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 Médée de Corneille, L’assassinat politique et La Justice

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yanis la chouette




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Médée de Corneille, L’assassinat politique et La Justice Empty
MessageSujet: Médée de Corneille, L’assassinat politique et La Justice   Médée de Corneille, L’assassinat politique et La Justice EmptyJeu 2 Mar à 2:56

Médée (1635) dans la carrière de Pierre Corneille
Après avoir redonné ses lettres de noblesse à la comédie, Corneille s'engage dans la tragédie avec la création de Médée. Cette tragédie est représentée pour la première fois en 1635 par la troupe du Marais, rivale de celle du théâtre de l'hôtel de Bourgogne. Lors de sa représentation, au théâtre du Marais, le succès de la pièce de théâtre est mitigé. D'ailleurs, la représentation de Médée fait suite à la démission de Corneille du groupe des « cinq auteurs ». Le dramaturge ne possède donc plus la protection de Richelieu qui, rancunier, accueille cette première tragédie cornélienne d'un mauvais œil. Médée est publiée quatre ans après sa première représentation, en 1639.

Médée est une tragédie en cinq actes écrite par Pierre Corneille en 1635.

Médée (1635) : entre baroque et classicisme
La Médée de Corneille oscille entre tonalité baroque et tonalité classique. Elle incarne ces deux mouvements à la fois et révèle des problématiques esthétiques majeures du xviie siècle qui se complètent et s'opposent. Créée en 1635, elle se trouve dans une époque charnière où l’inspiration baroque reste majeure (La Vie est un songe, de Calderon, monument du théâtre baroque, paraît la même année) mais où déjà le mouvement régulier tente de s'imposer, sous l'influence des doctes comme Chapelain, et Scudéry. Ce n'est cependant qu'après la querelle du Cid que les pièces de Corneille commenceront à correspondre à ce que le xixe siècle a appelé le classicisme, en adoptant autant que possible les règles prescrites par les doctes et les réguliers.

Le mouvement et la démesure baroque
Dans Médée, le spectaculaire s'impose à travers divers éléments. Tout d'abord, la pièce de théâtre est empreinte de merveilleux, élément qui implique une mise en scène adaptée. Médée possède des pouvoirs magiques qui lui permettent de concocter des charmes ou encore d'ouvrir, à l'aide de sa « baguette », la porte de la prison où Égée est retenu prisonnier. Ces éléments impliquent que des stratagèmes ont été mis en place sur scène pour retranscrire le merveilleux. Le deus ex machina final en est la preuve.

Médée est aussi à placer dans une approche baroque car elle possède un goût prononcé pour la violence et le macabre. En effet, les meurtres se font sur scène et les personnages meurent lentement et dans d'atroces souffrances.

Les trois unités dans Médée
L'unité de temps
Dans Médée, cette règle est respectée. Créon accorde en effet un jour à Médée, durant lequel elle doit quitter la ville pendant que le mariage de Jason et Créuse est prononcé : « De grâce ma bonté te donne un jour entier » (II, 2, v.504). Nous voyons ainsi que l'intrigue théâtrale est construite par rapport à la règle de l'unité de temps qui est introduite naturellement dans la réplique. La règle devient un geste de clémence de la part de Créon.

L'unité d'action
L'action principale de Médée est la vengeance face à l'infidélité de Jason. Le mariage en est la cause. La libération d’Égée, quant à elle, assure le futur de Médée : elle trouvera en son royaume une retraite sûre. La vengeance de Médée se fait par étapes, mais le but n'est jamais oublié. Toutes les actions de l'héroïne tragique la mènent inéluctablement vers sa vengeance : elle empoisonne la robe que Créuse réclame, elle tue tout ce qui la relie à Jason, y compris ses deux enfants. Toutes les actions de Médée sont donc nécessaires.

L'unité de lieu
Corneille ne tient pas compte de l'unité de lieu. Il insère divers décors comme la grotte, le palais ou encore la prison. Cette entorse à l'unité de lieu rend Médée davantage baroque.

Corneille après Euripide et Sénèque
Corneille s'inspire de la pièce de Sénèque et de la pièce d'Euripide tout en y apportant de nombreuses modifications personnelles.

Le développement et l'ajout de personnages
Tout d'abord, Corneille a inséré quelques éléments nouveaux notamment au niveau des personnages. Le dramaturge ajoute, par exemple, le personnage d'Égée. Cet ajout est une inspiration de la Médée d'Euripide. Toutefois, Corneille étoffe davantage ce personnage en le rendant amoureux de Créuse. Cet amour est à sens unique. Égée permet de créer, avec Jason et la princesse, un triangle amoureux qui complexifie l'intrigue. Le dramaturge insère ensuite des personnages nouveaux. Nous pouvons citer Créuse qui possède alors un véritable rôle sur scène. Elle n'est plus seulement un objet ou simplement citée. Ensuite, Corneille crée le personnage de Pollux qu'il établit comme étant l'ami et le confident de Jason. Ces changements permettent à l'auteur d'atténuer la culpabilité de Médée par rapport à Sénèque. En effet, ces personnages apportent une diversité de points de vue sur l'héroïne tragique. Ainsi, il est plus délicat pour le spectateur de condamner Médée. Dans l’œuvre de Sénèque, le spectateur est obligé de la condamner. Chez Corneille, ce choix devient plus difficile car il a en sa possession une multitude d'opinions. Enfin, autre détail, il nomme la « Nourrice » – nom chez Sénèque – Nérine. La création et l'insertion de nouveaux personnages vont dans le sens d'une tragédie plus « psychologique ».

