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 LE SCEPTICISME, LE FUNESTE, LE RATIONNEL ET L'ÉQUANIMITÉ

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yanis la chouette




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MessageSujet: LE SCEPTICISME, LE FUNESTE, LE RATIONNEL ET L'ÉQUANIMITÉ   LE SCEPTICISME, LE FUNESTE, LE RATIONNEL ET L'ÉQUANIMITÉ EmptyLun 20 Nov à 10:19

Le scepticisme (du grec skeptikos, « qui examine ») est une méthode d'examen et une école philosophique selon laquelle il semble que rien n'est vrai, pas même cette conjecture.

« Le scepticisme est une faculté ou une méthode d'examiner, qui compare et qui oppose en toutes les manières possibles, les choses apparentes, ou sensibles, et celles, qui s'aperçoivent par l'entendement; par le moyen de laquelle faculté nous parvenons (à cause du poids égal qui se trouve dans des choses ou dans des raisons opposées) premièrement à I'Époque, ou à la suspension de l'esprit, et ensuite à l'Ataraxie, c'est-à-dire, à l'exemption de trouble, ou à la tranquillité de l'âme. » (Esquisses pyrrhoniennes, Livre 1 Chapitre ? )

Il ne s'agit pas de rejeter la recherche, mais au contraire de ne jamais l'interrompre en prétendant être parvenu à une vérité absolue. Dans sa version antique, le principal objectif du scepticisme n'est pas seulement de nous faire éviter l'erreur, mais de nous faire parvenir à la quiétude (ataraxie), loin des conflits de dogmes et de la douleur que l'on peut ressentir lorsqu'on découvre de l'incohérence dans ses certitudes. Le scepticisme affirme que l'homme ne peut trouver ni une réponse aux questions touchant les affaires humaines, ni une certitude concernant les réponses aux questions philosophiques et énigmes de la nature et de l'univers, même si elles existent. En ce sens, lorsqu'un sceptique s'exprime sur quelque chose, c'est toujours selon une hypothèse de la fiabilité des sens, et en ce sens, le sceptique dit qu'il lui semble que rien n'existe, car il ne comprend rien et ne défini rien. Les moyens pour atteindre cette constatation se nomme l'Époque, et leur nombre varient. Par exemple, il peut être pris de la dissemblance des sens qui, du fait que les sens n'ont pas le même objet de traitement, comme l'oreille ne voie pas et les yeux entendent pas, alors il n'existe pas de moyen objectif de définir un quelconque critère de vérité. (voir Esquisses pyrrhoniennes)

« Le scepticisme est la faculté de mettre face à face les choses qui apparaissent aussi bien que celles qui sont pensées, de quelque manière que ce soit, capacité par laquelle, du fait de la force égale qu'il y a dans les objets et les raisonnements opposés, nous arriverons d'abord à la suspension de l'assentiment, et après cela à la tranquillité. »

Le scepticisme a eu une grande influence sur des philosophes modernes comme Montaigne, David Hume, Friedrich Nietzsche, Bertrand Russell (qui prône un « scepticisme modéré » par opposition à celui de Pyrrhon), ou Ludwig Wittgenstein, qui ont redéfini le terme et l'ont séparé de la recherche antique de l'ataraxie (sauf dans le cas de Montaigne).

Bertrand Russell résume dans ses Essais sceptiques la position du scepticisme à « Ne rien admettre sans preuve et suspendre son jugement tant que la preuve fait défaut ». C'est une position proche de Descartes dans son Discours de la méthode et ce principe d'éviter de conclure aussi longtemps qu'il le faudra se retrouve au XXIe siècle dans les méthodes bayésiennes qui conservent de front autant d'hypothèses que l'on en peut suivre, et qui sont utilisées en intelligence artificielle.

Au-delà de cet usage strict du terme, « sceptique » est un adjectif abondamment utilisé, dans des sens parfois éloignés de l'usage antique. Il a servi à désigner[Pour qui ?] un certain défaitisme face à la connaissance, particulièrement à la Renaissance. Le terme a, enfin, été récupéré par des mouvements[Lesquels ?] n'ayant qu'un lointain lien avec le scepticisme mais qui cherchent à mettre en avant leur contestation face à des idées présentées comme vérités. Nous faisons preuve de scepticisme en un sens plus courant lorsque l'on doute de quelque chose.

" Il n'y a jamais eu, il n'y aura jamais un homme qui connaisse avec certitude ce que je dis des dieux et de l'univers. Quand même il rencontrerait la vérité sur ces sujets, il ne serait pas sûr de la posséder : l'opinion règne en toutes choses." Xénophane de Colophon

Edward Conze, érudit bouddhiste, souligne la proximité du bouddhisme (particulièrement du Madhyamaka) avec le scepticisme pyrrhonien :

Être libre de passions est le grand but de la vie, et l'équanimité est l'attitude qu'on doit s'efforcer de cultiver. Toutes les choses extérieures sont les mêmes, il n'y a pas de différence entre elles, et le sage ne distingue pas entre elles. Pour gagner cet état d'indifférence on doit sacrifier tous les instincts naturels. Toutes les opinions théoriques sont pareillement sans fondement, et il faut complètement s'abstenir de formuler des propositions et de passer des jugements. Dans la philosophie de Pyrrhon, il y a la même distinction entre la vérité conventionnelle, les apparences (phainomena) d'un côté, et la vérité ultime (adêla) de l'autre. La vérité ultime est complètement cachée : "Je ne sais pas si le miel est doux, mais je suis d'accord qu'il m'apparaît tel."

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LE SENS, LA PORTÉE, LE FUNESTE, LES BIENFAITS ET L'OBJET DANS LE FEU DE PAILLE...

ECRIT DE
MONSIEUR TIGNARD YANIS
AU SUJET DE
TAY La chouette effraie.

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Dans l'Antiquité, l'école sceptique eut pour fondateur le philosophe Pyrrhon (360–275 av. J.-C.) dont nous ne connaissons que peu de choses. Nous possédons cependant quelques fragments de l'œuvre de son disciple Timon de Phlionte. Le scepticisme antique est ainsi résumé par Sextus Empiricus (Esquisses pyrrhoniennes, I, !)


NAQUIT LA COLÈRE MILITANTE DE L'ENTHOUSIASME DEVANT LA PÉRIODE D'EXAMEN ET DE CRITIQUE:

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ECRIT DE
MONSIEUR TIGNARD YANIS
AU SUJET DE
TAY La chouette effraie.

L'équanimité, l'égalité d'âme, d'humeur1, est une disposition affective de détachement et de sérénité à l'égard de toute sensation ou évocation, agréable ou désagréable.

En tant que résultat d'une pratique spirituelle, ou d'un cheminement de croissance personnelle, ce détachement s'enracine et se stabilise par une acceptation de soi-même et de ses circonstances, passées ou actuelles, un lâcher-prise constant malgré les caprices de sa volonté et de sa réactivité personnelle, ainsi qu'une base de confiance dans le bien-fondé des données de la vie, par une intuition grandissante de leur nature réelle. Ces processus très variables auront fini par élaborer un apaisement intime de l'esprit devant tout désir, peur, etc.
Philosophie

Dans la philosophie occidentale, le concept d'équanimité se retrouve chez les Stoïciens, y compris la tradition romaine liée à Marc Aurèle.

Le texte de Marc Aurèle Pensées pour moi-même détaille sa philosophie sur le devoir, la mort et la conduite du sage face aux erreurs et à la méchanceté des Hommes. Pour lui, tout Homme a le profond devoir de ne pas s'inquiéter de ce qui ne dépend pas de lui, c'est-à-dire les biens matériels, les honneurs, l'opinion des gens, mais doit en contrepartie se rendre parfaitement maître de ses émotions, avis, opinions et jugements, la seule chose dont il possède un parfait contrôle.

Dans le jaïnisme, l'équanimité est une valeur fondamentale, qui consiste à considérer du même œil toutes les créatures : l'équanimité est la source de la non-violence (ahimsâ), de même que la non-violence est la source du végétarisme.

Dans le bouddhisme, ce terme traduit le sanskrit upekṣā (upekkha en pāli). L'équanimité est un des Quatre Incommensurables que développe le bodhicitta2. Dans ce contexte on l'entend comme impartialité, l'intention de bienveillance étant égale envers un proche comme envers un inconnu ou même quelqu'un de malveillant à notre égard. Elle nous permet d'être avec ce qui existe sans être perdu ou désespéré, sans prendre les choses personnellement ; c'est l'acceptation totale de ce qui est.

Mais ce n'est pas être indifférent ou passif. C'est lié à la compréhension, à l'ouverture et à la clarté. Nous pouvons savoir où, quand et comment agir. Ce n'est pas vouloir changer ou contrôler les choses selon nos souhaits. C'est accepter les choses simplement comme elles ont été jusqu'à présent. Nous passons beaucoup de temps à résister, à lutter, à rejeter, à ne pas accepter les situations et les gens. Pourtant tout est impermanent. Nous ne désirons que ce qui est plaisant, agréable et bénéfique, mais cela génère beaucoup d'anxiété et de souffrance. Si nous permettons aux choses d'être ce qu'elles sont, si nous les acceptons, nous ressentons alors une grande paix.

Avec l'équanimité, chaque instant est parfait, notre cœur s'ouvre à ce qui est plaisant, tout comme à ce qui est déplaisant. Nous sommes tolérants vis-à-vis de ce qui est désagréable. Par la pratique, l'équanimité se développe et nous devenons capables de lâcher prise, d'accepter et de voir les choses telles qu'elles sont réellement. La sagesse et la compréhension émergent tout naturellement.

Nous ne pouvons pas faire surgir ces qualités, ces facteurs d'illumination par notre volonté. Ils ne se développent que grâce à la pratique, à une motivation et une intention sincères, au désir d'être présent, avec patience. Quand ces qualités sont pleinement développées, l'esprit devient lumineux et clair, plein de joie, de paix et de liberté. Nous pouvons enfin vivre harmonieusement et heureux.
Référence

↑ « Équanimité » [archive], sur CNRTL (consulté le 11 juillet 2013).
↑ La pratique des Quatre Illimitées de Matchik Labdreun (extrait de son ouvrage « Enseignements complets »)[lire en ligne [archive] (page consultée le 25 avril 2017)].

L'euthymie (du grec eu, bien, heureux et thymia, l'âme, le cœur) constitue le concept central des pensées morales de Démocrite qui la présente comme une disposition idéale de l'humeur correspondant à une forme d'équanimité, d'affectivité calme et de constance relative des états d'âme.

Démocrite (-460..-370) préconise l'euthymie comme règle de vie, comme idéal de constance sereine, de santé psychique.

Épicure (-342..-306) précise la formule en distinguant l'« aponie », absence de douleur physique, et l'« ataraxie », absence de troubles de l'âme (et de l'esprit). Le plaisir authentique est l'alliance de l'aponie et de l'ataraxie. C'est là le sommet de ce que l'homme peut atteindre, le vrai plaisir, loin des états dysthymiques de la mélancolie (bile noire) et de la manie (exaltation).

