Symboles
Le logo de la collectivité territoriale de Guyane est le seul symbole officiel. L'unité régionale de gendarmerie utilise pour ses uniformes le blason de Cayenne.
Le conseil général de la Guyane, qui a disparu en 2015, avait adopté en 2010 le drapeau du syndicat UTG comme drapeau de la Guyane.
Nom vulgaire ou nom vernaculaire ambigu :
L'appellation « Colombe » s'applique en français à plusieurs taxons distincts.
La RBI Lucifer Dékou-Dékou est la première réserve biologique intégrale de Guyane, mais également la plus grande réserve biologique de France.
Vue aérienne sur le plateau tabulaire de Lucifer
Le contexte de cette réserve est très différent des autres espaces protégés de Guyane, car une importante activité minière (exploration et exploitation aurifère), antérieure à sa création, y règne. Un gisement potentiel d'or primaire a d'ailleurs été localisé au pied même du massif de Dékou-Dékou. Se posait alors le problème de définir un zonage de la réserve prenant en compte des activités qui ne sont pas conciliables sur le même territoire.
Dans le cadre des discussions pour la définition du Schéma départemental d'orientation minière, un accord a été trouvé avec les sociétés titulaires des permis miniers (signé le 10 février 2010) afin de définir des limites d'exploitation minière n'empiétant pas sur les montagnes de Lucifer et Dékou-Dékou. Ces deux zones de protection, l'une au nord englobant le massif de Lucifer et l'autre au sud englobant le massif de Dékou-Dékou constituent la réserve biologique intégrale de Lucifer Dékou-Dékou.
L'arrêté ministériel portant création de la réserve date du 27 juillet 2012.
Carte d'identité
carte des espaces naturels protégés de Guyane
Cascade sur Dékou-Dékou
Localisation :
Dans l'ouest du département à 60 km, à vol d'oiseau, au sud de la ville de Saint-Laurent-du-Maroni, au sein du domaine forestier permanent. Elle s'étend sur deux communes : la commune de Saint-Laurent-du-Maroni et la commune d'Apatou.
Superficie :
La superficie de la RBI est de 64.373 ha.
Pour en savoir plus
• Rapport de présentation en vue de la création de la réserve biologique intégrale de Lucifer Dékou-Dékou Fichier PDF
• Rapport avifaune Fichier PDF
• Rapport chiroptères Fichier PDF
• Rapport herpétofaune Fichier PDF
• Arrêté ministeriel de création de la RBI Lucifer Dékou-Dékou Fichier PDF
Historique de création
Très tôt, l'ONF, en collaboration avec les chercheurs de l'Orstom (actuel IRD), avait pensé à préserver un échantillon représentatif des différents biotopes de la bande côtière guyanaise.
Dès 1975, Jean-Jacques de Granville cite la zone de Paul Isnard comme étant d'un grand intérêt. Ce n'est que 20 ans plus tard, que l'arrêté du ministre de l'Agriculture du 11 décembre 1995 définissant la réserve biologique domaniale de Lucifer Dékou-Dékou fut pris, pour une superficie de 110.818 ha.
L'intérêt minier de la zone intermédiaire entre les massifs de Lucifer et Dékou-Dékou est très important. Cette vallée est parcourue par de nombreuses criques qui sont le siège depuis très longtemps d'une activité aurifère alluvionnaire continue et plus ou moins soutenue (découverte de l'or à Paul Isnard en 1873). L'augmentation des cours de l'or a engendré une très forte pression des opérateurs miniers se traduisant par l'octroi de permis miniers sur le secteur de Lucifer Dékou-Dékou.
Afin de trouver un juste milieu entre développement de l'activité minière (le schéma départemental d'orientation minière classant la zone intermédiaire en zone ouverte à l'activité minière, le Sdom, s'impose au Code forestier) et préservation de la biodiversité (position claire du CNPN de ne pas voir d'activité minière dans une réserve), il a été décidé de redéfinir les limites de la réserve pour former la RBI de Lucifer Dékou-Dékou, interdite à l'activité minière dans le Sdom.
Intérêts patrimoniaux
Les intérêts patrimoniaux de cette immense région forestière reposent sur les deux ensembles montagneux qui ont donné leur nom à la réserve : le mont Lucifer et le mont Dékou-Dékou.
Le mont Lucifer s'élève à plus de 500 m d'altitude en un vaste plateau tabulaire. Drapé d'une forêt de type sub-montagnarde, il héberge des espèces considérées comme rares à l'échelle de la Guyane.
Lui faisant face, de l'autre côté d'une large vallée, le massif de Dékou-Dékou culmine à 567 m. Ce mont possède la particularité de porter de nombres cambrousses (formations végétales basses et très denses souvent mono-spécifiques à bambous et autres graminées).