L'insertion ou la suppression de péripéties
Corneille insère aussi des péripéties qui complexifient les événements menant aux crimes finaux et permettent de justifier la vengeance de Médée et donc d'atténuer ainsi sa culpabilité. Son crime devient plus supportable, moins horrifiant que celui de Sénèque. Tout d'abord, la première péripétie rajoutée par Corneille est le fait que ce soit Créon qui enlève ses enfants à Médée afin de les mettre sous la garde de sa fille Créuse. Ensuite, Créuse exige la robe de Médée, seul bien qu'elle possède depuis sa fuite de Colchide. Ce n'est pas Médée qui la lui donne délibérément. Corneille fait donc moins agir Médée ; ce sont les autres personnages qui font avancer l'intrigue. Ces actes justifient donc en partie la vengeance de Médée. Ainsi, à la différence de Sénèque, Médée n'est plus haïe dans sa totalité, le lecteur est partagé. Une autre invention majeure concerne la mort de Jason. En effet, ce dernier se suicide sur scène. Chez Sénèque, tout comme dans le mythe, Jason ne meurt pas à la suite de ces événements. Cette invention augmente le pathétique de la tragédie.

À la différence de Sénèque, Corneille ne montre pas sur scène l'infanticide. Celui-ci est commis hors-scène, tandis que les deux meurtres (ceux de Créon et Créuse) sont effectués sur scène, aux yeux de tous. L'infanticide est moralement plus condamnable que le meurtre parce que le coupable tue sa descendance, une partie de lui-même. Corneille a donc préféré faire preuve de bienséance sur ce point.

Bibliographie
Pierre Corneille, Médée [Paris, François Targa, 1639], in Théâtre complet, Paris et Rouen, Augustin Courbet, 1660, tome 1. Édition moderne par Nathalie Lebailly et Matthieu Gamard, Paris, Éditions Magnard, 2008.
Sénèque, Médée [c. 63 apr. J.-C.], traduction en prose par Michel de Marolles, in Les Tragédies de Sénèque, Paris, Pierre Lamy, 1659, tome 1, p. 2-52. Édition moderne et traduction par Charles Guittard, Paris, Flammarion, 1997.
Emmanuel Caquet, Leçon littéraire sur Médée de Sénèque, Paris, PUF, Major Petit Format, 1997.
François Jouan, « La Figure de Médée chez Euripide, Sénèque et Corneille », Cahiers du Groupe interdisciplinaire du théâtre antique, 1986, no 2, p. 1-17.
Jean Rousset, La Littérature de l'âge baroque en France : Circé et le paon, Paris, Librairie José Corti, 1968.
Normand Doiron, « La vengeance d'une déesse. La Médée de Pierre Corneille », Poétique, 3/2012, no 171, p. 321-336
Filmographie[modifier | modifier le code]
Cornelia Geiser et Bertrand Brouder, Des Yeux à lire dans mon âme [archive], la Médée de Corneille filmée dans le Quartier de Beaugrenelle de Paris.

Ainsi

La Toison d'or est une pièce de théâtre de Corneille racontant les péripéties d'un jeune Athénien. Cette œuvre connut un grand succès et évoque, entre autres, le mythe d'Orphée.

Dans la mythologie grecque, Jason, fils d'Éson (roi d'Iolcos en Thessalie) et d'Alcimède est un héros principalement connu pour sa quête de la toison d'or. Il voit son père dépossédé du trône par son oncle Pélias. Sauvé des vues homicides de Pélias par des amis, il est élevé par le centaure Chiron sur le mont Pélion.

En réinventant une vision propre de lui même, à cette égard, Pierre Corneille devient un père spirituelle de la psychanalyse moderne...

de plus,

La Suite du Menteur est une pièce de théâtre écrite par Pierre Corneille en 1645.

