toulouse.
J'ai des aptitudes liées à des activités de bénévolats et aux observations du quotidien ( nuages, migrations, astronomies et autres ).
Je ne fais rien aux hasards car j'ai appris à distinguer les sentiments, les mouvements et les circonstances dans l'analyse des événements.
Lorsque une idée est pertinente, je m'en fais un relai tout en sauvegardant l'idée d'origine et ses auteurs. C'est très important pour moi que de
respecter celui qui a eu l'initiative. J'ai aussi des idées et j'aime les partager tout en ayant à cœur de protéger son sentiment premier :
Jugement d'un orphelin.
Le code d'honneur est l'ensemble de règles tacites, orales et écrites, qui sont les vertus de la constitution laïque
de notre République :
La foi, l'indépendance, l'espérance et la charité dans la prudence, la tempérance, la force d'âme et la justice.
Il y a des valeurs que j'apprécie au sein de l’Administration des TAAF : c'est naïf comme motif mais c'est le plus sincèrement du monde que je vous le dis ! J'ai crée un personnage prénommée Nagalïéw la mouette aux yeux verts en hommage à ces sentiments vers les océans, les tempêtes et l'infini dans l'univers.
Je vous fait part de mon admiration et mon éthique vers ces valeurs que vous défendez... Je vous laisse un curriculum vitae conformément à votre politique d'engagement d'une collaboration sérieuse et susceptible d’intéresser.
Par un mot simple, je vous donne de mon espérance vers l'avenir du devenir : courage...
Yanis Tignard
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From the battlefield to the homefront: MHS nurses continue to serve :
Army Col. Tammy Funari (far right) poses with other members of U.S. Central Command's multidisciplinary joint clinical operations team after a March 2019 site visit at a medical treatment facility in Afghanistan. (Photo courtesy of Col. Tammy Funari)...
By: Military Health System Communications Office...
In peacetime and war, nurses in the Military Health System provide medical care around the globe to service members, retirees, and their families. It's a critically important function -- but it's not the only role for nurses. More than 100 years after nurses became a permanent part of the armed forces, their opportunities have greatly expanded. Nurses now fill important positions in administration, leadership, research, and education. And when a crisis like COVID-19 hits, nurses nimbly pivot to care for patients and maintain force readiness.
Approximately 28,000 women and men serve as nurses in the Military Health System across the globe. Those ranks include Army Col. Tammy Funari. She serves as the chief nurse, and chief of clinical operations, for U.S. Central Command or USCENTCOM at MacDill Air Force Base, Florida. Funari also serves as consultant to the Army Surgeon General for medical surgical nursing.
"The primary focus has been trauma, of course, because we've been deployed at war for going on 20 years now," Funari said. "But the operational tempo went up considerably for the Surgeon Directorate as soon as COVID-19 hit."
The threat of the highly contagious virus was of particular concern downrange, Funari said. "This could easily get brought into theater with all of the troop rotations. And what you already have, with supplies and personnel, is all you have to work with."
To meet the challenge, Funari pulled together chief nurses from the military treatment facilities, clinical operations chiefs, and the performance improvement team from the Joint Trauma System directorate. Together, they established an educational platform for vital skills needed to care for critically ill COVID-19 patients.
They also created, with deployed nurses and physicians, an operational playbook. It addresses COVID-19 concerns for U.S. forces in the USCENTCOM area of responsibility. The playbook answers many questions from the field. And it serves as a focal point that links the available resources including the newly published DoD clinical practice guidelines for COVID-19 care in austere environments. The playbook also describes methods to enhance the skills of the nurses and medics already downrange, and provides a one-stop shop for finding clinical support.
"My favorite role as a nurse is when I can coach and mentor junior health care professionals," Funari said.
Navy Lt. Berly Vincent also thrives in the educator role. He serves as a clinical nurse specialist in the medical oncology nursing unit at Walter Reed National Military Medical Center in Bethesda, Maryland.
Vincent has developed education and training programs on topics including blood products and tumor radiation therapies. When COVID-19 hit, Vincent and two other clinical nurse specialists developed a training plan to ensure staff at Walter Reed were trained to properly take care of COVID-19 patients. The plan also was shared with other MTFs.
"We've already formally trained over 1,000 nurses," Vincent said, with a combination of online education, hands-on training, and simulations.
Vincent says he was inspired to join the military by his older sister, who's also a Navy nurse.
"Ever since my freshman year in college, I knew this is what I wanted to do," he said. "I enjoy impacting the nursing role, the hospital, and patient care by implementing evidence-based best practices."
MHS nurses keep service members medically ready to deploy anywhere in the world. They also protect, promote, and improve health care in support of operational objectives.
