Le clans des mouettes
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Le clans des mouettes

ainsi est la force.
 
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 LOIS: CODE DE LA ROUTE, CAMIONNEURS ET TRAVAILLEURS DÉTACHÉS

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yanis la chouette




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MessageSujet: LOIS: CODE DE LA ROUTE, CAMIONNEURS ET TRAVAILLEURS DÉTACHÉS   LOIS: CODE DE LA ROUTE, CAMIONNEURS ET TRAVAILLEURS DÉTACHÉS EmptyLun 25 Sep à 9:08

MANIFESTATIONS DES CAMIONNEURS, DES VEUVES DE MILITAIRES ET DES TRAVAILLEURS DÉTACHÉS

LE CONCEPT DE ROUTE, DE VOYAGE ET DE TRANSPORT DANS LE CONCEPT DÉVOLUTION
FAISANT LE DIÈSE ET LE BÉMOL SUR LES APTITUDES DU FONCTIONNEMENTS DU BUDGET.
DEVANT LE CAMION SUR LA LIGNE DROITE ET LE VIRAGE DU MOTARD, LE BITUME
DU PÉAGE CRIE SON TICKET ET SA SIGNALISATION SUR LA FONCTION PUBLIC ENGLUÉE
DANS UN CONCEPT D'ENTREPRISE PRIVÉE...

LE TRAVAILLEUR DÉLOCALISÉ N'EST PLUS DANS L’ENVIRONNEMENT DU CHIFFRE MAIS SUR LES
CONCEPTS D'HEURS DANS LE RÉALIGNEMENT DU DISQUE INSCRIT DANS LE KILOMÉTRAGE.
LA GRANDEUR DE LA FRACTION DÉVELOPPE LE PHÉNOMÈNE DU SYNDICAT QUI CHERCHE
LES MIETTES DES BOUTS DE PAINS LAISSER PAR LE PETIT POUCET. L'OGRE CENTRALISE
LE CŒUR DE LA FORET POUR DÉVELOPPER SON EXTASE SUR L’APPÉTIT DES PLUS PETIT:
DEPUIS HANSEL ET GRETEL: SIMULACRE DE SOURIRE, LES ENFANTS CONNAISSENT LE
MESSAGES DES ANGES ET DE AU DELÀ DU DELIRE...

" Græcum est, non legitur « C'est du grec, ça ne se lit pas. »
Grammatici certant « Les savants ne sont pas d'accord entre eux. » "
CHANTENT LES CAMIONNEURS...

" Florebo quocumque ferar « Je fleurirai partout où je serai porté. »"
PORTENT LA DÉLÉGATION DES TRAVAILLEURS DÉLOCALISÉS.

SUR LE BITUME, LES AGENTS DE POLICE RICANEURS SIGNALENT LE CHAHUT-BAHUT
PAR DES MESSAGES ENVERS LES AUTOMOBILISTES SURPRIS DE L'AMBIANCE:

" Fabricando fit faber « La pratique fait l'ouvrier. » ou "c'est en forgeant que l'on devient forgeron".
Fac simile « Fait à l'identique. »
Fama volat « La rumeur vole. »
Felix culpa « Heureuse faute. »
CIRCULER... "

LA MANIFESTATION DÉFILE DEVANT UN PRÉFET MÉDUSÉ MAIS SATISFAIT DU RESPECT
DE FLUIDITÉ DE LA VITESSE " MOINS DE CINQUANTE KILOMÈTRES HEURES " ET DU VOCABULAIRE
TRÈS GRAMMATICALE D'UNE REFORME DE L'EDUCATION APPLIQUÉE...

LE PRÉFET DE RÉGION APPELLE LE PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE DEPUIS TOULOUSE ET LUI DIT :
" Hora fugit, stat jus « L'heure fuit, le droit demeure. » Fais ce que tu sais être honnête, sans en attendre aucune gloire.
Citation de Démophile ; Sentences grecques - VIe s. av. J.-C. "


MORALE: LA DEVISE ET LA REVENDICATION DES CAMIONNEURS ET DES TRAVAILLEURS DÉTACHÉS EST TOUTE SIMPLE:
In girum imus nocte et consumimur igni « Nous tournons en rond dans la nuit et nous sommes dévorés par le feu.
In omnia paratus « Paré à tout, à toute éventualité. »
Hora fugit, stat jus « L'heure fuit, le droit demeure. »
In principio erat Verbum « Au commencement était la Parole. »
In rerum natura « Dans la nature des choses. »
In silico « Dans le silicium ; par ordinateur. »
In situ « Sur le lieu même. »
In toto « Entièrement, en totalité. »
In utero « Dans l'uterus. »
In utroque jure « Dans les deux droits. »
In vacuo « Dans le vide. »
In varietate concordia « Unis dans la diversité. »
Intuitu personæ « Dépendant de la personne, relatif à la personne. »
Imperium in imperio « État dans l'État. »
Ipsa scientia potestas est « La science même est source du pouvoir. »
In memoriam « À la mémoire de… »
In naturalibus « En l'état de nature. »
In nocte consilium « La nuit porte conseil. »
In nuce « Dans la noix. »
In omnia paratus « Paré à tout, à toute éventualité. »
Habent sua fata libelli « Les livres ont leur propre destin. »
Fabricando fit faber « La pratique fait l'ouvrier. » ou "c'est en forgeant que l'on devient forgeron".
Fac simile « Fait à l'identique. »
Fama volat « La rumeur vole. »
Felix culpa « Heureuse faute. »
Felix qui potuit rerum cognoscere causas « Heureux celui qui a pu pénétrer le fond des choses. »
Exceptio est strictissimæ interpretationis « L'exception doit être interprétée de la façon la plus stricte. »
Exceptio firmat regulam in casibus non exceptis « L'exception confirme la règle quant aux cas non exceptés. »
Exceptio plurium concumbentium « L'exception de pluralité d'amants [de la mère]. »
Excusatio non petita accusatio manifesta « Une excuse non demandée est un aveu de culpabilité. »
ET POUR CONCLURE, LE CAMIONNEUR MUNI DE SES BREVETS DE SECOURISTES FORMULE
UN DERNIER SOUHAIT, LE JOUR DE SA MORT TERRESTRE:
Exoriare aliquis nostris ex ossibus ultor « Qu'un vengeur naisse un jour de ma cendre ! »

NÉGOCIATIONS SUR LES TERMES DE SALAIRES ET DE CONTRAT DANS L'EUROPE ET L'UNESCO
ET AU NIVEAU DES SATELLITES GALILÉENS ET DE L'ENSEMBLE DU SYSTÈME SOLAIRE...
REGARD DE LA PLÈBE SUR L'EVOLUTION TEMPOREL DE L’HUMANITÉ DANS L'UNIVERS.
RAPPORT DE LA FACULTÉ DE VIVRE
DEVANT CEUX QUI SE GAVE SUR LA SUEUR DE CEUX QUI NOURRISSENT LEURS FAMILLES.
ECRIT DU
CITOYEN TIGNARD YANIS
ALIAS
TAY
La chouette effraie
PSEUDO
DARK OBSCUR LE PHOTOGRAPHE