Au lieu d'épouser Lucrèce, Dorante s'est enfui en Italie avec la dot. Mais, depuis deux ans, il s'est corrigé de ses défauts, et s'il lui arrive encore de ne pas dire la vérité, ce sera par délicatesse et par point d'honneur. Dorante, revenant d'Italie, est arrêté à Lyon et emprisonné pour un duel auquel il n'a pas pris part. Il connaît le vrai coupable, Cléandre. Mais sa générosité l'empêche de le nommer. La soeur de Cléandre, Mélisse, touchée de sa belle conduite lui envoie par sa suivante Lyse de l'or et des confitures, et va le voir dans sa prison. Délivré par l'intercession de son ami Philiste. il découvre bientôt que son bienfaiteur est son rival. Il veut renoncer à sa maîtresse; mais, luttant de générosité avec lui, Philiste lui abandonne l'amour de Mélisse. Cette comédie imitée de Amar sin saber a quien (Aimer sans savoir qui), de Lope de Vega, est plus romanesque et moins comique que le Menteur
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. Elle renferme un passage assez connu sur la sympathie ou la prédestination en amour. Andrieux a remanié cette comédie (Théâtre-Français, oct. 1808); A. Charlemagne a écrit : les Descendants du Menteur, 1805.

Œuvres théâtrales de Pierre Corneille
Liste d’œuvres pour le théâtre de Pierre Corneille par ordre chronologique
Mélite • Clitandre ou l’Innocence persécutée • La Veuve • La Galerie du Palais • La Suivante • La Place Royale • Médée • L’Illusion comique • Le Cid • Horace • Cinna • Polyeucte • La Mort de Pompée • Le Menteur • Rodogune • La Suite du Menteur • Théodore • Héraclius • Don Sanche d’Aragon • Andromède • Nicomède • Pertharite • Œdipe • La Toison d'or • Sertorius • Sophonisbe • Othon • Agésilas • Attila • Tite et Bérénice • Psyché • Pulchérie • Suréna

Nous examinons vos cas, Madame ou Monsieur le député de Paris et Messieurs les Présidents de la République Française...

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MessageSujet: Re: Médée de Corneille, L’assassinat politique et La Justice   Médée de Corneille, L’assassinat politique et La Justice EmptyJeu 2 Mar à 3:04

Clitandre est la deuxième pièce de théâtre de Pierre Corneille, tragi-comédie écrite en 1630. La pièce est dédiée au duc de Longueville qui aida les débuts du jeune Corneille, petit-fils de son bailli de Longueville1. Corneille la modifiera à de très nombreuses reprises, notamment en 1660, à l'occasion des différentes rééditions afin de l'adapter au genre de la tragédie, davantage en phase avec l'évolution de son siècle qui tend vers un raffinement des mœurs2.

La pièce n'est entrée au répertoire de la Comédie-Française qu'en 1996, dans une mise en scène de Muriel Mayette. L'immense complexité de l'intrigue justifie que la Comédie-Française ait mis autant de temps.

Pierre Corneille a écrit lui-même quelques remarques critiques sur son œuvre :

« Pour la constitution elle est si désordonnée que vous avez de la peine à deviner qui sont les premiers acteurs. Rosidor et Caliste sont ceux qui paraissent le plus par l'avantage de leur caractère et de leur amour mutuel ; mais leur action finit dès le premier acte avec leur péril, et ce qu'ils disent au troisième et cinquième ne fait que montrer leurs visages, attendant que les autres achèvent... Clitandre autour de qui semble tourner le nœud de la pièce, puisque les premières actions vont à le faire coupable et les dernières à le justifier, n'en peut être qu'un héros bien ennuyeux qui n'est introduit que pour déclamer en prison, et ne parle pas même à cette maîtresse, dont les dédains servent de couleur à le faire passer pour criminel. Tout le cinquième acte languit...
Les monologues sont trop longs et trop fréquents en cette pièce ; c'était une beauté en ce temps-là. Les comédiens les souhaitaient et croyaient y paraître avec plus d'avantage ».[réf. souhaitée]
Sur les autres projets Wikimedia :
Clitandre, sur Wikisource
Notes et références[modifier | modifier le code]
↑ Arlette Lebigre, La duchesse de Longueville, Perrin 2004 p.59
↑ Cinna, de Pierre Corneille, folioplusclassique, dossier de Eve-marie Rollinat-Levasseur, pages 124-125

BATTLESTAR GALACTICA - Générique
https://www.youtube.com/watch?v=ZgPzScen0O8

La Veuve (ou Le Traître trahi) est la troisième pièce de Pierre Corneille, c'est une comédie en cinq actes et en vers écrite en 1632. Elle est publiée en 1634 par François Targa ; le privilège est du 9 mars, l'achevé d'imprimé est du 13 mars.

Probablement jouée au Théâtre du Marais par la troupe de Montdory, elle reçut un très bon accueil du public. Cet accueil est illustré par une série de poèmes laudateurs écrits par des contemporains, et reproduits dans l'édition de 1634 : parmi les signataires on note Georges de Scudery, Jean Mairet, Jean Rotrou, Pierre Du Ryer, François le Métel sieur de Boirobert, Antoine le Metel sieur D'ouville, Jean Claveret, Pierre de Marbeuf.