U.S. Public Health Service Lt. Bobby Taylor helps care for MHS beneficiaries through his role as program manager for the MHS Nurse Advice Line. With physical distancing because of the COVID-19 pandemic, Taylor said the Nurse Advice Line is crucial to ensure the 9.5 million MHS beneficiaries get the care they need from registered nurses anytime, at no cost, without leaving the safety and comfort of home.
"It's rewarding work for me," Taylor said. "I'm helping make sure we provide the best avenues for treatment and care for callers."
Indeed, providing the best possible care is at the heart of every role nurses hold. Air Force Lt. Col. Jennifer Jamison-Gines is an acute care nurse practitioner consultant, and deputy director of critical care, at Keesler Air Force Base, Mississippi. Her career includes several deployments with critical care air transport teams. For five months in 2006, she cared for over 75 patients in 33 air evacuation missions in Afghanistan and Iraq.
"Of all the really cool stuff that I've been able to do, the most rewarding is the time I get to spend at the bedside," Jamison-Gines said. "It's a privilege to escort patients through this, to care for them and ease their suffering, and to be written into their family history."
https://health.mil/News/Articles/2020/05/12/From-the-battlefield-to-the-homefront-MHS-nurses-continue-to-serve------------------------
LES CIGOGNES D’IBICUS.
Les peuples de la Grèce vont se réunir sur la terre de Corinthe pour le combat des chars et le combat du chant. Ibicus, l’ami des Dieux, vient de se mettre en route. Apollon lui a donné le génie poétique et l’harmonie des vers ; il part de Rhégium avec un bâton de voyage, sentant déjà vibrer dans son cœur la voix qui l’inspire.
Déjà ses regards contemplent l’Acrocorinthe sur la montagne, et il s’avance avec joie à travers les mystérieuses forêts de Poseidon. Nul être humain n’apparaît ; il ne voit que des cigognes qui s’en vont chercher la chaleur des contrées méridionales et l’accompagnent sur son chemin.
« Salut à vous, dit-il, oiseaux chéris, qui avez traversé la mer en même temps que moi. Ma destinée ressemble à la vôtre : nous venons de loin, et nous allons chercher une retraite hospitalière. Soyons fidèles à l’hôte qui préserve de l’injure l’étranger. »
Puis il continue sa marche. Il arrive au milieu de la forêt ; tout à coup des meurtriers s’avancent et l’arrêtent. Il veut combattre ; mais bientôt sa main retombe fatiguée, car elle est plus habituée à tendre les cordes légères de la lyre que celles de l’arc vigoureux.
Il appelle à son secours les hommes et les Dieux : ses cris sont inutiles. Aussi loin que sa voix peut s’étendre, il n’existe pas un être humain. « Hélas ! s’écrie-t-il, il faut donc que je meure ici de la main de deux misérables, sur ce sol étranger où personne ne me pleurera, où personne ne viendra me venger. »
À ces mots il tombe couvert de blessures. Au même moment les cigognes passent ; il entend leurs cris aigus et ne peut plus les voir ; mais il leur dit : « Si nulle autre voix ne s’élève pour venger ma mort, la vôtre du moins accusera mes meurtriers. » Il dit et meurt.
On retrouva un cadavre dans la forêt ; et quoiqu’il fût défiguré, celui qui devait recevoir Ibicus à Corinthe reconnut ses traits chéris. « Est-ce donc ainsi, dit-il, que je devais te retrouver, moi qui espérais te voir porter glorieusement la couronne de laurier ? »
Tous les étrangers réunis à la fête de Poseidon déplorent la perte d’Ibicus ; toute la Grèce en est émue. Chaque cœur le regrette, et le peuple se rassemble au Prytanée et demande avec colère à venger la mort du poëte, à satisfaire ses mânes par le sang de ses meurtriers.
Mais comment reconnaître les traces du crime, au milieu de cette foule attirée par l’éclat de la fête ? Ibicus a-t-il été frappé par des voleurs ? est-il victime d’un lâche ennemi ? Hélios seul peut le dire, Hélios qui connaît le secret des choses.
Peut-être, tandis que la vengeance le cherche, peut-être le meurtrier s’en va-t-il d’un pas hardi à travers l’assemblée des Grecs, jouissant des fruits de son crime ; peut-être insulte-t-il aux Dieux jusque sur le seuil de leur temple ; peut-être se mêle-t-il à la foule qui se dirige maintenant vers le théâtre.
