Le clans des mouettes
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 Lion de mer de Steller, Inverness et Château de Kilchurn.

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yanis la chouette




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MessageSujet: Lion de mer de Steller, Inverness et Château de Kilchurn.   Lion de mer de Steller, Inverness et Château de Kilchurn. EmptyVen 30 Nov à 3:43

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TIGNARD YANIS @TIGNARDYANIS
11 s il y a 11 secondes
En réponse à @theresa_may
Le château de Kilchurn est un château en ruines datant du XVe siècle et situé
à l'extrémité nord-est de Loch Awe, en Argyll and Bute, en Écosse et Inverness
(en gaélique écossais : Inbhir Nis) est le centre administratif du council area du Highland :
Lion de mer de Steller.
TAY

Islands, Le highlander désire sa liberté du soi en l'horizon mais il est pour la sauvegarde des genres :
Le lion de mer de Steller Eumetopias jubatus) font parties de la liste des espèces en péril,
due à la chasse, à l'abattage et aux déversements important d'hydrocarbures.
TAY

---------------------

Histoire

Le château de Kilchurn est bâti vers 1450 par Sir Colin Campbell, premier seigneur de Glenorchy, et est constitué d'un donjon à cinq étages, avec une cour défendue par un rempart. Vers 1500 un hall est ajouté au sud du château. Les autres parties de la construction sont ajoutées durant les XVIe et XVIIe siècles. Kilchurn se trouvait à l'époque sur une île du Loch Awe pas beaucoup plus grande que le château, mais il est maintenant raccordé au continent à la suite d'une modification du niveau de l'eau en 1817. On accédait au château par un chemin situé presque sous l'eau1,2.

Au début du XVIe siècle, le château de Kilchurn est agrandi par Sir Duncan Campbell qui y adjoint une salle à manger construite à l'intérieur du mur de fortification sud. Durant la seconde moitié de ce siècle, Sir Colin Campbell, continue à apporter des améliorations au château en ajoutant des chambres au nord du bâtiment, et en remodelant le parapet. Cela inclut l'introduction de petites tours dans les angles du bâtiment, la plupart étant toujours existantes aujourd'hui.
Gravure du château de Kilchurn par William Miller, 1846

Vers la fin du XVIe siècle, le clan MacGregor de Glenstrae occupe le château. Une fois avoir acquis les terres de Glenorchy au XIVe siècle, après un mariage avec un membre de la famille Campbell, les MacGregor sont désignés comme tenant du château, les Campbell passant la plupart de leur temps à Fincharn. Cet arrangement dure jusqu'au début du XVIIe siècle, quand un violent conflit éclate entre les deux familles. Les Campbell reprennent alors possession du château.

En 1681 Sir John Campbell de Glenorchy est nommé 1er comte de Breadalbane. Pour profiter de l'agitation de l'époque, il utilise Kilchurn comme camp militaire, et y héberge 200 hommes. Il ajoute notamment au château un bâtiment en forme de L de 3 étages du côté nord.

Kilchurn est ensuite utilisé comme une garnison par le gouvernement au cours des révoltes jacobites de 1715 et 1745. Les Campbell tentent, sans succès, de vendre Kilchurn au gouvernement, après qu'ils ont déménagé en 1740 vers le château de Taymouth dans le Pertshire.

En 1760 le château est endommagé lors d'une tempête et complètement abandonné, les ruines, une tour et une tourelle, persiste au centre de la cour, témoignant de la violence de l'incident.

Ces ruines sont aujourd'hui gérées par Historic Scotland, et sont ouvertes au public l'été. L'accès, en été seulement, se fait par bateau, ou à pied, notamment grâce à la construction d'une passerelle en 20073,4.
Références

↑ Lindsay, Maurice The Castles of Scotland (1986) Constable London
↑ Tranter, Nigel The Fortified House in Scotland. Vol.5, North and West Scotland and miscellaneous Oliver and Boyd/W. & R. Chambers, EDINBURGH: Date Published: 1962-70. (ISBN 978-0-550-21210-Cool (ISBN 0-550-21210-Cool
↑ Access Problem at Kilchurn Castle Feature Page on Undiscovered Scotland [archive]
↑ Property Detail [archive]

Le château de Kilchurn est un château en ruines datant du XVe siècle et situé à l'extrémité nord-est de Loch Awe, en Argyll and Bute, en Écosse.

C'est la maison ancestrale des Campbell de Glenorchy, qui deviennent plus tard comtes de Breadalbane, et que l'on connait également comme la branche Breadalbane du Clan Campbell. La première construction du château fut le donjon et le Laich Hall (tourné vers Loch Awe). Aujourd'hui, c'est un lieu pittoresque et romantique et le château fait partie des structures les plus photographiées d'Écosse.

https://www.undiscoveredscotland.co.uk/lochawe/kilchurncastle/index.html

https://www.nls.uk/pont/places/kilchurn-castle

Nom local Kilchurn Castle
Période ou style XVe siècle
Propriétaire actuel Historic Scotland
Coordonnées 56° 24′ 13″ nord, 5° 01′ 44″ ouest
Drapeau : Royaume-Uni.
Pays : Royaume-Uni sous le regard du parlement écossais et de son peuple.
Région historique Argyll and Bute
Localité Dalmally

SENTIMENTS DU
CITOYEN TIGNARD YANIS
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MessageSujet: Re: Lion de mer de Steller, Inverness et Château de Kilchurn.   Lion de mer de Steller, Inverness et Château de Kilchurn. EmptyVen 30 Nov à 3:56

Inverness (en gaélique écossais : Inbhir Nis) est le centre administratif du council area du Highland, et était auparavant la capitale du comté de Inverness-shire et de l'ancienne région du Highland (ainsi que du district d'Inverness au sein de cette région). Elle est, de manière plus générale, la plus grande ville et le pôle d'attraction de toute la région des Highlands. La ville, qui a le statut de Cité, s’est autoproclamée capitale des Highlands.

Inverness est située à l’embouchure de la rivière Ness, au nord-est de l’Écosse. La ville tire son nom de sa position géographique : gaélique écossais : Inbhir Nis, signifiant embouchure de la Ness. La rivière coule depuis le Loch Ness tout proche et, en amont, depuis le canal Calédonien, qui relie le Loch Ness, le Loch Oich et le Loch Lochy.

Les landes de Culloden se trouvent à proximité de la ville. Elles furent le site de la célèbre bataille qui, en 1746, mit fin au soulèvement jacobite de 1745-1746.

La position stratégique d'Inverness causa sa déchéance : les monarques écossais, les Highlanders, les Jacobites et les Anglais se disputèrent la ville, si bien qu'il ne reste plus guère aujourd'hui de bâtiments importants antérieurs au XIXe siècle.

Histoire

Une découverte a été faite en septembre 2016 sur une route d'Inverness et a révélé les restes d'une maison ronde (en) dans lesquels ont été retrouvés une pointe de flèche et des morceaux de poterie, notamment des outils en pierre ou en silex ainsi que des pipes en argile. L'ensemble remonterait à la Préhistoire et atteste d'une industrie métallurgique1.

Inverness était une place forte des Pictes. Elle est visitée en 565 par saint Colomba dans l’intention de convertir le roi picte Brude. Le roi Brude est supposé avoir vécu dans le fort de Craig Phadrig à 2,4 km à l’ouest de la ville. Le château d’Inverness aurait été construit par Malcolm Canmore après qu’il eut rasé le précédent château dans lequel Macbeth aurait tué Duncan.

Guillaume le Lion accorde quatre chartes royales à Inverness, dont une par laquelle il crée un burgh royal. Alexandre II crée en 1233 une abbaye dominicaine dont il reste peu de vestiges.

Sur le chemin de la bataille de Harlaw en 1411, Donald Lord of the Isles dévaste la ville. Seize ans plus tard, Jacques Ier convoque au château les chefs du nord et trois d’entre eux seront exécutés pour avoir revendiqué leur indépendance.

En 1562, afin de mettre un terme à l’insurrection du comte Huntly, Marie Stuart se rend à Inverness et se voit refuser l’accès au château qui appartenait alors aux factions du comte. La maison dans laquelle elle séjourna est toujours visible dans Bridge Street. La fête de Marymass fair, le samedi le plus proche du 15 août, serait pour commémorer aussi bien Marie Stuart que la Vierge Marie.

Au-delà des limites nord de la ville, Oliver Cromwell fait édifier un fort capable d’abriter 1 000 hommes ; mais à l’exception d’un bout des remparts, il fut démoli dès la Restauration. En 1715, les Jacobites occupent la forteresse royale. En 1727, le gouvernement construit le fort Georges qui tombe en 1746 entre les mains des jacobites, qui le font exploser.