Dans son traité Des fins, Cicéron (-106..-43) appelle l'euthymie le « souverain Bien », alors que Sénèque préfère l'appeler tout simplement « tranquillité »1.
Références

↑ De la tranquillité de l’âme — Réponse de Sénèque. 2.3 [archive]

Lien externe

Thumos : le cœur et la raison [archive]

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LE PEUPLE S'INTÉRESSE AUX ORIGINES ET IL EST PRÉOCCUPÉ PAR SON ASSIETTE, SON ASCENSION, SES DROITS, SES CONVICTIONS, SES CONSCIENCES DANS LA PRIÈRE ET LA VIE; LE PEUPLE N'EST PAS UNE MASSE INERTE CAR IL S'AGIT D'UN CORPS, D'UNE ENTITÉ PHYSIQUE ET MORALE. TAY

CETTE PHRASE, CET PHRASE OU CET'TE' PHRASE CAR L'ÉCRITURE INCLUSIVE RAMÈNE L'ÉGALITÉ DES SEXES DANS LES MOEURS ET LES MOUVEMENTS DE L'ORTHOGRAPHE. TAY

DIT DU
CITOYEN TIGNARD YANIS...
ECRIT DE
TAY
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MessageSujet: Re: LE SCEPTICISME, LE FUNESTE, LE RATIONNEL ET L'ÉQUANIMITÉ   LE SCEPTICISME, LE FUNESTE, LE RATIONNEL ET L'ÉQUANIMITÉ EmptyLun 20 Nov à 10:19

LE PEUPLE S'INTÉRESSE AUX ORIGINES ET IL EST PRÉOCCUPÉ PAR SON ASSIETTE, SON ASCENSION, SES DROITS, SES CONVICTIONS, SES CONSCIENCES DANS LA PRIÈRE ET LA VIE; LE PEUPLE N'EST PAS UNE MASSE INERTE CAR IL S'AGIT D'UN CORPS, D'UNE ENTITÉ PHYSIQUE ET MORALE. TAY

CETTE PHRASE, CET PHRASE OU CET'TE' PHRASE CAR L'ÉCRITURE INCLUSIVE RAMÈNE L'ÉGALITÉ DES SEXES DANS LES MOEURS ET LES MOUVEMENTS DE L'ORTHOGRAPHE. TAY

Le scepticisme classique et moderne

La période classique et moderne constitue un effort pour briser le scepticisme pessimiste de la Renaissance, en particulier chez les rationalistes comme Descartes et Kant. Leurs œuvres consistent en une prise en compte de l'état de fait sceptique, pour ensuite sauver la connaissance et la métaphysique.
René Descartes, d'après Frans Hals

En France, le scepticisme se développe, sur la souche commune de Montaigne, dans deux directions différentes comme une stratégie de résistance de l'individu.

D'une part de grands lettrés, serviteurs du nouveau pouvoir monarchique, observent, au premier rang, son fonctionnement et mettent ainsi au point une technique pyrrhonienne de double parole (ce qu'on dit en public, sous contrainte ou par servitude volontaire; ce qu'on dit et pense par devers soi et entre amis, une skepsis critique). Deux figures centrales se détachent qui jouirent d'un immense prestige européen :

sous Louis XIII et la jeunesse de Louis XIV, François de La Mothe Le Vayer dont les travaux et la pensée redonnent au scepticisme antique une véritable actualité européenne, auteur de nombreux traités sceptiques (par prudence les premiers sont publiés sous un pseudonyme) 2.
Sous Louis XIV, Pierre-Daniel Huet qui, pour se disculper d'accusations d'athéisme pyrrhonien devra attaquer Descartes (Nouveaux mémoires) 3.

Pierre Bayle est également un grand sceptique français4, dont les thèses furent discutées par Leibniz dans les Essais de théodicée (1710).

D'autre part, Descartes et ses disciples qui partent d'une nouvelle définition de la souveraineté du sujet pensant, de l'individu, et pour qui le doute sceptique n'est qu'une étape de la pensée. Le refus du double langage amènera Descartes à se retirer de la vie politique en raison de son désaccord avec ses contemporains sceptiques. Pour lui, on ne peut prouver que notre perception actuelle soit fiable, qu'on ne soit pas par exemple en train de rêver, sinon par la certitude de l'existence de Dieu. Le scepticisme de Descartes s'inspire fortement de celui de Montaigne (Les Essais). On peut considérer que Descartes est plus proche de Montaigne du point de vue des principes fondamentaux de sa pensée que des philosophies rationalistes ultérieures.[réf. nécessaire] Chez lui le scepticisme est le premier pas vers la connaissance. Il est un moment à dépasser pour construire un savoir. C'est sur le doute qu'est bâti son "Discours de la méthode", mais il ne faut pas perdre de vue que son objectif principal est de renverser le scepticisme ambiant, en montrant qu'il est possible d'avoir des connaissances. Montaigne doute pour douter, alors que Descartes doute pour ne plus douter.
David Hume

Ces deux directions structurent le scepticisme du XVIIIe siècle - Huet, La Mothe Le Vayer, Descartes sont quasiment mis sur pied d'égalité comme source d'influence.

Hors de la France, d'autres philosophes avancent de nouvelles thèses sceptiques. On retient surtout :

David Hume : nous n'avons aucune preuve que les représentations du monde que nous fournissent les données des sens constitue une connaissance fiable de ce monde, notre connaissance s'arrêtant aux données des sens. Hume intègre ainsi le scepticisme dans le but de renforcer les théories empiristes, en invalidant toute possibilité de réflexion métaphysique classique.
Kant : notre perception a lieu dans l'espace et le temps, structures transcendantales de notre esprit, ainsi nous ne pouvons jamais « connaître » le monde en soi (intemporel et non spatial), mais nous pouvons néanmoins penser des objets en transcendant l'expérience (les idées régulatrices de la connaissance).

Le scepticisme de la Renaissance

On fait souvent commencer l'époque moderne avec l'invention de l'imprimerie en 1453, qui va amplifier ce que l'on a coutume d'appeler la Renaissance, née en Italie (Rinascimenta) aux XIVe et XVe siècles. Le premier livre imprimé sera la Bible, qui sera ainsi diffusé à un nombre d'exemplaires beaucoup plus important qu'auparavant. Il sera de plus traduit dans les principales langues vernaculaires européennes. La connaissance du Livre sacré ne sera plus l'apanage d'intellectuels maîtrisant la langue latine, comme c'était le cas au Moyen Âge. Le peuple va ainsi prendre conscience de l'écart qui existe trop souvent entre le comportement des hommes d'Église de cette époque et l'esprit de pauvreté requis par l'Évangile. La Réforme protestante est déclenchée par une querelle sur les indulgences accordées par l'Église sous des conditions financières : Luther publie ses 95 thèses en 1517. Il en résulte un scepticisme par rapport aux enseignements de l'Église catholique qui se propage particulièrement dans la partie nord de l'Europe, et qui débouche sur des périodes de troubles religieux - ainsi que l'on appelait les guerres de religion à cette époque - violents et interminables au sein du christianisme. La religion devient une cause de division. L'Europe est déchirée et certains dogmes sont remis en cause par les différents courants protestants.
Michel de Montaigne

Les Grandes découvertes élargissent la vision du monde, et les récits de voyage des explorateurs questionnent les hommes de la Renaissance sur la nature humaine et sur le monde en général. Les écrits des Anciens étaient disponibles depuis plusieurs siècles, mais ils étaient seulement connus par des intellectuels maîtrisant la langue latine1. Les humanistes de la Renaissance reprennent donc la lecture des Anciens, afin de renouveler leur vision du monde. Ils s'expriment plus souvent en langue vernaculaire. Ils ne trouveront que contradictions entre les différentes écoles, sans qu'on puisse raisonnablement donner la préférence à l'une d'elles. Le principal représentant du scepticisme, Montaigne, en déduira qu'il est vain de tenter de découvrir le fonctionnement du monde. Le seul domaine de recherche qui est autorisé au philosophe, c'est sa propre intériorité.

Enfin, la Renaissance est le point de départ d'une remise en cause des certitudes concernant l'astronomie et la physique. La publication du De revolutionibus de Copernic en 1543 remet en cause la croyance en un monde centré sur la Terre (géocentrisme), et lui substitue progressivement un monde centré sur le Soleil (héliocentrisme). Néanmoins, l'impact de cette « révolution copernicienne » sur la société dans son ensemble ne se fera sentir qu'à long terme, avec Galilée (observations dans le système solaire et remise en cause de la physique aristotélicienne) et Newton (théorie de la gravitation universelle) au XVIIe siècle, mais plus encore aux XVIIIe et XIXe siècles, à cause du temps nécessaire pour que les idées se propagent et que les mentalités changent vraiment : ce n'est qu'au début du XXe siècle que Freud perçoit a posteriori un traumatisme dans le domaine de la connaissance humaine, qu'il qualifiera de blessure narcissique (avec deux autres blessures : la théorie de l'évolution de Darwin, puis la psychanalyse). L'homme n'est plus au centre du monde, sa certitude de vivre dans un monde harmonieux vole en éclats. Il n'y a plus ni ordre, ni place prédéterminée.

Période contemporaine

Le scepticisme se retrouve aujourd'hui dans des courants de pensée tels que les différentes formes de constructivisme[réf. nécessaire], qui proposent une philosophie de la connaissance d'inspiration clairement sceptique, ou le constructivisme social[réf. nécessaire].

Il existe enfin un scepticisme scientifique, qui cherche à promouvoir la science, la pensée critique et à soumettre les pseudo-sciences à la méthode expérimentale. En France, ce mouvement est connu sous le nom de zététique. Il n'a cependant aucun lien avec le scepticisme philosophique au sens strict5, le mot « sceptique » devant dans son cas être entendu dans son sens courant.

Les études récentes en rhétorique comme critique philosophique, avec Barbara Cassin et Philippe-Joseph Salazar développent une réflexion limitrophe du scepticisme, vers la sophistique et vers la politique.

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MessageSujet: Re: LE SCEPTICISME, LE FUNESTE, LE RATIONNEL ET L'ÉQUANIMITÉ   LE SCEPTICISME, LE FUNESTE, LE RATIONNEL ET L'ÉQUANIMITÉ EmptyLun 20 Nov à 10:22

Discussion du scepticisme
Arguments des sceptiques

Les sceptiques mettent en garde contre les affirmations absolues avec les arguments principaux suivants 7:

De fait les opinions exprimées se révèlent diverses, versatiles et contradictoires.
Les sensations ou opinions sont relatives au sujet qui les éprouve : en effet un même homme peut, selon les circonstances, être diversement affecté par un objet. Santé, maladie, sommeil et veille, mouvement et repos, âge, position et lieu conditionnent les perceptions. Montaigne, s'il semble parfois se complaire sur le doute comme sur un « mol oreiller », veut surtout nous rappeler « qu'il est lui-même la matière de son livre » et que ses propos sont relatifs à sa personne.
Toute chose n'a qu'un statut relatif, en relation avec une infinité d'autres : la connaissance du moindre objet suppose que l'on soit capable d'établir son rapport avec tout l'Univers.
Les arguments et preuves avancées doivent être eux-mêmes prouvés.

Contestation du scepticisme

Hume assimile le doute sceptique à « une maladie de l'esprit ». Kant, dans sa Critique de la raison pure, qualifie les sceptiques de « nomades, sans domicile fixe »8.

Le scepticisme en Asie

Nagarjuna, fondateur de l'école bouddhique Madhyamaka, dont la méthode rappelle les Esquisses pyrrhoniennes de Sextus Empiricus, nie l'être aussi bien que le non-être : rien n'a de nature propre, toute connaissance phénoménale n'est que conventionnelle. De façon plus générale, le bouddhisme, comme le scepticisme, nie la catégorie de substance et ne voit que « vacuité » (absence de nature propre qui ferait qu'une chose serait indépendante des autres choses, ce qui rejoint aussi la notion de coproduction conditionnée) dans les phénomènes aussi bien que dans l'Absolu (nirvāna).

