LES SENS DE YAHVÉ DIT ÉLOHIM, L’ÉTERNEL.
Anthroposophie
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En architecture
L'eurythmie est un des grands principes qui régissent l'architecture anthroposophique 16.
Notes et références
↑ « L’Eurythmie dans les écoles Steiner-Waldorf : de l’Anthroposophie à visage presque découvert ! » [archive], sur La Vérité sur les écoles Steiner-Waldorf (consulté le 16 janvier 2017)
↑ εὐρυθμία [archive]: εὐ-ρυθμία, ἡ, das richtige Verhältnis, Ebenmaß, bes. im Takte, Wohlklang; übh. schickliche Haltung, Anstand.
↑ La Revue hebdomadaire, Volume 22, Partie 11, Librairie Plon, 1913 (lire en ligne [archive])
↑ Renate Foitzik Kirchgraber: Lebensreform und Kunstlergruppierungen um 1900.
↑ Rudolf Steiner: Eurythmie.
↑ Gabi Vettermann: Rudolf Steiner.
↑ Gabriele Brandstetter: Tanz-Lektüren.
↑ Arnd Krüger: ‘The masses are much more sensitive to the perfection of the whole than to any separate details’: The Influence ofJohn Ruskin’s Political Economy on Pierre de Coubertin.
↑ a et b Rudolf Steiner: Die Entstehung und Entwickelung der Eurythmie (= GA 277a).
↑ Ce dessin correspond à une production de Rudolf Steiner (1861-1925) rapportée par Eleonore Maier-Smits, Erika Beltle und Kurt Vierl in: Lory Maier-Smits: Erste Lebenskeime der Eurythmie.
↑ Voir: Bodo von Plato, Anthroposophie im Dornach 2003, (ISBN 3-723-51199-6).
↑ Tatjana Kisseleff: Ein Leben für die Eurythmie.
↑ Stiftung Warentest, Alternative Behandlungsverfahren – Was die Krankenkassen bezahlen, Pressemitteilung [archive] vom 17.
↑ On ne dispose pour l'instant que d'une méta-étude sur l'eurythmie curative. Elle a été publiée en 2008 dans la revue sur les médecines alternatives Complementary and Alternative Medicine (Impact Factor 2.20). Elle s'appuie sur huit études de cas pour lesquelles les standards médicaux doivent être considérés comme insuffisamment respectés (contrôles, randomisation, groupes témoins). Les études provenaient à chaque fois de publications concernant les médecines alternatives. Les auteurs disent en conclusion que l'on n'a pas pu prouver une efficacité spécifique réelle de l'eurythmie curative. Ils considèrent cependant l'eurythmie curative comme un complément potentiellement utile dans le cadre d'interventions thérapeutiques complexes, et ils invitent à poursuivre la recherche : "EYT could be regarded as a potentially relevant add-on in a complex therapeutic concept which intends to support health and well-being (salutogenesis), although its specific relevance remains to be clarified. Well performed controlled studies with defined indications and treatment regimes are highly recommended." Arndt Büssing, Thomas Ostermann, Magdalena Majorek and Peter F Matthiessen: Eurythmy Therapy in clinical studies: a systematic literature review, BMC Complementary and Alternative Medicine 2008, 8:8 doi:10.1186/1472-6882-8-8, online :
http://www.biomedcentral.com/1472-6882/8/8 [archive]. L'eurythmie curative ne figure pas parmi les sujets d'études menées dans le cadre de la science officielle.
↑ Bundessozialgericht der Bundesrepublik Deutschland, Urteil vom 22. März 2005 (Aktenzeichen B 1 A 1/03 R)
↑ Vitruve De architectura. Livre I, chapitre 2
POURTANT,
Le genre Viola dans la culture
Ces fleurs, et principalement les violettes, font partie intégrante de la culture occidentale et ont inspiré mythes, légendes, prénom et servent également de symbole.