Dernière édition par yanis la chouette le Lun 25 Sep à 9:26, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: LOIS: CODE DE LA ROUTE, CAMIONNEURS ET TRAVAILLEURS DÉTACHÉS   LOIS: CODE DE LA ROUTE, CAMIONNEURS ET TRAVAILLEURS DÉTACHÉS EmptyLun 25 Sep à 9:23

Duplex legum incertudino ; altera ubi lex nulla præscribitur, altera ubi ambigua et obscura « L'incertitude de la loi peut avoir deux causes ; dans les deux cas ses dispositions sont inopérantes, qu'elle soit ambiguë ou qu'elle soit obscure. »

Titre : Le souvenir

Poète : Marceline Desbordes-Valmore (1786-1859)

Recueil : Romances (1830).

Ô délire d'une heure auprès de lui passée,
Reste dans ma pensée !
Par toi tout le bonheur que m'offre l'avenir
Est dans mon souvenir.

Je ne m'expose plus à le voir, à l'entendre,
Je n'ose plus l'attendre,
Et si je puis encor supporter l'avenir,
C'est par le souvenir.

Le temps ne viendra pas pour guérir ma souffrance,
Je n'ai plus d'espérance ;
Mais je ne voudrais pas, pour tout mon avenir,
Perdre le souvenir !

Marceline Desbordes-Valmore.

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Titre : Souvenez-vous de moi.

Poète : Agénor Altaroche (1811-1884)

Recueil : Nouvelles chansons politiques (1838).

Grâce au hasard qui sur nous règne en maître,
Ici nos pas ont pu se rencontrer.
Je pars demain, et pour jamais peut-être
Dans son caprice il va nous séparer.
Si les conseils que ma bouche inconnue
A prodigués à votre jeune foi
N'ont point glissé sur votre âme ingénue,
Ma chère enfant, souvenez-vous de moi.

J'ai vingt-cinq ans, et beaucoup sont fanées
Parmi les fleurs de mon heureux printemps.
Vous, sur vos doigts vous comptez vos années
Et d'avenir vos jours sont éclatants.
Pourquoi vit-on ? Vous l'ignorez encore...
Longtemps déjà j'ai creusé ce pourquoi.
Que mon matin vaille au moins votre aurore !
Ma chère enfant, souvenez-vous de moi.

Tout est plaisir pour votre belle enfance,
Tout, excepté l'ennui d'une leçon.
Mais à grands pas la jeunesse s'avance ;
A ce forban il faut payer rançon.
Bien des soucis vous viendront avec elle !
Des passions vous subirez la loi.
Sous le fardeau si votre cœur chancelé,
Ma chère enfant, sou venez-vous de moi.

De votre vie, heureuse et pacifique,
Rien ne pourra jamais troubler le cours.
Trop loin de vous souffle la politique
Noir ouragan qui bat nos plus beaux jours.
D'un père allez retrouver la tendresse ;
Moi, je retourne au procureur du roi :
Ce tendre père a des fers pour caresse...
Ma chère enfant, souvenez-vous de moi.

Heureux l'ami dont le nom se conserve
Au cœur de ceux dont il pressa la main !
Qui sait le sort que le temps nous réserve,
Et les écueils mis sur notre chemin ?
Il se peut bien que plus tard je regrette
Les calmes jours écoulés près de toi ;
En quelque lieu que le destin te jette,
Ma chère enfant, souviens-toi bien de moi.

Agénor Altaroche.

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Titre : Hécatombe.

Poète : Louise Colet (1810-1876)

Recueil : Fleurs du midi (1836).

La gloire de l'artiste est un feu qui consume ;
A son foyer brûlant le flambeau qui s'allume
Brille d'un vif éclat, mais tombe avant le soir :
Il meurt, comme l'encens s'éteint dans l'encensoir,
Après que sur l'autel sa vapeur virginale
Vers Dieu s'est élevée en suave spirale.

On dirait qu'ici-bas l'homme prédestiné
Veut retourner au ciel pour lequel il est né,
Et que toute âme ardente, avide d'harmonies,
Aspire à s'exhaler aux sphères infinies :
Mozart, Hérold, ainsi par la mort sont fauchés,
Des phalanges d'en haut séraphins détachés,
Vous glissez parmi nous ; vous nous faites entendre
Des chants qu'à votre voix un ange dut apprendre :
Puis, lassés de l'exil vous remontez vers Dieu :
Hier ainsi loin de nous s'envola Boieldieu ;
Et, tandis que nos pleurs mouillaient encore sa cendre,
Dans le cercueil un autre était près de descendre :
La mort, comme un vieillard dont le sort est fini,
Beau, jeune et triomphant a frappé Bellini :
Et peut-être déjà creuse-t-elle la tombe
D'un génie, en naissant, promis à l'hécatombe !

Louise Colet.

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Titre : Souvenir

Poète : Évariste de Parny (1753-1814)

Recueil : Poésies érotiques (1778).

Déjà la nuit s'avance, et du sombre Orient
Ses voiles par degrés dans les airs se déploient.
Sommeil, doux abandon, image du néant,
Des maux de l'existence heureux délassement,
Tranquille oubli des soins où les hommes se noient ;
Et vous, qui nous rendez à nos plaisirs passés,
Touchante illusion, Déesse des mensonges,
Venez dans mon asile, et sur mes yeux lassés
Secouez les pavots et les aimables songes.
Voici l'heure où trompant les surveillants jaloux,
Je pressais dans mes bras ma maîtresse timide.
Voici l'alcôve sombre où d'une aile rapide
L'essain des voluptés volait au rendez-vous.
Voici le lit commode où l'heureuse licence
Remplaçait par degrés la mourante pudeur.
Importune vertu, fable de notre enfance,
Et toi, vain préjugé, fantôme de l'honneur,
Combien peu votre voix se fait entendre au cœur !
La nature aisément vous réduit au silence ;
Et vous vous dissipez au flambeau de l'amour
Comme un léger brouillard aux premiers feux du jour.