L'objectif principal de gestion est la conservation des habitats sub-montagnards et des forêts de pentes qui constituent des zones prioritaire l'échelle de la Guyane. L'acquisition de données sur la répartition de la faune et de la flore de ces deux massifs permet d'optimiser cette gestion.
La faune
Les communautés de grands mammifères, de chauves-souris, d'oiseaux, d'amphibiens et de reptiles ont été étudiées selon des protocoles éprouvés et permettent une mise en perspective des résultats. A ce jour, après plusieurs missions, de nombreuses espèces ont été inventoriées :
Oiseaux du plateau de Lucifer : 199 espèces
Chauves souris : 39 espèces
Serpents : 21 espèces dont une nouvelle espèce pour le plateau des Guyanes (Umbrivaga pygmaea)
Amphibiens du plateau de Lucifer : 39 espèces.
Sur le plan de l'avifaune, l'intérêt du plateau de Lucifer ne semble pas résider dans une richesse exceptionnelle, mais plutôt dans la présence de quelques espèces sub-montagnardes dont la répartition en Guyane est fragmentée et qui sont bien représentées ici :
Pic or-olive
Araponga blanc
Oxyrhynque huppé
Tyranneau nain
Tangara cyanictère
Tangara orangé.
A noter que l'Oxyrhynque huppé et le Tyranneau nain sont tous deux endémiques du plateau des Guyanes. La présence de ces populations justifie à elle seule la préservation de la forêt du plateau de Lucifer.
La flore
Différentes missions botaniques ont également pris place ces 20 dernières années dans la région de Paul Isnard, de Citron et des massifs montagneux de Lucifer et de Dékou-Dékou. Plusieurs centaines de spécimens ont fait l'objet de récolte, d'identification voire de description.
Actuellement, la flore de cette vaste région compte 1.005 espèces de plantes vasculaires soit plus de 20% des espèces connues en Guyane. Parmi celles-ci, on distingue :
700 Magnioliopsides (Dicotylédones)
111 Liliopsides (Monocotylédones)
21 espèces de mousses
6 Hépatiques
9 Lycophytes
148 espèces de fougères se retrouvent dans la réserve biologique (la moitié des espèces de fougères de Guyane).
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http://www.onf.fr/guyane/sommaire/foret/conserver/reserve/20131028-174611-339573/@@index.html----------------------------------
Amérindiens et Européens
Les premières traces archéologiques (poteries, gravures rupestres, polissoirs…) de peuples amérindiens entre l’Oyapock et le Maroni remontent au Ve millénaire avant notre ère. Nombre de leurs successeurs dans la même zone géographique appartiennent principalement au groupe linguistique des Tupi-Guarani.
On estime qu’à la fin du iiie siècle, des Indiens Arawak et Palikur, originaires des rives de l’Amazone, s’installent sur le littoral guyanais. Ils sont suivis au viiie siècle par les Indiens dits Caraïbes ou Karibes, les Kali’na (Galibis) et Wayana.
La côte de Guyane fut reconnue par Christophe Colomb en 1498. Malgré le partage du Nouveau Monde organisé en 1494 par le traité de Tordesillas entre le Portugal et l'Espagne, les nations européennes sont à l’origine de nombreuses tentatives de colonisation en Guyane dès le xvie siècle.
Dès 1503 commencent les premières implantations françaises dans la zone de Cayenne. Notons notamment celle des Français avec le voyage de Nicolas Guimestre en 1539, suivie par celle de l’Anglais Robert Baker (1562) et celle de Gaspard de Sotelle (1568-1573) qui implante plus de 120 familles espagnoles dans l’île de Cayenne.
De 1596 à 1598, les Anglais John Ley et Lawrence Keymis, et le Néerlandais Abraham Cabeliau, effectuent des reconnaissances géographiques précises des côtes de la Guyane. Les vraies implantations européennes apparaissent surtout au xviie siècle, par des occupations ponctuelles (quelques années) d’embouchures fluviales, et sont l’œuvre de la France, de l’Angleterre et des Pays-Bas.
En 1604, la colonie de Guyane prend le nom de France équinoxiale.
Esclavage et tentative de peuplement
Carte de Guyane datant de 1656.
Si les premières tentatives importantes de colonisations françaises datent des années 1620, elles sont souvent mises à mal par les dissensions internes des colons, les rapports humains médiocres avec les Amérindiens, voire la dureté des conditions de vie, notamment avec la fièvre jaune26. De leur côté, les nations amérindiennes doivent faire face à un important taux de mortalité, dû aux guerres menées face aux colonisateurs, mais aussi à l’action d’épidémies nouvellement importées d’Europe.