Les violettes dans la mythologie grecque
Dans la mythologie, la nymphe Io fut aimée de Jupiter. Mais les amours de celui-ci furent une fois de plus contrariées par son épouse Junon, qui se vengea en changeant sa rivale en blanche génisse. Ainsi métamorphosée, Io errait tristement lorsqu’elle vit sortir de terre des petites fleurs qui tournèrent leurs corolles vers elle. Elle reconnut en elles les pensées de ses amis venus la consoler. Un autre mythe jouant sur l'étymologie populaire du nom de la fleur raconte que des nymphes ioniennes avaient offert des violettes (appelées ion en grec) à Io qui avait guidé une colonie vers l'Attique5. Un autre récit mythique fait de la violette une fleur funéraire de l'Antiquité car Proserpine en cueillait quand elle fut envoyée aux enfers6.
Violette, prénom féminin
Violette, diminutif du prénom latin Viola, est donné comme prénom féminin depuis le Moyen Âge. On trouve aussi l'augmentatif Violante en italien. Le prénom survit jusqu'à nos jours ; au XXe siècle, il est à la mode dans les années 1920 et 1930, avant de tomber en désuétude à la suite de l’affaire Violette Nozière. Il réapparaît dans les années 1950 (avec 400 attributions en 1954), recule fortement des années 1970 à 1990, puis est à nouveau donné environ 200 fois par an dans les années 2000.
Dans l'église catholique, la tradition veut que les prénoms floraux soient fêtés en date du 5 octobre, jour dédié à Fleur d'Issendolus, catholique gascogne du XIVe siècle, canonisée sous la forme Sainte Fleur7.
Calendrier républicain
Dans le calendrier républicain, la Violette était le nom attribué au 8e jour du mois de ventôse8.
Le calendrier républicain inclura également la Pensée qui était le nom attribué au 27e jour du mois de germinal9.
Napoléon Bonaparte a été surnommé Père La Violette par ses soldats lors de son séjour à l'île d'Elbe, parce qu'il devait revenir avec les violettes, c'est-à-dire avec le printemps. Cette fleur fut ensuite le signe de ralliement des bonapartistes durant les Cent-Jours.
L'image de la violette impériale réapparaît en France sous le Second Empire lorsque les Palmes académiques adoptent cette couleur en 1866. Violettes impériales est également le titre d'une opérette interprétée par Luis Mariano, d'abord sur la scène du théâtre Mogador puis à l'écran dans un film de Richard Pottier en 1952, et dont l'action se situe sous le Second Empire.
Parallèlement, diverses villes utilisent la violette comme symbole.
Il existe une Confrérie de la violette à Toulouse. Cette ville est aussi appelée la Cité des violettes, car la production de cette fleur y était très importante. La Violette est l'une des récompenses décernées par l'Académie des Jeux floraux de Toulouse.
En Italie, la violette est l'emblème de la ville de Parme. Au Canada, la violette cucullée est l'emblème de la province du Nouveau-Brunswick.
Langage des fleurs
Dans le langage des fleurs, la violette représente l'innocence, la modestie et la pudeur, par allusion à la petite corolle qui semble hésiter à sortir de son écrin de feuilles 1. Bleue, elle témoigne de la fidélité ; blanche, elle évoque le bonheur champêtre[réf. souhaitée]. Toujours dans le langage des fleurs, la violette en bouquet, entouré de feuilles, symbolise l'amour secret1.
La Pensée représente quant à elle le souvenir[réf. souhaitée].
Liste des espèces
Espèces européennes
Violette (espèce incertaine)
Il y a 91 espèces européennes dont 19 en France, 22 en Suisse et 15 en Belgique[réf. nécessaire]. La plupart présente des fleurs de teinte rose à violet, mais pour certaines à dominante blanche ou jaune, auquel cas cette indication est portée ci-dessous; attention toutefois, la couleur est rarement un caractère intangible de l'espèce.
