Le clans des mouettes
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Le clans des mouettes

ainsi est la force.
 
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 DANIEL KRAEMER, BONSAÏ D’ÉRABLE, JARDIN LIBANAIS ET BOUDDHA.

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yanis la chouette




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MessageSujet: DANIEL KRAEMER, BONSAÏ D’ÉRABLE, JARDIN LIBANAIS ET BOUDDHA.   DANIEL KRAEMER, BONSAÏ D’ÉRABLE, JARDIN LIBANAIS ET BOUDDHA. EmptyVen 26 Juil à 2:46

TIGNARD YANIS @Yanis_Tignard · 10h
LE PROPRE AUX SENTIMENTS EST DE PERMETTRE ET DE PERCEVOIR L'INSTANT TOUT EN AYANT
UN TÉMOIGNAGE DANS LE JUGEMENT :
UN SENTIMENT.
NOUS AVONS UNE ESPÉRANCE D'ESPRIT QU'ELLE SOIT SENTIMENTALE, RELIGIEUSE OU INSOUPÇONNÉE :
CELA EST LIÉ AUX ÉVÉNEMENTS.
TAY

DANS L'UNIVERS, IL Y A UN INFINI OÙ L'ÉCHO ET LE SILENCE COMPOSENT LA SONORITÉ :
LES SONDES SPATIALES ONT PERMIS UNE NOUVELLE COMPRÉHENSION TOUT EN CONSERVANT UNE ÉTHIQUE MORALE
SUR LE DEVENIR : ENTENDRE LA TRISTESSE EST LE PROPRE D'UNE JUSTICE ÉQUITABLE.
TAY

LE LIBRE D'UN SENTIMENT SE DÉVELOPPE, SE TROUVE ET SE TRANSFORME DANS LES LIVRES, LES ÉTOILES ET
LES CIRCONSTANCES. LA NAÏVETÉ VOUS CONDUIRA À DÉCOUVRIR L'APPLI MAIS SACHEZ CONSERVER VOTRE PRUDENCE : SI ON VOUS TRAITE DE PARANOÏAQUE SACHEZ CONSERVER VOTRE DEVENIR OU LE CALME.
TAY

ENTENDRE EST UN SENTIMENT MERVEILLEUX ET J'AI ÉCRIS CES PAROLES SIMPLES SUR MON OPINION PROPRE :
LA SAGESSE EST UN CROIRE. CERTES, ON M'INTERPELLERA SUR LE VERBE QUI TRANSFORME L'INTERPRÉTATION PHILOSOPHIQUE
DU SUJET : MAIS, C'EST NAÏF TEL QUE LE MOMENT DE NAÎTRE.
TAY

LE DEVENIR ET LE DROIT, C'EST COMME LE DÉSIR ET LA TENDRESSE : IL FAUT UN CONTENU DE TEMPÉRANCE POUR Y CONSTITUER
UN DESSEIN. LA JUSTICE VEILLE SUR LA SAGESSE POUR UN ASPECT D'ABNÉGATION ET DE COMPASSION AFIN DE PERMETTRE
L'ÉVOLUTION ET L'EXISTENCE : L'INFINI ET L'ESSENCE.
TAY

SUR LA ROUTE DE LA SOIE, IL Y DES CIMETIÈRES OÙ LES CIRCONSTANCES CONDUISENT LES MOUVEMENTS :
LA CONSCIENCE DES ÉLÉPHANTS ET L'ABNÉGATION DES TIGRESSES : EN LA LOGIQUE, LES MOUETTES RIEUSES SUIVENT
CES FLEUVES QUI ONT ALIMENTÉ LA FIÈVRE DES FLEURS ET LA FIERTÉ DES JUMENTS.
TAY

DEPUIS LA SOURCE, LE ZÈBRE PARCOURS LE SENTIMENT DE L'AFRIQUE ET LE RHINOCÉROS SOUFFLE SUR L'HIPPOPOTAME
POUR LE DEVENIR DE LA TRANSCENDANCE ET DE LA TRANQUILLITÉ : LE BUFFLE OBSERVE LE GNOU QUI SURVEILLE
LES FÉLINS ET LES NUAGES.
TAY

JOHNNY CLEGG EST DÉCÉDÉ DEPUIS QUELQUES JOURS MAIS SON SOUVENIR SOUFFLE SUR LES PYRAMIDES ANTIQUES
DE L'AMÉRIQUE CENTRALE : SON ÂME NAVIGUE DANS LA LIBERTÉ CAR AYANT ÉTÉ EN MESURE DES COURS ET DES SOUVENIRS.
TAY

L'ÂME NAVIGUE DANS LE TÉMOIGNAGE : AINSI EST LA NATURE DEVANT LE TEMPS ET LA NAISSANCE FACE À LA RÉALITÉ.
LA RECHERCHE ET LA RESPONSABILITÉ DÉVELOPPENT L'EXPÉRIENCE ET L'EXPRESSION DEMEURE CE MYSTÈRE
QU'EST LA POUSSIÈRE ET SES NUANCES : CES NUAGES DANS L'UNIVERS ET L'INFINI.
TAY

Genesis - The Cinema Show - In Concert 1974...
https://www.youtube.com/watch?v=eTekx7jJgDw

TIGNARD YANIS @Yanis_Tignard · 6h
DANS LE TEMPS, L'AUDACE EMPOIGNE L'ASPECT ET CELA PROVOQUE DES TUMULTES, DES LIESSES ET DES THÉORIES :
THÈSES S'AFFIRMENT ET S'AFFICHENT SELON LES OPINIONS OÙ
LES THÈMES, LES TÉMOIGNAGES ET LES MOUVEMENTS EMPOIGNENT
LES RESSENTIS, LES RESPONSABILITÉS ET LES ACTES.
TAY

LE PRINCIPE SOUFFLE DANS LA NUIT ET LA CONVICTION MURMURE DANS LA JOURNÉE : TEL EST LA NOTION DANS LE CONTEXTE
ET SES DOMAINES. LES DIX DOIGTS OBSERVENT LA LANGUE QUI SALIVE DANS LE DEVENIR :
AINSI EST L'HISTOIRE OÙ L'ANCRE EST L'ENCRE SELON LE SENTIMENT D'ÊTRE DE SA NATURE.
TAY

TIGNARD YANIS @Yanis_Tignard · 20m
En réponse à @BrunoRetailleau et @EmmanuelMacron
La ville s’étend sur 125,1 km2 pour une population de 901 300 habitants en 2017
CélineDion, Pour que tu m'aimes encore.
(link: https://www.youtube.com/watch?v=AzaTyxMduH4La) youtube.com/watch?v=AzaTyx…
Le Chef-lieu du district de Jérusalem, est cosmopolite : s'y mêlent de nombreuses religions, peuples,
groupes socio-économiques.
TAY

Jérusalem.
Les Israéliens l'ont érigée en capitale et les Palestiniens la partagent comme capitale :
elle est la place centrale dans les religions juive, chrétienne, musulmane et polythéistes
ainsi que les laïcs et les athées.
Voilà ce que est Yerushaláyim et Ûrshalîm.
TAY

Jérusalem.
Un climat, marqué par une forte chaleur et une forte aridité en été. Seuls quelques mois en hiver sont humides,
en particulier février, où tombe plus de la moitié des précipitations annuelles.
Noé (hébreu : נֹחַ nōa'h ; arabe : نوح nûh : repos ou consolation).
TAY

TÉMOIGNAGES DU
CITOYEN TIGNARD YANIS
ALIAS
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La chouette effraie


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MessageSujet: Re: DANIEL KRAEMER, BONSAÏ D’ÉRABLE, JARDIN LIBANAIS ET BOUDDHA.   DANIEL KRAEMER, BONSAÏ D’ÉRABLE, JARDIN LIBANAIS ET BOUDDHA. EmptyVen 26 Juil à 3:33

VIRGINIE HÉRACLÈS, CLÉOPÂTRE DE MACÉDOINE ET SAMUEL DE TRIPOLI.
dédié à Zeus, Léda et Tyndare sous le regard de Héra, de Cupidon et de Aphrodite.

EN LA CIRCONSTANCE DU MERVEILLEUX, Dr RIVES PIERRE-HENRI POSSÈDE SES ATTRIBUTS :
LÉDA DU CYGNE EST LA MÈRE DE HÉLÈNE ET POLLUX AINSI QUE DE CLYTEMNESTRE ET CASTOR.
ENFANTS ISSUS DES ŒUFS DU MERVEILLEUX CAR AYANT CONÇU LE MASCULIN ET LE FÉMININ
DANS UNE SEULE ENTITÉ MAIS DANS CE CONTEXTE LE MIRACLE EST DOUBLE CAR DEUX ŒUFS
AYANT LEURS PERSONNALITÉS PROPRE ET BIEN PLUS ENCORE DANS LE DOMAINE DE LA THÉRAPIE,
DE LA MIXITÉ ET DU DEVENIR.

JUMEAUX DIZYGOTES TOUT EN AYANT L'APPARTENANCE DE L'UNIQUE : UN REPROCHE VERS LE FÉMININ
OU UNE CONVOITISE HUMAINE SUR LE DIVIN ? LA COUTUME PEUT AUSSI PRÉTENDRE AU DÉSIR DE
L’IMAGINAIRE DE VOULOIR DEVINER LE CONTEXTE DE LA RÉALITÉ TOUT EN BOULEVERSANT L’ÉTABLI.