Edward Conze, érudit bouddhiste, souligne la proximité du bouddhisme (particulièrement du Madhyamaka) avec le scepticisme pyrrhonien :

Être libre de passions est le grand but de la vie, et l'équanimité est l'attitude qu'on doit s'efforcer de cultiver. Toutes les choses extérieures sont les mêmes, il n'y a pas de différence entre elles, et le sage ne distingue pas entre elles. Pour gagner cet état d'indifférence on doit sacrifier tous les instincts naturels. Toutes les opinions théoriques sont pareillement sans fondement, et il faut complètement s'abstenir de formuler des propositions et de passer des jugements. Dans la philosophie de Pyrrhon, il y a la même distinction entre la vérité conventionnelle, les apparences (phainomena) d'un côté, et la vérité ultime (adêla) de l'autre. La vérité ultime est complètement cachée : "Je ne sais pas si le miel est doux, mais je suis d'accord qu'il m'apparaît tel."6

Le scepticisme antique
Doctrine générale
Sextus Empiricus

D'après Sextus, la philosophie sceptique (dans sa période tardive) est une philosophie non dogmatique dont le principe méthodologique est d'opposer à toute raison valable, et sur tout sujet, une raison contraire et tout aussi convaincante. Le but de cette recherche, que l'on peut qualifier de logique, est de détruire les fausses opinions que nous soutenons à tout propos et qui nous rendent malheureux en nous trompant sur la nature des choses. Ce dernier point peut être rapproché de l'épicurisme ; mais la comparaison s'arrête là, car le sceptique entend bien rester dans l'ignorance en n'admettant rien qui soit douteux. Il ne formule pas d'hypothèses, mais laisse toujours ouverte la possibilité d'une réfutation.

En revanche, la réalité des phénomènes est tenue pour certaine, c'est-à-dire que l'apparence est telle qu'elle nous apparaît. Il ne dit pas : « cet objet (comme substance) est tel (qualité intrinsèque) » ; mais : « cet objet, en tant qu'il m'apparaît, apparaît avec telle qualité sensible ». Du point de vue de la connaissance, cela revient à nier la catégorie de substance, pour n'affirmer que des apparences liées sans substrat métaphysique ; d'un point de vue moral, cette distinction permet d'établir des règles de vie issues de l’expérience : en général, le sceptique suit les croyances établies, même s'il n'y croit pas. Les opinions du sens commun lui sont indifférentes : telle est la conclusion morale de cette philosophie, l'ataraxie et l'acatalepsie (la tranquillité et l'absence d'une souffrance qui serait due à une compréhension dite incomplète).

Selon Victor Brochard, le scepticisme, dans ses formulations les plus rigoureuses, est une véritable méthode scientifique, comparable à l'esprit scientifique moderne. En effet, ne posant aucune hypothèse d'ordre métaphysique, le scepticisme n'interdit pas d'étudier les phénomènes et d'en faire la théorie. Mais il faut dire toutefois que ces philosophes ne semblent pas avoir eu conscience de la nouveauté épistémologique de leur doctrine, trop occupés qu'ils étaient dans leur recherche de l'indifférence heureuse.
Histoire du scepticisme antique

Cette philosophie ne semble prendre une forme systématique qu'au Ier siècle apr. J.-C. (ou quelques décennies av. J.-C.), avec Arcésilas de Pitane, Carnéade, Énésidème, Agrippa puis Sextus Empiricus. Mais, avant eux, la Nouvelle Académie paraît être la véritable héritière du scepticisme pour la période IIIe - Ier siècle av. J.-C. Nous possédons deux œuvres de Sextus Empiricus, les esquisses pyrrhoniennes et Contre les professeurs. Ce qu'ont enseigné les autres sceptiques est difficile à établir avec certitude.
Les origines

D'après Diogène Laërce (IX, 71), certains sceptiques faisaient remonter l'origine de leur pensée à Homère et aux sept sages. On trouve en effet très tôt des formules sceptiques dans la culture grecque : Rien de trop par exemple.

Mais on trouve également des interrogations sur la possibilité de la connaissance chez les Présocratiques :

À cause de la faiblesse de nos sens, nous sommes impuissants à distinguer la vérité. Anaxagore
La vérité est au fond du puits. Démocrite
Il n'y a jamais eu, il n'y aura jamais un homme qui connaisse avec certitude ce que je dis des dieux et de l'univers. Quand même il rencontrerait la vérité sur ces sujets, il ne serait pas sûr de la posséder : l'opinion règne en toutes choses. Xénophane de Colophon

Protagoras affirme que sur tout sujet, on peut opposer des raisons contraires (Diogène Laërce, IX, 51). Socrate affirme que tout ce qu'il sait, c'est qu'il ne sait rien. De nombreux aspects de ce qui s'appellera plus tard le scepticisme imprègnent ainsi la civilisation de la Grèce. Mais leur synthèse en un système philosophique cohérent prendra encore quelques siècles.
L'ancien scepticisme

Nous savons peu de choses sur l'ancien scepticisme, qui paraît n'être essentiellement qu'un scepticisme pratique :

Voir articles détaillés Pyrrhon et Timon de Phlionte

La Moyenne et la Nouvelle Académie

La IIe Académie ou Moyenne Académie (Academia media), d'orientation sceptique, fut fondée vers 268 av. J.-C. par Arcésilas de Pitane, cinquième scolarque. Il prétendait que l'on ne peut rien savoir. Il a introduit, plutôt que Pyrrhon, le concept de suspension du jugement, épochê, pour demeurer sans opinion et n'accepter que le raisonnable.
La IIIe Académie ou Nouvelle Académie (Academia nova) au sens strict, d'orientation probabiliste, sans tomber dans un scepticisme absolu, enseignait que l'on ne peut atteindre que le probable (pithanon). Les représentations vraies sont indiscernables des représentations fausses, dans la pratique il faut user du probable et du vraisemblable, mais l'entendement conquiert sa faculté de douter. La Nouvelle Académie eut comme scolarques, recteurs : Lacydès en 241 av. J.-C. (sixième scolarque), Téléclès en 208 av. J.-C. (septième), Évandre (huitième), Hégésinus (neuvième), Carnéade en 186 av. J.-C. (c'est le plus important des scolarques), Clitomaque en 128 av. J.-C. (onzième scolarque).

Article détaillé : Nouvelle Académie.

Selon Sextus Empiricus, les théories de la nouvelle académie diffèrent du scepticisme sur deux points.

D'abord, la nouvelle académie prétend que les choses sont insaisissables. Pour le sceptique, il est impossible de déterminer si les choses sont saisissables ou non, car l'affirmation selon laquelle rien n'est saisissable est encore dogmatique. Le sceptique se contente de suspendre son jugement.

Les membres de la nouvelle Académie, même s'ils disent que toutes les choses sont insaisissables, diffèrent sans doute des sceptiques d'abord justement en disant que toutes les choses sont insaisissables (en effet, ils assurent cela, alors que le sceptique s'attend à ce qu'il soit possible que telle chose soit saisissable) - Esquisses pyrrhoniennes, I, 226

De plus, les néo-académiciens recherchent le plausible, en dictant une échelle de valeur composée, en bas, de l'impression simplement plausible; au milieu, de l'impression plausible et examinée et en haut, de l'impression plausible, examinée plusieurs fois et indubitable. Cela les mène à choisir pour critère de vie (c'est-à-dire du critère qui déterminera nos actions, nos choix quotidiens) la recherche de ce fortement plausible, alors que le sceptique, ne déterminant rien, ne suit que ses perceptions et les normes de l'endroit où il vit.

Mais nous différons aussi de la nouvelle Académie sur ce qui conduit à la fin, car les hommes qui affirment se conformer à sa doctrine ont recours au plausible au cours de leur vie, alors que nous-mêmes vivons sans soutenir d'opinion en suivant les lois, les coutumes et nos affects naturels. - Esquisses pyrrhoniennes, I, 231

Le néo-pyrrhonisme

Il semble bien que le scepticisme n'atteint à sa conceptualisation la plus rigoureuse qu'à cette époque, avec des sceptiques que l'on a parfois qualifiés de dialectiques :

Voir articles détaillés Énésidème et Agrippa

Plus ou moins différenciée du scepticisme dialectique, il exista également une branche empirique de cette école, branche particulièrement liée à la médecine et à l'expérimentation scientifique :

Voir articles détaillés Ménodote de Nicomédie et Sextus Empiricus

Scepticisme au sens large

Le fondement du scepticisme de l'après Moyen Âge est que science, matérialisme et athéisme sont trois positions philosophiques intimement liées, c'est-à-dire que l'une ne va pas sans l'autre.
Scepticisme et pragmatisme

Selon le Théorème de Cox-Jaynes, il est nécessaire d'accorder un crédit provisoire à quelques idées non vérifiées (éventuellement fausses, donc), en vue de créer les expériences qui les infirmeront ou non (cette idée étant aussi ancienne que le scepticisme). Par remises en cause successives, des considérations de diminution d'entropie montrent que les idées de différents observateurs (qui ont des a priori différents) convergeront vers une vision unique là où une réalité sous-jacente objective existe, et est observable d'une manière ou d'une autre. Ce théorème lève également les doutes qui planaient sur le mécanisme (également baptisé scandale par Bertrand Russell), de l'induction. Voir aussi inférence bayésienne.


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MessageSujet: Re: LE SCEPTICISME, LE FUNESTE, LE RATIONNEL ET L'ÉQUANIMITÉ   LE SCEPTICISME, LE FUNESTE, LE RATIONNEL ET L'ÉQUANIMITÉ EmptyLun 20 Nov à 10:23

La méta-éthique désigne la partie de la philosophie morale qui analyse les concepts fondamentaux de l'éthique, leurs présupposés épistémologiques et leur signification. Elle va de pair avec l'éthique normative, dont elle est censée définir les fondements. La méta-éthique s'intéresse par exemple à la signification de concepts moraux comme bon, juste, devoir, mais aussi conscience morale, fin ; elle est aussi appelée pour cette raison éthique analytique[réf. nécessaire].

Il existe deux grands courants qui se recoupent en partie : le non-cognitivisme et le cognitivisme moral.

Sommaire

1 Étymologie
2 Histoire de la méta-éthique
3 Concepts fondamentaux de la méta-éthique
4 Bibliographie

Étymologie

Le terme méta-éthique vient du mot grec méta (par-delà, après) et d'un autre mot grec : « éthique ». La méta-éthique est « par-delà » l'éthique dans la mesure où elle n'a pas pour but de définir de nouvelles normes ou lois morales mais d'étudier la nature des énoncés éthiques eux-mêmes. Elle ne dit pas par exemple « tu dois agir de cette manière » mais analyse la nature de tels énoncés impératifs. À travers l'application d'une échelle de la complexité à toutes les dimensions de la personne, de ses liens à toutes les parties prenantes et dans toutes les composantes de sa vie, l'intelligence sociale propose une articulation mesurable de la méta-éthique.
Histoire de la méta-éthique

Le développement de la philosophie morale au cours du XXe siècle est allé de pair avec la revendication d'autonomie. Ce mouvement a été amorcé par le philosophe britannique G. E. Moore, auteur de l'ouvrage qui est à l'origine de la philosophie morale contemporaine, Principia Ethica (1903). Il part du constat que l'éthique est sui generis et par conséquent qu'elle constitue un domaine d'étude à part entière.