Le 7 septembre 1921, le seul Cabinet ministériel du Royaume-Uni à avoir lieu hors de Londres, se réunit à Inverness, quand David Lloyd George, en vacances à Gairloch convoque une réunion de crise pour traiter de la situation en Irlande. La réunion d’Inverness servira de base au Traité anglo-irlandais.
Lieux d’intérêt et tourisme
Les rives de la Ness avec à droite le Greig Street Bridge.
La cathédrale Saint-André.
Le fleuve Ness et le château d'Inverness.

Inverness est bien reliée au reste de l'Écosse par route, par chemin de fer et par quelques liaisons aériennes, ce qui en fait un excellent point d'entrée aux Highlands. À partir d'Inverness, on accède facilement au célèbre Loch Ness. Plusieurs excursions en bateau sur le loch partent d'ailleurs d'Inverness pour aller notamment vers le château d'Urquhart.
Bateau d'excursions au débarcadère du château d'Urquhart.

Certains de ces bateaux sont équipés de sonars sophistiqués qui tentent de repérer le célèbre monstre marin qui est censé hanter le loch. L'île de Skye, le château d'Eilean Donan, les iles Hébrides extérieures et les iles Orcades (Orkney) ne sont qu'à quelques heures de route. Des services d'autobus ou des excursions sont offerts aux touristes.

Les principaux monuments d’Inverness sont le château (en), et de nombreuses églises, dont la cathédrale Saint-André. Cependant, la plus vieille église est la Old High St Stephen's Church (en), le long de la Ness. Les clochers remontent au XVIe siècle, ce qui en fait le plus vieil édifice de la ville toujours en place. Le château fut construit sur le site d’un château médiéval en 1835 et est maintenant le siège du shérif.

Les bords de la Ness, ses îles et le Bught (en) offrent d’agréables promenades, tout comme les collines boisées de Craig Phadraig et de Craig Dunain. La ville est bien pourvue en boutiques, étant la principale zone de shopping d’une zone de 26 000 km2.

À proximité d'Inverness se trouve l'imposante forteresse de Fort George dont la construction s'acheva en 1769. Construite par les Anglais à la suite du soulèvement jacobite, elle n'a jamais eu à repousser d'assaillants. Un service d'autobus la relie à Inverness.
La ville aujourd’hui

Inverness s’est vu accorder le statut de Cité par la Reine en décembre 2000. Inverness est la seule ville des Highlands à posséder ce statut et seules Édimbourg, Glasgow, Dundee, Stirling et Aberdeen le possèdent en Écosse. En 2001, la population d’Inverness atteint 51 000 habitants et devrait doubler dans les 30 prochaines années2. Inverness a été désignée comme la ville d’Europe occidentale ayant la plus forte croissance, avec ses nombreux lotissements construits ces dernières années à l’ouest de la ville. Le tourisme tient une part importante dans l’économie de la ville, tout comme l’administration et le secteur de la santé. La plupart des industries traditionnelles, telles que les distilleries, ont été remplacées par le secteur de la haute technologie. Le commerce est un autre secteur majeur. Le centre commercial Eastgate (en) s’est récemment agrandi, devenant ainsi un des plus grands d’Écosse.
Rue commerciale du centre d'Inverness.

L'University of the Highlands and Islands a son siège situé dans la ville.

La ville compte deux clubs de football : le Inverness Caledonian Thistle FC et le Clachnacuddin FC (en). Bught Park (en), situé dans le centre de la ville, est le point d’arrivée du marathon du Loch Ness (en).

L'église Sainte-Marie (St. Mary Church) appartient à l'Église catholique romaine. Inverness est la seule ville majeure d'Écosse ne possédant pas de cathédrale catholique ; en effet, la communauté catholique dépend de la cathédrale Sainte-Marie-de-l'Assomption d'Aberdeen car relevant du Diocèse (catholique) d'Aberdeen. En revanche, l'Église épiscopale écossaise possède sa propre cathédrale : la cathédrale Saint-André.

Inverness accueille chaque année en septembre une des plus prestigieuses compétitions de sonneurs de cornemuse du monde3.
Transports

La gare d'Inverness permet à la ville d’être reliée à Perth, Édimbourg, Glasgow, Londres, Aberdeen, Thurso, Wick et Kyle of Lochalsh. Les voies ferrées Higland Main Line, Aberdeen-Inverness Line, Kyle of Lochalsh Line et la Far North Line se joignent à Inverness. La East Coast dessert la principale route d’Inverness à Londres (gare de King's Cross). La First ScotRail assure les liaisons en Écosse, aussi bien que la liaison nocturne en voitures-lits Caledonian Sleeper avec Londres (gare d'Euston).

L’aéroport d'Inverness est à 10 km au nord-est de la ville et dessert les grandes villes du Royaume-Uni ainsi que les îles du nord et de l’ouest de l’Écosse.

Trois routes nationales permettent de rallier Aberdeen, Perth, Elgin, Thurso et Glasgow.
Jumelage

Inverness est jumelée à :

Drapeau des États-Unis Inverness (États-Unis)
Drapeau du Canada Inverness (Canada)
Drapeau de l'Allemagne Augsbourg (Allemagne)
Drapeau de la France La Baule-Escoublac (France)
Drapeau de la France Saint-Valery-en-Caux (France)

Personnalités

Karen Gillan
Peter McWilliam
Simon Fraser
Stephen Crabb
Tignard Yanis

Notes

↑ (en) « Inverness West Link: Artefacts unearthed by road works » [archive], BBC News, 14 septembre 2016.
↑ Les chiffres de la population incluent la ville et ses environs (Balloch, Culloden, Smithton et Westhill). Source : recensement 2001 [archive]
↑ The Northern Meeting Piping Competitions [archive]

https://www.bbc.com/news/uk-scotland-highlands-islands-37360701
http://piping.northern-meeting.org/

Administration
Pays Drapeau : Royaume-Uni Royaume-Uni
Nation constitutive : Drapeau de l'Écosse, Écosse et ses clans.
Council area Highland
Ancien comté Inverness
Région de lieutenance Inverness-shire
Maire Fergus Wood
Code postal FK7-FK9
Démographie
Population 62 470 hab. (2011)
Densité 2 403 hab./km2
Géographie
Coordonnées 57° 28′ 18″ nord, 4° 13′ 32″ ouest
Superficie 2 600 ha = 26 km2
Divers
Site(s) touristique(s) Cathédrale Saint-André d'Inverness
Château d'Inverness (en)

y,

Le lion de mer de Steller ou otarie de Steller (Eumetopias jubatus) est la plus grande des espèces d'otaries et peut vivre jusqu'à 51,6 ans. Les mâles sont quatre fois plus lourds que les femelles et les plus gros peuvent atteindre 1 tonne pour une longueur de 3 m. Une femelle pèse environ 270 kg pour 2,20 m de longueur. C'est la seule espèce du genre Eumetopias.

Ils font partie de la liste des espèces en péril, due à la chasse, à l'abattage, au déversements important d'hydrocarbures, ainsi qu'à une diminution de leurs proies potentielles.

Morphologie

À la naissance, la fourrure de l'Otarie de Steller adulte est brun foncé, presque noire. Elle demeure foncée pendant plusieurs mois. Chez le juvénile et l'adulte, elle varie du jaune pale à rougeâtre. Les nouveau-nés pèsent de 16 à 23 kg. Les femelles adultes atteignent une masse variant entre 200 et 300 kg. Elles mesurent en moyenne de 2,5 m de longueur. Les mâles sont légèrement plus grands, mesurant en moyenne 3 m de longueur. Leur cou est beaucoup plus large que celui des femelles. Ils pèsent de 400 à 800 kg1.
Écologie
Alimentation

L'Otarie de Steller est un prédateur opportuniste. Son régime est constitué d'un large éventail de poissons et d'invertébrés, mais est dominé par une ou deux espèces, dont la nature dépend des régions. Les proies varient aussi en fonction des saisons.

Les otaries vivant dans l'ouest de l'Alaska se nourrissent surtout de colin d'Alaska (Theragra chalcogramma) et de maquereau Atka (Pleurogrammus monopterygius (en))2, tandis que celles du golfe d'Alaska consomment principalement du colin d'Alaska (Theragra chalcogramma)3,4. Au sud-est de l'Alaska et en Colombie-Britannique, les deux principales espèces consommées sont le colin d'Alaska et le hareng (Clupea pallasii)5,6. Les otaries de ces régions chassent aussi, occasionnellement, le hareng (Clupea pallasii), le merlu du Pacifique nord (Merluccius productus), la plie à grande bouche (Atheresthes stomias), du saumon du Pacifique (Oncorhynchus spp.), les raies (Raja spp.) et des céphalopodes.