EH BIEN, CETTE LÉGENDE EST UNE MOSAÏQUE DE PENSÉE ET QUI PROVOQUE UNE NUÉE DE SENTIMENTS
POUR CELUI QUI SAIT ENTENDRE SON ASPECT PHILOSOPHIQUE, SON ANALYSE PSYCHANALYSTE ET SA
PORTÉE ANTHROPOLOGIQUE. AINSI DANS SON CHAMANISME, LE DOCTEUR MARC PERRUCHO ESSAYE DE
PERCEVOIR LE SENS DE L'ENCENS ET LE LIEN CHARNEL ENTRE L'ANIMAL ET SON SÉDUCTEUR :
UN APPEL DE COMMUNICATION QUI DIFFÈRE SELON L'INDIVIDU ET SES MŒURS.

LÉDA DU CYGNE DANS SON BAIN SPARTIATE EST DANS UNE SORTE DE COCON NATUREL OU
LE VENTRE D'UNE MÈRE : BAIGNANT DANS UN BAIN PRIMORDIALE AFIN DE FAIRE UNION DE SON MARIAGE.
UNE ESSENCE VIENT TROUBLER CETTE SÉRÉNITÉ SANS POUR AUTANT BOULEVERSER L'ORDRE NATURELLE
DE SA PENSÉE. UNE OMBRE QUI POURTANT NE PROVOQUE EN RIEN LA MOINDRE ÉMOTION DE JOUISSANCE
ET DE DÉSIRS DANS SON FÉMININ. UN BIEN ETRE DANS CETTE COMPAGNIE QUI NE CHERCHE EN RIEN
BOULEVERSAIT LA SÉRÉNITÉ DE LA MARIÉE MAIS QUI FAIT ENTENDRE LA CLOCHE DE SA PULSATION !

DANS CETTE NAISSANCE MYTHOLOGIQUE, RIEN N'EST PARAÎTRE CAR LE MERVEILLEUX PRENDS LE DESSUS
SUR L'AMOUR, LA RÉALITÉ ET LE DESTIN. ELLE SAIT SA CONDITION MAIS SA FIERTÉ DEMEURE DANS LE
DESSEIN : CE SENTIMENT DE L'INCERTITUDE DEVANT LE TEMPS QUI SE CONFONDS ENTRE LE TEMPÊTE ET
LA SÉCHERESSE. DANS SON IMAGINAIRE DES MILLIERS ÉCLAIRS APPARAISSENT QUI PAR LA SUITE DEVIENNENT
DES MILLIERS DE PENSÉES QUI SE MÉTAMORPHOSENT EN DES CARESSES SYMPHONIQUES.

DANS LE DEVENIR DU TEMPS, LA FÉCONDITÉ EST UN ASPECT QUI FUT DANS L'IMPORTANCE DU QUOTIDIEN.
CELA ÉTAIT UN DEVENIR PLUS QU'UN PARAÎTRE : UN ENJEU GÉOPOLITIQUE ET CETTE DOUCE FABLE MONTRE
COMMENT LES INSTANTS LES PLUS MERVEILLEUX PEUVENT SOMBRER DANS LE TRAGIQUE ET L’ABNÉGATION.
UNE DOUCE MORALE AU CŒUR TENDRE QUI PORTE AU DIRE QUE L'AMOUR N'EST PAS TOUJOURS LA CONDITION
ESSENTIELLE, IL Y A UNE NÉCESSITÉ DE MERVEILLEUX ET D'ESPÉRANCE QUI EST LE FRUIT MÊME DE YAHVÉ ET
DE LA VIE : LA CONNAISSANCE ÉMOTIVE ET LE RESPECT NATUREL.

TÉMOIGNAGE DU
CITOYEN TIGNARD YANIS
ALIAS
TAY
La chouette effraie

TIGNARD YANIS @Yanis_Tignard · 14h
LA CONNAISSANCE DES VOLCANS EST TRÈS IMPORTANTE CAR ELLE IMPLIQUE LE PRINCIPE DE VIE POST BIG BANG :
CES PHÉNOMÈNES SE RETROUVENT AUTANT CHEZ LES PLANÈTES ET LES SATELLITES.
SI SUR UNE COMÈTE, CELA SEMBLE IMPROBABLE, CELA N'EST PAS POUR AUTANT DU DOMAINE DE L'IMPOSSIBLE.
TAY

SOUFFLE LE TEMPS SUR LE SPERMATOZOÏDE TEL UNE COMÈTE SOUMISE AUX PULSATIONS DES PUISSANCES.
LES ÉVÉNEMENTS SONT CRÉÉS PAR LES MOUVEMENTS QUI TELLES DES OVULES SONT SOUMIS À DES RÉALITÉS GÉOGRAPHIQUES INTÉRIEURS ET EXTÉRIEURS : LE SYNDROME DE L'HIPPOCAMPE, AMANDINE.
TAY

DANS LA POUSSIÈRE DES POÉSIES, LE CYCLE DES NATURES DÉVOILE LE DEVENIR ET LES CARACTÈRES :
AINSI LA MARRÉE SUBIT L'ATTRACTION D'UNE MATIÈRE ALORS QUE LA LUNE INFLUENCE LES TRAJECTOIRES.
LA RÉALITÉ INTERPELLE LA MÉTÉO : LES MÉTAMORPHOSES DES NUAGES SE DÉTACHENT DE L'ÊTRE.
TAY

LA NATURE SOUFFLE SUR LA NAISSANCE OÙ LES URGENCES SONT OUBLIÉES DES ÉVÉNEMENTS ALORS QUE
LES PATIENTS AUGMENTENT : NOMBREUX DES INSTRUMENTS CHIRURGICAUX DEVRAIENT ÊTRE RENOUVELER
MAIS ON EST PLUS PRÉOCCUPÉ SUR LES REMBOURSEMENTS DE SANTÉ.
TAY

LA SOUFRIÈRE SOUFFLE SUR LES SOURCES PENDANT QUE DES NUAGES ACCENTUENT LA FERTILITÉ DE LA TEMPÊTE.
LA CERTITUDE DE LA TERRE TRANSPIRE LES TRADITIONS ALORS QUE L'ÉCLAIR TRANSFIGURE LA MÉTAMORPHOSE DES FRUITS. EN CE SOUVENIR, LE MOMENT SE FAIT DANS LE SENTIMENT.
TAY

LE VÉTÉRAN PORTE SON REGARD SUR LE VENTRE :
l'âme est attachée à ce nombril qui est l'indépendance de l'instant.
NOTRE INSTINCT EST INTERPELLÉ PAR CE DON QUI CONFONDS LE TEMPS ET LE TÉMOIGNAGE :
en ce silence, les cris rarement ne peuvent faire oublier la conscience.
TAY

DES RÉFLEXIONS SUR LE DEVENIR OÙ CHAQUE INTERPRÉTATION SE BASE SUR LES TERMES PLUS QUE SUR
LES SENTIMENTS ET LES TEMPÊTES. LES SECOURISMES HOSPITALIERS ET MILITAIRES ONT ÉTÉ SOUMIS À DES RENDEMENTS QU'ILS ONT SU GARANTIR ET SAUVEGARDER AVEC DES DIFFICULTÉS INSTITUTIONNELLES.
TAY

LE TEMPS NE PEUT ÊTRE RATTRAPER EN TERMES DE SENTIMENTS ET DE MORTS. LE SECOURISME PAYE LE PRIX FORT
TOUT COMME LES MONDES DE L'AGRICULTURE, DE LA PÊCHE, AUTRES SERVICES PUBLICS ET PRÉVENTIONS. L'ATTRIBUTION N'EST PLUS DANS LE DEVENIR ET LE JURIDIQUE MAIS DANS LE COMPTABLE.
TAY

LES DOMAINES DU SERVICES, DES LOISIRS ET DE LA RESTAURATIONS SONT FRAPPÉS PAR LES NOUVELLES THÉORIES
DES TECHNOLOGIES DU CRÉATIFS. CHAQUE GÉRANT SE METS À BOUILLONNER DEVANT LES MÉTAMORPHOSES EN IDENTIFIANT L'ÊTRE À UN CHIFFRE D'AFFAIRES : LE PARAÎTRE ET SES PARAMÈTRES.
TAY

La Réserve Naturelle des Marais de Kaw est l’une des six réserves naturelles crées en Guyane.
Créée en 1998 et occupant un peu moins de 94 700 hectares, elle est la troisième réserve naturelle
de France par sa superficie après celles des Nouragues et des TAF.
TAY

La réserve naturelle nationale des marais de Kaw-Roura (RNN139) est une réserve naturelle nationale
située en Guyane.
Elle a été créée par décret le 13 mars 1998 à cheval sur les communes de Roura et de Régina et
englobe le petit village de Kaw.
(link: https://marais-kaw.com/) marais-kaw.com
TAY

La forêt de la Montagne de Kaw possède la plus forte pluviométrie de la Guyane, ce qui expliquerait
qu'elle aurait servi de refuge pour la faune et la flore lors des périodes de grandes sécheresses
de l’ère du Pléistocène. Les premiers habitants étaient les amérindiens.
TAY

Flore de Kaw : des utriculaires, plantes carnivores qui capturent de petits organismes au niveau
de leurs racines, et quelques espèces de jacinthe d'eau, plantes envahissantes en nombreux pays tropicaux,
sauf ici car c'est leur région d'origine et l'écosystème y est adapté.
TAY

TIGNARD YANIS @Yanis_Tignard · 15m
En réponse à @Agenzia_Ansa
Les vestiges d’un village, sur la montagne Favard, ont été découverts ainsi qu’une roche métamorphique
gravée témoins de cette occupation.
La réserve naturelle éternelle par le décret n° 98-166 du 13 mars 1998 :
le site est au titre de la convention de Ramsar depuis 1993.
TAY