C'est de cette spécificité que naît la méta-éthique, c'est-à-dire l'étude de l'éthique non pas dans son contenu, mais dans ses fonctionnements fondamentaux. Une autre conséquence de la spécificité de l'éthique est l'irréductibilité des valeurs aux faits, c'est-à-dire l'impossibilité en tant qu'êtres finis observant une réalité infinie, de produire des constructions morales prétendant à une validité générale. La méta-éthique s'est donc séparée de la philosophie pratique, entendue comme réflexion sur l'action morale. Cette branche de la philosophie morale a dominé les esprits pendant toute la première partie du XXe siècle.
Concepts fondamentaux de la méta-éthique

Non-cognitivisme
Expressivisme
Fictionnalisme
Universalisme moral
Subjectivisme moral
Prescriptivisme universel
Naturalisme moral

Bibliographie

Alfred Jules Ayer, Langue, vérité et logique, 1981
Richard Mervyn Hare, La langue de la morale
Angèle Kremer-Marietti, L'éthique en tant que méta-éthique, Paris, L'Harmattan, 2002
Moore, George Edward, Principia Ethica, Reclam
Franz Rosenzweig, L'Etoile de la Rédemption, 2003 [1919], Seuil, coll. La couleur des idées
Charles Leslie Stevenson, Ethics and language, New Haven, Conn. 1960
A. C. Zielinska (éd.), Textes-clés de métaéthique : connaissance morale, scepticismes et réalismes, Paris, Vrin, 2013

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MessageSujet: Re: LE SCEPTICISME, LE FUNESTE, LE RATIONNEL ET L'ÉQUANIMITÉ   LE SCEPTICISME, LE FUNESTE, LE RATIONNEL ET L'ÉQUANIMITÉ EmptyLun 20 Nov à 10:34

Éthique et philosophie morale
Disciplines Axiologie · Bioéthique · Philosophie de l'action · Philosophie pratique · Méta-éthique · Morale · Éthique appliquée · Éthique descriptive · Éthique normative
Concepts Absolutisme moral · Absolutisme gradué · Acrasie · Action · Ataraxie · Autonomie et Hétéronomie · Bien et Mal · Bonheur · Conscience morale · Destin · Dignité · Dilemme · Droit et Devoir · Droits de l'homme · Euthymie · Impératif catégorique · Justice · Liberté et Libre arbitre · Loi morale · Loi naturelle · Mœurs · Moyen pour une fin · Norme · Respect · Responsabilité · Valeur · Vertu et Vice · Volonté
Doctrines et Courants Altruisme · Anarchisme individualiste · Animalisme · Casuistique · Conséquentialisme · Contractualisme · Cynisme · Déontologie · Égoïsme · Éthique de la discussion · Éthique de l'environnement · Éthique intuitionniste · Éthique minimale · Éthique du care · Éthique de la vertu · Eudémonisme · Fatalisme · Hédonisme · Individualisme · Nihilisme · Perfectionnisme · Réalisme moral · Rigorisme · Théorie du commandement divin · Universalisme · Utilitarisme

http://www.wikipoemes.com/poemes/liste_auteurs_m.php

LA VIE ET L'OEUVRE DE MADAME GUYON

Le Quiétisme historique

Le « Quiétisme » est le nom que prend au dix-septième siècle la résistance de nombreux mystiques dans le monde catholique au primat exagéré des pratiques extérieures (la religion sociale). Il est symétrique de « Piétisme » dans le monde protestant. Des liens s’établiront d’ailleurs entre ces deux mouvances convergeant vers un « christianisme intérieur » sans structure humaine de pouvoir. En témoigneront les échanges entre disciples guyonniens catholiques ou protestants, français, suisses, hollandais, écossais.

Lorsque le quiétisme devient une cause controversée après le succès retentissant de la Guia espiritual de Molinos - huit éditions italiennes voient le jour de 1675 à 1685 - un équilibre paraît encore possible, évitant en terre catholique un « crépuscule » des mystiques, terme repris de l'ouvrage de L. Cognet, Crépuscule des Mystiques, 1958. Le pape Innocent XI cherche d’ailleurs un accord entre « méditatifs » et « contemplatifs ».

Le quiétisme méditerranéen était connu de Madame Guyon. Elle rencontra le mystique Malaval à Marseille. Elle séjourna près d’un an en Piémont, à Turin et dans le diocèse de Verceil, où, en compagnie de son confesseur elle se lia avec l’évêque Ripa : ils entreprirent un apostolat commun : en 1686, le P. Lacombe fit imprimer son Orationis mentalis analysis, Madame Guyon son Explication de l’Apocalypse, l’évêque Ripa son Orazione del cuore facilitata.

Madame Guyon arrive à Paris en 1686 dans un cadre religieux troublé. Car la situation favorable à Molinos s'est détériorée assez brusquement, tout comme avait été rapide son ascension. Emprisonné depuis le 18 juillet 1685, sa Guia fut condamnée par l’Inquisition espagnole le 24 novembre suivant. Suivra la condamnation à Rome post-mortem du « pré-quiétiste » mystique Jean de Bernières (1602-1659), l'auteur français d'un célèbre Chrétien intérieur. Or on n’ignorait pas à l’époque son influence sur le cercle de Montmartre créé par son disciple, le confesseur Jacques Bertot (1620-1681). C'est ce même cercle parisien que va animer la Dame directrice à son retour de voyage…
Le Quiétisme mystique

Tout ce combat pour quelles « idées » ? Que recouvre pour les critiques français l’étiquette de quiétiste ? Les protagonistes de la querelle ont comme perspectives la question de la cessation des actes, et celle de l'absence possible de toute pensée pendant l’oraison. C’est alors que l’inaction prend son sens moderne de perte de temps, alors qu'il s'agit d'action intérieure mystique, in-action. Les uns, s’attachent à une représentation intellectuelle, les autres, dans la tradition transmise par Benoît de Canfeld (1562-1610), font intervenir la volonté, la fine pointe de l’âme chère à François de Sales (1567-1622), ou « cœur », siège de la volonté :

« Mme Guyon met l'oraison du coeur au-dessus de « l'oraison de seule pensée » [dans son Moyen court] car la pensée est discontinue, l'esprit ne pouvant penser à une chose qu'en cessant de penser à une autre, tandis que l'oraison du cœur n'est point interrompue ... tandis que Bossuet s'oppose, comme Nicole, à une foi nue et à un amour qui ne reposerait sur une connaissance, tout en refusant à la fois un retour sur soi et un retour sur une simple présence de Dieu. Les « actes intérieurs » sont produits par l'attention, et, selon Bossuet, disposent à l'attention… » [Article « Quiétisme » du Dictionnaire de spiritualité, par J. Le Brun, col. 2820 sv.]

Au niveau sémantique, quiétisme renvoie donc à « l’oraison de quiétude » qui se distingue de « l’oraison discursive ». Le disciple mystique défenseur de Jean de la Croix éclaire ces points :

« La contemplation est parfaite, elle s'exerce non seulement au-dessus de la raison, mais aussi sans appui sur elle, lorsque l'entendement connaît par la lumière divine les choses que n'atteint aucune raison humaine … Beaucoup de contemplatifs pratiquent le premier point, c'est-à-dire abandonner tous les actes de la raison, se dépouiller de toutes les similitudes de la connaissance naturelle, et entrer sans tout cela en l'obscurité de la foi comme Moïse dans la nuée qui recouvrait le sommet de la montagne ; mais se reposer là comme lui en totale quiétude d'esprit, bien rares sont ceux qui s'y adonnent : au contraire, en cette obscurité, l'intention de leur esprit est appliquée à la connaissance, leur entendement cherchant à toujours reconnaître son propre acte, quand même serait-ce en cette obscurité de foi. Et cette démangeaison et ce mouvement qui consiste à vouloir reconnaître toujours son propre acte en y inclinant l'intention de l'esprit, s'opposent à ce que nous avons vu par ailleurs de la doctrine de saint Denys : non seulement l'entendement doit abandonner toutes les choses créées et leurs similitudes, mais il doit aussi s'abandonner lui-même en se mettant en quiétude quant à toute son opération active, aussi élevée soit-elle, afin d'être mû par Dieu sans attache ni résistance de sa part. » [José de Jésus-Maria Quiroga, 1562-1629, Apologie mystique…, Chap. 6, « Où l'on expose plus à fond cette quiétude de la contemplation…].

L’opposition naît de la variété des expériences intérieures qui se situent à divers niveaux. Certains analystes modernes s’attachent à distinguer entre les couches successives de conscience atteintes par des « plongées » plus ou moins actives et profondes (avec le risque de se limiter à l’humain décrit au niveau conscient ou approché au niveau de ses rêves). Le mystique y voit des reflets traduisant une lente évolution intérieure rendue possible lorsque s’exerce une influence qui se situe au-delà de l’humain : la grâce divine.

Allant au-delà de la distinction entre des types d’oraison, il s'agit d'inclure toute la vie, aussi bien extérieure qu’intérieure. Un grand calme déborde peu à peu des temps d’oraison, signe de l'imprégnation par la grâce, qui est une émanation de l’amour divin par in-action. Alors l’attention aux expériences, aux étapes, aux ruptures, laisse place à l’état de grand large, le vaisseau ayant atteint l’océan sans rivage. Madame Guyon décrit finalement un tel « état apostolique » :

« Cet état néanmoins n’est point une sortie de la créature au dehors pour parler, agir et produire les effets de la vie apostolique. L’âme n’y a point de part : elle est morte et très anéantie à toute opération. Mais Dieu, qui est en elle essentiellement en Unité très parfaite où toute la Trinité en distinction personnelle Se trouve réunie, sort Lui-même au-dehors par Ses opérations : sans cesser d’être tout au-dedans et sans quitter l’unité du Centre, Il se répand sur les puissances… » [Discours Chrétiens et Spirituels sur … la vie intérieure…, 1716 : tome II, n°65 sur l’état Apostolique.]

NAQUIT LA COLÈRE MILITANTE DE L'ENTHOUSIASME DEVANT LA PÉRIODE D'EXAMEN ET DE CRITIQUE:

LE SENS, LA PORTÉE, LE FUNESTE, LES BIENFAITS ET L'OBJET DANS LE FEU DE PAILLE...

ECRIT DE
MONSIEUR TIGNARD YANIS
AU SUJET DE
TAY La chouette effraie.

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MessageSujet: Re: LE SCEPTICISME, LE FUNESTE, LE RATIONNEL ET L'ÉQUANIMITÉ   LE SCEPTICISME, LE FUNESTE, LE RATIONNEL ET L'ÉQUANIMITÉ EmptyMer 27 Mai à 8:18

Dans la mythologie égyptienne, Hathor (du grec ancien Άθώρ / Háthôr signifiant « Maison d'Horus ».), est l'héritage de l'amour, de la beauté, de la musique, de la maternité et de la joie. C'est à l'origine une incarnation céleste confondue avec Nout ou la nature sauvage. Après des guerres sur l'interprétation et les métamorphoses à donner sur les variations alchimistes et naturelles, Rê remplace Shou en tant que père de Geb et Nout. Ainsi, Nout assume en partie la fonction de Hathor comme maîtresse du sycomore, l'arbre qui assure aux défunts boisson et nourriture, et Hathor est représentée partiellement comme une déesse céleste. Son attribut est le ménat (collier à contrepoids). Considérée comme l'œil de Rê, c'est elle qui, dans la version de l'Ogdoade d'Hermopolis, châtie les humains.

Hathor a pour parèdre Horus (son nom signifie « Demeure du dieu Horus », ce qui fait d'elle l'épouse du dieu-faucon) et pour fils Harsomtous (surnommé Horus le jeune) et Ihi !
Dans la mythologie égyptienne, Ihi (ou Ihy) est le dieu enfant de la joie, fils de la déesse Hathor (et du dieu Horus ?). Il est représenté nu portant une cape et portant la mèche de l'enfance (mèche que l'on ne coupait qu'au passage à l'âge adulte) et jouant du sistre (son objet symbolique) ou l'index pointé vers la bouche (signe de l'enfance). On trouve ses représentations sur les murs du temple d'Hathor à Dendérah. On trouve aussi parfois des mentions de Ihi dans le livre des morts et les textes des sarcophages. Faisant partie de la dernière génération de dieux, celle-ci n'est pas très populaire parmi le peuple. Ainsi il fut toutefois adoré à Dendérah où sa mère et lui attendaient chaque année la venue de l'Horus d'Edfou.

