Clarté était le journal de l'Union des étudiants communistes de 1956 jusqu'en 1996.
Clarté, 5 juin 1933 - illustration par Frans Masereel
Sommaire
1 Histoire
1.1 De Clarté universitaire à Clarté
1.2 Clarté (1956-1965)
1.3 Le nouveau Clarté
2 La direction et la rédaction de Clarté et du Nouveau clarté (1963-1974)
3 Notes et références
4 Voir aussi
4.1 Bibliographie
4.2 Articles connexes
4.3 Lien externe
Histoire
De Clarté universitaire à Clarté
Le nom Clarté est issu du groupe qu'animaient Henri Barbusse et Paul Vaillant-Couturier au début des années 1920. Sa section universitaire était alors l'un des seuls groupes notables regroupant des étudiants communistes, outre l'Union fédérale des étudiants : elle s'intitulait Clarté universitaire et publiait un journal du même nom. Celui-ci fut renommé La lutte des classes par Pierre Naville après son exclusion du PCF, journal qui fusionna en 1935 avec La Vérité, l'organe trotskyste, pour former Lutte ouvrière (sans rapport avec le parti d'Arlette Laguiller).
De 1947 à 1956, alors que l'UEC n'existe plus, les étudiants communistes de Paris (qui, avec les membres étudiants de l'UJRF, seront intégrés à partir de 1956 au MJCF) publieront un journal dénommé Clarté, qui paraîtra tous les deux mois, totalisant entre 1947 et 1956 59 numéros.
Clarté (1956-1965)
Lorsque le Parti communiste français décide en juillet 1956, lors de son XIVe Congrès de recréer l'Union des étudiants communistes, un mensuel est prévu : il s'appellera Clarté, comme son prédécesseur parisien (la page de garde précisera alors Le nouveau Clarté).
Le mensuel est alors dirigé par un membre du bureau politique . Il s'émancipera néanmoins de sa tutelle dans les années 1960 : ce sont alors les rédacteurs en chef qui détiennent le rôle principal (André Sénik, Jean Schalit, qui refonde et modernise la maquette avec Paul Chemetov, puis Pierre Kahn, Michel Remacle, Yves Buin et Henri Vacquin en 1964). Frédéric Bon participa aussi au comité de rédaction de Clarté (sous le pseudonyme de Morland, en 1963), Serge July, Bernard Kouchner Pierre Goldman Patrick Pesnot (en 1963) et Michel-Antoine Burnier (cofondateur d'Actuel en 1968) y écrivirent aussi. Cette émancipation va de pair avec celle de l'UEC vis-à-vis du PCF : l'UEC est alors divisée entre les partisans de la ligne du PCF et les « Italiens » (ainsi dénommés pour leur soutien à la théorie du « polycentrisme » de Palmiro Togliatti, qui prône l'autonomie des partis communistes vis-à-vis de Moscou).
Le nouveau Clarté
En 1965, le PCF décide de reprendre en main l'UEC. Il y parvient grâce à l'habileté politique de Roland Leroy et amène à sa tête Guy Hermier, proche de la direction. Les « Italiens » (Pierre Kahn, alors Secrétaire national de l'UEC, André Sénik, Bernard Kouchner) perdent la direction de l'UEC lors de son VIIIe Congrès : ils quitteront l'UEC ou en seront exclus. À leur suite, d'autres secteurs de l'UEC, sont exclus de l'organisation étudiante. À Paris, c'est le sort du groupe du « secteur Lettres » emmené par Alain Krivine, qui crée la Jeunesse communiste révolutionnaire. Fin 1966, c'est le « secteur de l'École normale supérieure » qui fait sécession. La plupart de ses adhérents rejoignent les groupes maoïstes. Certains, tel Robert Linhart, pour se rapprocher du peuple ouvrier « s'établissent » en usine. Plusieurs membres de Clarté, dont Schalit, participeront à la création du journal Action en mai 68.
Pour marquer la rupture avec les périodes antérieures, Clarté devient Le Nouveau Clarté. Le premier numéro du Nouveau Clarté paraît en avril 1965. Il garde le format 24 x 29,5 cm que Clarté avait adopté depuis novembre 19631. Il conserve aussi l'encart "politique", agrafé en cahier intérieur. Il affiche en une, pleine page, le détail d'une fresque monumentale réalisée par le peintre mexicain David Alfaro Siqueiros2.