La métaphysique désigne la connaissance du monde, des choses ou des processus :
Parc Naturel de la Guyane.
https://marais-kaw.com/
BP 539.
https://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9serve_naturelle_nationale_des_marais_de_Kaw-Roura
La science des réalités.
31 rue François Arago
97344 Cayenne Cedex.
Tél : 0594 28 92 70.
Fax : 0594 28 92 71.
TAY

La liberté, la raison et la réalité en la Nature. La réglementation de la réserve encadre la pêche,
la chasse et les différentes activités humaines dans la vision des amérindiens.
Sur la montagne Favard, le caractère indien et sauvage démontre d'une gestion métaphysique.
TAY

TÉMOIGNAGE DU
CITOYEN TIGNARD YANIS
ALIAS
TAY
La chouette effraie


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MessageSujet: Re: DANIEL KRAEMER, BONSAÏ D’ÉRABLE, JARDIN LIBANAIS ET BOUDDHA.   DANIEL KRAEMER, BONSAÏ D’ÉRABLE, JARDIN LIBANAIS ET BOUDDHA. EmptyVen 26 Juil à 9:18

Le temps est une notion qui rend compte du changement dans le monde. Le questionnement s'est porté sur sa « nature intime » : propriété fondamentale de l'Univers, ou plus simplement produit de l'observation intellectuelle et de la perception humaine. La somme des réponses ne suffit pas à dégager un concept satisfaisant du temps. Toutes ne sont pas théoriques : la « pratique » changeante du temps par les hommes est d’une importance capitale. Le Chronos (Χρόνος : « temps, durée de temps ») est un concept qui, adjoint à l’Aiôn (Αἰών : « temps, durée de la vie d'où destinée, sort ») et au Kairos (Καιρός : « moment opportun, occasion »), permet de définir le temps. Ces concepts sont apparus chez les Grecs. Le Chronos est le tout du temps, relatif au présent : « Hier était le jour précédent et demain sera le jour suivant parce que je suis aujourd’hui. ». C'est un point mouvant sur la flèche du temps qui définit les infinis à ses deux bornes. Le temps est souvent représenté de façon linéaire (frises chronologiques). Cependant, des représentations en spirales, voire en cercles (le temps est un éternel recommencement) peuvent être trouvées marquant ici l'aspect cyclique et répétitif de l'histoire des hommes. Le temps est orienté : il coule du passé au futur. Grâce au profond sentiment de durée, l’être humain peut agir, se souvenir, imaginer, mettre en perspective… si bien que le temps lui est essentiel, et par-là, banal. Le niveau de complexité du rapport au temps est assez bien traduit par le langage, bien qu'imparfaitement : certaines cultures primitives ont peu de mots porteurs d’un sens temporel, et se situent essentiellement dans le présent et le passé. Pour les peuples anciens de Mésopotamie, par exemple, le futur est « derrière » et le passé, connu, est placé « devant ». Dès lors qu’un peuple s’intéresse à l’avenir, toutefois, cet ordre intuitif s’inverse : on attend du temps qu’il nous apporte le moment suivant. Ce qui constitue une première confusion entre temps et mouvement.Dans presque toutes les cultures humaines le locuteur se représente avec le futur devant et le passé derrière lui. Ainsi en français on dit « se retourner sur son passé », « avoir l'avenir devant soi ». Cependant, le peuple aymara inverse cette direction du temps : le passé, connu et visible, se trouve devant le locuteur alors que le futur, inconnu et invisible, se trouve derrière lui. Le futur est l’ensemble des présents à venir. Seuls les contenus à venir, les évènements futurs, sont susceptibles d’être encore modifiés : Ccest ce qui fait que l’avenir n’est pas encore mais, l’instant est le produit de la projection du présent dans la série successive des temps, c’est-à-dire que chaque instant correspond à un présent révolu. Le présent lui-même est cependant à son tour une abstraction, puisque personne ne vit un présent pur, réduit à une durée nulle. Le passé est l’accumulation, ou plutôt l’organisation des temps antérieurs, selon des rapports chronologiques (succession) et chronométriques (les durées relatives)...

Ressenti du
Citoyen Tignard Yanis
alias
TAY La chouette effraie

Ce sont en tout environ deux-cent-quatre-vingts astérismes qui peuplent le ciel chinois, un nombre notablement plus grand que celui des constellations occidentales. Certains astérismes sont très vastes, notamment ceux représentant les murs d'enceinte des différents palais (tels Tianshi). D'autres sont bien plus petits, se restreignant parfois à une seule étoile (Dajiao, par exemple, correspondant à α Bootis/Arcturus, ou Tianguan, correspondant à ζ Tauri). Les astérismes à une seule étoile mis à part, les étoiles ne sont pas individuellement nommées à l'exception de celles de certains très grands astérismes, comme celles de Tianshi dont les noms correspondent aux différences provinces de l'Empire chinois de l'époque (dynastie Han) où ces astérismes ont été créés. Près de la moitié des constellations modernes proviennent des astronomes grecs. Homère mentionnait Orion dans l'Odyssée dès le ixe siècle av. J.-C. Le Zodiaque apparaît vers le ve siècle av. J.-C., divisé en douze constellations. Aratos de Soles fixa au iiie siècle l'essentiel des noms de constellations repris par Ptolémée.
Une constellation est un ensemble d'étoiles dont les projections sur la voûte céleste sont suffisamment proches pour qu'une civilisation les relie par des lignes imaginaires pour créer une forme quelconque. Une constellation est généralement plus complexe qu'un astérisme, qui peut représenter une partie d'une constellation ou appartenir à plusieurs constellations1,2,3,4. Utilisées au cours de l'histoire pour le repérage céleste et terrestre ainsi que comme représentations mythologiques, les constellations paraissent être regroupées dans le ciel nocturne mais elles sont ordinairement très dispersées dans l'espace tridimensionnel : Rattacher étroitement l’existence humaine au récit nous aide à ne pas confondre la durée avec le néant, ni avec l’instant. La durée est la condition du déploiement d’une histoire. Elle suppose l’écoulement du temps, et cet écoulement lui-même demeure, tandis que l’on ne peut pas se représenter l’instant pur, infiniment bref, sinon en en faisant une sorte de cliché photographique immobile, hors du temps. La mort est précisément l’oubli, et donc l’anéantissement de ce que je fus : à défaut d’être toujours, rien ne fera que nous n’ayons pas été. À l'instar des astronomes grecs, les astronomes chinois ont regroupé certaines étoiles en constellations, d'abord sur la zone de l’écliptique, de manière analogue au Zodiaque occidental, puis sur l'ensemble du ciel. Les vingt-huit constellations (ou astérismes) de la zone écliptique sont appelées maisons lunaires. Elles sont divisées en quatre zones de sept astérismes, correspondant aux quatre animaux de la symbolique chinoise (Dragon azur à l'est, Oiseau vermillon au sud, Tortue noire au nord et Tigre blanc à l'ouest). Contrairement au zodiaque, ces astérismes sont de taille extrêmement variable ; leur origine est à l'heure actuelle inconnue. Par la suite, l'ensemble de la sphère céleste visible depuis le monde chinois (soit tout ce qui se trouve à une déclinaison supérieure à -55 degrés environ) a été nanti d'astérismes. Contrairement à la méthode occidentale qui a peuplé le ciel de personnages et créatures mythiques, les chinois ont figuré le ciel à l'image de leur société, avec divers palais (Ziwei, Taiwei) habités de différentes classes de la cour et de la société chinoise. Certains détails pittoresques y sont même inclus tels l'astérisme Ce, représentant des latrines et l'astérisme Tianshi, représentant les excréments destinés à être utilisés pour l'agriculture. Si Épicure ne se souciait guère de ne bientôt plus être, son cas est exceptionnel, écrit Arendt. Les Grecs ont cherché à immortaliser leurs actions par la gloire, dont la condition était une vie brève, mais héroïque. Ils étaient hantés, rappelle-t-elle, par le dicton qui voulait que nul ne passe pour heureux avant d’être mort : en effet rien ne nous garantit que nous ne finirons pas notre vie de façon ignominieuse. Seuls les Hommes qui nous survivront pourront dire si notre vie a été ou non réussie, car eux seuls pourront la considérer comme un tout, la raconter et en tirer la leçon. Car la vie, « parenthèse de rêverie dans la rhapsodie universelle », n'est peut-être qu'une « mélodie éphémère » découpée dans l'infini de la mort. Ce qui ne renvoie pourtant pas à son insignifiance ou à sa vanité : car le fait d'avoir vécu cette vie éphémère reste un fait éternel que ni la mort ni le désespoir ne peuvent annihiler. La composition exacte de ces astérismes n'est pas établie avec certitude. En général, seule la position de l'une des étoiles des astérismes, appelée étoile référente, est donnée dans les traités astronomiques, et de façon relativement imprécise parfois. Le reste de l'astérisme est déduit de nos jours à l'aide des cartes du ciel en provenance du monde chinois, cartes dont la précision est approximative et qui fait rarement la distinction entre les différentes magnitudes apparentes des étoiles les composant. Apaisante et voluptueuse, la musique témoigne elle aussi de ce « presque-rien » - présence éloquente, innocence purificatrice – qui est pourtant quelque chose d'essentiel. Expression de la « plénitude exaltante de l'être » en même temps qu'évocation de l'« irrévocable », la musique constitue l'image exemplaire de la temporalité, c'est-à-dire de l'humaine condition et l'expansion naturelle où le devenir se construit en des circonstances de mouvements lié à des concepts et des contextes de l'infini à l'univers, aux fusions des indéfiniment grands et petits caractères de l'impré-visible et à ce que l'improbable n'est jamais l'impossible.