Mais elle est plus connue en tant que déesse des festivités et de l'amour. Dans ce rôle, elle est vénérée à Dendérah et associée au dieu Horus, dans la ville d'Edfou. Elle est représentée sous les traits d'une vache, ou d'une femme portant le disque solaire entre ses cornes. Elle est une des déesses les plus populaires et importantes durant tout le long de l'histoire de l'Égypte antique, et est vénérée aussi bien par la famille royale (elle est la nourrice du pharaon) que par les gens du commun, dans les tombes desquels elle est décrite comme « maîtresse de l'Ouest », accueillant le mort dans sa nouvelle vie. Elle aide aussi les femmes à donner naissance, et est la déesse patronne des mineurs.

Elle est également vénérée hors d'Égypte : elle porte les titres de « dame de Nubie », « reine de Libye », « épouse de Syrie » et « grande de Palestine ». Elle est intégrée très tôt au panthéon phénicien en grande « dame de Byblos », mais aussi reine du pays de Pount. L'Introduction aux phénomènes de l'astronome Geminos de Rhodes permet aussi d'attester que l'astronomie de la Grèce ancienne considérait déjà que ses outils scientifiques de modélisation étaient proportionnés par les besoins d'usage au moins autant que par les moyens d'observation disponibles :

"L'astronomie tout entière repose en effet sur l'hypothèse que le soleil, la lune et les 5 planètes se déplacent à vitesse constante [...] Tout en haut, il y a la sphère dite sphère des fixes, sur laquelle se trouve la représentation figurée de toutes les constellations. Gardons-nous de supposer que toutes les étoiles sont situées sur la même surface : les unes sont plus élevées, les autres plus basses ; mais, du fait que la vue ne porte que sur une distance donnée, la différence de hauteur reste imperceptible."

Considérée ainsi en tant qu'outil de projection géométrique de l'univers plus vaste, la sphère céleste est un modèle de cartographie du ciel qui n'a guère eu besoin d'évoluer depuis l'antiquité. La sphère céleste, et par extension l'astronomie sphérique, qui consiste à l'élaboration d'une position céleste projetée sur une sphère imaginaire plus ou moins locale, reste par définition l'outil fondamental en observation astronomique moderne, où elle continue à incarner pleinement ce rôle. Par ailleurs, une urne de pierre trouvée à Hiérakonpolis et datant de la Ire dynastie a sur le rebord une représentation du visage d'une divinité à tête de vache, avec des étoiles sur ses oreilles et des cornes. Cette description peut faire penser à Hathor, ou à Bat, en tant que déesse du ciel. Un autre artefact de la Ire dynastie montre une vache couchée sur un ivoire gravé avec l'inscription « Hathor dans les marais » indiquant son association avec la végétation, et les marais de papyrus en particulier : Hathor est une formule mathématique dans l'éthique médicale sur l'essence et la conscience.

ÉCRIT DU CITOYEN TIGNARD YANIS,
PN 3286 de la Cour Européenne des droits de l'Homme,
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TAY
La chouette effraie
POUR AMANDINE ET LES PEUPLES

LE PAIN EST NÉ DURANT LA PRÉHISTOIRE APRÈS LA DOMESTICATION DU FEU : BEAUCOUP D'ARCHÉOLOGUES OUBLIENT CE FAIT MAJEUR DE NOTRE ÉVOLUTION.

RAPA NUI, L'ÎLE DE PÂQUES... ORIGINAIRE DE HIVA OA...
SITE DE CARAL AU PÉROU JUSQU’À MACHU PICCHU...
SACSYHUMAN, FORTERESSE DES ANDES...
KALASASAYA EN BOLIVIE AU ENVIRON DU LAC TITITACACA...
PUMA PANKU, BÂTISSEUR AVANT LES INCAS...
DES LIENS AVEC LES STRUCTURES DU DÉSERT DE NAZCA, AMANDINE.
NAUPA IGLESIA AU PÉROU.
DEUX ÉPOQUES DE CONSTRUCTIONS : LE TEMPS ET LES DOIGTS.
RÉGION DE BIHAR EN INDE OÙ IL Y A SEPT GROTTES LES PLUS ANCIENNES AVEC DES SOBRIÉTÉS DES LIGNES CARACTÉRISTIQUES DES ANCIENNES ÉPOQUES : UNE HARMONIEUSE ACOUSTIQUE AINSI QU'UNE LOGISTIQUE DE CONSTRUCTION QUI TROUBLE LES PLUS FERVENTS DES CARTÉSIENS SUR L'ÉVOLUTION DES ARCHITECTURES ET LA FARINE...
SERAPEUM EN ÉGYPTE... LE PAPYRUS DE OUED AL BAHZYS SUR LE TRANSPORT DES PIERRES POUR LA CONSTRUCTION DES PYRAMIDES... LEURS BASES SONT OCTOGONALES : LES COULOIRS DANS UNE DÉCLINAISON DE 26 DEGRÉS 18...
ILS SE DEMANDENT AUJOURD'HUI : COMMENT UNE TELLE PERFECTION MATHÉMATIQUE ET ARTISANALE.
TEMPLE DE KARNAK... KHÉOPS : LE CHIFFRE INFINI DE PHI QUI EST 1,618... ABOU GHOURAB...
MÉCANISME D'ANTICYTHERE : GEMINOS, SAVANT GRECQUE...
GOBEKLI TEPE EN TURQUIE, SIX VASTE ENCEINTES OÙ LA CONNAISSANCE DE L'ARCHITECTURE MÉGALITHIQUE EST FASCINANTE. AINSI, LA SPIRITUALITÉ A ENGENDRÉ LA SÉDENTARITÉ ALORS QUE PENDANT DES MILLÉNAIRES, NOUS AVIONS CRU LE CONTRAIRE ! UNE ÉTUDE DE L’ANTHROPOLOGIE QUI EST SACRIFIÉE : C'EST LA PRÉHISTOIRE.
AINSI, IL Y A EU LE DRYAS RÉCENT : -10800 à -9600 AV J.C... DÉCRYPTER N'EST PAS CONNAITRE : BAM, LES ANCIENS BÂTISSEURS DU MONDE IMPLIQUE LE MONDE DANS SA PERCEPTION DE L'ÉCRITURE.
KUMARI KANDAN EN INDE... TEMPLE D'HORUS À EDFOU JUSQU'À SOLON, HOMME D'ÉTAT GREC...
LA SCIENCE EST NÉE AVANT L'ÉCRITURE : IL FAUT DÉCRYPTER LE DESSEIN ET LE DESSIN DANS LA PRÉHISTOIRE... UN SYSTÈME NUMÉRIQUE DE 72 ISSUE DE L'OBSERVATION DE LA NATURE SAUVAGE OÙ L'ON DISTINGUE UNE CEINTURE DE VILLE MÉGALITHIQUE DANS LA PÉRIODE D’ÉVOLUTION DE LA PRÉHISTOIRE VERS L'HISTOIRE : LA DOMESTICATION DU FEU ET LA NAISSANCE DU PAIN PAR L'OBSERVATION ET L'ALCHIMIE... LE MOUVEMENT DU MONDE SE RETROUVE À TOUTES LES ÉPOQUES : L'ARCANE 21 DU MONDE...
L’ŒUF DU MONDE À L'ILE DE PÂQUES : ANGHOR VAT, LA VIE VERS HORUS... LIEN DE STRUCTURES MÉGALITHIQUES LIÉES SUR LE CHIFFRE D'OR ET AUTRES INFINITÉS NUMÉRIQUES AVEC UNE ÉMERGENCE MÉTRIQUE QU'ON SUPPOSAIT IMPOSSIBLE AUX ÉPOQUES CONTEMPORAINES QUI SE GLORIFIAIENT DE CETTE PERCEPTIVE ARCHITECTURALE.
ORION ET SIRIUS EN ANGLE DROIT SELON DES OBSERVATIONS ASTRONOMIQUES EN OBSERVANT UNE ÉVOLUTION DU CIEL D'UN DEGRÉ TOUS LES SIÈCLES : L’ÉNIGME DE PLATON, LE TRIAS RÉCENT ET LA PRÉHISTOIRE DES ÉQUINOXES.
LES GROTTES (IN)ACHEVÉES DE VAPIYAKA ET SUDAMA EN INDE...
L'OBSERVATION, L'EXISTENCE ET L'OMBRE DANS LA RÉALITÉ. LA MATIÈRE (L'UNIVERS), ET L'INFINI : C'EST LA PRÉHISTOIRE VERS LA NATURE SAUVAGE ET LA DOMESTICATION DU FEU... DANS LA PRÉHISTOIRE SONT NÉES LA SCIENCE, L'AGRICULTURE ET L'ÉCRITURE PAR L'OBSERVATION ET L'ORIENTATION QUI ONT PERMIS DE DÉCRYPTER LES SAISONS, LA ROTATION (LE NOMBRIL), L'ÉVÉNEMENT, L'INFINI ET L'EXISTENCE...

SENTIMENTS ET TÉMOIGNAGES
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POUR MA DOUCE AMANDINE ET LES PEUPLES.

LA LOI EST UN MOUVEMENT PHYSIQUE ET L'UNIVERSELLE DICTE SON MOUVEMENT: ELLE N'EST PAS DIVINE ET ELLE SE VEUT ÊTRE JUSTE: C'EST EN CELA QU'ELLE EST PLUS GÉOGRAPHIQUE QUE CORPORELLE. ELLE N'EST PAS MORALE MAIS ELLE DOIT ÊTRE UN BON PHARE.
LES FEMMES NE VEULENT NI LA SUPÉRIORITÉ ET NI LES ÉLOGES : ELLES DÉSIRENT L'ÉGALITÉ DES LOIS DANS LES MARIAGES
ET LA JUSTICE. LEURS PAROLES ONT CONSTRUIT LA CROYANCE ET LA NATION : PAUL Ier ET CATHERINE II NE PEUVENT OBSTRUER
LA CONSCIENCE CAR LE DEVENIR SE MUE EN L'INSTINCT. LE CŒUR QUI CONDUIT L'IMPUR ET LE PIEUX, N'ONT PLUS DE REPÈRE QUAND AU TERME DE DIRE L'IMPURE ET LA PIEUSE, CELA RELÈVE DU BLASPHÈME CAR LA CONSCIENCE EST DIRE INNOCENTS ET INNOCENTES: AINSI SANS LE SAVOIR, LE TERME D'INNOCENCE EST MORT. SENTIMENTS, LA LOI DISTINGUE LA TEMPÉRATURE DU MOTEUR DANS LE MOUVEMENT CLIMATIQUE CAR CE MOTEUR ENGENDRE DES MODIFICATIONS MOLÉCULAIRES DANS L'ATMOSPHÈRE: TOUT CORPS RESPIRE, SE DÉVELOPPE ET TRANSPIRE DANS SA MANIÈRE DE VIVRE. LE DÉVELOPPEMENT POSSÈDE DES DENTS DE REQUINS. LE PEUPLE S'INTÉRESSE AUX ORIGINES ET IL EST PRÉOCCUPÉ PAR SON ASSIETTE, SON ASCENSION, SES DROITS, SES CONVICTIONS, SES CONSCIENCES DANS LA PRIÈRE ET LA VIE; LE PEUPLE N'EST PAS UNE MASSE INERTE CAR IL S'AGIT D'UN CORPS, D'UNE ENTITÉ PHYSIQUE ET MORALE. LA PERSONNE PHYSIQUE VEUT SE CACHER DANS LA PERSONNE MORALE, IL FAIT RÉFÉRENCE POUR S'AFFIRMER, S'EXILER ET MÊME POUR BOUDER: LA CITOYENNE ET LE CITOYEN DOIVENT DISTINGUER LA PERSONNE DE SA PERSONNALITÉ POUR AFFRONTER LA SURVIE.
L'ESPÉRANCE NE DOIT JAMAIS SOMBRER DANS LA RÉSIGNATION : LE SENTIMENT D'ÊTRE SOUFFLE SUR LES OUTILS ET LES SENTIMENTS.
DANS CES MOMENTS OÙ LA CONDITION PERÇOIT LA CONVICTION OÙ LA RÉALITÉ DE L'EMPATHIE SE CONFRONTE À LA RESPONSABILITÉ :
LA CONFIANCE. LA TERRE A ÉTÉ DÉVORÉE PAR LES FLAMMES : LA PERSONNALITÉ DES AUTORITÉS DOIT DÉMONTRER UNE NOUVELLE PERCEPTION DES AMÉNAGEMENTS. LA VIBRATION D'UNE HARMONIE VERS LA JUSTESSE ET LE LONGTEMPS ! SOUFFLE DU CROIRE AVEC SA MANIÈRE DE VIVRE : ALLAH, ÉLOHIM, JÉHOVAH ET YAHVÉ. RIEN N'EST JAMAIS ACQUIS : LA SENSATION EST UN PHOENIX CHERCHANT CES CENDRES POUR RENAÎTRE EN UN RENOUVEAU ET VERS LE FABULEUX. SOUVENIRS ! DANS LES CIRCONSTANCES DES SOUVENIRS ET
EN L'ÉCRIN DU DEVENIR, LA JUSTICE EST LA CONSCIENCE DU SOUFFLE : LA NATURE SAUVAGE ET L’ÉTHIQUE.
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MessageSujet: Re: LE SCEPTICISME, LE FUNESTE, LE RATIONNEL ET L'ÉQUANIMITÉ   LE SCEPTICISME, LE FUNESTE, LE RATIONNEL ET L'ÉQUANIMITÉ EmptyMer 27 Mai à 8:19