Personnages[modifier | modifier le code]
Philiste, amant de Clarice
Alcidon, ami de Philiste et amant de Doris
Célidan, ami d'Alcidon et amoureux de Doris
Clarice, veuve d'Alcandre et maîtresse de Philiste
Chrysante, mère de Doris
Doris, sœur de Philiste
La nourrice de Clarice
Géron, agent de Florange, amoureux de Doris, qui ne paraît point
Lycaste, domestique de Philiste
Polymax, Doraste, Listor, domestiques de Clarice
Argument de Pierre Corneille (édition 1682)[modifier | modifier le code]
« Alcidon, amoureux de Clarice, veuve d'Alcandre et maîtresse de Philiste, son particulier ami, de peur qu'il s'en aperçut, feint d'aimer sa sœur Doris, qui, ne s'abusant point par ses caresses, consent au mariage de Florange, que sa mère lui propose. Ce faux ami, sous un prétexte de se venger, de l'affront que lui faisait ce mariage, fait consentir à Célidan à enlever Clarice en sa faveur, et ils la mènent ensemble à un château de de Célidan. Philiste, abusé des faux ressentiments de son ami, fait rompre le mariage de Florange : sur quoi Célidan conjure Alcidon de reprendre Doris, et rendre Clarice à son amant. Ne l'y pouvant résoudre, il soupçonne quelque fourbe de sa part, et fait si bien qu'il tire les vers du nez à la nourrice de Clarice, qui avait toujours eu une intelligence avec Alcidon, et lui avait même facilité l'enlèvement de sa maîtresse; ce qui le porte à quitter le parti de ce perfide: de sorte que, ramenant Clarice à Philiste, il obtient de lui en récompense sa sœur Doris. »

Une belle interprétation des lois antiques de la République Française qui en est la gardienne aux yeux des droits qui nous lient à la vénérable principauté d'Andorre, allié de l'Honorable Vatican... Quand on parle de moralité et de droit, messieurs les portes paroles de François Fillon, de Benoit Hamon, de Emmanuel Macron et de Le Pen Marine... On apprends que le droit français est lié par le pacte des Pyrénées et de notre promesse qui nous lie à la sauvegarde de l'intégrité morale et physique de la principauté de l'Andorre...

Tite et Bérénice est une pièce de théâtre de Pierre Corneille représentée au Théâtre du Palais-Royal le 28 novembre 1670.

Inspirée de la Rome antique, plus particulièrement de l’histoire d’amour unissant l’empereur Tite à la reine judéenne Bérénice, cette pièce est contemporaine de la Bérénice de Jean Racine, représentée à l’Hôtel de Bourgogne. La comparaison de ces deux tragédies inspirées par le même sujet se fit au détriment de celle de Corneille, dont c’est l’une des dernières pièces.

Personnages
Tite , empereur de Rome, et amant de Bérénice ;
Domitian, frère de Tite, et amant de Domitie ;
Bérénice, reine d’une partie de la Judée ;
Domitie, fille de Corbulon ;
Plautine, confidente de Domitie ;
Flavian, confident de Tite ;
Albin, confident de Domitian ;
Philon, ministre d’état, confident de Bérénice.
Argument
Tite avait exilé Bérénice dans le but de calmer le peuple romain qui voyait d’un mauvais œil l’union de l’empereur avec une reine. Il doit maintenant épouser Domitie qui aime d’un amour réciproque Domitian, le frère de Tite. Bérénice revient à Rome en apprenant le mariage prochain de Tite et lui demande d’y renoncer. Domitian, dans un but vengeur, demande à Bérénice de l’épouser, cette dernière refuse et croit que Tite est l’unique responsable d’une telle demande. Elle court voir Tite qui est déjà anéanti et lui accorde toutes ses demandes : il n’épousera pas Domitie. Par contre, Tite la donnera en mariage, à la dernière scène de l’acte V, à son frère. Bérénice s’exilera de Rome à jamais et Tite règnera seul sur Rome.

Liens externes
Sur les autres projets Wikimedia :
Tite et Bérénice, sur Wikisource
Les représentations de Tite et Bérénice aux xviie et xviiie siècles

Une Grande Histoire d'Amour et de Politique...

Pierre Corneille et Jean Racine...