L'amour du survivre ou Jérusalem !
Dédié à Yahvé-Elohim

Tandis que l'aspect linéaire et irréversible a d'abord servi à mesurer le temps, par exemple par la combustion complète d'une bougie, la régularité du retour de certains événements donne une mesure plus précise. Les phénomènes périodiques naturels ont permis d’établir très tôt une référence de durée, le calendrier, et donc de quantifier le temps, c'est-à-dire lui associer un nombre et une unité, en effectuer une mesure. Aux temps modernes, des phénomènes périodiques artificiels ont permis de mesurer des durées plus courtes avec des horloges. Toutefois, cette connaissance est au mieux celle d’une substance du temps : elle n’apprend rien sur sa nature intime, car la mesure n’est pas le temps – il faut du temps pour établir une mesure. Et bien que l’intuition du cours du temps soit universelle3, définir le temps en lui-même semble au-delà de nos capacités, probablement du fait que nous sommes tout à la fois dans le temps, et nous-mêmes du temps (physiquement et psychiquement). Saint Augustin écrit à propos de la définition du temps : « Ce mot, quand nous le prononçons, nous en avons, à coup sûr, l’intelligence et de même quand nous l’entendons prononcer par d’autres. Qu'est-ce donc que le temps ? Si personne ne m'interroge, je le sais ; si je veux répondre à cette demande, je l'ignore4 ». Il est vrai que décrire le temps ne semble possible que par une analogie, notamment au mouvement, qui suppose de l’espace. Imaginer le temps c’est déjà se le figurer et, en quelque sorte, le manquer. Héritée du védisme, la croyance en une succession d’un même temps, ou plutôt d’une même durée cosmique, se retrouve dans le brahmanisme et l’hindouisme. Le cosmos et tout le monde sensible y est assujetti à un renouvellement cyclique et infini, où périodes de destruction et de reconstruction se succèdent pour redonner naissance au même Univers. C’est une renaissance et un retour éternel. Chaque cycle est une kalpa, schématiquement scindée en quatre âges au sein desquels l’Univers périclite graduellement. Cette vision cyclique sera reportée à l’Homme dans le bouddhisme, à travers la croyance en la réincarnation. La vie de l’Homme, aux yeux du bouddhiste, est telle une kalpa, lui conférant l’immortalité des premiers dieux occidentaux.

Il faut donc distinguer la problématique de la représentation du temps de sa conceptualisation, tout comme il faut établir ce qu'on sait du temps par l’expérience pour mieux s’en détacher. Au fil des siècles, ces penseurs ont essayé d’évaluer le temps au travers de la méditation, du mysticisme, de la philosophie ou encore de la science. Pour réfléchir au concept du temps, l’être humain s’appuie sur son langage ; mais les mots sont trompeurs et ne nous disent pas ce qu’est le temps – pire, ils viennent souvent nous dicter notre pensée et l’encombrer de préjugés sémantiques. La dimension paradoxale du langage temporel n’est pas très complexe : il suffit de s’attarder sur une simple expression courante comme « le temps qui passe trop vite » pour s’en rendre compte. Cette expression désigne un temps qui s’accélérerait. Mais l’accélération, c’est bien encore une position (spatiale) dérivée (deux fois) par rapport au temps : voilà que ressurgit le « temps-cadre » immuable ! Le temps n’est ni la durée, ni le mouvement : en clair, il n’est pas le phénomène temporel. Ce n’est pas parce que des évènements se répètent que le temps est nécessairement cyclique. Cette prise de recul, distinction entre temps et phénomène, sera relativement effective au cours de l’histoire en sciences et peut-être moins en philosophie, parfois victime des apparences sémantiques. C’est une distension, vraisemblablement une distension de l’âme (distentio animi). C’est là à la fois subjectiviser le temps et le renvoyer à Dieu, sa révélation, son mystère.

Toutefois, en distinguant ainsi le temps et les évènements portés par lui surgit une dualité embarrassante : dans quelle réalité placer ces phénomènes qui surviennent, si ce n’est dans le temps lui-même ? Le sage dira, dans le « cours du temps ». Cette scène animée des phénomènes est séduisante et juste, mais il faut prendre garde au piège sémantique. Le cours du temps, c’est ce que beaucoup ont figuré dans leurs cahiers d’écolier par la droite fléchée : au-delà de l’amalgame trompeur avec le mouvement, il y a l’idée de la causalité, et aussi de la contrainte. Le cours du temps illustre la sensation de chronologie imposée, qui est une propriété du temps pour lui-même. Rien ici n’indique encore l’idée de changement ou de variation. Il s’agit véritablement d’un cadre, du Chronos – du devenir rendu possible par Kronos. L’homme, pour sa part, devient, et les phénomènes, eux, surviennent. C’est là l’affaire de la flèche du temps, qui modélise les transformations au cours du temps, ou plutôt, « au cours du cours du temps ». Il en ressort en fait que bien qu'il puisse être supposé avec raison que tous les hommes ont la même expérience intime du temps – une expérience universelle – le chemin vers le concept de temps n’est pas universel. Ce n’est donc qu’en détaillant ces modèles intellectuels et leurs évolutions historiques que l’on peut espérer saisir les premiers éléments de la nature du temps. Elle est une propriété des phénomènes. Comme pour tous les objets visibles du sol terrestre, les constellations changent légèrement de position avec le temps en raison de la précession des équinoxes. Elles sont généralement les plus anciennes, ayant une certaine importance pour le repérage et l'observation du mouvement de plusieurs astres. Le récit permettrait de conjurer l’impermanence que le temps confère à l’existence mais rattacher étroitement l’existence humaine au récit nous aide à ne pas confondre la durée avec le néant, ni avec l’instant. La durée est la condition du déploiement d’une histoire. Elle suppose l’écoulement du temps, et cet écoulement lui-même demeure, tandis que l’on ne peut pas se représenter l’instant pur, infiniment bref, sinon en en faisant une sorte de cliché photographique immobile, hors du temps.

Expression de la « plénitude exaltante de l'être » en même temps qu'évocation de l'« irrévocable » ou vivre malgré l'adversité.

TÉMOIGNAGE DU
CITOYEN TIGNARD YANIS
ALIAS
TAY
La chouette effraie

TIGNARD YANIS @Yanis_Tignard · 29s
En réponse à @SenadisPma
Lindworms.
Dès lors qu’un peuple s’intéresse à l’avenir : on attend du temps qu’il nous apporte le moment suivant.
Ce qui constitue une première confusion entre temps et mouvement :
la durée est la condition du déploiement d’une histoire. Elle suppose l’écoulement du temps.
TAY
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DANIEL KRAEMER, BONSAÏ D’ÉRABLE, JARDIN LIBANAIS ET BOUDDHA. Empty
MessageSujet: Re: DANIEL KRAEMER, BONSAÏ D’ÉRABLE, JARDIN LIBANAIS ET BOUDDHA.   DANIEL KRAEMER, BONSAÏ D’ÉRABLE, JARDIN LIBANAIS ET BOUDDHA. EmptyMar 13 Aoû à 3:59

Qu’est-ce donc qu’un sacrifice ? Quelle est sa fonction ? La réponse à ces questions semble aller de soi, tant la terminologie sacrificielle est entrée dans le langage courant. Le plus souvent employé sous forme pronominale, le verbe « sacrifier » est généralement associé aux notions de dévouement, de renoncement, de privation d’un bien, et même de sa propre vie, et cela au service d’une cause, le martyre apparaissant ainsi comme la forme suprême du sacrifice. Cette conception implicite du sacrifice, centrée, non sur le destinataire, mais sur le sacrifiant, est aux antipodes de la définition qu’en donnent les historiens des religions qui caractérisent le sacrifice comme un rite cultuel par lequel un sacrifiant transmet un objet à une divinité, et donc le fait passer du domaine profane au domaine sacré. L’étymologie, quant à elle, rattache « sacrifier » au latin sacrificare, un composé de sacrum facere, faire un acte sacré [1]

[1]Sur le sacrifice, voir notamment N. Neusch (éd.), Le sacrifice…
. Avant même de décrire le sacrifice tel que le présente la Bible, il convient donc de commencer par clarifier la question des définitions. Ce point est d’autant plus important que, par un singulier retournement, l’acception profane est devenue, de fait, une clé d’interprétation inconsciente pour déterminer la fonction du rite cultuel et en a complètement faussé le sens.

2
Selon la Bible, le sacrifice est, tout d’abord, un don fait à Dieu. Il fait partie de ce que la Bible qualifie de qorban, littéralement « rapprochement », un terme qui englobe toutes les formes d’offrandes à Dieu, celles qui sont détruites et lui sont directement transmises par combustion sur l’autel, celles qui sont versées au trésor du temple et celles qui sont destinées aux prêtres et réservées à leur usage. Parmi ces offrandes, seules les premières peuvent être qualifiées de « sacrifice » au sens strict du mot.

3
Pour caractériser le sacrifice proprement dit, la Bible emploie, plus précisément, deux termes, qui sont complémentaires.

4
Le premier, le plus fréquent, est zèbach, un dérivé du verbe zabach, sacrifier, dont provient également mizbéach, autel. Utilisé, de même que zabach, dans un sens générique recouvrant toutes les formes du sacrifice animal, ce terme désigne aussi le sacrifice de cyommunion, une catégorie de sacrifice où la matière sacrificielle est partagée entre Dieu, les prêtres, le sacrifiant et ses invités. Zèbach représente le sacrifice sous l’aspect du repas. Comme l’indiquent ses emplois profanes, zabach, c’est tuer un animal et l’apprêter de manière à pouvoir le consommer. On voit ainsi la nécromancienne d’Eïn-Dôr « sacrifier » un veau et cuire des pains, puis servir le tout à Saül et ses compagnons qui étaient venus chez elle pour évoquer l’esprit de Samuel (1 Sm 28, 24-25). « Sacrifier » désigne ici l’ensemble du processus de préparation du veau, depuis sa mise à mort jusqu’à sa cuisson [2]
[2]Pour ce sens de zèbach, voir aussi, par ex., Dt 12, 15 ; Ez 34,…
.