Moments délicieux, où nos baisers de flamme,
Mollement égarés, se cherchent pour s'unir !
Où de douces fureurs s'emparant de notre âme
Laissent un libre cours au bizarre désir !
Moments plus enchanteurs, mais prompts à disparaître,
Où l'esprit échauffé, les sens, et tout notre être
Semblent se concentrer pour hâter le plaisir !
Vous portez avec vous trop de fougue et d'ivresse ;
Vous fatiguez mon cœur qui ne peut vous saisir,
Et vous fuyez sur-tout avec trop de vitesse ;
Hélas ! on vous regrette, avant de vous sentir !
Mais, non ; l'instant qui suit est bien plus doux encore.
Un long calme succède au tumulte des sens ;
Le feu qui nous brûlait par degrés s'évapore ;
La volupté survit aux pénibles élans ;
Sur sa félicité l'âme appuie en silence ;
Et la réflexion, fixant la jouissance,
S'amuse à lui prêter un charme plus flatteur.
Amour, à ces plaisirs l'effort de ta puissance
Ne saurait ajouter qu'un peu plus de lenteur.

Évariste de Parny.

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Titre : Le fantôme

Poète : Louise Ackermann (1813-1890)

Recueil : Premières poésies (1871).

D'un souffle printanier l'air tout à coup s'embaume.
Dans notre obscur lointain un spectre s'est dressé,
Et nous reconnaissons notre propre fantôme
Dans cette ombre qui sort des brumes du passé.

Nous le suivons de loin, entraînés par un charme
À travers les débris, à travers les détours,
Retrouvant un sourire et souvent une larme
Sur ce chemin semé de rêves et d'amours.

Par quels champs oubliés et déjà voilés d'ombre
Cette poursuite vaine un moment nous conduit !
Vers plus d'un mont désert, dans plus d'un vallon sombre,
Le fantôme léger nous égare après lui.

Les souvenirs dormants de la jeunesse éteinte
S'éveillent sous ses pas d'un sommeil calme et doux ;
Ils murmurent ensemble ou leur chant ou leur plainte,
Dont les échos mourants arrivent jusqu'à nous.

Et ces accents connus nous émeuvent encore.
Mais à nos yeux bientôt la vision décroît ;
Comme l'ombre d'Hamlet qui fuit et s'évapore,
Le spectre disparaît en criant : Souviens-toi !

Louise Ackermann.

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Titre : Les souvenirs du peuple

Poète : Pierre-Jean de Béranger (1780-1857)

Recueil : Toutes les chansons de Béranger (1843).

On parlera de sa gloire
Sous le chaume bien longtemps.
L'humble toit, dans cinquante ans,
Ne connaîtra plus d'autre histoire.
Là viendront les villageois
Dire alors à quelque vieille
Par des récits d'autrefois,
Mère, abrégez notre veille.
Bien, dit-on, qu'il nous ait nui,
Le peuple encor le révère,
Oui, le révère.
Parlez-nous de lui, grand-mère ;
Parlez-nous de lui. (bis)

Mes enfants, dans ce village,
Suivi de rois, il passa.
Voilà bien longtemps de ça ;
Je venais d'entrer en ménage.
À pied grimpant le coteau
Où pour voir je m'étais mise,
Il avait petit chapeau
Avec redingote grise.
Près de lui je me troublais,
Il me dit :
Bonjour, ma chère,
Bonjour, ma chère.
- Il vous a parlé, grand-mère !
Il vous a parlé !

L'an d'après, moi, pauvre femme,
À Paris étant un jour,
Je le vis avec sa cour
Il se rendait à Notre-Dame.
Tous les coeurs étaient contents ;
On admirait son cortège.
Chacun disait : Quel beau temps !
Le ciel toujours le protège.
Son sourire était bien doux ;
D'un fils Dieu le rendait père,
Le rendait père.
- Quel beau jour pour vous, grand-mère !
Quel beau jour pour vous !

Mais, quand la pauvre Champagne
Fut en proie aux étrangers,
Lui, bravant tous les dangers,
Semblait seul tenir la campagne.
Un soir, tout comme aujourd'hui,
J'entends frapper à la porte ;
J'ouvre, bon Dieu ! c'était lui
Suivi d'une faible escorte.
Il s'assoit où me voilà,
S'écriant : Oh ! quelle guerre !
Oh ! quelle guerre !
- Il s'est assis là, grand-mère !
Il s'est assis là !

J'ai faim, dit-il ; et bien vite
Je sers piquette et pain bis
Puis il sèche ses habits,
Même à dormir le feu l'invite.
Au réveil, voyant mes pleurs,
Il me dit : Bonne espérance !
Je cours de tous ses malheurs
Sous Paris venger la France.
Il part ; et comme un trésor
J'ai depuis gardé son verre,
Gardé son verre.
- Vous l'avez encor, grand-mère !
Vous l'avez encor !

Le voici. Mais à sa perte
Le héros fut entraîné.
Lui, qu'un pape a couronné,
Est mort dans une île déserte.
Longtemps aucun ne l'a cru ;
On disait : Il va paraître.
Par mer il est accouru ;
L'étranger va voir son maître.
Quand d'erreur on nous tira,
Ma douleur fut bien amère !
Fut bien amère !
- Dieu vous bénira, grand-mère ;
Dieu vous bénira. (bis)

Pierre-Jean de Béranger.

EN CONCLUSION:
Et suppositio nil ponit in esse « Supposer une chose ne lui confère pas l'existence. »
Et tu Brute « Et toi aussi, Brutus.
Et sequentes « Et suivantes. »
Et seq. Abréviation de Et sequentes « Et suivantes. »
Et lux in tenebris lucet « La lumière luit dans les ténèbres »
Et nunc reges, intelligite… erudimini, qui judicatis terram « Et maintenant, vous les grands de ce monde, instruisez-vous, vous qui décidez du sort du monde ! »
Errare humanum est, perseverare diabolicum « Il est humain [dans la nature de l'Homme] de se tromper, mais persévérer [dans l'erreur] est diabolique. »
Error communis facit jus « Une erreur commune fait naître une apparence de droit. »

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REGARD DE LA PLÈBE SUR L'EVOLUTION TEMPOREL DE L’HUMANITÉ DANS L'UNIVERS.
RAPPORT DE LA FACULTÉ DE VIVRE
DEVANT CEUX QUI SE GAVE SUR LA SUEUR DE CEUX QUI NOURRISSENT LEURS FAMILLES.
ECRIT DU
CITOYEN TIGNARD YANIS
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MessageSujet: Re: LOIS: CODE DE LA ROUTE, CAMIONNEURS ET TRAVAILLEURS DÉTACHÉS   LOIS: CODE DE LA ROUTE, CAMIONNEURS ET TRAVAILLEURS DÉTACHÉS EmptyLun 25 Sep à 9:24

Pour ne dépendre de personne, il faut vivre de son travail.
Citation de la Grèce ; Maximes de la Grèce antique (1855)

Soyons riches sans orgueil, pauvres sans abattement, et n'insultons pas aux maux de l'infortuné.
Citation de la Grèce ; Maximes de la Grèce antique (1855)

La négligence des parents dans l'éducation de leurs enfants est souvent pour eux la cause de bien des chagrins. La vigne qu'on ne cultive pas ne donne pas de fruits ; de même les enfants dégradés par le vice, ou par le défaut d'éducation, deviennent inutiles à la société.
Citation de la Grèce ; Maximes de la Grèce antique (1855)

Le devoir des pères et mères n'est pas de préparer leurs enfants à la volupté, mais de les former à la tempérance. S'ils entretiennent leur enfance dans la mollesse, jamais ceux-ci n'auront la force d'y renoncer. Ils croient les élever, ils ne font que les corrompre.
Citation de la Grèce ; Maximes de la Grèce antique (1855)

Se livrer aux perfides insinuations du flatteur, c'est boire du poison dans une coupe d'or.
Citation de Démophile ; Sentences grecques - VIe s. av. J.-C.