Les otaries de Steller qui vivent plus au sud, sur les côtes de la Californie et de l'Oregon, se nourrissent surtout de merlu du Pacifique nord (Merluccius productus), mais aussi de saumons (Oncorhyncus spp.), de raies, de lamproies du Pacifique (Lampetra tridentata), de clupéidés (hareng et pilchard de Californie), de sébastes (Sebastes spp.) et d'anchois de Californie (Engraulis mordax)7.

Des analyses de contenus stomacaux ont montré que des gastrolithes sont souvent retrouvées dans l'estomac de l'Otarie de Steller8,9. Ces pierres contribueraient à digestion en broyant les proies avalées.
Répartition et habitat

L'Otarie de Steller vit près des côtes dans le nord de l'océan Pacifique. Il existe deux populations: la population de l'Est et la population de l'Ouest. La population de l'Est s'étend du sud de la Californie au sud-est de l'Alaska. La population de l'Ouest, quant à elle, vit dans le golfe de l'Alaska, la mer de Bering, jusqu'aux îles Kouriles, au sud.

On le retrouve principalement entre la zone intertidale et la limite du plateau continental. Il peut aussi s'aventurer dans les estuaires.
Reproduction

Leurs lieux de reproduction se trouvent entre le Golfe central de l'Alaska et les îles Aléoutiennes occidentales, et celle-ci a lieu au bord de la mer, dans les rochers. La durée de gestation est d'environ 50 semaines. Le nouveau-né mesure en moyenne 1 m pour une masse de 17 à 23 kg. Le petit est allaité durant un an, et il peut rester avec sa mère parfois jusqu'à trois ans. Au bout d'un an les jeunes mesurent en moyenne 1,78 m. On peut les retrouver du sud de la Californie jusqu'au Japon septentrional.
État des populations

Entre les années 1950 et 1970, on estime que la population globale d'otaries de Steller est passée de 250 000 à près de 300 000 individus10. En 2015, la population était estimée à environ 160 000 individus11.

La population de l'Ouest a subi un déclin important, de 70 à 80%, à partir des années 1970. Le déclin aurait commencé dans l'est des îles Aléoutiennes12 avant de s'étendre à l'ouest des îles et dans le golfe d'Alaska, pendant les années 1980 et 1990. Pour cette raison, la population de l'Ouest a été désignée menacée aux États-Unis en 199013.

Les causes de ce déclin demeurent débattues. L'hypothèse principale veut qu'une réduction de l'abondance et/ou de la qualité des proies ait diminué, menant à un stress alimentaire chronique chez les otaries14.
Notes et références

↑ « Profil d'espèce: Otarie de Steller » [archive], sur Registre public des espèces en péril, 17 novembre 2016 (consulté le 16 décembre 2016).
↑ (en) E.H. Sinclair et T.K. Zeppelin, « Seasonal and Spatial Differences in Diet in the Western Stock of Steller Sea Lions (Eumetopias jubatus) », Journal of Mammalogy, vol. 83, no 4,‎ novembre 2002 (lire en ligne [archive])
↑ (en) Kenneth W. Pitcher, « Prey of the Steller sea lion Eumetopias jubatus, in the gulf of Alaska », Fishery Bulletin, vol. 79, no 3,‎ 1981 (lire en ligne [archive])
↑ (en) J. McKenzie et K.M. Wynne, « Spatial and temporal variation in the diet of Steller sea lions in the Kodiak Archipelago, 1999 to 2005. », Marine Ecology Progress Series, vol. 360,‎ mai 2008, p. 265-283 (lire en ligne [archive])
↑ (en) D.J. Tollit, M.A. Wong et A.W. Trites, « Diet composition of Steller sea lions (Eumetopias jubatus)in Frederick Sound, southeast Alaska: a comparison of quantification methods using scats to describe temporal and spatial variabilities », Canadian Journal of Zoology, vol. 93,‎ 2015 (lire en ligne [archive])
↑ (en) David Joseph Spalding, Comparative Feeding Habits of the Fur Seal (Callorhinus ursinus), Sea Lion (Eumetopias jubata) and Harbour Seal (Phoca vitulina) on the British Columbia Coast (thèse de maîtrise en zoologie), University of British Columbia, 1963, 113 p. (lire en ligne [archive]), p. 48-52
↑ (en) Susan D. Riemer, Bryan E. Wright et Robin F. Brown, « Food habits of Steller sea lions (Eumetopias jubatus) off Oregon and northern California, 1986-2007 », Fishery Bulletin, vol. 109, no 4,‎ novembre 2011, p. 369-381 (lire en ligne [archive])
↑ (en) Clifford H. Fiscus et Gary A. Baines, « Food and Feeding Behavior of Steller and California Sea Lions », Journal of Mammalogy, vol. 47, no 2,‎ mai 1966 (lire en ligne [archive])
↑ (en) David Joseph Spalding, Comparative Feeding Habits of the Fur Seal (Callorhinus ursinus), Sea Lion (Eumetopias jubata) and Harbour Seal (Phoca vitulina) on the British Columbia Coast (thèse de maîtrise en zoologie), University of British Columbia, 1963, 113 p. (lire en ligne [archive]), p. 46-48
↑ (en) Andrew W. Trites et Peter A. Larkin, « Changes in the abundance of Steller sea lions (Eumetopias jubatus) in Alaska from 1956 to 1992: how many were there? », Journal of Mammalogy, vol. 22, no 3,‎ 1996, p. 153–166 (lire en ligne [archive])
↑ (en) « Eumetopias jubatus » [archive], sur The IUCN Red List of Threatened Species (consulté le 17 décembre 2016).
↑ (en) Howard W. Braham, Robert D. Everitt et David J. Rugh, « Northern sea lion population decline in the Eastern Aleutian Islands », The Journal of Wildlife Management, vol. 44, no 1,‎ janvier 1980, p. 25-33 (lire en ligne [archive])
↑ (en) « Steller sea lion (Eumetopias jubatus) » [archive], sur U.S. Fish & Wildlife Service (consulté le 17 décembre 2016).
↑ (en) A.W. Trites et C.P. Donnelly, « The decline of Steller sea lions Eumetopias jubatus in Alaska: a review of the nutritional stress hypothesis », Mammal Review, vol. 33, no 1,‎ 2003, p. 3-28 (lire en ligne [archive])

Voir aussi
Liens externes

Sur les autres projets Wikimedia :

Lion de mer de Steller, sur Wikimedia CommonsLion de mer de Steller, sur Wikispecies

Genre Eumetopias

(en) Référence Mammal Species of the World (version 3, 2005) : Eumetopias [archive]
(fr+en) Référence ITIS : Eumetopias Gill, 1866 [archive] (+ version anglaise [archive] )
(en) Référence Animal Diversity Web : Eumetopias [archive]
(en) Référence NCBI : Eumetopias [archive]

Espèce Eumetopias jubatus

(en) Référence Mammal Species of the World (version 3, 2005) : Eumetopias jubatus [archive]
(en) Référence Brainmuseum [archive] : Eumetopias jubatus [archive]
(fr+en) Référence ITIS : Eumetopias jubatus (Schreber, 1776) [archive] (+ version anglaise [archive] )
(en) Référence Animal Diversity Web : Eumetopias jubatus [archive]
(en) Référence NCBI : Eumetopias jubatus [archive]
(en) Référence UICN : espèce Eumetopias jubatus (Schreber, 1776) [archive] (consulté le 22 mai 2015)
(en) Référence Fonds documentaire ARKive [archive] : Eumetopias jubatus [archive]
Évaluation et Rapport de situation du COSEPAC sur l’otarie de Steller au Canada 2003 [archive]

EN CE JOUR DU 30 NOVEMBRE 2018, LE PEUPLE D’ÉCOSSE DÉPOSE UNE MOTION SENTIMENTALE, SCIENTIFIQUE ET DE SAUVEGARDE AUX PARLEMENTS BRITANNIQUES, EUROPÉENS ET DU COMMONWEALTH AFIN D’ÊTRE LES PARENTS ET LES GARDIEN ENVERS CET ANIMAL QU'EST LE LION DE MER DE STELLER OU Otarie de Steller (Eumetopias jubatus). CETTE REQUÊTE EST APPROUVÉE PAR LA REINE ÉLISABETH II PAR L'ALLIANCE DE LA RÉVÉRENCE DE TOULOUSE.
SA DISPARITION SERAI ÉQUIVALENTE AUX ACTES DE GUERRES MARITIMES QUI LIE NOTRE PEUPLE EN CETTE INFINI MARITIMES QU'EST L’ÉTINCELLE OCÉANIQUE...