Viola alba - Violette blanche
Viola arborescens - Violette ligneuse
Viola argenteria - Violette d'Argentera, pétales blancs et jaunes
Viola arvensis - Pensée des champs, pétales jaune pâle, le supérieur parfois bleu violet
Viola bertolonii - Violette de Bertolon
Viola biflora - Pensée à deux fleurs, pétales jaunes
Viola calaminaria - Pensée calaminaire, pétales jaunes
Viola calcarata - Pensée des Alpes
Viola canina - Violette des chiens
Viola cenisia - Pensée du Mont-Cenis ou Violette du Mont-Cenis
Viola collina - Violette des collines
Viola cornuta - Pensée à corne
Viola corsica - Pensée de Corse
Viola cryana - Violette de Cry
Viola diversifolia - Pensée de Lapeyrouse
Viola elatior - Violette élevée
Viola hirta - Violette hérissée
Viola hispida - Pensée de Rouen
Viola jordanii - Violette de Jordan ou violette de Provence
Viola lactea - Violette blanc de lait ou violette lactée
Viola lutea - Pensée des Vosges, pétales jaunes
Viola mirabilis - Violette admirable
Viola nummulariifolia - Violette à feuilles de nummulaires : Cf Viola argenteria plus haut
Viola oblica ou Viola cucullata , parfois de couleur blanche
Viola odorata - Violette odorante, originaire du bassin méditerranéen
Viola palustris - Violette des marais, pétales blanchâtres
Viola parvula - Petite pensée
Viola persicifolia - Violette à feuilles de pêcher, pétales blanchâtres
Viola pinnata - Violette à feuilles pennées
Viola pseudomirabilis - Violette du Larzac
Viola pumila - Violette naine
Viola pyrenaica - Violette des Pyrénées
Viola reichenbachiana - Violette de Reichenbach ou violette des bois.
Viola riviniana - Violette de Rivinus ou violette sauvage
Viola rupestris - Violette des rochers, pétales blancs et jaunes
Viola saxatilis - Pensée des rochers
Viola suavis - Violette suave
Viola thomasiana - Violette de Thomas, pétales blanchâtres
Viola tricolor - Pensée sauvage ou violette tricolore
Viola valderia - Pensée de Valdieri
Viola willkommii
Espèces américaines
Viola adunca - Violette à éperon crochu
Viola blanda var. blanda - Violette agréable
Viola blanda var. palustriform - Violette méconnue
Viola canadensis - Violette du Canada
Viola cucullata - Violette cucullée
Viola labradorica - Violette du Labrador
Viola lanceolata - Violette lancéolée
Viola macloskeyi - Violette pâle
Viola nephrophylla var. nephrophylla - Violette néphrophylle
Viola palustris - Violette des marais
Viola pubescens var. pubescens - Violette pubescente
Viola pubescens var. scabriuscula - Violette scabre
Viola renifolia - Violette réniforme
Viola rostrata - Violette rostrée
Viola rotundifolia - Violette à feuilles rondes
Viola sagittata var. ovata - Violette à feuilles ovées
Viola sagittata var. sagittata - Violette sagittée
Viola selkirkii - Violette de Selkirk
Viola sororia subsp. affinis - Violette affine
Viola sororia subsp. sororia - Violette parente
Viola × conjugens
Viola × maltena - Violette de Malte
Viola × sublanceolata - Violette sublancéolée
Espèces africaines
Viola abyssinica
Liste complète
Selon ITIS :
Viola lobata var. lobata Benth.
Viola nephrophylla var. nephrophylla Greene
Viola palmata var. palmata L.
Viola renifolia var. renifolia Gray
Viola septentrionalis var. septentrionalis Greene
Viola umbraticola var. umbraticola Kunth
sous-espèce Viola biflora ssp. biflora L.
sous-espèce Viola biflora ssp. carlottae Calder et Taylor
sous-espèce Viola canina ssp. canina L.
sous-espèce Viola canina ssp. montana (L.) Hartman
Viola abyssinica Steud. Ex Oliv.
Viola adunca Sm. - violette à éperon crochu
Viola affinis Le Conte - violette affine
Viola agellae Pollard
Viola appalachiensis Henry
Viola arvensis Murr.