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MessageSujet: Re: Médée de Corneille, L’assassinat politique et La Justice   Médée de Corneille, L’assassinat politique et La Justice EmptyJeu 2 Mar à 3:44

La mauvaise foi

La mauvaise foi fait violence à la vérité, mais d'une manière qui en fait une espèce particulière de mensonge. Tout mensonge, en effet, n'est pas manifestation de mauvaise foi, et sans doute faut-il commencer par tenter de saisir ce qui est propre à cette dernière.
Le terme de "foi" nous indique probablement où chercher : du côté de ce qui a trait à la confiance, et sans doute aussi à la reconnaissance et à l'aveu. Le mensonge prend la forme de la mauvaise foi lorsqu'il est refus entêté de reconnaître une évidence, quelque chose qui, manifestement, est. C'est précisément ce genre de choses : ce qui se voit immédiatement, ce qui peut seulement se constater, qui paraît bien constituer l'objet propre de la mauvaise foi ; autrement dit, ce qui appelle comme attitude adéquate la reconnaissance, l'admission et/ou l'aveu : ce à quoi l'on peut et doit se fier. La mauvaise foi est peut-être même la seule façon de ne pas admettre l'évidence sans sombrer pour autant dans la pathologie. Elle consiste à refuser ce qui ne peut pas l'être, en une sorte d'ultime recours contre le désagrément imposé par la réalité, la volonté opposant son entêtement à l'entêtement des faits.
Faut-il alors y voir une sorte d'affirmation ou de désir de toute-puissance ? En un sens, oui, puisqu'il s'agit de ne pas supporter que quelque chose, qui pourtant me concerne, puisse exister, tranquillement et ouvertement, dans une absolue indifférence à l'égard ce qui me convient, me plaît, m'arrange. Et il ne s'agit pas seulement de ne pas le supporter, mais bel et bien de l'annuler, de faire en sorte que la chose en question n'existe pas pour moi, par-delà son irritante persistance à exister "objectivement" : je puis décréter qu'elle n'existe pas pour moi, et que ni mes paroles ni mes actes ne s'en trouveront modifiés. Faire preuve de mauvaise foi serait ainsi le contraire de "prendre acte", "prendre en compte", en un mot "assumer" (littéralement : prendre à soi, pour soi, avec soi, admettre, s'approprier).
C'est pourquoi la mauvaise foi atteint son paroxysme, devient une véritable manière de vivre, et prend un sens pleinement philosophique, lorsque elle porte, non plus sur tel ou tel acte ponctuel et isolé, mais sur la volonté elle-même et son pouvoir de décision. C'est ce qu'a bien compris Jean-Paul Sartre, semble-t-il, en appelant "mauvaise foi" l'attitude qui consiste à mettre nos actes sur le compte de quelque chose d'extérieur à nous (la nature, les circonstances, une "essence" qui nous définirait une fois pour toutes...), et donc à nier que nous en sommes les vrais auteurs et que nous devons en répondre. Car alors, nous retournons notre volonté contre elle-même, "voulant ne pas vouloir" en quelque sorte, décidant que nous ne décidons pas, et nous acharnant à nier un pouvoir que nous sommes pourtant en train d'exercer à l'instant même où nous le nions. Attitude qui réalise toute sa pureté lorsque nous revendiquons la paternité de nos actes si ces derniers sont gratifiants, et la rejetons lorsqu'ils sont plutôt sources de reproches...
Une chose semble sûre : à celui qui se cantonne dans cette posture, il n'y a pas grand-chose à dire... La mauvaise foi, par nature entêtée et d'une inventivité infinie, empêche tout dialogue. Ce qui ne doit pourtant pas empêcher de dialoguer à son sujet, avec bonne volonté et en toute bonne foi.

G.R.

Agésilas est une pièce de théâtre de Pierre Corneille inspirée de la Grèce antique. Elle a été représentée au théâtre de l’Hôtel de Bourgogne en avril 1666.

Réception
Assez peu appréciée, cette pièce n’a jamais été reprise depuis sa sortie en 1666. Boileau en dit dans une critique :

« J’ai vu Agésilas,
Hélas ! »

Pourtant depuis, ces élections 2017, ces scenes de Agésilas peuvent ouvrir un intérêt réel au peuple dans tous son ensemble
tel que la flûte enchanté réveilla un éveil philosophique sur l'aspect d'amour dans le paysage politique...
Si ce texte est jugé pauvre par son intrique, on y trouve les forces morales tel que l'Honneur et la Conscience
auquel les députés et les ministres passés et actuels de Paris semblent être dépourvu aux yeux de l'ensemble
de la vie quotidienne des pilliers de la République Francaise...
Space 1999... Y'becca

Argument
L’histoire se déroule à Éphèse.

Lysandre a promis ses filles Elpinice et Aglatide respectivement à Cotys et Spithridatès, mais pour que le mariage se fasse il doit obtenir l’accord d’Agésilas.

Cotys et Spithridatès s’aperçoivent rapidement que ces mariages ne leur conviennent pas. En effet, Spithridatès est tombé amoureux d’Elpinice qui l’aime aussi, et Cotys s’est pris d’amour pour Mandane, la sœur de Spithridatès, et son amour est partagé. Cotys accepte de laisser sa promise à Spithridaès si ce dernier lui donne sa sœur en échange, mais Spitridate craint de froisser Lysandre.

De son côté, Agésilas est amoureux de Mandane et apprend que Lysandre complote contre lui. Il décide donc d’interdire les unions des filles du navarque spartiate. Il ne peut se résoudre à épouser Mandane car Sparte ne l’accepterait pas, et ne tient pas non plus à lui faire épouser Cotys: il craint en effet qu’une union entre les familles de Cotys et de Spithridatès, puis entre celles de Spithridatès et Lysandre, ne lui crée que des ennemis.