Une femme estimable regarde comme une loi sacrée la volonté de son époux.
Citation de la Grèce ; Livre des sentences grecques (1876)

La société est bien gouvernée, quand les citoyens obéissent aux magistrats, et les magistrats aux lois.
Citation de Solon ; Sentences grecques - VIIe s. av. J.-C.

Ne donne pas à tes amis les conseils les plus agréables, mais les plus avantageux.
Citation de Solon ; Sentences grecques - VIIe s. av. J.-C.

L'obéissance est la mère du bonheur.
Citation de la Grèce ; Maximes de la Grèce antique, 175 (1855)

Les hommes qui se vantent le plus ressemblent à une fausse pièce en or : le dehors semble précieux, mais une fois que vous en aurez gratté la surface, il n'en restera plus qu'un vil métal sans aucune valeur.
Citation de Démophile ; Sentences grecques - VIe s. av. J.-C.

N'accorde pas ta confiance aux discours des hommes, ne la donne qu'à leurs actions.
Citation de Démophile ; Sentences grecques - VIe s. av. J.-C.

Observe la piété ; aie l'injustice en horreur ; contribue au bonheur de tes concitoyens ; réprime ta langue ; ne fais rien avec violence ; instruis tes enfants ; apaise les querelles : telles sont les leçons de la sagesse, et l'homme qui les met en pratique peut être appelé vertueux.
Citation de Cléobule de Lindos ; Sentences grecques - VIe s. av. J.-C.

Mieux vaut une perte qu'un gain honteux.
Citation de Chilon Le Lacédémonien ; Sentences et sagesses grecques - VIe s. av. J.-C.

L'homme sage met son esprit d'accord avec les mauvais esprits, comme le musicien accorde sa lyre.
Citation de la Grèce ; Livre des sentences grecques (1876)

L'homme qui a pour son épouse les attentions dus à la mère de ses enfants jouit d'une vie désirable.
Citation de la Grèce ; Livre des sentences grecques (1876)

Qui dîne avec les grands les quitte avec la faim.
Citation de la Grèce ; La Grèce en proverbes (1909)

Si tu habites avec un boiteux, tu boiteras bientôt toi-même.
Citation de la Grèce ; Maximes de la Grèce antique, 164 (1855)

Toute terre est une patrie pour l'homme courageux.
Citation de la Grèce ; Maximes de la Grèce antique, 165 (1855)

Un langage simple convient à la vérité.
Citation de la Grèce ; Maximes de la Grèce antique, 166 (1855)

La richesse est un mal qui remplit l'âme de trouble, mais qui lui est agréable.
Citation de la Grèce ; Maximes de la Grèce antique, 168 (1855)

Il est honteux de heurter deux fois son pied contre la même pierre.
Citation de la Grèce ; Maximes de la Grèce antique, 170 (1855)

Les jeunes gens agissent, les hommes délibèrent, les vieillards font des vœux.
Citation de la Grèce ; Maximes de la Grèce antique, 171 (1855)

Se taire quand il le faut, et parler utilement ; voilà le savoir-vivre.
Citation de la Grèce ; Maximes de la Grèce antique, 172 (1855)

Les hommes naissent et tombent comme des feuilles.
Citation de la Grèce ; Maximes de la Grèce antique, 177 (1855)

Si tu considérais les malheurs que souffrent les autres, tu te plaindrais plus doucement de tes maux.
Citation de Chilon Le Lacédémonien ; Sentences et sagesses grecques - VIe s. av. J.-C.

Ne laisse pas ta raison tomber dans la langueur ; son sommeil est plus funeste que celui de la mort.
Citation de Démophile ; Sentences grecques - VIe s. av. J.-C.

Garder le secret, bien employer son loisir, supporter les injures, sont trois choses bien essentielles au bonheur de l'homme.
Citation de la Grèce ; Livre des sentences grecques (1876)

La vertu est immortelle ; la volupté ne dure qu'un instant.
Citation de Périandre ; Sentences grecques - VIIe s. av. J.-C.

La bonne conscience est seule au-dessus de la crainte.
Citation de la Grèce ; Livre des sentences grecques (1876)

Que nous dit la sagesse ? De nous connaître nous-mêmes, et d'éviter avec soin que l'amour-propre n'exagère notre mérite à nos propres yeux.
Citation de la Grèce ; Livre des sentences grecques (1876)

L'homme qui chérit celle qu'il a prise pour épouse jouit d'une tranquillité désirable.
Citation de la Grèce ; Livre des sentences et sagesses grecques (1876)

Faisons le bien selon nos facultés ; il en coûte souvent si peu pour obliger l'humanité souffrante !
Citation de la Grèce ; Livre des sentences grecques (1876)

La famille qui n'a pas trop de richesses, et qui ne souffre pas la pauvreté, jouit d'un bonheur désirable.
Citation de la Grèce ; Livre des sentences et sagesses grecques (1876)

En commandant aux autres, sache te gouverner toi-même.
Citation de Pittacos de Mytilène ; Sentences grecques - VIe s. av. J.-C.

Un jour, vous serez pères et mères, et vous aurez droit d'attendre de vos enfants, ce que vous-mêmes aurez fait de bien pour les auteurs de vos beaux jours.
Citation de la Grèce ; Livre des sentences grecques (1876)

Jeunes gens, aimez vos parents ; s'ils vous causent quelques désagréments, apprenez à les supporter.
Citation de la Grèce ; Livre des sentences grecques (1876)

Évite les fautes, non par crainte, mais parce que tu le dois.
Citation de la Grèce ; Livre des sentences grecques (1876)

Le coupable qui se repent n'est pas encore perdu.
Citation de la Grèce ; Livre des sentences grecques (1876)

Si tu as fait une chose honteuse : commence à rougir de toi-même.
Citation de la Grèce ; Livre des sentences grecques (1876)

Jamais ne te mets du parti des railleurs ; tu te ferais un ennemi de leur victime.
Citation de Cléobule de Lindos ; Sentences grecques - VIe s. av. J.-C.