Le premier comité de rédaction3 résulte des alliances passées entre les courants de l'UEC lors du 8e congrès de l'organisation étudiante. Aux côtés de Guy Hermier, nouveau directeur, de Serge Goffard, nouveau "rédacteur en chef", de Michel Jouet, de H. Axelrad, il comprend deux "pro-chinois", Robert Linhart et Tiennot Grumbach.
"Un vrai journal communiste reparaît à l'Université (...) Notre nouveau journal se veut le continuateur des luttes menées par les intellectuels et les étudiants communistes du groupe "Clarté", fondé par Henri Barbusse, le continuateur des luttes difficiles de la Résistance, le continuateur des grandes luttes contre la guerre d'Algérie dans lesquelles les étudiants communistes tinrent un rôle de premier plan comme en témoigne le combat de Serge Magnien."
L'éditorial fait quelques raccourcis historiques. Mais après l'épisode de mai 1968, l'Union des étudiants communistes regagne rapidement une force non négligeable dans un milieu étudiant renouvelé, pour lequel les distinctions "italiens", "orthodoxes" perdaient sens. Le soutien aux combattants vietnamiens pour l'indépendance et la réunification de leur pays, les luttes pour des moyens à l'Université, l'engagement des organisations de la Jeunesse et des étudiants communistes pour la libération d'Angela Davis, le re-création d'un syndicat étudiant en l'Unef-Renouveau, animent les pages du Nouveau Clarté durant la décennie 1968-1977.
Le mensuel est publié de façon régulière jusqu'en juin 1977, date où il disparaît une première fois, après 60 numéros. Clarté devient en novembre bimensuel (et revient au numéro 1), puis redevient mensuel en 1986. Il paraît ainsi jusqu'en 1996[réf. nécessaire].
La direction et la rédaction de Clarté et du Nouveau clarté (1963-1974)
Telles qu'elles ressortent des « ours » et du dépouillement du magazine de l'UEC, les directions et rédactions successives sont des pépinières de journalistes et de quelques personnages politiques. Pour la période antérieure à 1965, les noms de Bernard Kouchner, de Serge July, directeur de Libération émergent. La période postérieure n'est pas moins riche, avec Guy Hermier, directeur de l'hebdomadaire Révolution, député de Marseille, Pierre Zarka, directeur de L'Humanité, Alain Gresh, directeur adjoint du Monde diplomatique, Dominique Vidal, rédacteur en chef du même mensuel,
Clarté, Mai 1963 / février 19644 :
directeur-gérant, Guy Tissier
rédacteur en chef, Pierre Kahn
comité de rédaction : A. Léna, Frédéric Mornand, Yves Buin, Pierre Brumberg, P.Crochard, G. Cymerman, Gilles Dreyfus, Alain Fainac, Michel Fennetaux, Pierre Goldman, Serge July, Bernard Kouchner, G. Naizot, P. Pesnot, Michel Remacle, G. Tchoulfayan, E. Sergueef, Jean-Claude Pollack, Georges Voguet
autres signatures : Paul Chemetov, H. Dreux, Alain Forner (rapport au 7e congrès de l'UEC), André Malartic, Gilles Portel, Bernard Stora, Gilles Renaudot
intervenants extérieurs : Michel Mousel (Président de l'UNEF), Jorge Semprún (interview par Laurent Leroux après l'exécution en Espagne de Julian Grimau par le régime de Franco), Elsa Triolet (interviewée par Bernard Kouchner), Jacques Madaule (préparation d'États généraux du désarmement de mai 1963), Frédéric Rossif (interview sur son film Mourir à Madrid), Xavier Renou (responsable de la JEC, Jean-Paul Malrieu, vice-président de l'UNEF, Louis Malle, Albert Détraz (secrétaire de la CFTC), François Lurçat, Pierre Lehmann, J-M Lévy-Leblond et Jean-Pierre Vigier (table ronde « Marxisme et physique moderne »), Philippe Soupault et André Breton (texte et interview pour le quarantième anniversaire du Manifeste du surréalisme), Georges Perec, Louis Aragon (interview), Gérard Jaquet (membre du comité directeur du Parti socialiste SFIO, J.-M.-G. Le Clezio, Maurice Béjart(interview)