Longtemps, la tutelle du roi de France sur la Guyane est régulièrement contestée ; ce n’est qu’avec la reprise de Cayenne en décembre 1676 par l’amiral Jean d’Estrées que les Français s’implantent définitivement. Et encore ne contrôlent-ils que l’île de Cayenne et, par intermittence, quelques postes militaires aux estuaires fluviaux. C'est cette présence humaine et militaire faible qui explique en grande partie l’extrême facilité avec laquelle les Portugais du Brésil se sont emparés de l’île de Cayenne pendant les guerres napoléoniennes, île qu’ils ont occupée de 1809 à 1817.
La colonisation de la Guyane est d’abord le fait de travailleurs européens, les « engagés », également appelés les « trente-six-mois » parce que liés par un contrat de trois années à leur maître. Cette tentative, faute de volontaires, est très vite remplacée par des esclaves d’origine africaine, utilisés dans les habitations (exploitations agricoles) à la culture des produits coloniaux : sucre, épices, chocolat et café.
Comme dans les autres colonies françaises, l’esclavage est en grande partie régi par les textes du Code noir (1685). Cette société d’habitation reste le modèle économique dominant en Guyane jusqu’à la deuxième abolition de l’esclavage en 1848. Elle n’a toutefois pas apporté un vrai développement à la Guyane, qui reste la région pauvre et sous-peuplée, voire maudite, de l’ensemble colonial français en Amérique. Lors du traité d'Utrecht en 1713, le roi de France Louis XIV, afin de limiter les conflits locaux avec la colonie portugaise du Brésil, pose les bases de la frontière entre le Brésil et la France27.
L’expédition de Kourou qui débuta à partir de 1763 est très mal préparée. Elle fut menée à la demande de Choiseul et dirigée par le chevalier Étienne-François Turgot, gouverneur, Jean-Baptiste Thibault de Chanvalon, intendant et Antoine Brûletout de Prefontaine, commandant, pour établir une vraie colonie d’agriculteurs d'origine européenne dans les savanes de l’Ouest guyanais. Cependant, cela sera un échec retentissant : presque tous les colons « survivants » s’enfuient de Guyane pour rejoindre la métropole. Seuls restent en Guyane des colons allemands et canadiens, qui s’implantent durablement à Kourou, Sinnamary, Malmanoury, Corossony et Iracoubo, et y fondent une société originale (et métissée) d’agriculteurs exploitants en Guyane.
La Guyane française est occupée par les Britanniques de 1778 à 1783, puis de 1785 à 1788.
Pendant la Révolution elle devient pour la première fois (Collot d'Herbois et Billaud-Varenne), lieu de déportation politique; ceux-ci seront suivis en 1798, alors que La Guyane est érigée en un département, des « déportés de fructidor » et de prêtres réfractaires : Counamama et Sinnamary seront le cimetière de la plus grande partie d’entre eux.
L'esclavage est aboli en 1794 dans toutes les colonies, avant que Napoléon Ier ne le rétablisse en 1804. Il n’est définitivement supprimé par décret que le 27 avril 1848, sous l’impulsion notamment de l'abolitionniste Victor Schœlcher. La disparition de la main-d’œuvre servile met un point d’arrêt à l’économie coloniale traditionnelle.
Pendant la Révolution française, la Guyane est occupée par les Portugais, qui détiennent le Brésil, de 1793 à 1817 : cette période d'occupation va marquer le créole guyanais, qui va intégrer de nombreux mots portugais dans son vocabulaire. Bien que rendue aux Français, à la suite des applications du traité de Vienne de 1815, le retour effectif des Français est à situer en avril 1817, avec l'envoi d'un gouverneur.
Pour pallier le manque de main-d’œuvre mais surtout pour débarrasser la métropole d’opposants politiques républicains et de délinquants de droit commun, le Second Empire crée des bagnes en Guyane. Ils accueillent des transportés, des déportés puis également des relégués jusqu’en 1946. Dans les années 1930, les Établissements Pénitentiaires Spéciaux, dits aussi « bagnes des Annamites », sont implantés dans le Territoire de l’Inini. Peuplés d’opposants politiques et d’intellectuels indochinois, mais aussi de petits délinquants, voleurs et proxénètes, ces bagnes seront un échec cuisant.
Les essais de peuplement de la Guyane par des ouvriers « libres » issus de l’immigration (Afrique, Inde, États-Unis, Madère…) ne seront pas plus durables.
Ruée vers l'or
En 1855, un site aurifère est découvert dans l’Est guyanais sur l’Arataye, un affluent de l’Approuague. Dans l’Ouest, de l’or est extrait de la rivière Inini (Haut-Maroni). Le début du xxe siècle est marqué par une ruée vers l’or, avec 10 000 chercheurs en activité, entraînant une croissance du commerce local souvent artificielle, et l’arrêt des dernières activités agricoles par manque de main-d’œuvre.
L'existence éphémère de la République de la Guyane indépendante (Amapá, 1886-1891, puis État Libre de Counani (1904-1912)) est liée à cette ruée vers l'or.