Aglatide, quant à elle, sait que Spithridatès aime sa sœur et que Cotys ne veut pas de sa main. Elle préfère cacher ses sentiments et afficher une certaine insouciance, mais elle espère tout de même qu’Agésilas l’aime. En effet, quelques années auparavant il lui avait offert son amour et promit qu’il l’épouserait.

Agésilas décide finalement de confondre Lysandre et de lui montrer qu’il connait tout de ses plans. Ne pouvant se résoudre à amener l’opprobre sur l’homme qui l’a fait monter sur le trône, il le fait convoquer et lui parle en privé, accompagné uniquement de son lieutenant Xénoclès. Lysandre avoue ses crimes et se dit prêt à subir son châtiment, mais demande la clémence pour ses filles et leurs futurs époux qui ne sont au courant de rien.

Agésilas préfère sauver Lysander et consentir aux mariages d’Elpinice avec Spithridatès, et de Mandane avec Cotys. Pour honorer la promesse faite des années auparavant et pour éviter que Lysandre ne reprenne un jour ses complots, il épouse Aglatide.

Personnages
Agésilas, roi de Sparte
Lysandre, fameux navarque de Sparte ( navarque = commandant de la flotte à Sparte)
Cotys, roi de Paphlagonie
Spithridatès, grand seigneur persan
Mandane, sœur de Spihtridatès
Elpinice, fille de Lysandre
Aglatide, fille de Lysandre
Xénoclès, lieutenant d’Agésilas
Cléon, orateur grec, natif d’Halicarnasse.

Ouvrons réellement un débat concret sur les différentes interventions sur les aspects humains aux niveaux intérieurs et
internationaux dirigé par la France, L'ONU et L'Europe au sujet sur l'aspect d'Humain dans le regard de la forme et de la diffamation depuis les années 1983, 1986-88, Les gouvernements sous la présidence Chirac , 2007 à 2017...
Puis Analyser la Crise international provoqué par la crise syrienne depuis les présidences Sarkozy et Hollande avec l'aide des Fillon, Ayrault, Valls et Cazeneuve...
Vous verrez que là, ils ne pourront toujours pas s'entendre même sur l'aspect de désignation de l'affaire... Car il ne s'agit pas d'affaire militaire ou de secret d'état; mais bien d'un conflit d’intérêt personnel...

Les chiens d'Orion sont lâchés et Y'becca sera tenace dans la mise en lumière d'une affaire occulte qui a brisé tant de ménages et de foyers français et internationaux...

La chose publique dénonce les Descendants du Menteur...
John Williams Les Dents de la Mer https://www.youtube.com/watch?v=lwEexNUGyHc

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MessageSujet: Re: Médée de Corneille, L’assassinat politique et La Justice   Médée de Corneille, L’assassinat politique et La Justice EmptyJeu 2 Mar à 10:12

Inside Man...

J'ai donné parole de maintenir un fait... Il y a le candidat désigné par le vote des
adhérents et en cela, j'interpelle la Justice sur le fait que je maintiens le cap choisis
par les adhérents... Je savais qu'il s'agissait d'une erreur mais je fais preuve de
démocratie même si cela m'en coute... Ce n'est pas pour Monsieur Fillon mais
pour les adhérents, le principe de justice démocratique et l'affirmation d'une parole.
Je déplore la mauvaise foi sur les mots et les actes tout en y ajoutant le fait
que je vais balayer devant mon seuil que devant celui des autres...

En cela, je ne participerai pas à la manifestation Fillon mais je ne trouve pas choquant
sur le fait qu'il doit avoir étudier d'une manière juridique, le fait... Je n'abandonne
pas le profit de l'éthique pour celui de la conviction... je ne cherche pas à établir
une lumière qui est le fait de la Justice... Vous savez que je suis de ceux qui croit
en une république organisé sur tous les aspects de la complexité du peuple de Droit.

Si Fillon se détourne de sa parole et de ses convictions, en tant que membre fondateur
des républicains 201 001 364; je m'investis dans le fait de diriger mon navire dans
le fait de se maintenir devant une rancœur annoncée... Je ne comprends pas la décision
des adhérents et je pars du principe que je reste à bord: je peux faire acte sur le fait.
En cela, je prépare les premiers secours car les pertes seront certaines... Régionales...

Il y a pas de quoi crier ! Oui, vraiment; vivre dans la peur ou dans le rôle de l'inculpé !
Certes, je ne défie pas la Justice mais je compare cette situation que j'ai vécu en 1995
contre le Gouvernement Chirac et Juppé... Je ne comprends pas la décision des adhérents.
Pour Fillon, c'est plutôt rude mais vaut mieux être isolé et bien entouré que le contraire...
Des gens croient encore en lui et cela est une équation d'écoute de la Démocratie...
J’espère que les Procureurs ma pardonneront mais je rajoute que je ne partage pas le fait
qu'il soit une victime du système judiciaire...