Les bancs sont serrés l’un contre l’autre ; les colonnes de l’édifice chancellent presque sous ce lourd fardeau. Les peuples de la Grèce accourent, et la vague rumeur de cette foule ressemble au mugissement de la mer. Tout le monde se presse dans le vaste circuit de l’édifice et sur les gradins de l’amphithéâtre qui s’élève audacieusement dans les airs.
Qui pourrait compter tous ces peuples ? qui pourrait dire les noms de tous ceux qui ont trouvé ici l’hospitalité ? Il en est venu de la ville de Thèbes, des bords de l’Aulide, de la Phocée, de Sparte, des côtes éloignées de l’Asie et de toutes les îles. Et tous ces spectateurs écoutent la mélodie lugubre du chœur, qui, selon l’antique usage, sort du fond du théâtre avec une contenance grave et sévère, s’avance à pas mesurés et fait le tour de la scène. Aucune femme de ce monde ne ressemble à celles de ce chœur ; jamais la maison d’un mortel ne montra une figure pareille ; leur taille est comme celle des géants.
Un manteau noir tombe sur leurs flancs, et dans leurs mains décharnées elles portent des flambeaux qui jettent une lueur sombre ; au lieu de cheveux, on voit se balancer sur leurs têtes des serpents et des couleuvres enflées par le venin.
Ce chœur épouvantable s’avance et entonne l’hymne fatal qui pénètre dans l’âme et enlace dans ses propres liens la pensée du coupable. Les paroles de ce chant lamentable retentissent et agitent ceux qui les écoutent, et nulle lyre ne les accompagne.
« Heureux, disent-elles, heureux celui qui n’a point senti le crime détruire la naïve innocence de son âme ! Celui-là, nous ne le poursuivrons pas ; il peut poursuivre librement sa route. Mais malheur, malheur à celui qui a volé ou commis un meurtre ! Nous nous attacherons à ses pas, nous filles terribles de la Nuit !
« Qu’il ne croie pas nous échapper ! Nous avons des ailes ; nous lui jetterons un lien au pied, et il tombera par terre. Aucun repentir ne nous fléchit ; nous poursuivrons sans relâche le coupable, nous le poursuivrons jusque dans l’empire des ombres, et là nous ne l’abandonnerons pas encore. »
En chantant ainsi, les Euménides dansent leur ronde funèbre. Un silence de mort pèse sur toute l’assemblée comme si la Divinité était là présente ; et le chœur, poursuivant sa marche, s’en retourne à pas lents et mesurés dans le fond du théâtre.
L’âme de chaque spectateur semble flotter entre la vérité et le mensonge, et chacun rend hommage à cette puissance invisible et inexplicable qui veille dans l’ombre, mêle les fils de la destinée humaine, se révèle parfois au cœur inquiet, s’enfuit avant le jour.
Tout à coup on entend sur un des gradins les plus élevés une voix qui s’écrie : « Regarde, regarde, Timothée : les cigognes d’Ibicus ! » Au même instant on vit comme un nuage passer sur l’azur du ciel et une troupe de cigognes poursuivre son vol.
Ibicus ! ce nom ravive les regrets de tous les spectateurs, et ces paroles volent de bouche en bouche : « Ibicus, que la main d’un meurtrier égorgea et que nous avons pleuré ? Qui parle de lui ? Quel rapport y a-t-il entre lui et ces cigognes ? »
Et les questions redoublent ; un triste pressentiment passe rapide dans tous les esprits. « Faites attention, s’écrie la foule, à la puissance des Euménides. Le poëte religieux sera vengé ; l’assassin vient de se trahir lui-même. Saisissez celui qui a parlé d’Ibicus, et qu’il soit jugé. »
Celui qui avait prononcé ces paroles imprudentes aurait voulu les retenir ; mais il était trop tard ; ses lèvres pâles, son visage effrayé révèlent son crime. On l’arrache de son siège, on le traîne devant le juge. La scène est transformée en tribunal, et l’éclair de la vengeance frappe le meurtrier.
https://fr.wikisource.org/wiki/Po%C3%A9sies_de_Schiller/Les_Cigognes_d%E2%80%99IbicusSENTIMENTS ET TÉMOIGNAGES
DU CITOYEN TIGNARD YANIS
ALIAS
TAY
La chouette effraie.
LE JUGE DE LA RÉPUBLIQUE DE L'OLIVIER...
MINISTRE DU SECOURISME COMMUN
DE LA RÉPUBLIQUE D’ISRAËL ET DE LA COMMUNAUTÉ PARLEMENTAIRE DE LA PALESTINE
POUR AMANDINE ET LES PEUPLES
http://la-5ieme-republique.actifforum.com/t465p25-dans-un-etat-dans-une-utopie-et-dans-un-corps#10135