Les peines que tu feras aux autres ne tarderont pas à retomber sur toi-même.
Citation de Démophile ; Sentences grecques - VIe s. av. J.-C.

Écoute beaucoup, et ne parle qu'à propos.
Citation de la Grèce ; Livre des sentences grecques (1876)

La fausseté ne peut longtemps se soutenir ; elle n'a qu'un instant pour tromper.
Citation de Démophile ; Sentences grecques - VIe s. av. J.-C.

Tu parles mal des autres, tu ne crains donc pas le mal qu'ils diront de toi ?
Citation de Chilon de Sparte ; Sentences grecques - VIe s. av. J.-C.

Les envieux sont bien à plaindre d'être tourmentés par la félicité des autres.
Citation de la Grèce ; Livre des sentences grecques (1876)

L'amitié d'un seul sage vaut mieux que celle d'un grand nombre de fous.
Citation de la Grèce ; Livre des sentences grecques (1876)

Un bon père et une bonne mère ne négligent rien pour que leurs enfants leur ressemblent.
Citation de la Grèce ; Livre des sentences grecques (1876)

Quand tu parles de ton ennemi, songe qu'un jour peut-être tu deviendras son ami.
Citation de Périandre ; Sentences grecques - VIIe s. av. J.-C.

Le sage se retire modestement de la vie comme d'un festin.
Citation de Démophile ; Sentences grecques - VIe s. av. J.-C


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RAPPORT DE LA FACULTÉ DE VIVRE
DEVANT CEUX QUI SE GAVE SUR LA SUEUR DE CEUX QUI NOURRISSENT LEURS FAMILLES.
ECRIT DU
CITOYEN TIGNARD YANIS
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MessageSujet: Re: LOIS: CODE DE LA ROUTE, CAMIONNEURS ET TRAVAILLEURS DÉTACHÉS   LOIS: CODE DE LA ROUTE, CAMIONNEURS ET TRAVAILLEURS DÉTACHÉS EmptyLun 25 Sep à 9:33

La fausseté ne peut longtemps se soutenir ; elle n'a qu'un instant pour tromper.
Citation de Démophile ; Sentences grecques - VIe s. av. J.-C.

La guerre
Poèmes de Louise Ackermann

I

Du fer, du feu, du sang ! C'est elle ! c'est la Guerre
Debout, le bras levé, superbe en sa colère,
Animant le combat d'un geste souverain.
Aux éclats de sa voix s'ébranlent les armées ;
Autour d'elle traçant des lignes enflammées,
Les canons ont ouvert leurs entrailles d'airain.

Partout chars, cavaliers, chevaux, masse mouvante !
En ce flux et reflux, sur cette mer vivante,
A son appel ardent l'épouvante s'abat.
Sous sa main qui frémit, en ses desseins féroces,
Pour aider et fournir aux massacres atroces
Toute matière est arme, et tout homme soldat.

Puis, quand elle a repu ses yeux et ses oreilles
De spectacles navrants, de rumeurs sans pareilles,
Quand un peuple agonise en son tombeau couché,
Pâle sous ses lauriers, l'âme d'orgueil remplie,
Devant l'œuvre achevée et la tâche accomplie,
Triomphante elle crie à la Mort: « Bien fauché ! »

Oui, bien fauché ! Vraiment la récolte est superbe ;
Pas un sillon qui n'ait des cadavres pour gerbe !
Les plus beaux, les plus forts sont les premiers frappés.
Sur son sein dévasté qui saigne et qui frissonne
L'Humanité, semblable au champ que l'on moissonne,
Contemple avec douleur tous ces épis coupés.

Hélas ! au gré du vent et sous sa douce haleine
Ils ondulaient au loin, des coteaux à la plaine,
Sur la tige encor verte attendant leur saison.
Le soleil leur versait ses rayons magnifiques ;
Riches de leur trésor, sous les cieux pacifiques,
Ils auraient pu mûrir pour une autre moisson.


II

Si vivre c'est lutter, à l'humaine énergie
Pourquoi n'ouvrir jamais qu'une arène rougie ?
Pour un prix moins sanglant que les morts que voilà
L'homme ne pourrait-il concourir et combattre ?
Manque-t-il d'ennemis qu'il serait beau d'abattre ?
Le malheureux ! il cherche, et la Misère est là !

Qu'il lui crie : « A nous deux ! » et que sa main virile
S'acharne sans merci contre ce flanc stérile
Qu'il s'agit avant tout d'atteindre et de percer.
A leur tour, le front haut, l'Ignorance et le Vice,
L'un sur l'autre appuyé, l'attendent dans la lice :
Qu'il y descende donc, et pour les terrasser.

A la lutte entraînez les nations entières.
Délivrance partout ! effaçant les frontières,
Unissez vos élans et tendez-vous la main.
Dans les rangs ennemis et vers un but unique,
Pour faire avec succès sa trouée héroïque,
Certes ce n'est pas trop de tout l'effort humain.

L'heure semblait propice, et le penseur candide
Croyait, dans le lointain d'une aurore splendide,
Voir de la Paix déjà poindre le front tremblant.
On respirait. Soudain, la trompette à la bouche,
Guerre, tu reparais, plus âpre, plus farouche,
Écrasant le progrès sous ton talon sanglant.

C'est à qui le premier, aveuglé de furie,
Se précipitera vers l'immense tuerie.
A mort ! point de quartier ! L'emporter ou périr!
Cet inconnu qui vient des champs ou de la forge
Est un frère ; il fallait l'embrasser, - on l'égorge.
Quoi ! lever pour frapper des bras faits pour s'ouvrir !

Les hameaux, les cités s'écroulent dans les flammes.
Les pierres ont souffert ; mais que dire des âmes ?
Près des pères les fils gisent inanimés.
Le Deuil sombre est assis devant les foyers vides,
Car ces monceaux de morts, inertes et livides,
Étaient des cœurs aimants et des êtres aimés.

Affaiblis et ployant sous la tâche infinie,
Recommence, Travail ! rallume-toi, Génie !
Le fruit de vos labeurs est broyé, dispersé.
Mais quoi ! tous ces trésors ne formaient qu'un domaine ;
C'était le bien commun de la famille humaine,
Se ruiner soi-même, ah ! c'est être insensé !

Guerre, au seul souvenir des maux que tu déchaînes,
Fermente au fond des cœurs le vieux levain des haines ;
Dans le limon laissé par tes flots ravageurs
Des germes sont semés de rancune et de rage,
Et le vaincu n'a plus, dévorant son outrage,
Qu'un désir, qu'un espoir : enfanter des vengeurs.

Ainsi le genre humain, à force de revanches,
Arbre découronné, verra mourir ses branches,
Adieu, printemps futurs ! Adieu, soleils nouveaux !
En ce tronc mutilé la sève est impossible.
Plus d'ombre, plus de fleurs ! et ta hache inflexible,
Pour mieux frapper les fruits, a tranché les rameaux.