Il peut prétendre à présent avoir réunis autour de lui, une équipe de baroudeurs prête à
exercer une expérience gouvernementale et présidentielle; Je réalise le fait et je réitère
mon soutien dans l'exercice de la Justice... Le voilà tel Octave devant Marc Antoine
dans la célèbre bataille de Actium... Il reproche à la justice de vouloir sa mort;
il devrai se réjouir de s'être débarrasser des piques assiettes... mais il devra accepter
un fait il n'est pas Octave devant Marc Antoine car je dirais plus que son destin
s'approche de plus en plus à celui de Brutus... Ceux, qui l'entoure, sont brave pour Certains...

L'image de l’infamie est celle que l'on attribut à son adversaire. Le salaire du privilège
peut être rendu à de la vanité et de la jalousie sur des fonctions plus hautaines... Cela et
cela, il ne veut l'admettre... Entouré par les siens, il cherche la fonction de l'oint pour
ensuite se sentir investi par une force électorale qui se transformera en une action miraculeuse
du Peuple si il est élu... Cela fait peur même pour les plus proches d'entre eux... Le doute
ne fait pas parti de leur recueil... La prière est une révélation sur le mauvais sort ambiant...
le sacrifice du soi et du service publique sans prendre en compte l'aspect social de la personne
humaine: Les frais médicaux, chirurgicaux et une saignée sur le Service Public alors que la
population augmente... Les vieux vivent trop longtemps, se permettent de dire tous les classes
sociales au sujet de la santé et des retraites... Hum; oui, la Justice surveille les homicides !

La Justice, elle, se remets dans le droit de sauvegarde du bien et de l’intérêt sur les aspects
que les sbires des présidentielles ont constitués des comités de riposte sur tous les événements
de la campagne... Prêt à donner des coups sans vouloir en recevoir: La Naïveté ou l'Orgueil de Foi.
en tout cas, je ne suis pas juge de la République Française... Je déplore des faits où nul n'est
à l'abri d'une mauvaise réflexion sur ces idées et sur sa conscience... Les candidats le savent,
les militants le savent mais ceux qui sont là pour entendre des faits... Ils entendent la vérité
sur un système élaboré par le concept des droits : L'attribution divine et électorale où même
la Justice est soumise aux vagues de l'apriori, du conflit d’intérêt et de Personne...
Chacun y va de son Jugement... Pourtant, il y a une procédure indéterminée... Et cela, Personne
ne veut l'admettre... La Justice est confondu avec le Secourisme et le Secourisme est confondu
avec la Justice... Y'becca et Les Pompiers Jacques Vion de Toulouse...
Pour La Justice
Non à l'Esclavage, à la Torture qu'elle soit physique ou morales et aux viols qu'ils soient physiques
ou morales, Non à la diffamation de la Justice pour un intérêt morale ou physique...
Oui à la Gréve, à La Justice, à l’Écoute, à la Santé, au bien être, aux manifestations publiques...

Ecrit de
TAY
La chouette effraie
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MessageSujet: Re: Médée de Corneille, L’assassinat politique et La Justice   Médée de Corneille, L’assassinat politique et La Justice EmptyLun 13 Mar à 4:32

Lundi 13 Mars 2017....

Peuples de Sparte avec le Taygète et Athene noctua...

Voilà des mois que Toulouse a présenté sa candidature au Patrimoine Mondiale
de L'UNESCO tout comme d'autres villes et Lieux en France... Mon visage est de
me dire quel ou quelle président ou présidente sera la plus apte à présenter
ses différents domaines de la Culture française et international...

Il y a l'aspect Financier et Régalien auquel je suis attaché afin d'amener des
modifications intéressante sur le niveau de vie des localités... J'écoute donc
avec le plus grand intérêt les mesures proposer dans tous les domaines des
différents candidats et candidates... J'examine les caractères et les propos
de leurs plus proche collaboratrices et collaborateurs...

Certains de ces domaines qui se propose à l'héritage international de L’UNESCO
sont très diverses et divers: Féminin et Masculin; Citadine, Rural , Ville, Village
et Lieu Dit... J'ai vécu dans tous ces aspects de la France et pour les défendre;
je me sens plus proche du Procureur que du Juge... Je préfère être celui qui
constitue les dossiers que d'en être juge... Depuis le Bistrot 12 et l'atelier 66,
je déploie les ailes depuis Saint Cyprien pour la candidature Toulousaine en y
intégrant les autres candidatures françaises: Ne craignez rien, loin de moi
de vouloir créer une ligue de Délos tel Marine Le Pen, de devenir le nouveau
Périclès comme Emmanuel Macron ou de devenir le nouveau Socrate tel
Mélanchon, Hamon et Asselineau...