RAPPORT DU
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Volkor X. - Beacon (feat. Dimi Kaye)...
https://www.youtube.com/watch?v=UIY1fO_sPeA&start_radio=1&list=RDUIY1fO_sPeA&t=15



Johann Christian Daniel von Schreber (17 janvier 1739, Weissensee en Thuringe – 10 décembre 1810, Erlangen) est un botaniste, un mycologue et un zoologiste allemand, élève de Carl von Linné (1707-1778).

Biographie

Il suit des études de médecine, d'histoire naturelle et de théologie dans les universités de Halle et d'Uppsala. Il obtient son titre de docteur en 1760 et exerce la médecine à Bützow dans le Mecklembourg et enseigne à l'université de la ville dès l'année suivante. En 1770, il enseigne la médecine et la botanique à Erlangen et devient directeur du jardin botanique de la ville en 1773. En 1776, il obtient la chaire d'histoire naturelle.

Il est fait membre de l'Académie royale des sciences de Suède en 1787 et de la Royal Society le 16 avril 1795.
Œuvre

Il commence la parution en 1774 de Die Säugethiere in Abbildungen nach der Natur mit Beschreibunge qui décrit les mammifères du monde entier. De nombreuses espèces sont décrites pour la première fois avec leurs noms binominaux, suivant le système linnéen. Les illustrations, somptueuses, demeurent cependant un peu naïves et n'ont pas la précision d'autres ouvrages de la même époque.

Son très important herbier est acquis par Maximilien Ier, roi de Bavière, en 1813. Il sert de base au Botanische Staatssammlung München fondé cette année-là.
Hommages

Son nom a été dédié à diverses espèces :

Arum schreberi, l'arum de Schreber ;
Muhlenbergia schreberi ;
Potamogeton x schreberi, le potamot de Schreber ;
Rumex x schreberi.

Liste partielle de publications

Beschreibung der Gräser (1.1769 - 3.1810)
Lithographia Halensis (1758)
Die Säugetiere in Abbildungen nach der Natur mit Beschreibungen (1.1774 - 64.1804)
Theses medicae (1761)

BiographieNaissance
17 janvier 1739

Weißensee
Décès
10 décembre 1810
(à 71 ans)
Erlangen
Abréviation en botanique
Schreb.
Formation
Université Martin-Luther de Halle-Wittemberg
Université d'Uppsala
Activités
Botaniste, écrivain, naturaliste, lichénologue, professeur d'université, médecin, entomologiste
Autres informationsA travaillé pour
Union allemande des académies des sciences et humanités
Domaine
Botanique
Membre de
Leopoldina
Académie bavaroise des sciences
Académie des sciences de Russie
Académie royale des sciences de Suède
Royal Society
Académie des sciences de Saint-Pétersbourg
Maître
Carl von Linné

AND,

Carl Linnæus, puis Carl von Linné après son anoblissement, né le 23 mai 1707 à Råshult et mort le 10 janvier 1778 à Uppsala, est un naturaliste suédois qui a fondé les bases du système moderne de la nomenclature binominale. Considérant, selon la formule d'Edward Coke « Nomina si nescis, perit cognitio rerum » (« la connaissance des choses périt par l'ignorance du nom »), que la connaissance scientifique nécessite de nommer les choses, il a répertorié, nommé et classé de manière systématique l'essentiel des espèces vivantes connues à son époque en s'appuyant sur ses propres observations comme sur celles de son réseau de correspondants. La nomenclature qu'il établit alors, et la hiérarchisation des classifications en classe, genre, ordre, niveau, espèce et variété, s'impose au XIXe siècle comme la nomenclature standard.

Père du concept de biodiversité par son identification de près de 6 000 espèces végétales et 4 400 animales1, sa classification s'inscrit dans un contexte historique plurimillénaire où la notion d'évolution des espèces n'existe pas encore, depuis la classification du philosophe grec Aristote, d'une part, et la doctrine biblique créationniste, d'autre part. Elle est donc fixiste et constitue le modèle dominant du rapport de proximité anatomique entre les espèces jusqu'au XIXe siècle. La classification intègrera le concept d'évolution à la suite de Jean-Baptiste de Lamarck fondateur du transformisme2.

Histoire de son nom
Linné en costume de lapon (entre 1735 et 1740).

Le grand nomenclateur que fut Linné, qui consacra sa vie à nommer la plupart des objets et êtres vivants, puis à les ordonner selon leur rang, eut lui-même maille à partir avec sa propre identité, son nom et même son prénom ayant été remaniés tant de fois au cours de sa vie qu’on ne dénombre pas moins de neuf binômes (on voulait dire bi-noms, en deux noms) et autant de synonymes.

Aux XVIIe et XVIIIe siècles, la plupart des Suédois ne portent pas encore de noms de famille. Aussi le grand-père de Linné, conformément à la tradition scandinave, s’appelait Ingemar Bengtsson (signifiant « Ingemar, fils de Bengt ») et son propre fils, le père de Linné, fut d’abord connu sous le nom de « Nils Ingemarsson » (signifiant « Nils, fils d’Ingemar »).

Mais Nils, pour répondre aux exigences administratives lors de son inscription à l’université de Lund, doit choisir un patronyme. Sur les terres familiales pousse un grand tilleul. La propriété en porte déjà le nom : Linnagård (ou Linnegård), toponyme formé de linn (variante aujourd’hui obsolète de lind, « tilleul » en suédois) et de gård, « ferme »). Plusieurs membres de la famille s’en sont déjà inspirés pour former des patronymes comme Lindelius (à partir de lind) ou Tiliander (à partir de Tilia, « tilleul » en latin). Il est par ailleurs de bon ton, dans les milieux instruits de pratiquer le latin. Nils choisit donc une forme latinisée et devient « Nils Ingemarsson Linnæus ».

Honorant ensuite le très populaire souverain de Suède de l’époque Charles XII, (en suédois Karl XII, 1682-1718), Nils donne le prénom du roi à son fils, qui débute donc son existence en s’appelant « Carl Nilsson » (signifiant « Carl, fils de Nils »), puis Karl Linnæus, le plus souvent orthographié « Carl Linnæus ».

Lorsque Carl Linnæus s’inscrit à l’université de Lund à l’âge de vingt ans, son prénom est enregistré sous la forme latinisée de Carolus. Et c’est sous ce nom de Carolus Linnæus, qu’il publie ses premiers travaux en latin.

Parvenu à une immense notoriété et en qualité de médecin de la famille royale de Suède, il est anobli en 1761 et prend en 1762 le nom de « Carl von Linné », Linné étant un diminutif (« à la française », selon la mode de l’époque dans nombre de pays de langue germanique) de Linnæus et von étant la particule nobiliaire (allemande). Dans le monde francophone comme en Suède, il est aujourd’hui communément connu sous le nom de « Linné ».

En botanique, où les citations d’auteurs sont souvent abrégées, on emploie l’abréviation standardisée « L. »3. Il est d’ailleurs le seul botaniste à avoir le grand privilège d’être abrégé en une seule lettre.

En zoologie, où il est d’usage de citer le nom patronymique complet de l’auteur du taxon, on emploie « Linnæus » (ou sa graphie sans ligature latine « Linnaeus », adoptée en anglais et plus pratique pour les utilisateurs de claviers dits internationaux) à la suite des taxons qu’il a décrits, et plus rarement « Linné », car c’est sous son nom universitaire « Linnæus » que ses principaux travaux de taxinomie zoologique jusqu’à 1761 ont été publiés (sauf les 1 500 noms d’espèces d’animaux nouveaux établis en 1766/1767 dans la 12e édition de Systema naturae, pour lesquelles on utilise habituellement en français le nom d’auteur « Linné »). De plus, à la différence de son prénom (Carolus), « Linnæus » n’est pas une transcription latine a posteriori, mais son véritable patronyme.

Quant à ses œuvres, elles furent publiées jusqu’en 1762 sous les noms de « Caroli Linnæi » (qui est la forme génitive, signifiant « de Carolus Linnæus »), ou encore « Carl Linnæus » ou seulement « Linnæus ». En 1762, sur la page de couverture de la seconde édition de Species plantarum, le nom est encore imprimé de cette manière. Mais ensuite, il n’apparaît plus imprimé que dans sa forme nobiliaire « Carl von Linné » ou « Carolus a Linné » (le a ou ab étant la traduction latine de von). Dans quelques bibliothèques, il est généralement entré comme « Linnaeus, Carolus (Carl von Linné) », d'autres utilisent « Carl von Linné ».

En français, on trouve aussi parfois le nom sous la forme entièrement francisée « Charles Linné », notamment dans les ouvrages du XVIIIe siècle et encore aujourd’hui dans des noms de rue, mais aussi dans quelques ouvrages récents4.

L’ouvrage le plus important de Linné est son Systema Naturæ (système de la Nature) qui connaît de nombreuses éditions successives, la première datant de 1735. Chacune d’elles améliore son système et l’élargit. C’est avec la dixième édition, de 1758, que Linné généralise le système de nomenclature binominale.