III

Non, ce n'est point à nous, penseur et chantre austère,
De nier les grandeurs de la mort volontaire ;
D'un élan généreux il est beau d'y courir.
Philosophes, savants, explorateurs, apôtres,
Soldats de l'Idéal, ces héros sont les nôtres :
Guerre ! ils sauront sans toi trouver pour qui mourir.

Mais à ce fier brutal qui frappe et qui mutile,
Aux exploits destructeurs, au trépas inutile,
Ferme dans mon horreur, toujours je dirai : « Non ! »
O vous que l'Art enivre ou quelque noble envie,
Qui, débordant d'amour, fleurissez pour la vie,
On ose vous jeter en pâture au canon !

Liberté, Droit, Justice, affaire de mitraille !
Pour un lambeau d'Etat, pour un pan de muraille,
Sans pitié, sans remords, un peuple est massacré.
- Mais il est innocent ! - Qu'importe ? On l'extermine.
Pourtant la vie humaine est de source divine :
N'y touchez pas, arrière ! Un homme, c'est sacré !

Sous des vapeurs de poudre et de sang, quand les astres
Pâlissent indignés parmi tant de désastres,
Moi-même à la fureur me laissant emporter,
Je ne distingue plus les bourreaux des victimes ;
Mon âme se soulève, et devant de tels crimes
Je voudrais être foudre et pouvoir éclater.

Du moins te poursuivant jusqu'en pleine victoire,
A travers tes lauriers, dans les bras de l'Histoire
Qui, séduite, pourrait t'absoudre et te sacrer,
O Guerre, Guerre impie, assassin qu'on encense,
Je resterai, navrée et dans mon impuissance,
Bouche pour te maudire, et cœur pour t'exécrer !
La guerre
Poèmes de Louise Ackermann

------------------------------

Les Malheureux
Poèmes de Louise Ackermann

La trompette a sonné. Des tombes entr'ouvertes
Les pâles habitants ont tout à coup frémi.
Ils se lèvent, laissant ces demeures désertes
Où dans l'ombre et la paix leur poussière a dormi.
Quelgues morts cependant sont restés immobiles ;
Ils ont tout entendu, mais le divin clairon
Ni l'ange qui les presse à ces derniers asiles
Ne les arracheront.

« Quoi ! renaître ! revoir le ciel et la lumière,
Ces témoins d'un malheur qui n'est point oublié,
Eux qui sur nos douleurs et sur notre misère
Ont souri sans pitié !

Non, non ! Plutôt la Nuit, la Nuit sombre, éternelle !
Fille du vieux Chaos, garde-nous sous ton aile.
Et toi, sœur du Sommeil, toi qui nous as bercés,
Mort, ne nous livre pas ; contre ton sein fidèle
Tiens-nous bien embrassés.

Ah! l'heure où tu parus est à jamais bénie ;
Sur notre front meurtri que ton baiser fut doux !
Quand tout nous rejetait, le néant et la vie,
Tes bras compatissants, ô notre unique amie !
Se sont ouverts pour nous.

Nous arrivions à toi, venant d'un long voyage,
Battus par tous les vents, haletants, harassés.
L'Espérance elle-même, au plus fort de l'orage,
Nous avait délaissés.

Nous n'avions rencontré que désespoir et doute,
Perdus parmi les flots d'un monde indifférent ;
Où d'autres s'arrêtaient enchantés sur la route,
Nous errions en pleurant.

Près de nous la Jeunesse a passé, les mains vides,
Sans nous avoir fêtés, sans nous avoir souri.
Les sources de l'amour sous nos lèvres avides,
Comme une eau fugitive, au printemps ont tari.
Dans nos sentiers brûlés pas une fleur ouverte.
Si, pour aider nos pas, quelque soutien chéri
Parfois s'offrait à nous sur la route déserte,
Lorsque nous les touchions, nos appuis se brisaient :
Tout devenait roseau quand nos cœurs s'y posaient.
Au gouffre que pour nous creusait la Destinée
Une invisible main nous poussait acharnée.
Comme un bourreau, craignant de nous voir échapper,
A nos côtés marchait le Malheur inflexible.
Nous portions une plaie à chaque endroit sensible,
Et l'aveugle Hasard savait où nous frapper.

Peut-être aurions-nous droit aux celestes délices ;
Non ! ce n'est point à nous de redouter l'enfer,
Car nos fautes n'ont pas mérité de supplices :
Si nous avons failli, nous avons tant souffert !
Eh bien, nous renonçons même à cette espérance
D'entrer dans ton royaume et de voir tes splendeurs,
Seigneur ! nous refusons jusqu'à ta récompense,
Et nous ne voulons pas du prix de nos douleurs.

Nous le savons, tu peux donner encor des ailes
Aux âmes qui ployaient sous un fardeau trop lourd ;
Tu peux, lorsqu'il te plaît, loin des sphères mortelles,
Les élever à toi dans la grâce et l'amour ;
Tu peux, parmi les chœurs qui chantent tes louanges,
A tes pieds, sous tes yeux, nous mettre au premier rang,
Nous faire couronner par la main de tes anges,
Nous revêtir de gloire en nous transfigurant.
Tu peux nous pénétrer d'une vigueur nouvelle,
Nous rendre le désir que nous avions perdu…
Oui, mais le Souvenir, cette ronce immortelle
Attachée à nos cœurs, l'en arracheras-tu ?

Quand de tes chérubins la phalange sacrée
Nous saluerait élus en ouvrant les saints lieux,
Nous leur crierions bientôt d'une voix éplorée :
« Nous élus ? nous heureux ? Mais regardez nos yeux !
Les pleurs y sont encor, pleurs amers, pleurs sans nombre.
Ah ! quoi que vous fassiez, ce voile épais et sombre
Nous obscurcit vos cieux. »

Contre leur gré pourqoui ranimer nos poussières ?
Que t'en reviendra-t-il ? et que t'ont-elles fait ?
Tes dons mêmes, après tant d'horribles misères,
Ne sont plus un bienfait.