Viola aurea Kellogg
Viola bakeri Greene
Viola beckwithii Torr. et Gray
Viola ×bernardii Greene (pro sp.)
Viola bicolor Pursh
Viola biflora L.
Viola ×bissellii House
Viola blanda Willd.
Viola ×brauniae Grover ex Cooperrider
Viola brittoniana Pollard
Viola californica M.S. Baker
Viola canadensis L.
Viola canina L.
Viola chamissoniana Gingins
Viola charlestonensis M.S. Baker et J.C. Clausen ex Clokey
Viola charlestownensis M. S. Baker & J. Clausen
Viola clauseniana Baker
Viola ×conjugens Greene (pro sp.)
Viola ×consobrina House
Viola ×consocia House
Viola conspersa Reichenb.
Viola ×cooperrideri H.E. Ballard
Viola ×cordifolia (Nutt.) Schwein. (pro sp.)
Viola cucullata Ait. - violette cucullée (symbole floral de la province canadienne du Nouveau-Brunswick)
Viola cuneata S. Wats.
Viola ×davisii House
Viola dissena House
Viola douglasii Steud.
Viola ×eamesii House
Viola ×eclipes H.E. Ballard
Viola egglestonii Brainerd
Viola epipsila Ledeb.
Viola ×filicetorum Greene (pro sp.)
Viola flettii Piper
Viola frank-smithii N. Holmgren
Viola glabella Nutt.
Viola greenmani House
Viola guadalupensis A. Powell et B. Wauer
Viola hallii Gray
Viola hastata Michx.
Viola helena C. N. Forbes & Lydgate
Viola helenae Forbes et Lydgate
Viola hirsutula Brainerd
Viola ×hollickii House
Viola howellii Gray
Viola ×insolita House
Viola kauaensis Gray
Viola labradorica Schrank
Viola lanaiensis Becker
Viola lanceolata L.
Viola langsdorffii Fisch. Ex Ging.
Viola langsdorfii Fisch. ex Gingins
Viola lithion N. et P. Holmgren
Viola lobata Benth.
Viola lovelliana Brainerd
Viola ×luciae Skottsberg
Viola macloskeyi Lloyd
Viola ×malteana House
Viola maviensis Mann
Viola mirabilis L.
Viola ×mistura House (pro sp.)
Viola ×modesta House
Viola ×mollicula House
Viola mulfordae Pollard
Viola ×mulfordiae Pollard (pro sp.)
Viola nephrophylla Greene
Viola ×notabilis Bickn. (pro sp.)
Viola novae-angliae House
Viola nuttallii Pursh
Viola oahuensis Forbes
Viola ocellata Torr. et Gray
Viola odorata L.
Viola orbiculata Geyer ex Holz.
Viola palmata L.
Viola palustris L.
Viola patrinii DC.
Viola pedata L.
Viola pedatifida G. Don
Viola pedunculata Torr. et Gray
Viola pinetorum Greene
Viola ×populifolia Greene (pro sp.)
Viola porterana Pollard
Viola praemorsa Dougl. ex Lindl.
Viola ×primulifolia L. (pro sp.)
Viola psychodes Greene
Viola pubescens Ait.
Viola purpurea Kellogg
Viola ×ravida House
Viola ×redacta House
Viola renifolia Gray
Viola rostrata Pursh
Viola rotundifolia Michx.
Viola ×ryoniae House
Viola sagittata Ait.
Viola selkirki Pursh ex Goldie
Viola selkirkii Pursh ex Goldie
Viola sempervirens Greene
Viola septemloba Le Conte
Viola sheltonii Torr.
Viola shletonii Torrey
Viola ×slavinii House
Viola sororia Willd.
Viola stipularis Sw.
Viola striata Ait.
Viola sublanceolata House (pro hybr.)
Viola tomentosa M.S. Baker et J.C. Clausen
Viola tricolor L.
Viola trinervata (T.J. Howell) T.J. Howell ex Gray
Viola tripartita Ell.
Viola umbraticola Kunth
Viola utahensis M.S. Baker et J.C. Clausen ex Baker
Viola vallicola A. Nels.