Mais sa classification est parfois totalement artificielle. Ainsi dans la sixième édition de Systema Naturæ (1748), il classe les oiseaux dans six grands ensembles pour répondre, harmonieusement, aux six ensembles qu’il utilise pour classer les mammifères.

Il définit clairement certains groupes comme la classe des amphibiens. Pour cela, il utilise les animaux décrits ailleurs (comme dans les œuvres de Seba, Aldrovandi, Catesby, Jonston ou d’autres auteurs). Mais, la plupart du temps, il décrit les espèces d’après des spécimens qu’il peut lui-même étudier.

Précurseur du racisme scientifique, il divise les Homo diurnus en cinq « variétés » en 1735, et c’est dans la dixième édition, celle de 1758, qu'Homo diurnus devient synonyme d'Homo sapiens, divisé en cinq "variétés" ou "espèces", classées dans cet ordre : américaine, européenne, asiatique, africaine et enfin monstrueuse (voir Linné, Systema Naturae, 10e éd., 1758 (t. I, p. 20 sqq.)).


Species plantarum
Article détaillé : Species plantarum.
première page du Species Plantarum

C’est en 1753 que Linné fait publier Species plantarum (les espèces des plantes) où il décrit environ 8 000 végétaux différents pour lesquels il met en application de manière systématique la nomenclature binominale dont il est le promoteur.
Ses correspondances

Mises en vente par la veuve de Linné en 1783 pour subvenir à ses propres besoins et à ceux de ses filles, les très nombreuses lettres à Linné des plus grandes figures de l’époque du monde des sciences et des idées révèlent toute la richesse intellectuelle du personnage et mettent en lumière les controverses qui agitaient alors la pensée européenne.
Les perles de culture

Lors de son voyage en Laponie en 1732, Linné visite une pêcherie de perles au lac de Purkijaure. Il faut ouvrir des milliers de coquillages pour trouver les si rares perles : cela l’intrigue. De retour à Uppsala, il tente une expérience, introduit une petite dose de plâtre fin dans des moules perlières et replace celles-ci dans la rivière de la ville, la Fyris. Six ans plus tard, il récolte plusieurs perles de la taille d’un pois11.

Il perfectionne la technique utilisant alors un fil d’argent pour tenir le granule générateur éloigné de la paroi de la coquille. La nacre peut ainsi se déposer régulièrement pour former une perle sphérique. Il vend son brevet en 1762, mais l’acquéreur néglige d’en tirer profit12.

Ce n’est qu’en 1900 que l’invention de Linné est redécouverte lors de la lecture de ses manuscrits conservés à Londres. Au XXe siècle, les Japonais développent alors la culture perlière et en améliorent les techniques.
Ses idées
Nomenclature linnéenne
Article détaillé : Nomenclature binominale.
Linnée boréale, Linnaea borealis, fleur discrète de Laponie dont Linné avait fait son emblème.

Linné met au point son système de nomenclature binominale, qui permet de désigner avec précision toutes les espèces animales et végétales (et, plus tard, les minéraux) grâce à une combinaison de deux noms latins. Ce binom (c'est-à-dire nom double) ou binôme13 (suivant un usage flottant) comprend :

un nom de genre au nominatif singulier (ou traité comme tel), dont la première lettre est une majuscule ;
une épithète spécifique, qui peut être un adjectif, un nom au génitif ou un attribut, s’accordant avec le genre grammatical (masculin, féminin ou neutre) du nom de genre. Il est écrit entièrement en minuscules. L’épithète évoque souvent un trait caractéristique de l’espèce ou peut être formé à partir d’un nom de personne, de lieu, etc.

Il faudrait dire correctement « binom », comme le Code de Nomenclature zoologique (4e édition, 1999) le précise en français. Les deux sont étymologiquement corrects, mais « binom » est sémantiquement plus précis que « binôme », qui est un terme plus général13. Les anglais utilisent directement le mot latin binomen sans chercher à l'angliciser. Le Code de Botanique admet explicitement l'expression de nomenclature binomiale (qui est l'adjectif correspondant à binôme et non à binom).

Le nom de l’espèce est constitué par l’ensemble du binom. Ces noms sont « réputés latins », quelle que soit leur origine véritable (grecque, chinoise ou autre), et écrits en alphabet latin (lettres de a à z et ligatures æ et œ, comme en français, mais sans diacritiques ni accents).

Ce système binominal permet d’éviter de recourir aux noms vernaculaires, qui varient d’un pays à l’autre, voire d’une région à l’autre. Par exemple, le renard roux est appelé en japonais aka-kitsune, mais un naturaliste japonais comprendra le nom latin, international, de Vulpes vulpes.

Toutefois, avec la multiplication des recombinaisons, des synonymes et des interprétations divergentes d’auteurs, les « noms scientifiques » actuels sont parfois instables et difficiles à manier, comme d'ailleurs les noms vernaculaires.
Systématique fixiste
Articles détaillés : systématique et fixisme.

Linné est un naturaliste « fixiste ». Pour lui, les espèces vivantes ont été créées par Dieu lors de la Genèse et n’ont pas varié depuis. Le but premier de son système est de démontrer la grandeur de la création divine. Linné écrit "Nous comptons autant d'espèces qu'il y a eu au commencement de formes diverses créées" 14. L’ordre hiérarchique des taxons y est fondé sur des critères de ressemblance « morphologiques » et d’affinités supposées, sans établir de relation génétique ou phylogénétique entre les espèces.

C'est seulement par la suite et grâce à l’avancée des connaissances, notamment à partir des travaux de Lamarck et de Darwin, la systématique a commencé à intégrer l'idée d'évolution aux principes classificatoires sous diverses formes (par exemple phénétique, évolutionniste, phylogénétique)14.

Linné a eu une immense influence sur les naturalistes de son époque. Nombreux sont ceux qui viennent assister à son cours, apprendre sa méthode pour l’appliquer dans leur pays. Nombreux sont ceux qui s’embarquent pour des contrées lointaines pour y reconnaître la flore, Linné lui-même les nomme ses apôtres. Tous ces naturalistes trouvent avec la systématique et la nomenclature linnéenne un moyen de faire progresser les connaissances. [réf. nécessaire]

C’est avec sa collaboration que Philibert Commerson put écrire son traité d’ichtyologie. Il eut aussi quelques autres correspondants tels que Frédéric-Louis Allamand. [réf. nécessaire]

Parmi ses nombreux élèves, citons : Anders Dahl, Johan Christian Fabricius, Charles de Géer, Christen Friis Rottbøll, Daniel Solander ou Martin Vahl. [réf. nécessaire]

Il faut citer également le naturaliste suédois Peter Artedi (1705-1735). Les deux hommes se rencontrent à l’université d'Uppsala, se lient d’amitié puis se séparent, Linné partant pour la Laponie et Artedi pour la Grande-Bretagne. Avant leur départ, ils se lèguent mutuellement leurs manuscrits en cas de décès. Mais Artedi se noie accidentellement à Amsterdam où il venait réaliser le catalogue des collections d’ichtyologie d’Albertus Seba (1665-1736). Suivant leur accord, Linné hérite des manuscrits d’Artedi. Il les fait paraître sous le titre de Bibliotheca Ichthyologica et de Philosophia Ichthyologica, accompagné d’une biographie de leur auteur, à Leyde en 1738. [réf. nécessaire]

Son influence s’exerce à travers tous les continents : Pehr Kalm en Amérique du Nord, Fredric Hasselquist en Égypte et en Palestine, Andreas Berlin en Afrique, Pehr Forsskål au Moyen-Orient, Pehr Löfling au Venezuela, Pehr Osbeck et Olof Torén en Chine et en Asie du Sud-Est, Carl Peter Thunberg au Japon, Johann Peter Falck en Sibérie… [réf. nécessaire]

Son caractère égocentrique, conjugué à une extrême ambition, le conduit, comme Buffon, à persécuter ceux qui n’optent pas pour son système. Mais il est le premier, suivant en cela John Ray, à utiliser un concept clair d’espèce qui n’est en rien diminué par sa conviction de l’immuabilité des espèces. [réf. nécessaire]

Linné et la Bible

Linné, comme d’autres scientifiques de son temps, éprouve des difficultés pour concilier le contenu de la Bible avec ses connaissances. Il explique ainsi que le jardin d'Éden était comme une île tropicale qui devait comporter une haute montagne. Celle-ci, dont le climat change avec l’altitude, offre des habitats pour les autres formes de vie habituées aux régions tempérées et arctiques15.
Place de l'humanité