Au ! tu frappas trop fort en ta fureur cruelle.
Tu l'entends, tu le vois ! la Souffrance a vaincu.
Dans un sommeil sans fin, ô puissance éternelle !
Laisse-nous oublier que nous avons vécu.
Les Malheureux
Poèmes de Louise Ackermann

Dolus an virtus quis in hoste requirat ? « Ruse ou courage, qu'importe contre l'ennemi ? »
Domus accipere debemus, non proprietatem domus, sed domicilium « Par domicile on entend, non pas la maison dont on est propriétaire, mais le bâtiment où l’on habite. »
Dona nobis pacem « [Seigneur], donne-nous la paix. »
Deus dedit, deus abstulit, sit nomen domini benedictum « L'Éternel a donné et l'Éternel a ôté ; que le nom de l'Éternel soit béni. »
De jure « De droit ; par le droit ; par la loi. »
De internis non judicat prætor « Le juge ne doit pas condamner pour de simples pensées. »
De jure uxoris « Par le droit de la femme. »


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REGARD DE LA PLÈBE SUR L'EVOLUTION TEMPOREL DE L’HUMANITÉ DANS L'UNIVERS.
RAPPORT DE LA FACULTÉ DE VIVRE
DEVANT CEUX QUI SE GAVE SUR LA SUEUR DE CEUX QUI NOURRISSENT LEURS FAMILLES.
ECRIT DU
CITOYEN TIGNARD YANIS
ALIAS
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MessageSujet: Re: LOIS: CODE DE LA ROUTE, CAMIONNEURS ET TRAVAILLEURS DÉTACHÉS   LOIS: CODE DE LA ROUTE, CAMIONNEURS ET TRAVAILLEURS DÉTACHÉS EmptyLun 25 Sep à 9:39

PORTE DE BRANDEBOURG, BIG BEN, IDUNN, TOUR EIFFEL ET Y'BECCA
https://leclandesmouettes.1fr1.net/t484-porte-de-brandebourg-big-ben-idunn-tour-eiffel-et-y-becca#7061
La chevauchée des Walkyries
https://www.youtube.com/watch?v=KMTRqAgLw04
TAY

Rappelez-vous l'objet que nous vîmes, mon âme,
Ce beau matin d'été si doux :
Au détour d'un sentier une charogne infâme
Sur un lit semé de cailloux,

Les jambes en l'air, comme une femme lubrique,
Brûlante et suant les poisons,
Ouvrait d'une façon nonchalante et cynique
Son ventre plein d'exhalaisons.

Le soleil rayonnait sur cette pourriture,
Comme afin de la cuire à point,
Et de rendre au centuple à la grande nature
Tout ce qu'ensemble elle avait joint ;

Et le ciel regardait la carcasse superbe
Comme une fleur s'épanouir.
La puanteur était si forte, que sur l'herbe
Vous crûtes vous évanouir.

Les mouches bourdonnaient sur ce ventre putride,
D'où sortaient de noirs bataillons
De larves, qui coulaient comme un épais liquide
Le long de ces vivants haillons.

Tout cela descendait, montait comme une vague,
Ou s'élançait en pétillant ;
On eût dit que le corps, enflé d'un souffle vague,
Vivait en se multipliant.

Et ce monde rendait une étrange musique,
Comme l'eau courante et le vent,
Ou le grain qu'un vanneur d'un mouvement rythmique
Agite et tourne dans son van.

Les formes s'effaçaient et n'étaient plus qu'un rêve,
Une ébauche lente à venir,
Sur la toile oubliée, et que l'artiste achève
Seulement par le souvenir.

Derrière les rochers une chienne inquiète
Nous regardait d'un œil fâché,
Épiant le moment de reprendre au squelette
Le morceau qu'elle avait lâché.

- Et pourtant vous serez semblable à cette ordure,
À cette horrible infection,
Étoile de mes yeux, soleil de ma nature,
Vous, mon ange et ma passion !

Oui ! Telle vous serez, ô la reine des grâces,
Après les derniers sacrements
Quand vous irez, sous l'herbe et les floraisons grasses,
Moisir parmi les ossements.

Alors, ô ma beauté ! Dites à la vermine
Qui vous mangera de baisers,
Que j'ai gardé la forme et l'essence divine
De mes amours décomposés !
Une charogne
Poèmes de Charles Baudelaire

---------------------------------------

La chevelure
Poèmes de Charles Baudelaire

Ô toison, moutonnant jusque sur l'encolure !
Ô boucles ! Ô parfum chargé de nonchaloir !
Extase ! Pour peupler ce soir l'alcôve obscure
Des souvenirs dormant dans cette chevelure,
Je la veux agiter dans l'air comme un mouchoir !


La langoureuse Asie et la brûlante Afrique,
Tout un monde lointain, absent, presque défunt,
Vit dans tes profondeurs, forêt aromatique !
Comme d'autres esprits voguent sur la musique,
Le mien, ô mon amour ! nage sur ton parfum.


J'irai là-bas où l'arbre et l'homme, pleins de sève,
Se pâment longuement sous l'ardeur des climats ;
Fortes tresses, soyez la houle qui m'enlève !
Tu contiens, mer d'ébène, un éblouissant rêve
De voiles, de rameurs, de flammes et de mâts :


Un port retentissant où mon âme peut boire
A grands flots le parfum, le son et la couleur ;
Où les vaisseaux, glissant dans l'or et dans la moire,
Ouvrent leurs vastes bras pour embrasser la gloire
D'un ciel pur où frémit l'éternelle chaleur.


Je plongerai ma tête amoureuse d'ivresse
Dans ce noir océan où l'autre est enfermé ;
Et mon esprit subtil que le roulis caresse
Saura vous retrouver, ô féconde paresse,
Infinis bercements du loisir embaumé !


Cheveux bleus, pavillon de ténèbres tendues,
Vous me rendez l'azur du ciel immense et rond ;
Sur les bords duvetés de vos mèches tordues
Je m'enivre ardemment des senteurs confondues
De l'huile de coco, du musc et du goudron.


Longtemps ! toujours ! ma main dans ta crinière lourde
Sèmera le rubis, la perle et le saphir,
Afin qu'à mon désir tu ne sois jamais sourde !
N'es-tu pas l'oasis où je rêve, et la gourde
Où je hume à longs traits le vin du souvenir ?

De minimis non curat lex « La loi ne s'occupe pas de petites choses. »
De minimis non curat prætor « Le juge ne s'occupe pas de petites choses. »
De mortuis aut bene aut nihil « Des morts, on dit du bien ou on se tait. »
De mortuis nihil nisi bonum « Des morts, on ne doit parler qu'en bien. »
De nilo nil « Rien ne naît à partir de rien »
De nobis fabula narratur « Cette histoire est la nôtre. »
De non vigilantibus non curat prætor « Le juge n'a cure des insouciants. »
De novo « Renouvelé ; rafraîchi ; recommençant. »
De omni re scibili « De toutes les choses qu'on peut savoir. »
De omnibus dubitandum « Doute de tout. »
De lege feranda « Selon la loi souhaitable. »
De lege lata « Selon la loi en vigueur. »
Dat veniam corvis, vexat censura columbas « La censure pardonne aux corbeaux et poursuit les colombes. »
Data venia « Excuses étant données »
Davus sum, non Œdipus « Je suis Davus, pas Œdipe. »

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MessageSujet: Re: LOIS: CODE DE LA ROUTE, CAMIONNEURS ET TRAVAILLEURS DÉTACHÉS   LOIS: CODE DE LA ROUTE, CAMIONNEURS ET TRAVAILLEURS DÉTACHÉS EmptyLun 25 Sep à 9:41

Processus de Paix des secouristes de la république de l'Olivier.