LA PRÉHISTOIRE, L'ASTRONOMIQUE ET L'ASTROLOGIQUE OU LES SYNTAXES DE L’ÉCRITURE ET LES ALCHIMISTES DE L'OBSERVATION...
On distingue les signes de feu (Bélier, Lion, Sagittaire), les signes de terre (Taureau, Vierge, Capricorne), les signes d'air (Gémeaux, Balance, Verseau) et les signes d'eau (Cancer, Scorpion, Poissons) pour définir des aspects similaires et particuliers des saisons : eté, automne, hiver et printemps. Sur Terre, la partie visible de la sphère céleste, c'est-à-dire l'hémisphère surplombant l'observateur isolé, est couramment désignée par le terme voûte céleste.
Ce concept d'astronomie sphérique, hérité avec le géocentrisme depuis l'Antiquité, permet de se figurer collés sur une sphère tous les astres tels qu'on les voit depuis la Terre. Il est ainsi possible de les situer facilement dans le ciel, en leur attribuant des coordonnées indépendantes de leur distances réelles avec la Terre. Les pôles Nord et Sud de la sphère céleste géocentrique (voir ci-dessous) prolongent ceux de la Terre ; l'équateur terrestre et l'équateur céleste s'y trouvent sur le même plan.
Bien que cette modélisation formelle de l'univers soit fondamentalement fausse, les rapports de distances entre les objets célestes sont si grands qu'ils permettent à cette modélisation sphérique centrée sur l'observateur d'être pour l'Humanité l'outil cartographique de référence le plus indispensable à l'astronomie de position.

En fonction de la position de l'observateur, on peut distinguer par exemple :

la sphère céleste géocentrique, dont le centre est la Terre ;
la sphère céleste héliocentrique, dont le centre est le Soleil.

Un calendrier est un système de repérage des dates en fonction du temps. Un tel système a été inventé par les hommes pour diviser et organiser le temps sur de longues durées. L'observation des phénomènes périodiques du milieu où ils vivaient - comme le déplacement quotidien de l'ombre, le retour des saisons ou le cycle lunaire - ont servi de premières références pour organiser la vie agricole, sociale et religieuse des sociétés. Dans ce qu'on appelle l'astrologie tropicale (l'astrologie des journaux), les signes du zodiaque sont douze secteurs du cercle de l'écliptique de 30° de longitude chacun comptés à partir du point vernal. Lorsque le Soleil traverse un de ces secteurs, on dit que la personne est née sous le Signe en question. Ainsi, être né sous le signe du Bélier, c'est (selon l'astrologie tropicale) être né entre le 21 mars et le 20 avril, quand le Soleil se situe entre 0° et 30° sur le cerclé des signes (l'écliptique). Ce cercle est celui qui passe au milieu du zodiaque, qui n'est autre que la route des planètes du système solaire vues depuis la Terre autour de cette dernière. La table ci-dessous compare la date d'entrée du Soleil dans les signes, suivant qu'on se place dans une astrologie sidérale (constellations actuelles, et de type astrologie indienne) ou dans une astrologie tropicale (signes de 30° mesurés sur l'écliptique à partir du point vernal dans la tradition classique de Ptolémée), ainsi que les dates d'entrée du Soleil dans les constellations du même nom, en fonction des frontières définies par l'Union astronomique internationale (IAU) en 1930. Ces dates peuvent s'écarter d'un jour en plus ou en moins de la date théorique, du fait du cycle des années bissextiles, et de la précession du périhélie de l'orbite terrestre au cours des siècles.

L'astrologie hindoue, aussi nommée astrologie védique ou Jyotish (qui signifie science de la lumière), est sidérale. Elle prend en compte le décalage dû à la précession des équinoxes, avec une correction, nommée « Ayanamsa », d'environ 24° en 2019 et non de 30° comme dans l'astrologie sidérale. Cette correction varie au fil du temps. Cette astrologie considère uniquement les planètes visibles à l'œil nu. Ces planètes sont dans le signe correspondant à la constellation que l'on observe derrière chacune d'elles. Le tableau ci-après permet notamment de retrouver le signe du soleil en astrologie védique lorsque l'on connait son signe en astrologie occidentale (ex : une personne née le 10 janvier 2019 a son soleil en capricorne (colonne "date tropicale") ; on dit donc qu'elle est Capricorne en astrologie occidentale; elle se retrouve donc en quelque sorte "Sagittaire" (colonne "Zodiaque indien") en astrologie védique car son soleil est observé dans la constellation du Sagittaire).

L'astrologie sidérale, contrairement à l'astrologie tropicale classique et fixe, repère les signes du zodiaque par rapport aux constellations d'étoiles. Pour cette forme d'astrologie, il est nécessaire de tenir compte de l'effet de la précession des équinoxes, qui fait dériver le point vernal d'un degré tous les 72 ans (et donc, décale sensiblement le calendrier lié aux étoiles d'un jour tous les 72 ans). Ce changement progressif conduit à un cycle de 26 000 ans, à l'issue duquel les constellations retrouvent leur place initiale (au mouvement propre des étoiles près). Par conséquent, l'astrologie sidérale a toujours besoin du zodiaque de l'astrologie tropicale (fixe) comme "maître-étalon".
Pour déterminer le signe dans lequel se trouve la Lune ou une planète, il est nécessaire de recourir à une éphéméride, ou à un programme informatique spécialisé en astronomie. De tels programmes permettent de calculer rapidement un horoscope, ce qui permet à l'astrologue de se consacrer à l'interprétation astrologique plutôt qu'au calcul.
Selon l'historien de l'astrologie Jacques Halbronn, le découpage en 12 est indissociable du calendrier et des 12 lunaisons dans l'année6 - l'ensemble des signes constituant un cycle annuel, et non la structure d'un homme - ce qui ne tient absolument pas compte des constellations. Cependant, selon lui, la théorie des aspects (trigones des éléments feu, terre, air et eau) suffisait à découper tout cycle astrologique, à partir des conjonctions se faisant entre une planète et les 4 étoiles fixes dites royales, ce qui ne posait aucun problème au regard de la précession des équinoxes puisque cela ne dépendait aucunement des saisons.
Le mot « calendrier » provient du latin calendarium (« livre de compte ») qui lui-même dérive de calendae (« calendes »), signifiant « qui sont appelées », du verbe calare (« appeler »).
Le mois romain est divisé en trois périodes à l'intérieur desquelles on compte les jours jusqu'au début de la période suivante :

les calendes qui commencent au début de la Nouvelle lune ;
les nones qui débutent le cinquième ou septième jour du mois ;
les ides qui démarrent le jour de la Pleine Lune soit le treizième ou le quinzième du mois.

Le jour des calendes, les pontifes annonçaient la date des fêtes mobiles du mois suivant et les débiteurs dont les échéances étaient indiquées dans les calendaria (« livres de comptes ») à la date concernée devaient payer leurs dettes.

Les calendriers historiques sont fondés sur des unités naturelles de durée définies par des phénomènes astronomiques observables.
Jour...

Un cadran solaire :

Dans toutes les civilisations, l'alternance du jour et de la nuit a, semble-t-il, été l'unité fondamentale du repérage de l'écoulement de l'année. Celle-ci étant due à la rotation de la Terre, le changement du jour n'est pas simultané d'un point à l'autre du globe terrestre.

Le repère de passage d'un jour à l'autre est d'ailleurs une notion arbitraire qui a différé selon les civilisations : la journée peut être mesurée de midi à midi, de minuit à minuit dans le calendrier romain, à partir du coucher du Soleil comme dans les calendriers hébreu, musulman et chinois, ou à partir du lever du Soleil, ce que firent Chaldéens, Égyptiens, Perses et Syriens.

Par convention, le jour est la plus petite unité du calendrier.

Lunaison :

Orbite et phases de la Lune.

Les phases de la Lune étant simples à observer, elles ont fourni un moyen commode de mesure du temps. On utilisait les lunaisons pour compter les temps supérieurs à quelques jours. Dans les civilisations fondées sur la cueillette, comme les Indiens d'Amazonie, qui n'avaient pas besoin de prévoir le rythme des saisons pour des travaux agricoles, la lunaison est longtemps restée après le jour l'unité fondamentale de mesure du temps3.

Le cycle lunaire n'est pas très régulier : il peut varier de 29 jours et 6 heures à 29 jours et 20 heures.

Mais les différentes phases de la Lune présentent l'avantage de savoir à quel moment du cycle on en est par la simple observation des croissants de Lune. Le temps d'une lunaison pourrait être mesuré entre deux Pleines Lunes ; habituellement il l'est plutôt entre deux Nouvelles Lunes5.

Le début peut être déterminé par l'observation, ou par le calcul, ou encore fixé arbitrairement à 29 ou 30 jours.

Dans le calendrier musulman moderne, le début du mois dépend de l'observation du nouveau croissant de Lune : la date de début du mois de ramadan, par exemple, peut être différente dans des pays pourtant limitrophes.

Cycle des saisons :
Stonehenge.

Marquant les saisons, la révolution de la Terre autour du Soleil, c'est-à-dire l'année tropique, semble avoir pris de l'importance avec le développement de l'agriculture. Ce cycle est d'une durée relativement longue et son écoulement est loin d'être aussi facile à repérer que celui du cycle lunaire.

Déterminer la date de phénomènes comme les solstices en observant l'allongement des ombres n'est pas simple6. Les mégalithes des sites de Nabta Playa ou Stonehenge témoignent de pratiques très anciennes mettant en évidence les solstices7 ; selon certaines théories, ces cercles de pierres, ainsi que les formes des temples aztèques et mayas pourraient avoir servi à mesurer les années.