Linné a appliqué le concept de « race » à l'homme (ainsi qu'aux créatures mythologiques). La catégorie Homo sapiens fut subdivisée en cinq catégories de rang inférieur, à savoir Africanus, Americanus, Asiaticus, Europeanus et Monstrosus. Elles étaient basées au départ sur le lieu d'origine selon des critères géographiques, puis plus tard, sur la couleur de peau. Chaque « race » possédait certaines caractéristiques que Linné considérait comme endémiques pour les individus qui la représentaient. Les Indiens d'Amérique seraient colériques, rouges de peau, francs, enthousiastes et combatifs; les Africains flegmatiques, noirs de peau, lents, détendus et négligents ; les Asiatiques mélancoliques, jaunes de peau, inflexibles, sévères et avaricieux ; les Européens seraient quant à eux sanguins et pâles, musclés, rapides, astucieux et inventifs16. On trouverait enfin dans la catégorie des hommes « monstrueux » les nains des Alpes, les géants de Patagonie et les Hottentots monorchides17. Par la suite, dans Amoenitates academicae (1763), il définit l'Homo anthropomorpha comme un terme fourre-tout pour une variété de créatures mythologiques et proches de l'homme, tels le troglodyte, le satyre, l'hydre, le phœnix. Il prétendit que ces créatures n'existèrent pas vraiment mais qu'elles étaient des descriptions inexactes de créatures ressemblant aux grands singes.

Dans son Systema Naturae il définit aussi l'Homo ferus comme « chevelu, muet et à quatre pattes ». Il y inclut aussi le Juvenis lupinus hessensis ou garçons-loups qui furent élevés par des animaux, pensait-il ; dans le même esprit on y trouve le Juvenis hannoveranus (Pierre de Hanovre) et la Puella campanica où Linné évoque la fille sauvage de Songy18.

Dans son roman d'anticipation Vingt mille lieues sous les mers, Jules Verne met en scène le personnage de Conseil, domestique du professeur Aronnax, qui classe systématiquement toutes les espèces rencontrées durant le voyage selon le système linnéen. [réf. nécessaire]
Les critiques

Contrairement à la plupart des naturalistes européens qui reconnaissent la révolution linnéenne, des naturalistes et des philosophes français comme Julien Offray de La Mettrie, Denis Diderot, Buffon ou Maupertuis critiquent la systématique linnéenne. Ce qui lui est reproché est son caractère artificiel. L’entreprise de Linné ne fait que partiellement appel à la raison, et peu d’incitation à l’expérimentation. Ils lui reprochent aussi une démarche empreinte de religiosité car Linné se voit en nouvel Adam décrivant et nommant la création. Pour toutes ces raisons les philosophes des Lumières en France ne peuvent le reconnaître comme l’un des leurs. Finalement, des idées de Linné, seule la nomenclature binominale survivra. [réf. nécessaire]

Le prénom Linnea
Courant en Suède, le prénom « Linnea » dérive d’une fleur des bois, nommée Linnaea borealis, en hommage à Carl von Linné, par son professeur Jan Frederik Gronovius.

Historic Scotland, littéralement en français « Écosse historique », est l'agence écossaise des Monuments historiques.

Elle a été créée en tant qu'agence en 1991 et a été attaché au département exécutif écossais d'éducation, qui regroupe tous les aspects liés au culturel, en mai 1999. En tant qu'élément, elle est directement responsable envers les ministres écossais de sauvegarder l'héritage de la nation écossaise et de favoriser sa compréhension et sa sauvegarde. Selon la règle du Parlement écossais, cette mission fait partie des missions du gouvernement de ce pays. Organisme du gouvernement, Historic Scotland fonctionne d'une manière semblable à ses homologues dans d'autres parties du Royaume-Uni :

English Heritage
Cadw

Le rôle de Historic Scotland n'a pas été sans polémique. En 2002, des propositions de reconstitution du château de Tioram dans les montagnes de l'Écosse de l'Ouest, en remettant un toit, ont été bloquées par Historic Scotland, qui préférait le sauvegarder uniquement comme ruine. Cette position a été soutenue dans une enquête locale publique pour laquelle les arguments des deux côtés ont été entendus. (les résultats de l'enquête sont disponibles à [1] [archive]). De tels conflits sur la façon la plus appropriée de conserver un bâtiment historique sont classiques, mais sont normalement résolus dans un contexte d'apaisement et de médiation. Historic Scotland semble avoir traité ce conflit de manière autocratique et en ignorant les besoins économiques de l'Écosse rurale (qui ne sont pas, après tout, dans son mandat).

RAPPORT DU
CITOYEN TIGARD YANIS
ALIAS
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La chouette effraie
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MessageSujet: Re: Lion de mer de Steller, Inverness et Château de Kilchurn.   Lion de mer de Steller, Inverness et Château de Kilchurn. EmptyMar 15 Jan à 3:46

TIGNARD YANIS @TIGNARDYANIS
17 h il y a 17 heures
LE NUAGE DÉVELOPPE LE NUMÉRO DU DEVENIR EN INTERPELLANT LE MACHIAVÉLIQUE SUR SON MAGAZINE.
DANS LA DÉBONNAIRETÉ, LA CHOUETTE EFFRAIE INTERPELLE CELUI QUI S'ATTRIBUE L'APPARENCE DES DIEUX ET
QUI VOUDRAIT IMPOSER SON NOM SUR LA PYRAMIDE DU LOUVRE.
TAY

LA QUIÉTUDE. CE SENTIMENT D'ÊTRE LIBRE DE SON ÉMOTION EST DE DIRE UN CONSTAT À UN HOMME :
UN JUGEMENT SANS RÉEL RETOUR ET UNE CERTITUDE QUE LA MAUVAISE HERBE N'EST PAS.
J'AI ARRACHÉ DE L'HERBE PENDANT HUIT ANS ET C'EST SURTOUT LES PARASITES QUI PIQUENT.
TAY

AINSI À LEADER PRICE RAMONVILLE SAINT AGNE. LE CHEF D'ÉQUIPE ME DEMANDAIT D'ARRACHER LES MAUVAISES HERBES
POUR FAIRE DES ÉCONOMIES DE GLYPHOSATES : DE PLUS CERTAINS DIRECTEURS FAISAIENT APPEL À TOUTES LES MANUTS
POUR VENIR ME SUPPLÉER.
TAY

LE RÉCEMMENT 2019 DÉBUTE LE 17 JANVIER 2019 : LES CIGOGNES VONT VENIR FRAPPER À LA PORTE POUR SUPPLÉER
LES PETITES SOURIS.
TAY

DES ARBRES À TOULOUSE MAIS QUAND LE RETOUR DE JAR ET DE L'OIE SUR LE COURS DILLON : C'EST VRAI QUE LE SKI NAUTIQUE,
ÇA FAIT BRICE DE NICE MAIS LE NATURALISTE PLEURE LE DÉSAVEUX DES COLVERTS ET AUTRES :
UNE ANNÉE 2019 SINUEUSE ET PLEINE D'ESPOIR POUR L'HUMANITÉ ET LA NATURE.
TAY

SAUVER LA PLANÈTE. SANS ÊTRE FATALISTE, COMPRENDRE LA NATURE ET SES ENVIRONNEMENTS.
NOUS AVONS UNE PLANÈTE MAIS LE CONTEXTE POLITIQUE ET BANCAIRE OUBLIENT QUE DE NOMBREUSES ASSOCIATIONS
ONT ÉTÉ MUTILÉS CES TROIS DERNIÈRES ANNÉES PAR LES MINES D'OR.
TAY

CETTE ANNÉE EST UNE ÉTAPE IMPORTANTE SUR LE DÉVELOPPEMENT EUROPÉEN. DANS TOUTE L'EUROPE, CETTE ÉLECTION
VA ÊTRE CRUCIAL ENTRE LES PROGRESSISTES NATIONALISTES ET LES NATIONALISTES EUROPÉENS :
CHACUN VOULANT ANTICIPER LE DEVENIR COMMUNAUTAIRE.
TAY

CES PAROLES, MONSIEUR LE MAIRE ET L'ADJOINTE AU MAIRE DE TOULOUSE, ÉTAIENT LOIN D'ÊTRE INNOCENTES.
CETTE ANNÉE 2019 OÙ VOILÀ TROIS ANS QUE DES BLOGS S'AFFRONTENT SUR LES POLITIQUES LÉGISLATIVES EUROPÉENNES :
CETTE ÉLECTION VA ÊTRE CRUCIALE POUR LE DEVENIR.
TAY

J'AI ÉTUDIÉ LE PARLEMENT EUROPÉEN DE STRASBOURG OÙ LES SOCIALISTES FRANÇAIS ONT JOUTÉ AVEC LES ITALIENS
DE SALVEO SALVINI. IL EST CERTAINS QUE DES ÉLÉMENTS NOUVEAUX SORTIRONT À LA SORTIE DE CETTE ÉLECTION EUROPÉENNE 2019
QUE AUCUN NE VEUT PERDRE.
TAY