5
L’autre terme dont se sert la Bible est minchah, présent, tribut. Dans ses emplois profanes ce terme caractérise le présent que le sujet ou le vassal remet à son suzerain en signe d’hommage et de soumission. La rébellion, à l’inverse, se traduit par le refus d’offrir une minchah. Ainsi les opposants à l’élection de Saül, qui contestent sa capacité à libérer Israël de la domination philistine, refusent de lui apporter une minchah (1 Sm 10, 27) et le roi Osée, après son alliance avec l’Égypte, cesse de verser au roi d’Assyrie la minchah, le tribut annuel, auquel il était assujetti (2 R 17, 3-4). La minchah apparaît ainsi comme une marque de reconnaissance de la suzeraineté divine, un aspect sur lequel le Lévitique mettra tout spécialement l’accent. De là l’obligation faite à tout Israélite de se présenter trois fois par an devant son Dieu et de lui apporter un présent (Ex 23, 15b.17 // 34, 20b.23-24). Minchah, au sens étroit, désigne l’offrande végétale.

6
Il ressort de ces différentes désignations que, selon la Bible, le sacrifice est un don fait à Dieu, un don qui prend la forme d’un repas, zèbach, lequel est préparé à son intention en vue de l’honorer, minchah.

7
Cette définition du sacrifice comme repas est corroborée par les indications relatives à sa matière, laquelle consiste exclusivement en des produits qui peuvent être consommés. On peut, certes, offrir à Dieu de l’or, de l’argent, des bijoux, des vêtements (voir, par ex., Nb 7, 84-86 ; 31, 50-54 ; Esd 2, 69). Mais on ne peut lui sacrifier que des animaux et des végétaux. Et, plus précisément, des animaux d’élevage, bovins, ovins ou caprins, généralement mâles (à quoi le Lévitique ajoute des colombes) et, pour ce qui est des végétaux, uniquement ceux issus des trois principales productions agricoles, à savoir céréales, olives et raisins. Ces produits, au demeurant, lui sont apportés, non dans leur état brut, mais seulement après avoir été préparés. Les animaux sont tués et dépecés, les céréales sont transformées en farine ou en pains, les olives en huile d’olive, les raisins en vin, et sont ainsi présentés sous une forme qui rende possible une élaboration culinaire. Ces mêmes produits constituent d’ailleurs aussi la nourriture habituelle (les pains) ou festive (la viande, l’huile, le vin) des Israélites. Et ils sont également représentatifs des richesses du pays. Dans cette logique, les sacrifices humains n’ont évidemment aucune place. Lorsque la Bible évoque ces derniers, c’est pour les rejeter de la manière la plus vigoureuse [3]
[3]Ainsi Dt 18, 9-12 ; Lv 20, 2-5. Voir aussi Mi 6, 6-8.
.

8
Les sacrifices ne sont pas, pour autant, destinés à nourrir Dieu. Jamais, en effet, la Bible ne considère que le sacrifice a pour fonction d’assurer sa subsistance. Le psalmiste le dit clairement : Dieu n’a nul besoin de sacrifices, lui à qui appartiennent tous les animaux (Ps 50, 10-13). Et le prophète renchérit : tous les arbres du Liban et tous ses animaux n’y suffiraient pas (Is 40, 16). Le repas auquel on invite Dieu ne sert pas à son alimentation, il est essentiellement un geste de vénération. Et il est l’expression d’un désir de convivialité et donc, d’une relation plus forte, plus profonde, plus personnelle que celle qui pourrait résulter de l’offrande d’un simple présent.

9
Ce repas festif peut prendre deux formes.

10
L’une, qui nous est familière, est celle du repas convivial où les différents commensaux, assis autour d’une même table, partagent les mets, avec, à la place d’honneur, l’hôte de marque, servi en premier et régalé des meilleurs morceaux (voir par ex. 1 Sm 9, 22-24). À cette forme d’hospitalité correspond, au plan sacrificiel, le sacrifice de communion. La part attribuée à Dieu est la graisse – dont Lv 3, 3-4 définit scrupuleusement la nature. La graisse est considérée comme le meilleur de l’animal et concentre en elle comme la quintessence de la viande. Elle représente aussi la nourriture sous sa forme la plus raffinée, celle que l’on n’a pas besoin de mastiquer, mais que l’on peut sucer, et qui fond sur la langue. Le Lévitique réserve strictement cette part à Dieu (Lv 7, 23-25). Les autres parts, en l’occurrence la viande, servent à régaler le sacrifiant et ses invités.

11
Et puis, il y a une autre forme d’hospitalité, que nous ne pratiquons guère, mais qui est encore attestée dans d’autres sociétés, où le repas est préparé à l’intention exclusive de celui que l’on reçoit, et où l’hôte se tient à l’écart, à l’entière disposition de son invité, prêt à répondre à sa demande, comme on voit Abraham le faire lorsque arrivent chez lui trois inconnus (Gn 18, 1-Cool ou encore la nécromancienne d’Eïn-Dôr à l’endroit de Saül et de ses compagnons (1 Sm 28, 21-25). À cette seconde forme d’hospitalité, plus déférente, correspond l’holocauste, où l’intégralité de la victime (sauf la peau) est servie à Dieu.

12
Ouvrons ici une parenthèse.

13
La fonction première du sacrifice est de rendre hommage à Dieu par le biais d’un repas festif. Mais le sacrifice a aussi, accessoirement, une fonction pédagogique. Il permet, en effet, de manifester à la fois l’altérité de Dieu et sa similarité. L’offrande à Dieu d’un repas préparé à partir des mêmes produits que ceux qu’Israël utilise pour sa propre alimentation montre que Dieu est d’une certaine manière semblable aux Israélites : il « mange » la même chose qu’eux. Et parce que ce repas est constitué des produits caractéristiques de son pays, il apparaît comme solidaire d’Israël et lié, comme lui, à cette terre, une terre dont il est aussi le seigneur. Mais, dans le même temps, le fait de lui réserver en propre la graisse, rigoureusement interdite aux humains, témoigne de l’altérité fondamentale de Dieu. Dieu est autre, et c’est parce qu’il est autre qu’il est Dieu. Et il est néanmoins semblable, ce qui permet de communiquer avec lui. La Bible exprime cette analogie par le moyen de l’anthropomorphisme. Elle parle de la main de Dieu, de sa bouche, de son nez, de ses pieds, de ses entrailles… Elle dit qu’il voit, qu’il entend… Et pour la Bible, ce sont même là des traits qui distinguent Dieu des idoles des nations. Dans un passage du Deutéronome, Moïse avertit ainsi les Israélites que, s’ils venaient à succomber à l’idolâtrie, ils seraient exilés au milieu de nations dont les dieux sont « des dieux faits de main d’homme, en bois ou en pierre, qui ne voient pas, qui n’entendent pas, qui ne mangent pas et qui ne sentent pas » (Dt 4, 28). À l’inverse de son Dieu qui, lui, voit, entend, mais aussi mange et sent. « Sentir », on retrouve ce verbe à de multiples reprises pour désigner la réaction de Dieu aux sacrifices : il en sent le parfum reposant (voir par ex. Lv 1, 9.13.17 ; 2, 2.9 ; 3, 5.16). Quoi que l’on puisse penser de cette conception très réductrice de la religion des autres nations, elle n’en témoigne pas moins de l’importance de l’anthropomorphisme comme un moyen d’exprimer la similitude de Dieu. L’anthropomorphisme, y compris l’anthropomorphisme sacrificiel, n’est pas la marque d’une religion primitive et naïve. En utilisant le langage de l’analogie, il permet de dire l’indicible et, en disant la similitude, il ouvre la possibilité d’une communication.

14
L’examen du rituel sacrificiel va nous permettre de préciser un peu plus la fonction du sacrifice. Deux traits le caractérisent. Alors que dans les religions assyro-babyloniennes la matière sacrificielle est simplement déposée devant la statue de la divinité, en Israël l’offrande d’un sacrifice nécessite un autel (qui peut se résumer à un simple rocher, ainsi Jg 13, 19) et elle se fait par combustion.

15
La Bible ne décrit pas véritablement le rituel sacrificiel. Ce que fera, par contre, le Talmud dans les traités de l’ordre Qodachim. Les premiers chapitres du Lévitique, Lv 1 à 7, n’en indiquent que les rites les plus significatifs. Le rituel se déroule sur un espace public, ouvert, sur le parvis du Temple. Le sacrifiant commence par présenter son offrande. Puis, dans le cas d’un animal, il lui impose la main, et le met à mort en l’égorgeant. Ce sont ensuite les prêtres qui prennent le relais. Ayant recueilli tout le sang de la victime, ils l’aspergent contre l’autel, puis font brûler sur l’autel la part destinée à Dieu, à savoir la totalité de la victime, dans le cas d’un holocauste, la graisse, dans le cas d’un sacrifice de communion, une poignée de farine mêlée à l’huile ou un morceau de pain, dans le cas d’une offrande végétale. Cette combustion marque le point culminant de tout sacrifice, qu’il soit animal ou végétal, et est, d’ailleurs, le rite sacrificiel le plus souvent mentionné dans la Bible. Elle indique la finalité du sacrifice, qui est d’établir un trait d’union avec Dieu.