Viola viarum Pollard
Viola villosa Walt.
Viola wailenalenae (Rock) Skottsberg
Viola walteri House
Viola ×wittrockiana Gams.
Viola ×wujekii H.E. Ballard
Voir aussi
Liens externes
Sur les autres projets Wikimedia :
Viola (genre végétal), sur Wikimedia Commons Viola (genre végétal), sur Wikispecies
Taxonomie, références :
Référence Flora of China [archive] : Viola [archive] (en)
Référence Madagascar Catalogue [archive] : Viola [archive] (en)
Référence Flora of Chile [archive] : Viola [archive] (en)
Référence Angiosperm Phylogeny Website : Viola [archive] (en)
Référence Tree of Life Web Project [archive] : Viola [archive] (en)
Référence Tela Botanica (France métro [archive]) : Viola L. [archive] (fr)
Référence BioLib [archive] : Viola L. [archive] (en)
Référence FloraBase (Australie-Occidentale) [archive] : classification Viola [archive] (en)
Référence ITIS : Viola L. [archive] (fr) (+ version anglaise [archive] (en))
Référence NCBI : Viola [archive] (en)
Référence GRIN [archive] : genre Viola L. [archive] (+liste d'espèces contenant des synonymes [archive]) (en)
Référence GRIN [archive] : famille Viola Batsch, nom. cons. [archive] (+liste des genres contenant des synonymes [archive]) (en)
Autres sites :
Référence UICN : taxon Viola [archive] (en)
Flore laurentienne [archive]
Famille 45. — Violaceae Violacées [archive]
VIOLACÉES. Genre : Viola [archive]
Viola. Clef des espèces [archive]
Notes et références
↑ a, b, c et d Bernard Bertrand et Nathalie Casbas, Une pensée pour la violette, éditions de Terran, coll. « Le Compagnon Vegetal », avril 2001, 168 p. (ISBN 2-913288-14-6)
↑ Jean-Claude Rameau, G. Dumé, Flore forestière française, Forêt privée française, 2008, p. 795
↑ Viola sur funet [archive]
↑ D'après Maistral, in Yannick Romieux, De la hune au mortier, Éditions ACL, Nantes, 1986.
↑ La Maison Fleurie, Edition Solar, écrit en collaboration, Paris, 1991.
↑ Angelo De Gubernatis, La mythologie des plantes ou les légendes du règne végétal, Editorial Maxtor, 2011, p. 369
↑ Violette [archive], Nominis, Église catholique de France, consulté le 8 juillet 2014.
↑ Ph. Fr. Na. Fabre d'Églantine, Rapport fait à la Convention nationale dans la séance du 3 du second mois de la seconde année de la République Française [archive], p. 24.
↑ Ph. Fr. Na. Fabre d'Églantine, Rapport fait à la Convention nationale dans la séance du 3 du second mois de la seconde année de la République Française [archive], p. 25.
UN INSTANT POUR L'ÄME DE IO.
Les arythmies (anomalies du rythme cardiaque)
(Aussi appelées : troubles de la fréquence cardiaque, battements de cœur irréguliers, rythme cardiaque)
Ces impulsions aléatoires trop nombreuses font en sorte que les battements du coeur sont irréguliers et, parfois, trop rapides.L’arythmie est une anomalie qui affecte la fréquence cardiaque normale. En présence d’arythmie, le cœur a tendance à battre trop lentement (bradycardie), trop vite (tachycardie) ou de façon irrégulière. Ces anomalies peuvent influer sur la quantité de sang que le cœur arrive à pomper.
Les battements de cœur sont contrôlés par des impulsions électriques qui voyagent à travers le cœur librement, en temps normal. Ces petites décharges entraînent la contraction des ventricules et des oreillettes du cœur dans un certain ordre bien établi, de façon à propulser le sang dans les poumons puis dans tout l’organisme. Ces impulsions électriques sont provoquées par le stimulateur cardiaque naturel du cœur appelé « nœud sinusal » ou « nœud sino-auriculaire ».