Le nouveau clarté, avril 19655
directeur, Guy Hermier
rédacteur en chef, Serge Goffard
comité de rédaction : Herbert Axelrad, Pierre Bénard, Michel Jouet, Robert Linhart, G. Tiennot
Le nouveau clarté, novembre 1965 / mars 19666 :
directeur politique, Guy Hermier
rédacteur en chef, Serge Goffard
administrateur, Michel Jouet
comité de rédaction : Hervé Arlin, Pierre Bénard, Jean-Michel Catala, Gérard Dahan, Marc Mervais, François Roussel, G. Tiennot, A. Velmont
Le nouveau clarté, Mai 1966 / mars 19677 :
directeur politique, Guy Hermier
rédacteur en chef, Serge Goffard
rédacteur en chef adjoint, Hervé Arlin
administrateur, Jean Gimenez
maquette, Jean-Pierre Jouffroy
comité de rédaction : Jean-Claude Allanic, Alexis Bérélovitch, Jean-Michel Catala, B. Duhamel, René Gaudy, A. Jaubert, Michel Jouet, Michel Rogalski
le Nouveau clarté, novembre 19688 :
directeur politique, Jean-Michel Catala
rédacteur en chef, Jean-Claude Dufour
maquette, Jean-Pierre Jouffroy
Chefs de rubrique, Herbert Axelrad, Serge Goffard Dominique Vidal
comité de rédaction : H. Axelrad, J-M Catala, A. Chirokoff, F. Coudert, J.-C. Dufour, A. Gaudric, René Gaudy, Michel Jouet, Marcou, F. Marotin, E. Rappoport, Bernard Toboul, Jacques Varin, D. Vidal, Pierre Zarka
Le nouveau clarté, octobre 19699
directeur politique, Jean-Michel Catala
rédacteur en chef, Dominique Vidal
comité de rédaction, H. Axelrad, Alain Benezet, Gérard Bras, J.-M. Catala, C. Fillion, M. Finkel, Alain Gresh, J.-P. Jouffroy, P. Joué, Michel Jouet, Christiane Milekitch, Gérard Molina, René Prelot, F. Py, Michel Richard, Yves Vargas, D. Vidal, Serge Wolikov, Pierre Zarka.
Le nouveau clarté, octobre 197110
directeur politique, Gérard Molina
rédacteur en chef, Bernard Floris
comité de rédaction (1971-1972)11 Anne Bailly, Simone Berno, Gérard Bras, Robert Crémieux, Bernard Floris, M. Gérard, Alain Gresh, Raynald Guillot, J.-P. Jouffroy, Bernard Lafon, Christiane Milékitch, G. Molina, Joëlle Moreau (rédactrice en chef adjointe en février 1972), Francine Palant, Pierre Oliviéri, Danielle Rosemberg, Germain Trugnan, Pierre Zarka
autres rédacteurs étudiants (1971-1972), Roland Chamak, Jean-Pierre Gaudard, Olivier Schwartz, Alain Hayot, Roger Martelli, Lin Guillou, Martine Nouaille.
intervenants, interviewés ou reprises d'articles extérieurs (1971-1972)12
Cinq dirigeants communistes : Georges Marchais, avec une reprise d'un texte déjà prononcé devant un Comité central, Jacques Duclos, André Vieuguet, Roland Leroy, Paul Laurent. Deux journalistes de la presse communiste : Laurent Salini, Roger Trugnan.
domaine culturel : interview de H.J. Böhme, ministre de l'enseignement supérieur de la RDA, Abel Michéa (sport), Jean-Pierre Miquel, Jean Piat, Eduardo Manet, Maurice Goldring (débat sur le théâtre de l'Odéon à Paris) ; un article de René Nozeran, « Perspectives de la science » stricte présentation du programme scientifique du PCF ; une rencontre avec Raymond Devos, artiste.
autres : Fanny Davis (sœur d'Angela Davis)
comptes-rendus critiques : une étude théâtrale (une pièce de Bertolt Brecht Sainte-Jeanne des abattoirs) ; une exposition de dessins de la Fête de L'Humanité ; Deux articles cinématographiques (sur le cinéma américain et sur Charlot), un interview de Jean Thibaudeau portant sur les « avant gardes littéraires », mais aucun compte-rendu de publication littéraire ; deux pages artistiques (sur Picasso) ; une page hagiographique sur le physicien, « savant et militant » Paul Langevin.