À l’instar de La Réunion, de la Guadeloupe et de la Martinique, la Guyane devient département français d’outre-mer en 1946. Mais le décollage économique peine à se réaliser en raison des coûts de production élevés, de la faiblesse numérique de la population, de la dépendance commerciale (importations) vis-à-vis de l’Hexagone et du manque criant d’infrastructures les plus élémentaires : voies de communication, écoles, système de santé, etc.
Bagne
Article détaillé : Bagne de la Guyane française.
Saint-Laurent-du-Maroni, Cayenne et l'île du Diable furent des lieux de déportation pour les condamnés aux travaux forcés de 1852 à 1946, sur décision de Napoléon III. Le capitaine Alfred Dreyfus y fut envoyé en 1894.
La Guyane restera alors une colonie française jusqu'au 19 mars 1946, où elle obtient le statut de département d'outre-mer. La France attendait des détenus qu'ils fussent aussi des colons. Mais ce fut un échec. La fermeture du bagne a été obtenue, après la Seconde Guerre mondiale, à la suite de la publication de 27 articles d'Albert Londres et sous l'impulsion de Gaston Monnerville. C'est en 1938 que le dernier convoi de bagnards a fait route vers la Guyane, mais ce n'est qu'en 1945 que l'Assemblée constituante décida de rapatrier les survivants qui le souhaitaient (très peu sont restés). L'opération prit huit ans.
Base spatiale européenne
Localisation des villes de Cayenne, Kourou, Saint-Laurent-du-Maroni, Saint-Georges-de-l'Oyapock, Saül.
Lanceur Ariane 4 au Centre spatial guyanais à Kourou.
En 1964, le général de Gaulle prend la décision de construire une base spatiale en Guyane, destinée à remplacer la base saharienne située en Algérie à Hammaguir. La position du département est privilégiée, proche de l’équateur avec une large ouverture sur l’océan. Le Centre Spatial Guyanais, depuis les premières fusées « Véronique », s’est largement développé au fil des années. Port spatial de l’Europe avec des lanceurs comme Ariane 4 et Ariane 5, qui se révèlent un véritable succès commercial dans le monde28,29, le Centre spatial guyanais développe aussi le Programme Vega, et une base de lancement Soyouz construite à Sinnamary. D'ici 2021, la Guyane va assister au lancement de la nouvelle fusée Ariane 6, projet développé en 2014.
En 1982, les lois de décentralisation entrent en vigueur et un transfert de compétences s’opère vers les collectivités territoriales qui vont devenir acteurs du développement de la Guyane30.
Crise sociale du printemps 2017
Article détaillé : Mouvement social de 2017 en Guyane.
Fin mars 2017, un large mouvement de manifestations et de grèves se développe en Guyane et amène le déplacement sur place des ministres de l'Intérieur et de l'Outre-Mer. L'accord proposé par le gouvernement est refusé par les représentants des manifestants et grévistes le 2 avril 31.
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Le Cerrado est une région de savane que l'on rencontre en Amérique du Sud, principalement au Brésil et en Guyane. Le cœur de cette savane s'étend sur 1,5 million de km², ou 2 millions de km² en comptant les aires limitrophes.7 Il représente 22 % de la superficie du Brésil 8 et déborde sur les régions limitrophes du Paraguay et de la Bolivie en ce qui concerne le Brésil.
TIGNARD YANIS @TIGNARDYANIS
En réponse à @Senat @VillaniCedric @RolandCourteau
Ô Nominon, ange de l'abîme..
Présentation générale | Montagne d'Or...
http://www.mineralinfo.fr/sites/default/files/upload/tome_08_guyane_final24032017.pdf …
The KLF - Last Train To Trancentral ...
https://www.youtube.com/watch?v=frIUgilfsWA …
cercle magique avec le sel.
http://www.magie-sorciers.com/jeter_le_mauvais_oeil.php …
ARRÊTER CETTE CONNERIE DE MINE EN GUYANE.
TAY
Le Saint-Esprit, ou Esprit Saint, est l'Esprit de Dieu et la troisième personne de la Trinité dans le christianisme. Il est aussi appelé l'Amour du Père et du Fils.
Dans la Bible, le Saint-Esprit se manifeste dès l'Ancien Testament. Le Nouveau Testament1 suggère que l'Esprit saint est une personne différente du Père et du Fils, et formant avec eux un seul Dieu, mais le dogme de la Trinité n'a été formulé que progressivement, lors des conciles anciens, en particulier à partir du premier concile de Nicée.
Le mot Esprit traduit dans le Nouveau Testament le mot grec Pneuma (littéralement Souffle). C'est pourquoi l'étude du Saint-Esprit est appelée la pneumatologie.
SENTIMENTS DU
CITOYEN TIGNARD YANIS