De nombreuses formes d’arythmie n’entraînent aucun problème de santé; toutefois, elles peuvent causer divers symptômes gênants, comme des étourdissements ou une douleur dans la poitrine. D’autres formes d’arythmies, plus dangereuses, ont des répercussions sur l’apport sanguin et nécessitent de ce fait une prise en charge médicale. Si on ne les traite pas, elles peuvent mener à un accident vasculaire cérébral, à une crise cardiaque, à une insuffisance cardiaque ou à une mort subite.
La forme la plus commune d’arythmie est la fibrillation auriculaire. Il existe différents types de fibrillation auriculaire; certains ne durent que quelques secondes, tandis que d’autres sont permanents. Cette maladie est plus fréquente chez les personnes âgées et peut avoir de nombreuses causes différentes.
La fibrillation ventriculaire est la forme d’arythmie la plus dangereuse. Sous cette forme, les ventricules du cœur perdent leur capacité de se contracter, ce qui interrompt la circulation du sang dans le corps et le cerveau. La fibrillation ventriculaire entraîne une perte de connaissance rapide et le décès; une décharge électrique (défibrillation) est alors nécessaire pour que le cœur se remette à battre.
La lignée de Melian
Parmi les nombreux Ainur qui vinrent dans le Monde il y a longtemps, il y en avait une de l’ordre des Maiar nommée Melian. Seule parmi les Ainur, elle se maria à l’un des Enfants d’Ilúvatar, le roi Élu Thingol de Doriath. À travers elle, du sang des Ainur entra dans les lignées des Elfes et des Hommes, transmis à travers plusieurs générations, et était toujours présent au moment de la Guerre de l’Anneau : Elrond était l’arrière-arrière-petit-fils de Melian, et Aragorn en était également issu à travers Elros, frère d’Elrond.
LES PYRAMIDES D’ÉGYPTE ET LES OBSERVATOIRES DES AZTÈQUES:
YAHVÉ, UN PRÉNOM LAÏC ET ÉLOHIM, UN PRÉNOM LAÏC.
Flore laurentienne
Frère Marie-Victorin (1885-1944)
Famille 45. — VIOLACEAE [ VIOLACÉES ].
1. VIOLA Linné. — VIOLETTE.
CLEF DES ESPÈCES.
Plantes acaules. Groupe A
Plantes caulescentes Groupe B
Groupe A. Plantes acaules
Limbe lancéolé ou elliptique. (Figure 78). 12. V. lanceolata
Limbe oblong-lancéolé. (Figure 78). 13. V. primulifolia
Limbe ové, orbiculaire ou réniforme.
Rhizome charnu ; stolons absents ; fleurs bleues, violettes ou indigo (sauf V. rotundifolia, à fleurs jaunes).
Fleurs cléistogames généralement en grappes pauciflores (1-5 fleurs) ; fleurs pétalifères jaunes ; feuilles suborbiculaires, larges, à pétiole plus court (ou à peine plus long) que le limbe. (Figure 78) 14. V. rotundifolia
Fleurs cléistogames solitaires sur un petit pédoncule ; fleurs pétalifères bleues ; feuilles ovées ou subréniformes, à pétiole 2-5 fois plus long que le limbe.
Feuilles ciliées marginalement.
Sépales ciliés sur tout le pourtour ; fleurs cléistogames sagittées. (Figure 77). 1. V. septentrionalis
Sépales ciliés au centre ou à la base ; fleurs cléistogames ovoïdes. (Figure 77). 2. V. sororia
Feuilles non ciliées marginalement.
Fleurs cléistogames très allongées ; papilles des pétales latéraux des fleurs normales fortement claviformes. (Figure 77, a-c). 3. V. cucullata
Fleurs cléistogames ovoïdes ; papilles des pétales latéraux des fleurs normales peu ou pas claviformes.
Feuilles du printemps étroitement ovées. (Figure 77). 6. V. affinis
Feuilles du printemps largement ovées ou orbiculaires.