Le nouveau clarté, octobre 1972 - mai 197313
directeur politique, Pierre Zarka
rédacteur en chef, Alain Gresh
rédacteur en chef adjoint, Michel Laurent
comité de rédaction, Anne Bailly, Claude Benière, Jo Benkemoun, Denis Blasquez, Gérald Bloncourt, Anne Brunschwig, Maurice Cukierman, Alain Gresch, Jean-Pierre Jouffroy, Jean Jackymiak, Roger Martelli, André Maurice, Gérard Maurice, Joëlle Moreau, Jean-Michel Morel, Christiane Milékitch, Francine Palant, Pierre Oliviéri, Yves Shebat, Pierre Zarka.
il est à noter un saut quantitatif dans la féminisation de l'équipe rédactionnelle : 6 femmes sur 15 membres en octobre 1972
Le nouveau clarté, octobre 1973 - avril 197414
directeur politique, Jean-Charles Eleb15.
rédactrice en chef, Ghislaine Povinha
rédacteur en chef adjoint, Patrice Carollo
comité de rédaction16, Alain Birebant, Denis Blasquez, Gérald Bloncourt, P. Carollo, Hélène Chambaz, Maurice Cukierman, Dominique Davenas, J-C Eleb, Jose-Miguel Garcia, Jean Jachymiak, Mireille Jaéglé, J-P Jouffroy, Goulven Kerien, Gisèle Kirjner, jean-Jacques Langlois, Gilbert Leclercq, Annette Lugand, Jean-Michel Morel, Murielle Meyer, Eliane Ozanne, G. Povinha, Gérard Zaoui.
Notes et références
↑ Clarté no 51, novembre 1963, 56 pages. Ce numéro affiche en "une" un portrait de Staline et annonce le contenu d'une encart de 20 pages, imprimé sur papier journal : "les héritiers de Staline"
↑ . Provocation ou pas ? Pour son implication dans l'assassinat en 1940 de Trotzsky, le Parti communiste mexicain est la "bête noire" des organisations se réclamant du fondateur de l'Armée rouge...
↑ Le nouveau Clarté, no 1, page 27.
↑ Clarté, numéros 50 (mai 1963), 51 (novembre 1963), 52 (décembre 1953), 53 (janvier 1964) 54 (février 1964)
↑ le nouveau clarté, numéro 1
↑ Le nouveau clarté, Numéros 3 (novembre 1965), 4-5 (décembre 1965/janvier 1966), 6 (mars 1966)
↑ le nouveau clarté, numéros 7 (mai 1966), 8 (octobre 1966), 9 (novembre-décembre 1966, 11 (mars 1967)
↑ Numéro 17, novembre 1968
↑ numéro 21, octobre 1969. Comme pour les précédents comités de rédaction, du prénom le journal ne livre que l'initiale. Il est rétabli ici, quand un article paru permet une meilleure identification
↑ numéro 31 octobre 1971. Dans l'éditorial de ce numéro, Gérard Molina livre le nombre des adhérents de l'UEC : 10 000.
↑ En cours d'année universitaire l'équipe est renouvelée. La Conférence nationale d'Ivry, tenue du 18 au 20 décembre 1971 et rassemblant 360 délégués, enregistre le changement du secrétariat général de l'UEC. Gérard Molina, étudiant en Philosophie transmet la direction de l'organisation étudiante à Pierre Zarka, étudiant en Histoire. Ipso facto celui-ci devient le directeur politique du journal.
↑ Numéros 31 (octobre 1971), 32 (novembre 1971), 33 (janvier 1972), 34 (février 1972) et 35 (mars 1972).
↑ Du numéro 36, octobre 1972, au numéro 40, mai 1973
↑ du numéro 41, octobre 1973, au numéro 45, avril 1974
↑ C'est au congrès du Mouvement de la Jeunesse communiste, tenu du 17 au 20 mai 1973, que Pierre Zarka quitte la direction de l'UEC et du Nouveau clarté pour devenir l'un des dirigeants du mouvement. Il est alors remplacé par Jean Charles Eleb, de l'université Paris 1 -Droit, sciences économiques). CF le nouveau clarté, no 41, page 5, « le nouveau collectif national de l'UEC ».
↑ Les membres du comité de rédaction nommés à la suite de la Conférence nationale de l'UEC tenue à Orsay les 2 et 3 mars 1974, en présence de 350 délégués, sont inclus dans cette liste
Voir aussi
Bibliographie
Comité central du Parti communiste français, « Compte-rendu du XIVe Congrès du PCF », Les Cahiers du communisme, 1956, numéro spécial de juillet-août, p. 331-336.
François Billoux, « Rapport au XIVe Congrès du PCF : appel à la jeunesse de France », ibid.
Jean Piel, « Intervention de Jean Piel, secrétaire national de l'UEC, devant le XVIIe Congrès du PCF », Les Cahiers du communisme, 1961, numéro spécial de juin, p. 207-212.
Serge Goffard, pour la fédération Seine-Sud, « Intervention devant le XVIIe Congrès du PCF », Les Cahiers du communisme, 1964, numéro spécial de juin-juillet, p. 356-357.