Cette observation fut complétée de celle du trajet apparent du Soleil par rapport aux constellations du zodiaque, le disque de Nebra en est un exemple de l'âge du Bronze.

Le calendrier égyptien, premier calendrier fondé sur l’année solaire, était axé sur les fluctuations annuelles du Nil, mais faisait cependant appel à l'astronomie. La montée des eaux intervenait peu de temps après le lever héliaque de l'étoile Sothis (Sirius) dans le ciel égyptien. Sirius est une étoile double particulièrement brillante ; à l'époque où fut créé le calendrier égyptien Sirius B était une géante rouge9. La réapparition de l'étoile, après qu'elle eut été masquée 70 jours par la lumière du Soleil constituait un spectacle visible à l'œil nu et un repère notable marquant le retour de la saison de la crue.

Observatoire de Gaocheng.

Dans une grande partie des calendriers, il y a quatre saisons : le printemps, l'été, l'automne, et l'hiver. Ces saisons ne sont pas toujours placées de la même façon dans le cours de l'année, et si, par exemple, les Chinois ou les Celtes ont mis l'été de mai à juillet du calendrier grégorien, le solstice d'été, jour le plus long étant à peu près en son milieu, dans le calendrier moderne français, l'été commence avec le solstice d'été.
Combinaison des unités naturelles Les phénomènes astronomiques présentés plus haut étant indépendants, les unités qu'ils définissent ne sont pas commensurables : leur rapport n'est pas un nombre entier.

À notre époque, une année vaut 365,242201 jours ; la durée moyenne d'une lunaison est de 29 jours 12 heures 44 minutes et 2,8 secondes (29,53 jours) ; une année solaire comporte 12,36827 lunaisons. Face à cette difficulté, les peuples ont choisi soit de laisser le calendrier se désynchroniser soit de le recaler empiriquement sur les phénomènes célestes, quitte à perdre la continuité des jours. On dit alors qu'un calendrier est plutôt arithmétique ou plutôt astronomique. La plupart des calendriers sont lunaire ou solaire selon qu'ils privilégient le mois fondé sur les cycles de la lune, ou l’année fondée sur les saisons, c'est-à-dire sur la période de révolution autour du Soleil.

ÉCRIT DU CITOYEN TIGNARD YANIS,
PN 3286 de la Cour Européenne des droits de l'Homme,
LE JUGE DE LA RÉPUBLIQUE DE L'OLIVIER...
MINISTRE DU SECOURISME COMMUN
DE LA RÉPUBLIQUE D’ISRAËL ET DE LA COMMUNAUTÉ PARLEMENTAIRE DE LA PALESTINE
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La chouette effraie
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LE PAIN EST NÉ DURANT LA PRÉHISTOIRE APRÈS LA DOMESTICATION DU FEU : BEAUCOUP D'ARCHÉOLOGUES OUBLIENT CE FAIT MAJEUR DE NOTRE ÉVOLUTION.

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KUMARI KANDAN EN INDE... TEMPLE D'HORUS À EDFOU JUSQU'À SOLON, HOMME D'ÉTAT GREC...
LA SCIENCE EST NÉE AVANT L'ÉCRITURE : IL FAUT DÉCRYPTER LE DESSEIN ET LE DESSIN DANS LA PRÉHISTOIRE... UN SYSTÈME NUMÉRIQUE DE 72 ISSUE DE L'OBSERVATION DE LA NATURE SAUVAGE OÙ L'ON DISTINGUE UNE CEINTURE DE VILLE MÉGALITHIQUE DANS LA PÉRIODE D’ÉVOLUTION DE LA PRÉHISTOIRE VERS L'HISTOIRE : LA DOMESTICATION DU FEU ET LA NAISSANCE DU PAIN PAR L'OBSERVATION ET L'ALCHIMIE... LE MOUVEMENT DU MONDE SE RETROUVE À TOUTES LES ÉPOQUES : L'ARCANE 21 DU MONDE...
L’ŒUF DU MONDE À L'ILE DE PÂQUES : ANGHOR VAT, LA VIE VERS HORUS... LIEN DE STRUCTURES MÉGALITHIQUES LIÉES SUR LE CHIFFRE D'OR ET AUTRES INFINITÉS NUMÉRIQUES AVEC UNE ÉMERGENCE MÉTRIQUE QU'ON SUPPOSAIT IMPOSSIBLE AUX ÉPOQUES CONTEMPORAINES QUI SE GLORIFIAIENT DE CETTE PERCEPTIVE ARCHITECTURALE.
ORION ET SIRIUS EN ANGLE DROIT SELON DES OBSERVATIONS ASTRONOMIQUES EN OBSERVANT UNE ÉVOLUTION DU CIEL D'UN DEGRÉ TOUS LES SIÈCLES : L’ÉNIGME DE PLATON, LE TRIAS RÉCENT ET LA PRÉHISTOIRE DES ÉQUINOXES.
LES GROTTES (IN)ACHEVÉES DE VAPIYAKA ET SUDAMA EN INDE...
L'OBSERVATION, L'EXISTENCE ET L'OMBRE DANS LA RÉALITÉ. LA MATIÈRE (L'UNIVERS), ET L'INFINI : C'EST LA PRÉHISTOIRE VERS LA NATURE SAUVAGE ET LA DOMESTICATION DU FEU... DANS LA PRÉHISTOIRE SONT NÉES LA SCIENCE, L'AGRICULTURE ET L'ÉCRITURE PAR L'OBSERVATION ET L'ORIENTATION QUI ONT PERMIS DE DÉCRYPTER LES SAISONS, LA ROTATION (LE NOMBRIL), L'ÉVÉNEMENT, L'INFINI ET L'EXISTENCE...

SENTIMENTS ET TÉMOIGNAGES
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LA LOI EST UN MOUVEMENT PHYSIQUE ET L'UNIVERSELLE DICTE SON MOUVEMENT: ELLE N'EST PAS DIVINE ET ELLE SE VEUT ÊTRE JUSTE: C'EST EN CELA QU'ELLE EST PLUS GÉOGRAPHIQUE QUE CORPORELLE. ELLE N'EST PAS MORALE MAIS ELLE DOIT ÊTRE UN BON PHARE.
LES FEMMES NE VEULENT NI LA SUPÉRIORITÉ ET NI LES ÉLOGES : ELLES DÉSIRENT L'ÉGALITÉ DES LOIS DANS LES MARIAGES
ET LA JUSTICE. LEURS PAROLES ONT CONSTRUIT LA CROYANCE ET LA NATION : PAUL Ier ET CATHERINE II NE PEUVENT OBSTRUER
LA CONSCIENCE CAR LE DEVENIR SE MUE EN L'INSTINCT. LE CŒUR QUI CONDUIT L'IMPUR ET LE PIEUX, N'ONT PLUS DE REPÈRE QUAND AU TERME DE DIRE L'IMPURE ET LA PIEUSE, CELA RELÈVE DU BLASPHÈME CAR LA CONSCIENCE EST DIRE INNOCENTS ET INNOCENTES: AINSI SANS LE SAVOIR, LE TERME D'INNOCENCE EST MORT. SENTIMENTS, LA LOI DISTINGUE LA TEMPÉRATURE DU MOTEUR DANS LE MOUVEMENT CLIMATIQUE CAR CE MOTEUR ENGENDRE DES MODIFICATIONS MOLÉCULAIRES DANS L'ATMOSPHÈRE: TOUT CORPS RESPIRE, SE DÉVELOPPE ET TRANSPIRE DANS SA MANIÈRE DE VIVRE. LE DÉVELOPPEMENT POSSÈDE DES DENTS DE REQUINS. LE PEUPLE S'INTÉRESSE AUX ORIGINES ET IL EST PRÉOCCUPÉ PAR SON ASSIETTE, SON ASCENSION, SES DROITS, SES CONVICTIONS, SES CONSCIENCES DANS LA PRIÈRE ET LA VIE; LE PEUPLE N'EST PAS UNE MASSE INERTE CAR IL S'AGIT D'UN CORPS, D'UNE ENTITÉ PHYSIQUE ET MORALE. LA PERSONNE PHYSIQUE VEUT SE CACHER DANS LA PERSONNE MORALE, IL FAIT RÉFÉRENCE POUR S'AFFIRMER, S'EXILER ET MÊME POUR BOUDER: LA CITOYENNE ET LE CITOYEN DOIVENT DISTINGUER LA PERSONNE DE SA PERSONNALITÉ POUR AFFRONTER LA SURVIE.
L'ESPÉRANCE NE DOIT JAMAIS SOMBRER DANS LA RÉSIGNATION : LE SENTIMENT D'ÊTRE SOUFFLE SUR LES OUTILS ET LES SENTIMENTS.
DANS CES MOMENTS OÙ LA CONDITION PERÇOIT LA CONVICTION OÙ LA RÉALITÉ DE L'EMPATHIE SE CONFRONTE À LA RESPONSABILITÉ :
LA CONFIANCE. LA TERRE A ÉTÉ DÉVORÉE PAR LES FLAMMES : LA PERSONNALITÉ DES AUTORITÉS DOIT DÉMONTRER UNE NOUVELLE PERCEPTION DES AMÉNAGEMENTS. LA VIBRATION D'UNE HARMONIE VERS LA JUSTESSE ET LE LONGTEMPS ! SOUFFLE DU CROIRE AVEC SA MANIÈRE DE VIVRE : ALLAH, ÉLOHIM, JÉHOVAH ET YAHVÉ. RIEN N'EST JAMAIS ACQUIS : LA SENSATION EST UN PHOENIX CHERCHANT CES CENDRES POUR RENAÎTRE EN UN RENOUVEAU ET VERS LE FABULEUX. SOUVENIRS ! DANS LES CIRCONSTANCES DES SOUVENIRS ET
EN L'ÉCRIN DU DEVENIR, LA JUSTICE EST LA CONSCIENCE DU SOUFFLE : LA NATURE SAUVAGE ET L’ÉTHIQUE.
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LE SCEPTICISME, LE FUNESTE, LE RATIONNEL ET L'ÉQUANIMITÉ Empty
MessageSujet: Re: LE SCEPTICISME, LE FUNESTE, LE RATIONNEL ET L'ÉQUANIMITÉ   LE SCEPTICISME, LE FUNESTE, LE RATIONNEL ET L'ÉQUANIMITÉ EmptyJeu 28 Mai à 15:54

L'objet le plus éloigné que l'on peut observer à l'œil nu est également la galaxie la plus proche de notre propre Voie lactée. Bien que la galaxie d'Andromède se trouve à quelques 2,5 millions d'années lumière de la Terre, ses trillions d'étoiles suffisent à émettre une lueur intense à travers les vastes étendues spatiales. Malgré la distance importante, la Voie lactée et Andromède se trouvent sur un trajet de collision et devraient commencer à fusionner dans environ 4,5 milliards d'années. (Vous êtes averti). La galaxie d'Andromède était autrefois considérée comme une nébuleuse. Au tout début du développement de l'astronomie moderne, tout corps céleste diffus indéfini était appelé « nébuleuse », y compris celle que nous connaissons maintenant comme une galaxie voisine. Notre définition moderne de nébuleuse se rapporte aux galaxies en formation qui vont fusionner au fil du temps cosmique en quelque chose de moins...nébuleux.
La galaxie d'Andromède, également identifiée sous les numéros M31 dans le Catalogue de Messier et NGC 224, est une galaxie spirale située à environ 2,55 millions d'années-lumière du Soleil, dans la constellation d'Andromède. Appelée grande nébuleuse d’Andromède jusqu'à ce que sa vraie nature ait été reconnue dans les années 1920, la galaxie d'Andromède est la galaxie spirale la plus proche de la Voie lactée (toutes classes confondues, la galaxie la plus proche est la naine du Grand Chien) et le plus grand membre du Groupe local d'une soixantaine de galaxies individuelles dont toutes deux font partie. D'un diamètre d'environ 220 000 années-lumière, elle contiendrait environ mille milliards d'étoiles9.
Avec une magnitude visuelle de 3,4, la galaxie d'Andromède est l’une des rares galaxies observables à l'œil nu depuis la Terre dans l’hémisphère nord. C’est également un des objets les plus étendus de la voûte céleste, avec un diamètre apparent de 3,18°, soit plus de six fois le diamètre apparent de la Lune. D'après une étude de 2007, les mesures ont révélé que la vitesse des nuages de Magellan est trop rapide pour correspondre à des objets en orbite autour de notre galaxie. Cela semble indiquer que ces galaxies naines sont uniquement de passage dans la région occupée par la Voie lactée : en 2006, à l'aide du télescope spatial Hubble, des astronomes ont mesuré le mouvement des nuages de Magellan. Ils ont observé leur déplacement par rapport à des quasars situés à des milliards d'années-lumière plus loin (constituant ainsi un fond à peu près stationnaire dans cet univers où rien ne reste vraiment immobile). Ces mesures semblent indiquer que les nuages suivent des orbites longues excentriques. Leurs trajectoires ne les auraient conduits dans le voisinage de notre galaxie qu'une seule fois auparavant depuis la naissance de l'univers.