Feuilles d'été larges, aiguës ou abruptement atténuées ; pétale de l'éperon glabre ou presque ; fruit (longueur 10-15 mm) ; graines brun foncé. (Figure 77). 4. V. papilionacea
Feuilles d'été nettement cordiformes et obtuses ; pétale de l'éperon velu ; fruit (longueur 5-10 mm) ; graines brun olive. (Figure 77). 6. V. nephrophylla
Rhizome grêle : stolons présents (sauf V. renifolia et parfois V. selkirkii) ; fleurs blanches (sauf V. selkirkii, à fleurs bleues).
Feuilles d'été orbiculaires réniformes.
Feuilles absolument glabres. (Figure 78). 9. V. pallens
Feuilles pubescentes, sur la face inférieure au moins. (Figure 78) 8. V. renifolia
Feuilles d'été ovées (ou tout au plus orbiculaires).
Limbe pubescent inférieurement. (Figure 78) 10. V. incognita
Limbe portant supérieurement des poils menus et dispersés.
Feuilles à sinus étroit, pubescentes supérieurement, sur les lobes surtout ; fleurs blanches ; en été, stolons ténus et feuillus. (Figure 78). 11. V. blanda
Feuilles à sinus profondément découpé ; lobes se recouvrant (ou presque) à la base ; pubescence dispersée, uniforme ; fleurs bleues ; lorsque présents, stolons filiformes souterrains ; feuilles crénelées-serrées à dents plus arrondies que celles du V. blanda. (Figure 78). 7. V. selkirkii
Viola sp. Mauricie, MRC Les Chenaux, Sainte-Anne-de-la-Pérade, champ en bordure du Cordon, mai 1992, Viola_sp_6259_19a_800.
Groupe B. Plantes caulescentes.
Stipules petites, entières ou dentées-spinuleuses ; feuilles ovées ou suborbiculaires.
Plantes décombantes à tiges principales grêles ; feuilles petites, dispersées sur les rameaux ; fleurs bleues.
Feuilles nettement ovées, à pointe obtuse, à base subcordée. (Figure 79). 15. V. adunca
Feuilles suborbiculaires, très souvent subacuminées, à base cordée.
Stipules spinuleuses-dentées.
Marge foliaire crénelée ; éperon (longueur 5 mm. (Figure 79). 16. V. conspersa
Marge foliaire crénelée-serrée ; éperon (longueur 10-12 mm). Figure 79). 17. V. rostrata
Stipules linéaires, entières, sauf la base munie de 1-2 appendices filiformes. (Figure 79). 18. V. labradorica
Plantes dressées ; tiges principales fortes ; feuilles terminales ovées, longuement acuminées ; stipules aiguës ou acuminées ; fleurs à pétales blancs supérieurement avec un œil jaune au centre et violacés inférieurement. (Figure. 80). 21. V. canadensis
Plantes dressées ; tiges principales fortes ; feuilles terminales plus ou moins deltoïdes, à pointe obtuse ou aiguë, très rarement acuminée (dans ce cas très courte) ; stipules ovées-obtuses ; fleurs jaunes.
Plusieurs tiges (2-4) venant du rhizome ; feuilles basilaires 1-5. (Figure. 80). 19. V. pensylvanica
Tige généralement solitaire ; au plus une feuille basilaire. (Figure. 80). 20. V. pubescens
Stipules grandes, pinnatifides et lobées ; feuilles ovées-lancéolées, grossièrement crénelées-serrées.
Pétales 2-3 fois plus grands que les sépales ; fleurs blanches, jaunes ou pourpres ; feuilles plutôt arrondies au sommet. (Figure. 80, a-d). 22. V. tricolor
Pétales généralement plus courts que les sépales ; fleurs jaunes seulement ; feuilles plutôt aiguës au sommet. (Figure. 80, e-h). 23. V. arvensis
Frère Marie-Victorin (1885-1944)
Flore laurentienne, p. 275, 276.
RÊVERIES DU
CITOYEN TIGNARD YANIS