Je crois qu'à l'avenir, plus personne ne pourra recréer des bulles d'exclusions...
Pour cela, je ne peux me permettre de mettre à l'écart tout individu(e) et "État".

Je ne suis qu'une femme ou un homme humble qui en vous adressant ces ces vers,
espère qu'il puisse vous conduire vers l'expérience, le travail et la communauté...
La solitude augmente ou diminue le nervosité... Cela s'appelle le malheur...

Alors par décision, on recherche à se tranquilliser et remettre la balance sur le zéro;
alors par construction, on décèle la notion d'une fragile tolérance:
Celle d'insulter !

Par Yahvé, cela est une horreur et une erreur...

La République de l'Olivier dit :
"Oui à la gréve, Non à l'Esclavage..."
la constitution rajoute :
"Oui à la Bibliothèque et Non à la Faim."
et le peuple doit rajouter :
"Oui à l'écoute et Non aux viols physiques et moraux."

Alors le Novice du Secourisme prends en charge sa nouvelle fonction autre qu'un service
militaire mais basé aussi sur la protection du Bien et du Corps.

"Je suis Y'becca"

Ecrit de
TAY
La chouette effraie.

-----------------------------------------

Y'becca est soumis à toujours suivre un dossier médical, on ne peut se reposer sur des radios anciennes et toutes opérations auquel Lise Verdier ne peut être bâclé... Certains medecins oublient d'osculter la gorge quand un patien à une fiévre... Il est des gestes de précautions auquel la médecine n'a pas la droit de s'occulter... Y'becca doit répondre à ces faits là et son secouriste ne doit jamais dire jamais sur le fait que l'expérience ne donne jamais d'acquis et il est une chose auquel je voue une grande discipline et rigueur: Celle d'entendre la Prudence lorsque le temps le permet... quel que soit l'opération, on agit avec prudence du temps, de l'aspect et des allergies possibles auquel le patient ou la patiente peut être soumis en fonction de son age et de sa corpulence...

"La grâce est à la beauté ce que la souplesse est à la rose. Sans grâce, la beauté n'est qu'une fleur artificielle, qu'un colibri sans vie."
Citation de Jean-Napoléon Vernier ; Fables, pensées et poésies (1865). L'association pour Lise et pour vous, s'inspire de cette citation de Jean-Napoléon Vernier qui est si réelle sur l'aspect du courage d'être dans des situation auquel l'aspect humain se doit de se reconsidérer dans l'aspect de l'adversité dans l'être. Cette citation cherche à nous monter des aspects qui nous semblent enfoie par l'adversité et la douleur mais qui ne demande qu'à renaitre afin de permettre à la rose de devenir Rosier...


Aide pour le retour à domicile d’une personne lourdement handicapée.

L’Association Pour Lise et pour Vous, a but non lucratif, met à la disposition des personnes en situation de grand handicap et leurs familles, son expertise dans la prise en charge du retour au domicile.

Plus largement, l’association veut favoriser et permettre le développement des soins de qualité et le maintien à son domicile de tout enfant, adolescent ou jeune adulte, atteint d’une maladie grave ou d’un handicap lourd.

Nous sommes à votre écoute pour parler et construire ensemble de votre projet de vie, nous sommes à vos côtés pour le concrétiser.


Pour Lise Et Pour Vous
le Bourg Chevreau, 53600 SAINTE GEMMES LE ROBERT
Association humanitaire, d'entraide, sociale



"La grâce est à la beauté ce que la souplesse est à la rose. Sans grâce, la beauté n'est qu'une fleur artificielle, qu'un colibri sans vie."
Citation de Jean-Napoléon Vernier ; Fables, pensées et poésies (1865)

"La beauté sans grâce est un printemps sans verdure."
Citation de Mirabeau ; Lettres à Sophie Ruffei (1777-1780)

"La beauté sans grâce est un hameçon sans appâts."
Citation de Ninon de Lenclos ; Confessions (1700)

"On admire d'un coup d'œil la beauté, elle ne laisse plus rien à deviner ; la grâce se fait aimer peu à peu par des détails variés, imprévus, qui vous plaisent d'autant plus qu'ils vous surprennent, et ses petits défauts d'ensemble sont quelquefois des charmes qui nous attachent."
Citation de Louis-Philippe de Ségur ; L'ennui (1816)

"La grâce, ce charme suprême de la beauté, ne se développe que dans le repos du naturel."
Citation de Madame de Staël ; L'influence des passions (1796)

"La beauté ne déplaît jamais, mais sans la grâce, elle est dépourvue de ce charme secret qui invite à la regarder."
Citation de Voltaire ; Dictionnaire philosophique (1764)

"Les grâces préférables à la beauté, ornent la femme de tous ce qu'elles ont de séduisant."
Citation de Marie-Geneviève-Charlotte Darlus ; Traité des passions (1764)

"Il y a un art caché dans la simplicité qui donne une grâce à l'esprit et à la beauté."
Citation de Alexander Pope ; Maximes et réflexions morales (1739)

"Aucune grâce extérieure n'est complète si la beauté intérieure ne la vivifie."
Citation de Victor Hugo ; Post-scriptum de ma vie (1901)

"Brillante de beauté, de grâces, de jeunesse, pour vous plaire, on accourt, on s'empresse."
Citation de Charles-Guillaume Étienne ; L'Intrigante, I, 9, le 6 mars 1813.

"Sans le fard de l'amour, par qui tout s'apprécie, les grâces sont sans force, et la beauté sans vie."
Citation de Antoine Bret ; La double extravagance, VII, le 27 juillet 1750.

"La beauté est la clef des coeurs, la grâce le passe-partout."
Citation de Paul Masson ; Les pensées d'un Yoghi (1896)

"La beauté réside dans la forme ; la grâce dans les mouvements, le charme dans l'expression."
Citation de Lucien Arréat ; Réflexions et maximes (1911)

"La grâce, plus belle encore que la beauté."
Citation de Jean de La Fontaine ; Adonis (1658)

Compte rendu de
TAY
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Tikkun Ha-Klali
https://www.youtube.com/watch?v=MPZhFy2c3Mc
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L'ESPAGNE JUGE LES ANGLAIS QUI ONT DONNÉ AVEC COURAGE UN RÉFÉRENDUM AUX ÉCOSSAIS, LA CATALOGNE DOIT ETRE L’ÉGAL DE L'ÉCOSSE.
GIBRALTAR.
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Enigma - Return To Innocence
https://www.youtube.com/watch?v=Rk_sAHh9s08

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