16
Cette présentation succincte du rituel sacrificiel appelle un double commentaire.

17
Il en ressort, tout d’abord, que l’abattage de la victime, loin d’être le rite sacrificiel central, le rite essentiel, n’a qu’une fonction subsidiaire. De fait, cette action est effectuée par le sacrifiant, et non par le prêtre, et elle intervient en marge de l’autel, et non sur l’autel. Un passage du livre d’Ezéchiel permet de se faire une idée précise de la place qu’on assignait à l’égorgement des victimes. Dans une violente diatribe contre les lévites, accusés d’idolâtrie, Dieu leur signifie leur dégradation : désormais ils ne seront plus qu’au service du peuple et devront égorger, à la place des sacrifiants, les victimes sacrificielles, le service de Dieu – à savoir l’offrande du sang et de la graisse – étant, lui, dorénavant réservé aux seuls prêtres (Ez 44, 10-16). L’immolation est ainsi clairement distinguée de la phase proprement sacrificielle. Elle n’est que le point d’aboutissement de la première phase, la phase préparatoire du sacrifice. Après que le sacrifiant a exprimé, par la présentation de sa victime, son intention de l’offrir à Dieu, qu’il a, par l’imposition de la main, signifié sa volonté d’y renoncer au bénéfice de Dieu, il donne à cette renonciation un caractère définitif en tuant l’animal qu’il se propose de lui offrir. La phase positive du don, celle de la transmission à Dieu, n’intervient qu’après et relève exclusivement des prêtres.

18
On ne saurait donc, à l’instar des interprétations traditionnelles du sacrifice, et de René Girard [4]
[4]Notamment R. Girard, La violence et le sacré (Paris, Grasset,…
, faire de l’abattage de la victime le rite sacrificiel central et donc, de la violence, sa caractéristique principale. Sans doute, le sacrifice animal comporte une part de violence puisqu’il présuppose la mise à mort de la victime, ce qui n’est pas un acte banal, car il touche à la vie, et donc à ce qui appartient à Dieu. Mais cette mise à mort n’est pas valorisée en tant que telle. Elle est seulement une incontournable nécessité, légitimée par Dieu (Gn 9, 1-5), afin de pouvoir apprêter l’animal pour un repas. Elle est uniquement un moyen, et non le but du sacrifice. Elle ne saurait donc être considérée comme représentant l’essence du sacrifice. Il est tout à fait significatif à cet égard que l’abattage de la victime est, parmi les rites principaux, le seul auquel le Lévitique n’attribue aucun effet particulier : il n’est pas mis en relation avec l’absolution, il ne suscite pas non plus la faveur divine, et il ne constitue pas davantage un parfum reposant pour Dieu. Faire de la violence le centre du sacrifice n’est possible, au demeurant, qu’en ignorant les offrandes végétales. Or, celles-ci sont loin de n’être qu’un simple appendice du sacrifice animal ou un modeste succédané. Leur importance est démontrée notamment par les deux observations suivantes : Alors que l’holocauste et le sacrifice de communion sont obligatoirement associés à une offrande végétale et à une libation (voir Nb 15, 1-16), l’offrande végétale peut, elle, être offerte seule, indépendamment de tout autre sacrifice ; et tandis que l’offrande quotidienne du peuple consiste en un holocauste accompagné d’une offrande de farine et d’huile et d’une libation de vin (Nb 28, 3-Cool, celle des prêtres, présentée par le grand prêtre en personne, consiste en une offrande exclusivement végétale (Lv 6, 13-15). La place éminente que le Lévitique attribue aux offrandes végétales s’explique largement par le fait que, justement, ces offrandes n’impliquent aucune violence, mais que, tout au contraire, elles reflètent l’ordre de la création caractérisé par la non-violence et le respect de la vie qui trouvent leur traduction dans l’utopie d’une alimentation exclusivement végétale de l’ensemble des êtres vivants (Gn 1, 29-30) [5]
[5]Sur les offrandes végétales, voir A. Marx, Les offrandes…
.

19
La seconde remarque porte sur le rôle du sang. Parmi les autres idées reçues figure l’idée que le rite du sang représenterait l’offrande d’une vie, celle de l’animal ou même, selon une des interprétations chrétiennes traditionnelles, celle du sacrifiant qui infligerait substitutivement à cette victime le châtiment qu’il aurait dû lui-même subir à cause de ses péchés. Le sang, surtout dans le cas d’un sacrifice pour « le péché » [6]
[6]La désignation « sacrifice pour le péché » n’est pas très…
, servirait ainsi à expier les péchés. Cette interprétation s’appuie notamment sur Lv 17, 11 : « Car la vie de toute chair est dans le sang, et moi je vous l’ai donné sur l’autel pour faire l’absolution, kappér, de votre vie, car le sang, par la vie, réalise l’absolution. » Or, si ce passage, comme le fait d’ailleurs déjà Gn 9, 4, associe effectivement sang et vie, il est à noter qu’il n’y est pas question d’offrir une vie à Dieu. Le verbe « donner » a pour sujet Dieu, non le sacrifiant ! Le sang n’est pas offert par le sacrifiant à Dieu, il est donné par Dieu au sacrifiant, cela en vue de lui permettre de se réconcilier avec lui. Sa fonction est, en somme, analogue à celle du sang pascal mis sur les montants et les linteaux de la porte, et qui sert de signe, non d’offrande, pour protéger de la mort ceux qui se trouvent à l’intérieur de la maison (Ex 12, 7.12-13). Le sang du sacrifice pour le « péché » est, de même, destiné à faire pièce à tout ce qui est facteur de mort et qui entrave la relation avec Dieu. Pour ce qui est des holocaustes et des sacrifices de communion, le sang n’est pas davantage offert à Dieu. Il est aspergé contre l’autel, et non sur l’autel. La fonction de ce rite est de le soustraire à tout usage profane, mais aussi, en le mettant en contact avec l’autel, lieu de la communication avec Dieu, de manifester que la vie de l’animal, contenue dans le sang, appartient à Dieu, et à lui seul. En fait, le rite du sang, même s’il appartient à la phase proprement sacrificielle du rituel, n’est lui-même qu’un préalable au rite de la combustion qui, lui, en est le point d’aboutissement.

20
Il faut donc « en finir avec l’“expiation” » [7]
[7]Voir S. Trigano, « Le bouc émissaire. En finir avec…
. Celui qui invite à sa table veut honorer son hôte, partager avec lui sa joie, et non pas apaiser sa colère, et encore moins faire de ce repas un châtiment qu’il s’imposerait ! Ce repas n’est pas davantage un moyen de pression. Il est significatif à cet égard que le sacrifice offert lors du déluge (Gn 8, 20-22) l’est par un homme considéré comme juste (et qui n’a donc pas besoin que Dieu lui pardonne), et qu’il l’est, non pas avant le déluge, dans le but de détourner Dieu de son projet, mais seulement après, une fois le péché sanctionné, en vue de rétablir la relation avec lui. Le sacrifice présuppose des relations harmonieuses avec Dieu. Car la finalité du sacrifice, qu’il soit animal ou végétal, est toujours l’instauration ou plutôt le renforcement de relations sereines avec Dieu, ce qu’exprime la combustion de la matière sacrificielle sur l’autel en un parfum reposant.

21
Un texte capital, qui peut être véritablement considéré comme le récit étiologique du sacrifice israélite, vient confirmer les observations faites sur la base des désignations du sacrifice et de l’examen du rituel. Il s’agit d’un passage du livre de l’Exode situé aussitôt après la proclamation solennelle du décalogue. S’adressant à Israël par l’intermédiaire de Moïse, Dieu lui donne une série d’instructions portant sur le sacrifice (Ex 20, 23-26) :

22

« Vous ne ferez pas à côté de moi des dieux d’argent et des dieux d’or.
Un autel de terre tu feras pour moi et tu sacrifieras sur lui tes holocaustes et tes sacrifices d’alliance, ton menu bétail et ton gros bétail.
Dans tout lieu où je ferai souvenir mon nom, je viendrai vers toi et je te bénirai.
Si tu fais pour moi un autel de pierre, tu ne le construiras pas en pierres taillées car ton ciseau que tu agiterais sur elles le profanerait.
Et tu ne monteras pas par des marches sur mon autel, afin que ta nudité ne soit pas révélée sur lui »

23
À première vue, ce passage semble se réduire à un fourre-tout de prescriptions relatives à la construction d’un autel, entremêlées d’informations sur la matière sacrificielle, les types de sacrifices et d’interdits divers. Or, un curieux procédé cryptographique conduit à considérer ce texte avec plus d’attention. En effet, si on s’applique à son étude – en hébreu ! – et que l’on fasse le décompte du nombre de mots du texte, on s’aperçoit que le total obtenu – cinquante-sept – correspond très exactement à la valeur numérique – autrement dit, à l’addition de la valeur de chaque consonne – du substantif mizbéach, autel. Le texte est donc loin d’être banal et mérite que l’on s’y arrête. En l’étudiant attentivement, on se rend aussi compte que l’impression d’incohérence qui s’en dégage n’est que superficielle. Car, en réalité, le texte est construit avec un soin tout particulier. On constate, en effet, que ses différentes prescriptions sont agencées deux par deux selon une structure concentrique, de manière à se correspondre. Aux deux extrémités, en deux vers de deux hémistiches de cinq mots chacun, sont énoncés des interdits : l’interdiction de fabriquer des images cultuelles et l’interdiction de faire des marches sur l’autel. Puis, au deuxième et à l’avant-dernier vers, de quatorze mots chacun, on trouve des instructions relatives à la nature de l’autel : il doit être construit en terre ou en pierres brutes. Enfin, exactement au centre du texte, encadré par cette double série de vers et ainsi mis en valeur, le verset qui en constitue le cœur. Ce verset se distingue à la fois par sa forme et par son contenu. Rédigé à la première personne, et non plus à la troisième, il se présente, non sous la forme d’un règlement, mais comme une promesse que Dieu fait à Israël. Une promesse double : chaque fois qu’Israël offre un sacrifice à Dieu, Dieu viendra vers lui, et il le bénira. Cette promesse récapitule toutes les attentes liées au sacrifice.