Les Nuages de Magellan forment un groupe de deux galaxies naines irrégulières du Groupe local et voisines de la Voie lactée dont elles sont probablement des satellites. Apparentés à des galaxies spirales magellaniques de type SB(s)m, il s'agit, d'une part, du Grand Nuage de Magellan, situé à environ 157 000 années-lumière (48,5 kpc)2,3,4 du Soleil dans les constellations de la Dorade et de la Table, et, d'autre part, du Petit Nuage de Magellan, situé à environ 197 000 années-lumière (61 kpc)5 dans la constellation du Toucan. Séparés dans le ciel par un angle d'environ 21°, ils sont distants l'un de l'autre d'environ 75 000 années-lumière (23 kpc). Ils ont longtemps été considérés comme les objets extragalactiques les plus proches de la Voie lactée, jusqu'à la découverte en 1994 de la galaxie naine du Sagittaire, trois fois plus proche. Les Nuages de Magellan sont les objets du ciel profond remarquables de l'hémisphère sud. À l'œil nu, ils ressemblent à des fragments de la nuée d'étoiles qui se seraient séparés de la Voie lactée. Dans le Grand Nuage de Magellan, des étoiles cent fois plus massives que le soleil percent le halo de la nébuleuse de la Tarentule, l'une des plus actives pouponnières stellaires au voisinage de notre galaxie. Gaz et poussières d'étoiles ayant explosé y constituent la matière de nouvelles étoiles. Le Petit Nuage fabrique encore de nouvelles étoiles par intermittence ; certaines sont nées il y a à peine quelques centaines de millions d'années. Quant au Grand Nuage, c'est une véritable usine à étoiles. Ils étaient certainement connus depuis des temps très anciens par les habitants de l'hémisphère sud. La première mention du Grand Nuage de Magellan est due à l'astronome perse Al-Soufi en 924 ; dans son Livre des étoiles fixes, il l'appelle Al Bakr (le bœuf blanc) et précise qu'il est invisible depuis le nord de l'Arabie ou de Bagdad mais visible depuis le détroit de Bab el Mandeb à 12°15 de latitude nord. En Europe, c'est sans doute Amerigo Vespucci qui fait part le premier de ses observations et Pierre Martyr d'Anghiera qui s'en fait l'écho dès 1504. L'identification formelle est le fait du voyage de Fernand de Magellan (1519-1522) au cours duquel ces galaxies sont de nouveau observées. Voilà comment Antonio Pigafetta le rapporte dans sa relation de voyage : « Le pôle Antarctique n'est pas tant étoilé comme est l'Arctique. Car on y voit plusieurs étoiles petites congrégées ensemble, qui sont en guise de deux nues un peu séparées l'une de l'autre, et un peu offusquées, au milieu desquelles sont deux étoiles non trop grandes ni moult reluisantes et qui petitement se meuvent. » Des indices suggèrent désormais clairement que les nuages de Magellan ont toujours mené une existence bien plus indépendante que supposée. D'abord, ils sont beaucoup plus lumineux que les autres galaxies satellites de notre Voie lactée – au point d'attirer l'attention d'observateurs dépourvus d'instrument optique. Ils sont brillants car ils sont proches de nous et contiennent un grand nombre d'étoiles. Les satellites connus de la Voie lactée abritent chacun jusqu'à 10 millions d'étoiles. Le Petit Nuage de Magellan en renferme quelque 3 milliards, et le Grand, peut-être 30 milliards. Ensuite, les nuages ne ressemblent pas aux galaxies naines sphéroïdales irrégulières qui gravitent à proximité de la Voie lactée et d'autres galaxies spirales majeures. Il s'agit plus vraisemblablement de galaxies autrefois lointaines ; elles ne se seraient assez rapprochées que tout récemment de notre galaxie pour être perturbées par son champ gravitationnel.

LA GÉOGRAPHIE INDIQUE LA RATIONALITÉ DES TEMPS OÙ LA SIGNIFICATION N'EST PLUS LE BAROMÈTRE ET LA BOUSSOLE. SURVIVRE DANS UN INSTINCT : L’ÉGIDE MÉTAMORPHOSE LA CROYANCE ET LE SENTIMENT RÉSONNE DANS UN POUVOIR OÙ ON VEUT INTERPRÉTER LA CONDITION SANS AVOIR L'AUDACE D'AGIR.
TAY

CNEWS @CNEWS · 49 min
#meteo : un été plus chaud et sec que la normale ?

TIGNARD YANIS @Yanis_Tignard · 13 min
En réponse à @CNEWS @MarcMenant1 @ZemmourFaceInfo
Objet ou personne.
L'espace désigne les zones de l'Univers situées au-delà des atmosphères et des corps célestes :
la projection consiste chez un sujet à transporter un élément de son espace psychique interne
dans un monde qui lui est extérieur.
TAY

@MarcMenant1 @ZemmourFaceInfo
Lady Hamilton, née Amy Lyons et Conferences of the Parties
https://leclandesmouettes.1fr1.net/t587-lady-hamilton-nee-amy-lyons-et-conferences-of-the-parties
le respect de l’environnement et l'énergie de l'albatros
https://leclandesmouettes.1fr1.net/t600-le-respect-de-lenvironnement-et-l-energie-de-l-albatros
Y'BECCA EN JÉRUSALEM.
TAY

@ZemmourFaceInfo @MarcMenant1
En l'absence de limite de l'atmosphère terrestre, on peut définir de différentes façons la limite
entre l'atmosphère et l'Espace. Ainsi, la Fédération aéronautique internationale a établi la ligne de Kármán
à une altitude de 100 km : covid-19.
TAY

Rachida Dati ن @datirachida · 56 min
Les jardins vont être rouverts. Je demande à la Maire de Paris de les nettoyer et de les sécuriser.
Les 2/3 des 500 espaces verts sont extrêmement dégradés. Ce sont des lieux de fixation pour les trafics comme au Jardin d'#Eole ou au parc de #Belleville. @ruthelkrief @BFMTV

TIGNARD YANIS @Yanis_Tignard · 32 min
LA GÉOGRAPHIE INDIQUE LA RATIONALITÉ DES TEMPS OÙ LA SIGNIFICATION N'EST PLUS LE BAROMÈTRE ET LA BOUSSOLE. SURVIVRE DANS UN INSTINCT : L’ÉGIDE MÉTAMORPHOSE LA CROYANCE ET LE SENTIMENT RÉSONNE DANS UN POUVOIR OÙ ON VEUT INTERPRÉTER LA CONDITION SANS AVOIR L'AUDACE D'AGIR.
TAY

CONDUIRE DANS LA PRUDENCE, : LE SCEPTICISME, LE FUNESTE, LE RATIONNEL ET L'ÉQUANIMITÉ NAQUIRENT LA COLÈRE MILITANTE DANS L'ENTHOUSIASME DES PÉRIODES D'EXAMENS ET DE CRITIQUES : ON RETOUVE TOUJOURS LE SENS, LA PORTÉE, LE FUNESTE, LES BIENFAITS ET L'OBJET DANS LE FEU DE PAILLE.
TAY

NAQUIT LA COLÈRE MILITANTE DE L'ENTHOUSIASME DEVANT LES PÉRIODES D'EXAMENS ET DE CRITIQUES : LE SENS, LA PORTÉE, LE FUNESTE, LES BIENFAITS ET L'OBJET DANS LE FEU DE PAILLE OU LE SCEPTICISME, LE FUNESTE, LE RATIONNEL ET L'ÉQUANIMITÉ.
LE PEUPLE EST PRÉOCCUPÉ PAR SON ASSIETTE.
TAY

LA VIE ET LES ŒUVRES.
LE PEUPLE S'INTÉRESSE AUX ORIGINES ET IL EST PRÉOCCUPÉ PAR SON ASSIETTE, SON ASCENSION, SES DROITS, SES CONVICTIONS, SES CONSCIENCES DANS LA PRIÈRE ET LA VIE; LE PEUPLE N'EST PAS UNE MASSE INERTE CAR IL S'AGIT D'UN CORPS, D'UNE ENTITÉ PHYSIQUE ET MORALE.
TAY

LE PAIN EST NÉ DURANT LA PRÉHISTOIRE APRÈS LA DOMESTICATION DU FEU : BEAUCOUP D'ARCHÉOLOGUES OUBLIENT CE FAIT MAJEUR DE NOTRE ÉVOLUTION. L'ÉGIDE, LA LOI, LE MOUVEMENT, LA GRAVITÉ ET LA CONSCIENCE SONT UN MOUVEMENT PHYSIQUE, L'UNIVERSELLE N'EST PAS DIVINE ET VEUT ÊTRE JUSTE.
TAY

LA SOCIÉTÉ EST DEVENUE CES FAUTES D'ORTHOGRAPHE SUR LE PLURIEL QUI CONDUISENT LES CONSCIENCES À S'INTERROGER SUR LES SUJETS ET LES CONSÉQUENCES DES ACTES SANS PERCEVOIR LE CŒUR QUI CONDUIT L'IMPUR ET LE PIEUX : LA LAÏCITÉ EST UNE ÂME RÉPUBLICAINE LIANT LE PEUPLE AUX ORIGINES.
TAY

LE SINGULIER N'EST PAS UNE LIBERTÉ MAIS LE PROPRE DE LA CONSCIENCE DANS UNE MASSE : IL DOIT SURGIR EN SA LUMIÈRE.
UNE QUALITÉ QUI DOIT ÊTRE INTÉRIEUR OU ÉCRITE ET LORSQUE ELLE SE FAIT ORALE : ELLE PEUT ÊTRE ENVAHISSANTE SUR LA LUCIDITÉ CAR LE DILEMME DE LA RAISON ET DES MOTS.
TAY

TÉMOIGNAGE DU CITOYEN TIGNARD YANIS,
PN 3286 de la Cour Européenne des droits de l'Homme,
LE JUGE DE LA RÉPUBLIQUE DE L'OLIVIER...
MINISTRE DU SECOURISME COMMUN
DE LA RÉPUBLIQUE D’ISRAËL ET DE LA COMMUNAUTÉ PARLEMENTAIRE DE LA PALESTINE
ALIAS
TAY
La chouette effraie
POUR AMANDINE ET LES PEUPLES
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