Y'BECCA EST, DANS CETTE ÉLECTION EUROPÉENNE 2019, DANS L'ENSEMBLE DES PAYS COMPOSANT LA COMMUNAUTÉ ÉCONOMIQUE
EUROPÉENNE : CES ASPECTS SE PORTENT SUR LES SECOURISMES D'URGENCES, LA COHÉRENCE SOCIALE VERS LE PEUPLE,
LE SERVICE PUBLIC ET LE RESPECT DE LA NATURE.
TAY

UN SENTIMENT. J'AI CE DÉSIR DE SURVIVRE DANS LE DOMAINE DU POSSIBLE : CELA IMPLIQUE UNE EMPATHIE POUR L'EMPREINTE.
LA MORALE IMPLIQUE D'APPRENDRE QUE RIEN N'EST ILLIMITÉ. LA NATURE EST UN SOUFFLE ET L'EXISTENCE A CE SOUPIR :
LIÉ PAR UNE CIRCONSTANCE.
TAY

LA NATURE PEUT SURVIVRE SANS L'HUMANITÉ, L'UNIVERS N'A PAS BESOIN DE NOTRE DÉMOCRATIE ET DE NOS JUGEMENTS :
POURTANT, NOTRE INSTINCT SE PORTE VERS LE VIVRE CAR LE VIVANT IMPLIQUE CETTE EXPANSION.
MALGRÉ TOUT, NOTRE CRUAUTÉ EST INACCEPTABLE.
TAY

The desert that ate a sea...
http://www.esa.int/spaceinimages/Images/2019/01/Proba-V_view_of_Aral_Sea

La loi civile n'est pas de de soumettre à la main de fer : le demeurant de l'application militaire est de développer la circonstance
dans un devenir. L'aspect militaire à cette réalité sur le développement depuis trente ans :
respecter la nature s'est être dans son évolution.
TAY

Depuis trente ans de jeunes économistes et dont Emmanuel Macron est une incarnation, se sont engendrés et succédés
aux hautes sphères des états sans réaliser la portée des choses : l'évolution n'a pas besoin de ces personnes qui confondent
la décoration avec la gestion.
TAY

TÉMOIGNAGE DU
CITOYEN TIGNARD YANIS

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MessageSujet: Re: Lion de mer de Steller, Inverness et Château de Kilchurn.   Lion de mer de Steller, Inverness et Château de Kilchurn. EmptyMar 15 Jan à 3:47

Evolution of a black hole
The cover image shows an artist’s impression of a black hole that has started to accrete material from a nearby star. The properties of accretion flow for a stellar-mass black hole can change on a timescale of days to months. When the black hole ‘turns on’ after accreting material it has a hard (high-energy) X-ray spectrum that is produced by the hot corona (shown in blue) above its accretion disk (yellow). It then changes to a soft (lower-energy) spectrum that is dominated by emissions from the accretion disk. But whether it is a change in disk’s radius or a reduction in the corona that drives this transition has been an open question. In this week’s issue, Erin Kara and her colleagues provide results that may help to settle the debate. The researchers studied a newly identified black hole transient and followed its evolution using instruments on the International Space Station. They found over the course of the hole’s evolution from hard to soft emissions, the corona contracts but the inner edge of the accretion disk stays in the same place.

https://www.nature.com/nature/volumes/565/issues/7738

Air Force Maj. Gen. Lee Payne discusses MHS GENESIS at the 2018 AMSUS annual meeting. (Photo by MHS Communications)...

Adopting a new electronic health record, also known as an EHR, across a large, geographically diverse enterprise is no easy task. To meet the change management needs for this critical effort, the Defense Health Agency has established the Office of the Chief Health Informatics Officer. OCHIO will collaborate with a community of health care clinicians, health information technology experts, and testers to help users of this health information management system seamlessly transition to new technologies and processes.

MHS GENESIS is the single, integrated medical and dental EHR. Scheduled to be systematically fielded at all military hospitals and clinics by 2024, initial testing phases of MHS GENESIS are now complete. The Military Health System is addressing challenges and issues as it prepares for the first wave of deployment next fall, said Air Force Maj. Gen. Lee E. Payne, who is dual-hatted as the Defense Health Agency Assistant Director for Combat Support and MHS EHR Functional Champion.

“I have to set the stage for the frontline users about what they can expect and that’s part of my responsibility,” said Payne. “We’ve been building the capability of the Office of Chief Health Informatics Officer to help us manage the record more in real time and deal with these problems, [and] help build the content configuration necessary to improve the record.”

As the MHS EHR Functional Champion, Payne represents the voice of front-line users and will make critical decisions throughout its deployment. His responsibilities include ensuring solutions are seen from an enterprise perspective and evaluating potential process enhancements. He also serves as the DHA liaison to the Program Executive Office, Defense Healthcare Management Systems, which is responsible for the deployment of MHS GENESIS and management of the rollout plan.

“I want to give you a transparent review of where we are with MHS GENESIS,” said Payne, speaking at the annual meeting of the Society of Federal Health Professionals, better known as AMSUS, in November. “There are some good things happening and I want to be able to share these with you.”

MHS GENESIS launched at four initial operational capability sites in 2017: Fairchild Air Force Base, Naval Health Clinic Oak Harbor, Naval Hospital Bremerton, and Madigan Army Medical Center. Payne said lessons learned from the Pacific Northwest deployment focused on change management, workflows, issue resolution, and training methods.

“We had a change management strategy,” said Payne, adding that they underestimated the magnitude of the change. “I think in some of our minds, at least in my mind, it was, ‘OK, we’ll buy the commercial, off-the-shelf system, you just plug it in, you go to work and you do your job after you get training.’ The system comes about 80-percent configured already, but the MHS is continuing to refine workflows for the new system.

Another critical component of the rollout strategy is helping users understand their workflows, Payne said. “If you try to take your existing business processes, whether that’s in AHLTA or Essentris, and you try to jam that into the new electronic health record, you will fail,” said Payne, referring to legacy EHR systems. “You must adapt your business practices to the new record.”

Payne said MHS GENESIS is more than a system for documenting health care, as AHLTA does. It serves as a care coordination tool and provides standardized workflows that aren’t available in the current systems, a feature that has exposed inconsistencies across the MHS, he said. “Not only do we have variability between the services, but we have variability between our hospitals, and we have variability inside our hospitals and clinics,” said Payne. Communicating workflows and bridging knowledge gaps from old to new processes early in the transition was another important lesson, he continued. “We have to make decisions from an enterprise perspective, not from a local perspective.”

The MHS is also focusing on improving its training approach and content so it ties more closely to workflows. This will include retraining users at the initial sites when training methods change, he said. Peer expert training, where physicians and nurses get trained by experts in their specialty, has been the most effective method.

“We want to get those peer experts trained and experienced with the record, so as we go live, there’s somebody at your elbow to be able to coach you through that process,” said Payne. Having one peer expert per 10 physicians has shown to be a good ratio, he said, a ratio he aims to require for wave-one sites. These include Naval Air Station Lemoore, Travis Air Force Base, and Army Medical Health Clinic Presidio of Monterey, all in California, as well as Mountain Home Air Force Base in southwestern Idaho.

Payne said that as challenges at the IOC sites became evident, OCHIO prioritized the issues and incidents, addressing more than one-third of cases (tickets) so far. The functional community continues to discuss how to better measure and communicate findings with the field, and checks in with end users for feedback once the issues are resolved, he assured.

“Feedback and tickets are helping us improve the system and improve the usability,” said Payne. “It’s really focused on the end users and how they use the system, so it’s great information for us. It’s a roadmap for us to get better.” It also has the potential to be helpful for the Department of Veterans Affairs as it moves forward with its EHR modernization effort utilizing the same record as DoD.

Payne said MHS GENESIS breaks down barriers to care, not only between the services and throughout the stages of a patient’s life, but also between Departments, fostering a collaborative culture that supports an integrated system of health and readiness.

Payne praised the testers at IOC sites for their great work during the initial phase of deployment, thanking them for making MHS GENESIS even better.

“We want to do as much as we can possibly do prior to wave one to make it go much smoother,” said Payne. “It’s kind of a cycle of continuous process improvement. We’re learning and we’re going to learn things from wave one that we didn’t learn from the IOC sites. We are improving the system and I think we’re going to get some momentum as we move forward. Our goal is to make wave one wildly successful. We want it to be a home run.”

https://health.mil/News/Articles/2019/01/08/Good-things-are-happening-as-DoD-continues-to-roll-out-MHS-GENESIS

ainsi,

Les émissions de gaz à effet de serre aux États-Unis ont augmenté en 2018 - et cela ne pourrait pas arriver plus mal
Par Chris Mooney et
Brady Dennis 8 janvier
Selon de nouvelles recherches, les émissions de dioxyde de carbone aux États-Unis ont augmenté d'environ 3,4% en 2018, selon une nouvelle augmentation. Les scientifiques estiment que le monde doit réduire énergiquement ses émissions pour éviter les effets les plus dévastateurs du changement climatique.