24
La première est la venue de Dieu auprès du sacrifiant. Comme le montre la comparaison avec Ex 19, 3-4, où l’annonce de la venue de Dieu au Sinaï est introduite dans les mêmes termes qu’en Ex 20, 22, la référence à la venue de Dieu est à comprendre littéralement. Dieu vient, cela signifie qu’il « descend » sur terre pour se rapprocher de son peuple, et même pour être présent en son sein (Ex 29, 46). Mais à la différence de la théophanie du Sinaï, qui est spectaculaire et terrifiante, accompagnée de coups de tonnerre, d’éclairs, de tremblements de terre (Ex 19, 16. 18-19 ; 20, 18-19), la venue de Dieu à l’occasion d’un sacrifice se fait de manière discrète, invisible. Et elle intervient chaque fois qu’Israël lui offre des sacrifices. Pour reprendre une image de l’exégète Benno Jacob, l’autel est un « Sinaï mobile » [8]
[8]B. Jacob, Das Buch Exodus (Stuttgart, 1997), p. 1032 (à propos…
. Ou, comme le dit le psaume 68, 18, « le Seigneur est parmi eux, et le Sinaï est dans le sanctuaire ». L’autel représente le Sinaï, un Sinaï en quelque sorte reconstitué par Israël, et qui, parce qu’il en est comme un modèle réduit, doit, à l’instar d’une montagne, être fait de terre ou de pierres brutes.

25
Ce que le sacrifiant attend plus précisément de cette venue est exprimé par le second élément de la promesse : la bénédiction. Tout notre texte est tendu vers cette promesse. Si on se le représente, à la manière du Sinaï, sous la forme d’un cône, on trouve à sa base des interdits, puis, au milieu, des instructions, et au sommet, une promesse. Et, tout au sommet, à la pointe, cette promesse formulée en un seul mot : béraktika, je te bénirai. La principale fonction du culte sacrificiel se concentre dans ce seul verbe « bénir ». Ce « bénir » rejoint la toute première parole que Dieu, au moment où il les a créés, a adressée aux êtres humains, à tous les êtres humains, sans distinction de sexe, de « race » – un terme, au demeurant, jamais utilisé dans la Bible –, de peuple et même de religion : « fructifiez, devenez nombreux et remplissez la terre » (Gn 1, 28) et qu’il va réitérer à l’issue du déluge (Gn 9, 1). Car « bénir », ce n’est pas simplement formuler un vague souhait de bonheur. L’enjeu de la bénédiction, c’est la vie, au plein sens du terme. La vie physique et ce qui lui est nécessaire, la nourriture, et donc aussi tout ce qui est indispensable à la production de cette nourriture, la fertilité du sol, la pluie en son temps, la fécondité du troupeau, l’absence de fléaux. Mais aussi tout ce que l’hébreu désigne par le terme shalôm, à savoir la paix, la sécurité, la prospérité, le bien-être. Le sacrifice, constitué des produits représentatifs de l’agriculture et de l’élevage apprêtés en un succulent repas, est comme une illustration de cette bénédiction. Il est l’expression même de la bénédiction divine grâce à laquelle ces produits ont pu être obtenus. Offert à Dieu, en réponse à sa bénédiction, il suscite, en retour, la bénédiction divine et réalise ainsi ce qu’il représente.

26
Une image empruntée au livre d’Ezéchiel résume parfaitement les attentes qu’Israël rattache au sacrifice. Au cours d’une vision, le prophète Ezéchiel voit s’écouler du Temple un mince filet d’eau qui grossit très rapidement jusqu’à devenir un torrent infranchissable. Et l’ange qui accompagne Ezéchiel lui explique : « Cette eau s’en va vers le district oriental, descend vers la Arava et coule vers la mer… Et tout être vivant qui y pullule vivra là où passe ce fleuve et le poisson sera très nombreux… Au bord du fleuve, sur ses deux rives, pousseront toutes sortes d’arbres fruitiers ; leur feuillage ne se flétrira pas, leurs fruits ne s’épuiseront pas. Ils donneront chaque mois de nouveaux fruits, car l’eau sort du sanctuaire : les fruits serviront de nourriture, et le feuillage, de remède » (Ez 47, 1-12). Par l’effet de cette eau qui sort du Temple, la terre est transformée en jardin d’Éden. Le sacrifice a, en définitive, pour fonction de permettre que cette vie continue à s’en écouler en faisant obstacle à tout ce qui l’entrave et en s’efforçant de faire en sorte que Dieu reste présent au milieu de son peuple.

27
Car, au fond, pour la Bible, le sacrifice est essentiellement l’expression d’un intense élan vers Dieu et d’une profonde aspiration à vivre dans sa proximité.
Notes

[1]
Sur le sacrifice, voir notamment N. Neusch (éd.), Le sacrifice dans les religions (Paris, Beauchesne, 1994). Pour le sacrifice dans la Bible, voir Dictionnaire encyclopédique du Judaïsme (Paris, Robert Laffont, 1996), art. « Sacrifices et offrandes » ou encore A. Marx, Les sacrifices de l’Ancien Testament (Cahiers Évangile 111 ; Paris, Cerf, 2000). Pour une étude plus technique, qui intègre les commentaires rabbiniques, voir le monumental commentaire de J. Milgrom, Leviticus 1-16 (The Anchor Bible 3 ; New York, Doubleday, 1991).
[2]
Pour ce sens de zèbach, voir aussi, par ex., Dt 12, 15 ; Ez 34, 3.
[3]
Ainsi Dt 18, 9-12 ; Lv 20, 2-5. Voir aussi Mi 6, 6-8.
[4]
Notamment R. Girard, La violence et le sacré (Paris, Grasset, 1981).
[5]
Sur les offrandes végétales, voir A. Marx, Les offrandes végétales dans l’Ancien Testament. Du tribut d’hommage au repas eschatologique (Leiden, Brill, 1994).

[6]
La désignation « sacrifice pour le péché » n’est pas très heureuse, ceci notamment parce qu’elle donne à penser que ces sacrifices sont apportés en vue d’obtenir le pardon des péchés, alors qu’en réalité ils ne permettent d’obtenir ce pardon que dans le cas où il s’agit de transgressions par inadvertance, ou même inconscientes, d’un interdit divin (voir Lv 4-5, 13).
[7]
Voir S. Trigano, « Le bouc émissaire. En finir avec l’“expiation” », in « La Bible et l’Autre », Pardès 32-33, 2002, p. 117-127.
[8]
B. Jacob, Das Buch Exodus (Stuttgart, 1997), p. 1032 (à propos d’Ex 40, 34).



Le sacrifice dans la Torah, dans le nouveau Testament et Le Coran...
Sa fonction théologique
Alfred Marx
Dans Pardès 2005/2 (N° 39), pages 161 à 171

https://www.cairn.info/revue-pardes-2005-2-page-161.htm#

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Mais, À l'origine, le terme de sacrifice s'emploie pour une grande variété d'actes. Habituellement, il est surtout utilisé pour les sacrifices sanglants. Dans le cas d'offrandes de nourriture ou de liquide, on parle de sacrifice non sanglant ou libation, et, dans le cas d'une portion du sol, d'inauguration. Le terme est également passé dans le langage courant pour désigner le fait de détruire ou laisser détruire stratégiquement une partie d'un ensemble en vue d'un objectif global jugé plus important : le sacrifice aux échecs, qui consiste à donner un pion, une pièce ou une qualité pour obtenir l'avantage, sacrifier une escouade afin de gagner notamment une bataille ou une guerre, ou au travail, et aux études. Le sacrifice est une recherche du soi pour se faire pardonner de ses fautes au lieu d’honorer l'entité...

Pour moi, la prière est le plus beau des dons vers l'origine : dans ces termes, je ne cherche pas le repos et je percois la fragilité de ma conscience devant l'adversité des destins... Mon abnégation repose sur le terme et ne cherche pas à interpeller le verbe par des offrandes... Je cherche à développer sans violer sa création : La poussière devenue la nature et malgré ses jalousies et ses erreurs, il a le mérite de percevoir ses doutes et ses erreurs... Dans sa fierté, il a soumis des hommes dans des épreuves comme Abraham, Job et autres mais à su percevoir le bien et le mal créer dans les circonstances... Sa justice a eu le mérite de porter vers une connaissance où nous avions le libre arbitre du savoir : la justice, la sagesse et le châtiment... Construire n'est pas aisé et s'affirmer peut nous détourner de l'humilité...

Je ne cherche à écarter le mystère par la raison car le propre de l'univer est de percevoir un infini auquel le mirage et l'illusion côtoie la réalité et le temps... La terre est un océan peuplée d'iles plus au moins grandes... La poussiére engendre l'eau : étrange sensation des domaines sur la masse... Le sacrifice n'a pas de lieu si il veut modifier le destin car la vie engendre le destin, le chaos pour donner à su engendrer par son désir de vivre : Yahvé n'est pas un sacrifice car il est l'origine de la prière et de l'éthique de Vie...