Articles connexes
Union des étudiants communistes
Mouvement des jeunes communistes de France
Parti communiste français
Lien externe
Clarté et le Nouveau Clarté sur le site du conservatoire des mémoires étudiantes [archive]
Annexes
Sur les autres projets Wikimedia :
Langue des signes française, sur Wikimedia Commons Langue des signes française, sur Wikibooks
Bibliographie
Ouvrages de référence
Monica Companys, Moi Sourd et toi?, ABC…LSF, LSF, Mode d'emploi, Prêt à Signer, Planète des Sourds, Parler en Signes, Dis le avec tes mains, Ah bon !, La LSF en 15 étapes, Dictionnaire 1 200 signes…, éditions Monica Companys
Christian Cuxac, Présentation, Acquisition et interaction en langue étrangère [En ligne], Les Langues des signes : une perspective sémiogénétique, mis en ligne le 14 décembre 2005
Bill Moody, La langue des signes (Tome 1), IVT Éditions (Histoire et syntaxe de la LSF)
Bill Moody, La langue de signes (Tome 2 et Tome 3)c, IVT Éditions (Dictionnaire de la LSF, classé par thèmes)
Benoît Virole Psychologie de la surdité Deboeck Université, deuxième édition, 2000.
Joël Chalude et Yves Delaporte, Gros signes : dans toutes les langues, il y a des gros mots. Dans les langues signées, il y a des gros signes !, trophée d’Autonomic Art 2006, catégorie Dessins, éditions du Fox (association 2-AS).
Yves Delaporte, Dictionnaire étymologique et historique de la langue des signes, origine et évolution de 1 200 signes : ce dictionnaire étymologique, le premier au monde consacré à une langue gestuelle, part à la recherche de la genèse des signes et retrace toutes les étapes de leur évolution, publié avec le soutien du Centre national du livre, Éditions du Fox (association 2-love).
Autobiographies, histoire des sourds
Emmanuelle Laborit, Le Cri de la mouette.
Helen Keller, Sourde, muette, aveugle, PBP
Harlan Lane, Quand l’esprit entend, collection Opus, Odile Jacob
Oliver Sacks, Des yeux pour entendre, Seuil (découverte de la communication par les signes vue par un neurologue)
Armand Pelletier et Yves Delaporte, Moi, Armand, né sourd et muet…, collection Terre Humaine, Plon (autobiographie d’un sourd et muet et analyse d’un ethnologue)
Marcel Debureaux, Hier, aujourd'hui, demain, auteur sourd, Langue des Signes Éditions Publications.
Articles connexes
Alphabet dactylologique
Histoire des sourds
Histoire de la langue des signes
Vieille langue des signes française
Vocabulaire de la langue des signes française
L'Œil et la Main
glottophobie
Visuel-Langue des Signes
Liens externes
Notices d'autoritéVoir et modifier les données sur Wikidata : Système universitaire de documentation • Gemeinsame Normdatei
(en) Fiche langue de la langue des signes française (code «fsl») [archive] dans la base de données linguistique Ethnologue.
(en) Fiche langue de la langue des signes française (code «fren1243») [archive] dans la base de données linguistique Glottolog.
(en) Sources d'information [archive] sur de la langue des signes française sur le site de l'OLAC.
Le dictionnaire de Langue des Signes Française (LSF) collaboratif [archive]
Portail d’information [archive] sur la Langue des Signes Française
Dictionnaire LSF-Français [archive] élaboré par le Master Handi, Technologies et Handicap
ELIX : dictionnaire gratuit français/Langue des signes française, plus de 6 000 signes et 8 000 définitions en LSF [archive]
Dictionnaire [archive] vidéo de langue des signes
DicoLSF [archive] - Association des Pays de la Loire œuvrant en faveur de l'accessibilité universelle avec la LSF, depuis 2008.
[afficher]
v · m
Langue des signes
Portail des langues Portail des langues Portail de la linguistique Portail de la linguistique Portail de la langue française et de la francophonie Portail de la langue française et de la francophonie Portail de la France Portail de la France Portail de la culture sourde Portail de la culture sourde
SMILE FOR NIX OLYMPICA
Supper's Ready Illustrated genesis
https://www.youtube.com/watch?v=e4HfFwVy-h0L'ORIENTATION ET L'INSTINCT.
L'EXISTENCE, L'ÉTHIQUE ET L'INFINI.
L'INTERPRÉTATION DE LA VIE PAR LE CITOYEN GASPARD PIERRE...
HOMMAGE DU
CITOYEN TIGNARD YANIS
_________________
Kounak le chat....