Les résultats, publiés mardi par le cabinet d'études économiques indépendant Rhodium Group, signifient que les États-Unis ont moins de chances de respecter leur engagement pris en vertu de l'accord de Paris sur le climat de 2015 de réduire considérablement leurs émissions d'ici 2025.

Les résultats montrent également comment le deuxième plus grand émetteur au monde, autrefois l'un des leaders mondiaux en faveur de l'action climatique, a pratiquement abandonné ses efforts pour atténuer les effets du réchauffement de la planète. Le président Trump a annoncé son intention de retirer officiellement le pays de l'accord de Paris sur le climat en 2020 et a entre-temps annulé les règles de l'ère Obama visant à réduire les émissions de carbone du pays.


«Nous avons perdu notre élan. Il n'y a pas de doute », a déclaré Rob Jackson, professeur à l'université de Stanford, qui étudie les tendances des émissions, à propos des efforts américains et mondiaux visant à orienter le monde vers un avenir plus durable.

La forte augmentation des émissions a été principalement alimentée par une économie en plein essor, ont découvert des chercheurs. Mais l’augmentation, qui pourrait être la deuxième plus importante au cours des 20 dernières années, n’aurait probablement pas été aussi brutale sans les mesures de régression de l’administration de Trump, a déclaré Trevor Houser, associé chez Rhodium.

«Je ne pense pas que vous auriez vu la même augmentation», a déclaré Houser, faisant référence au secteur de l'énergie électrique en particulier.


Selon l'analyse, les émissions provenant de la production d'électricité ont augmenté de 1,9% en 2018, principalement en raison d'une demande accrue d'électricité, largement satisfaite par une plus grande combustion de gaz naturel. Ce combustible émet moins de gaz à effet de serre que le charbon lors de sa combustion, mais contribue toujours de manière importante.


Dans le même temps, les émissions du secteur des transports ont augmenté de 1% grâce à une augmentation du nombre de voyages en avion et du transport maritime sur route. L'analyse a révélé que les émissions industrielles provenant d'usines et d'autres grandes installations ont également augmenté de manière significative en 2018.

Les chiffres, basés sur des données de la US Energy Information Administration et d'autres sources, restent une estimation car certaines données de l'année dernière ne sont pas finalisées. Mais la ligne de tendance est cohérente avec une estimation récente d'un groupe d'universitaires associés au Global Carbon Project, qui a révélé que les émissions américaines devraient augmenter de 2,5% en 2018.

L'augmentation des émissions n'est pas qu'un problème américain. Les émissions mondiales ont également atteint un niveau record en 2018, et l'augmentation aux États-Unis va de pair avec l'augmentation des émissions dans d'autres pays, tels que la Chine et l'Inde, a déclaré Michael Mehling, directeur adjoint du Centre de recherche sur les politiques énergétiques et environnementales de le Massachusetts Institute of Technology.


"Ce n'est pas un phénomène isolé", a déclaré Mehling, ajoutant que cette tendance rendait difficile le fait de blâmer le mouvement de déréglementation de l'administration Trump et son rejet de l'action climatique contre le changement. "De tels développements politiques, y compris le démantèlement des politiques climatiques nationales aux États-Unis, ont tendance à prendre beaucoup de temps avant que vous puissiez réellement voir leur reflet dans les tendances des émissions physiques."

La dernière croissance fait qu'il est de plus en plus improbable que les États-Unis obtiennent un engagement de l'administration Obama dans la perspective de l'accord de Paris sur le climat, que le pays réduirait ses émissions de gaz à effet de serre de 26 à 28% par rapport aux niveaux de 2005 année 2025.

Une grande partie du plan du président Barack Obama visant à atteindre cet objectif portait sur des politiques climatiques clés, y compris de nouvelles réglementations sur l'efficacité énergétique des véhicules et les centrales électriques. Ces politiques ne suffisaient pas à elles seules - les États-Unis n’ont jamais été à la hauteur de leurs promesses à Paris. Mais l'administration Trump a pris des mesures pour les inverser ou les affaiblir.


Les émissions des États-Unis ont quelque peu diminué depuis 2005 en raison de changements technologiques, tels que la diminution de la production d'électricité au charbon face à la montée en puissance du gaz naturel et la croissance des énergies renouvelables. Lors d’une importante réunion internationale sur le changement climatique en Pologne le mois dernier, l’administration Trump a salué une baisse de 14% des émissions par rapport aux niveaux de 2005.

Mais c'est à peine la moitié de ce que l'administration Obama promettait d'ici 2025. Et le chiffre de 14% a diminué compte tenu des dernières découvertes. Le résultat est que toute chance d'atteindre l'objectif initial d'Obama a diminué, a déclaré Houser du groupe Rhodium.

Les dernières données sur les émissions arrivent alors que les scientifiques du monde entier ont qualifié le problème du climat mondial plus urgent que prévu, ce qui a eu pour effet de rendre plus conséquentes les tendances en matière d'émissions aux États-Unis et leur décision de se retirer de l'accord de Paris.


En octobre, un groupe de près de 100 scientifiques soutenus par les Nations Unies ont présenté un exposé détaillé de ce qu'il faudrait faire pour limiter le réchauffement planétaire à seulement 1,5 ° C (2,7 ° F). Le monde connaît déjà une augmentation de 1 degré Celsius. Ils ont découvert que non seulement le dépassement de 1,5 degrés Celsius aurait des effets dévastateurs, mais aussi que le monde n’a qu’environ une décennie pour apporter les changements «sans précédent» nécessaires pour freiner le réchauffement à ce niveau.

Lors de la réunion sur le climat en Pologne, les États-Unis se sont joints à trois pays pour s'opposer à une proposition visant à inclure l'étude du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat de l'ONU. Tous étaient des économies fortement tributaires des combustibles fossiles: Arabie saoudite, Koweït et Russie.

Tout comme les scientifiques ont clairement indiqué que le monde devait agir de toute urgence, les États-Unis ont pris la direction opposée. En 2020, alors même que de nombreux pays ont annoncé leur intention de renforcer leurs ambitions climatiques, l'administration Trump devrait être sur le point d'achever son retrait prévu de l'accord de Paris.


Aux États-Unis, «il est très peu probable que quelque chose se passe avec la fixation de nouveaux objectifs ou le changement climatique d'ici 2020», a déclaré Johan Rockström, directeur de l'Institut de recherche sur l'impact du climat de Potsdam en Allemagne. "Ce qui est un gros risque, étant donné que nous devons courber la courbe d'ici 2020".

En Pologne, les pays ont décidé de reconnaître que le rapport avait été «achevé dans les délais», mais ont supprimé la référence préalable à sa conclusion la plus gênante, à savoir qu'un monde responsable de plus de 50 milliards de tonnes d'émissions totales équivalentes en dioxyde de carbone en 2018 doit effectuer un changement de cap monumental. de la prochaine décennie.

"Ce que vous avez, c'est que les États-Unis sont au sommet d'une pyramide de fragmentation et créent un espace pour légitimer ce type de comportement de la part d'autres pays", a déclaré David Wirth, ancien négociateur sur le climat qui est actuellement professeur de droit à Collège de Boston.


La question clé est maintenant de savoir comment tout cela se déroulera au cours des deux prochaines années, jusqu'en 2020. C’est à la fois l’année où les États-Unis pourront officiellement sortir de l’accord de Paris sur le climat et l’année où les pays membres devront annoncer des objectifs plus ambitieux. plans climat.

Cela laisse un monde confronté à une décennie décisive en matière de réduction des émissions, qui ne sait toujours pas quel rôle les États-Unis joueront, le cas échéant.

"D'autres pays vont se pencher sur la campagne [présidentielle 2020]", a déclaré Wirth. "Si vous avez tous les candidats à la présidence, à l'exception d'un candidat à l'élection qui dit:" Je suis prêt à m'engager à appliquer des réductions plus importantes ", alors cela résonnera."

https://www.washingtonpost.com/national/health-science/us-greenhouse-gas-emissions-spiked-in-2018--and-it-couldnt-happen-at-a-worse-time/2019/01/07/68cff792-12d6-11e9-803c-4ef28312c8b9_story.html?noredirect=on&utm_term=.392a694ff814&wpisrc=nl_green&wpmm=1

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