TIGNARD YANIS @Yanis_Tignard · 12h
JEAN-PIERRE MOCKY REPOSE EN PAIX AVEC SES SENTIMENTS : J'AI EU UNE PENSÉE POUR ALAIN DELON CAR JE CROIS QUE CE RÉALISATEUR ÉTAIT UN GRAND AMI À MADAME MIREILLE DARC. HEUREUSEMENT, LE SICILIEN A ENCORE SON ÉTERNEL RIVAL À SES CÔTÉS : MONSIEUR JEAN PAUL BELMONDO.
TAY

IL Y A TOUJOURS EU LA COOPÉRATION ENTRE LA JUSTICE AMÉRICAINE ET LA JUSTICE FRANÇAISE AU SUJET DE JEFFREY EPSTEIN : C'EST LE DOSSIER JONATHAN. CETTE COOPÉRATION DEVAIT ÊTRE DISCRÈTE ET CONCRÈTE DANS LE DÉROULEMENT DES SOUVENIRS ET DES ÉVÉNEMENTS : LES CICATRICES DES VICTIMES.
TAY

NOMBREUX INCENDIES FRAPPENT LA GRANDE CANARI, LA GRÈCE ET LE PORTUGAL : LA FRANCE A ELLE AUSSI ÉTÉ FRAGILISÉE PAR LA SÉCHERESSE. L'EAU DOIT ÊTRE UN ÉQUILIBRE ET NOUS DEVONS NOUS INVESTIR DANS DES COORDINATIONS ENCORE PLUS ADAPTÉES TOUT EN RESPECTANT L'ABNÉGATION SECOURISTE.
TAY

HARVEY WEISTEIN ET JEFFREY EPSTEIN ONT ÉTÉ GLORIFIÉS ET HONORÉS PAR LEURS PÈRES ET LEURS PROFESSIONS : DANS L'ASPECT DE PRÉSOMPTION D'INNOCENCE, NOUS DEVONS APERCEVOIR QUE SI UNE ORMETA A ÉTÉ RÉVÉLÉE POUR L'UN, LA TRISTE RÉALITÉ EST QU'ELLE A SON ÉQUIVALENCE POUR L'AUTRE.
TAY

J'ENTENDS LES CRIS DE HONG KONG OÙ LE PEUPLE RÉCLAME UNE AUTONOMIE RÉGIONALE POUR SA STRUCTURE. PÉKIN A INDIQUÉ QU'ELLE CONSIDÉRAIT SES ÉTUDIANTS COMME DES TERRORISTES. PÉKIN AURAIT ELLE OUBLIER LE PRINCIPE COMMUNAUTAIRE : ÊTRE DANS LE PARTAGE, C'EST MONTRÉ SA PERSÉVÉRANCE.
TAY

CHER PÉKIN, DANS LE PRINCIPE DU SOULÈVEMENT, L'HISTOIRE DE LA CHINE S'EST CONSTRUITE PAR CEUX QUI ONT REFUSÉ DE SE SOUMETTRE : HONG KONG NE CHERCHE PAS À RENVERSER LA CHINE MAIS SON PEUPLE VEUT ÊTRE RESPECTER DANS SA RESPONSABILITÉ CIVILE ET HISTORIQUE : LE GRAND PACIFIQUE.
TAY

PÉKIN, DES FEMMES DONNENT NAISSANCE À DES ENFANTS QUI NE REÇOIVENT PAS LA CITOYENNETÉ : CAR, ILS SONT CONSIDÉRÉS COMME ILLÉGITIMES CAR ISSUS DE MAÎTRESSES HORS MARIAGE. CELA EST INADMISSIBLE DANS LES PRINCIPES DE LA SOIE ET DE L'ÉTHIQUE : L'ÉDUCATION, LA NATION ET LA LIBERTÉ.
TAY

PÉKIN, PENDANT DE NOMBREUSES ANNÉES, DES OGRES SONT VENUS SE NOURRIR DE JEUNES MINEUR'E'S AU SEIN DES TRIANGLES D'OR : CELA EST AUSSI FUNESTE QUE LA DROGUE. VOLÉ LA CHAIR ET L'ESPRIT POUR ASSOUVIR CES MONSTRES EST UN GRAND PÊCHER AU YEUX DES DRAGONS, DU LOUP ET DE L'ÉCLIPSE.
TAY

DOSSIER JONATHAN EST PLUSIEURS ENQUÊTES DES JUSTICES FRANCO-AMÉRICAINES SUR DES TRAITES DE MINEUR'E'S ET DES ACTIONS JURIDIQUES À MENER AU STADE CONTINENTAL PUIS INTERNATIONAL : COMPLEXE SONT LES DROITS MAIS LES PROCUREURS ONT UNE ÉTHIQUE VERS LES VICTIMES ET LES MORT'E'S.
TAY

J'ENTENDS TES CRIS, HONG KONG ET JE SAIS QUE TU N'ES PAS UNE TERRORISTE : TU ES L'EFFRONTÉE ET JE SAIS QUE TU IRRITES SHANGHAI. TU VEUX GARDER TON VISAGE ET TES ESPOIRS : EN CELA, CE MYSTÈRE FAIT DE TOI, UN SOUFFLE DE L'ÉCLIPSE CAR PÉKIN N'EST PAS LA CHINE : C'EST LE PEUPLE.
TAY

LE DRAGON VOIT LA ROUTE DE LA SOIE ET LA CHOUETTE HULULE : " PENDANT DES SIÈCLES, TU AS ACCUSÉ LE LOUP CÉLESTE DE VOULOIR DÉVORER LA LUNE ET MAINTENANT, TU REPROCHES À CETTE DERNIÈRE DE NE PAS ÊTRE ASSEZ ÉTINCELANTE. TON ORGUEIL OUTRAGE LA FIERTÉ MORALE, ORGUEILLEUSE PÉKIN ".
TAY

LE BIG BANG. L'ÉCUME EST L'ÉVIDENCE OÙ LA MATIÈRE INTERPELLE LA MANIÈRE : LA CHAIR EST DEVENUE L'ESPRIT. BEAUCOUP ME DIRONT : " JE SAIS MAIS AUCUN NE POURRA DIRE POURQUOI " ! DANS MA PHRASE, LE VERBE EST UN ÉCHO OÙ LE VERTIGE INTERPELLE L'ÉQUILIBRE : L'EXISTENCE ET LA NATURE.
TAY

L'ÉVIDENCE INTERPELLE LA NATURE, LE CARACTÈRE VEUT PARLER AU VERBE : ON POINTE L'HORIZON ET ON DÉTERMINE UN BUT OU UN PRÉSAGE. CES PRINCIPES FONCTIONNENT CAR ILS SONT LES FONDEMENTS D'UNE ÉVOLUTION BASÉE. LA SAGESSE EST UN CROIRE ET PHILOSOPHER EST UN SENTIMENT : LA RÉALITÉ.
TAY

LES BUILDINGS SONT LES NOUVEAUX MENHIRS : NOUS SOMMES TOUJOURS DES SOCIÉTÉS ÉTABLIES DANS LA CONSTRUCTION DE MÉGALITHES. CES PHÉNOMÈNES SONT INSPIRÉS DES ANCIENNES CIVILISATIONS INSPIRÉES PAR DES ROCHES TAILLÉES PAR LE TEMPS ET LA NATURE : LA NAISSANCE ET LE TÉMOIGNAGE.
TAY

POUSSIÈRES. CES SENTIMENTS ME POUSSENT À DES GRANDES INTERROGATIONS ET CETTE BAIGNADE DANS LA GARONNE M'A DÉMONTRÉ DES ÉVÉNEMENTS ET DES ACTES DANS MES CAPACITÉS ET DANS MES APTITUDES : LA SAGESSE EST UN CROIRE ET LA PRUDENCE EST UN APPRENTISSAGE.
TAY

LA NATURE EST LA POUSSIÈRE QUI ENGENDRE LES MOUVEMENTS, LES CIRCONSTANCES ET LES CYCLES : NOUS SOMMES ET NOUS FÛMES CAR CE PRINCIPE EST POUR UN NUAGE. CE QUI S'ÉVAPORE, CE REVIVIFIE : CELA EST LE VENT ET, LE VERBE SCIENCE LE TEMPS : L'UNIVERS ET L'INFINI EN LA MATIÈRE.
TAY

LES MÉTAMORPHOSES ONT ENGENDRÉE LA NATURE EN DES ÊTRES. LA POUSSIÈRE EST DEVENUE CHAIR QUI A REÇU CE SOUFFLE DE VIE. TOUT CES ATOMES SONT DES ARÔMES MAIS LA NATURE A CRÉÉ UNE ESSENCE PRÉNOMMÉE L'ÉVOLUTION, L'ESPRIT ET LA CONSCIENCE : CE SENTIMENT QUE JE PRÉNOMME LE MYSTÈRE.
TAY

YAHVÉ EST UNE ÉTINCELLE CAR, DIEU EST CE GRAIN DE SABLE QUI PROVOQUE LES MÉTAMORPHOSES POUSSIÉREUSES : LA NATURE DANS SA SCIENCE A BESOIN DE CE GRAIN DE SABLE. L'ESSENCE ET L'ESPRIT ONT BESOIN DE CET INGRÉDIENT QUI PROVOQUE LA RÉALITÉ ET LE TEMPS : LE MYSTÈRE ET SON ÉNIGME.
TAY

ÉCRIT DE
CITOYEN TIGNARD YANIS,
PN 3286 de la Cour Européenne des droits de l'Homme,
MINISTRE DU SECOURISME COMMUN
DE LA RÉPUBLIQUE D’ISRAËL ET DE LA COMMUNAUTÉ PARLEMENTAIRE DE LA PALESTINE
ALIAS
TAY
La chouette effraie
VERS L’ÉGIDE DE AMANDINE : LES PEUPLES ET L'INFINI.


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