Juger bien vos candidats et surpris par la discorde entre Dupont-Aignan et
Fillon qui porte bien plus d’intérêt sur l'aspect de Richesse Économique et d'Emploi
sur le territoire que sur l'aspect de leur propre personne... Et Hollande incapable
d'écrire une mise au point sur l'aspect morale de la condition humaine et de travail
durant son quinquennat... Pourtant, Vous et Moi, allons choisir ! Certains en quittant
en la France, d'autres en allant voter ou en allant chercher du travail par leur propre
moyen sans attendre l’assistance de nouvelle loi auquel les fonctions de marché
tel que le privé et le public; le capitalisme, la mondialisation et le nationalisme n'ont que
faire lorsque leur candidate et candidat a été vaincu...

Par contre soutenir comme je fais tous les aspects économiques soumis à intérêt
National qui promulgue la vision française au niveau international: Dans tous les domaines
qu'il soit scientifiques, intellectuels ou Compagnons du Devoir tout le monde voit l’intérêt
que cela peut apporter à son foyer, son porte feuille et dans sa condition de vivre...
Tout en devenant un programme communautaire, la réalité de votre personnalité est au cœur du
débat: Pour réussir dans ce programme International et Spatial; le sens même de morale
est au cœur du Peuple... Vous dites alors qui va commander ? Qui va diriger ? Encore une
Nouvelle Utopie venu d'un anti système...?

Je vous répondrez que vous croyez en une Image auquel vous attribuez une parole...
Je ne fais pas de morale car j'irai votre un "je voterai une candidate ou un candidat". Je ne leur
fais pas de morale mais en mots: on se plaint et ils se plaignent, on est heureux et ils sont heureux
et puis le jour des élections, c'est les remises de médailles en chocolats... Tous nos projets
repartent de zéro quand on est vaincu... Et savez vous, Pourquoi ?

Parce que en France Résonne encore ces mots attribué par Brennus, lors de sa conquête de Rome:
"MALHEUR AUX VAINCUS" et EN CELA, JE COMPRENDS VOS PEURS ET HANTISES...
VOTRE APPARTENANCE AUX PRINCIPES ET AUX MORALES DE Y'BECCA, VOUS PERMETTRONS DE
MANIFESTER CONTRE LES SBIRES QUI DIRIGENT LES CAMPAGNES CAR FINALEMENT, CE N'EST
PAS CELUI QUI SE PRÉSENTE QUI EST LE PLUS DANGEREUX MAIS CEUX QUI CONDUISENT
LEURS PROJETS ET LEURS DISCOURS..."

L'ironie n'est pas le refuge de la démocratie mais la réalité ne peut nier l'ironie quand elle s’avère
être juste aux oreilles du temps et de la conscience... cela est valable pour vous, pour moi et l'UNESCO...

Ecrit de
Monsieur Tignard Yanis,
Juge de La République de L'Olivier...
ou
TAY
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MessageSujet: Re: Médée de Corneille, L’assassinat politique et La Justice   Médée de Corneille, L’assassinat politique et La Justice EmptyJeu 16 Mar à 10:58

Une nouvelle forme d'expression libre et communication éthique dans l'aspect informatique mais l'attrait du timbre.
Le silence est une source de confusion quand les bruits de l'alentour le couvrent d'une carapace auditive, qui n'est plus sienne.
Tel une lettre sans timbre mais comportant une adresse sera expulsé au profit de lettre vierge comportant des timbres... c'est ainsi que naquit l'aspect premier du bug informatique... Big Chill est ainsi une forme de sauvegarde de l’instinct premier des choses sur l'aspect de Destin établi... L'expansion de l'Univers pourrait continuer indéfiniment dans une configuration de timbre car celui implique un aspect de valeur dans la mémoire, alors que l'adresse peut toujours elle être renvoyé par l'attrait d'un changement de valeur dans l'aspect immobilier, cela est le Big Rip, un scénario catastrophique où l'Univers est détruit en un temps fini.

Univers homogène et isotrope est l'aspect du Timbre sur une enveloppe alors que l'adresse vierge de timbre sur l’enveloppe équivaut à une entropie maximale... Voilà la vision de l'Humanité en terme d'informatique sur l'aspect de propriété d'envoi de formule de politesse d'un lieu A vers un lieu B par l'intermédiaire de satellites géostationnaires... Ainsi, L’hypothèse d’une mort thermique universelle provient des idées de William Thomson, en 1850. Elle résulte de l’extrapolation à l’ensemble de l’univers de la théorie de la thermodynamique, en particulier des considérations sur la perte naturelle d’énergie mécanique, telle qu’elles résultent du premier principe de la thermodynamique.

Pourtant dans un aspect de réel et d'observation sur l'état de Santé de notre communication visuelle, il réside l'aspect de l'éclair que je désigne par cette formule savante: c est la vitesse de la lumière, K / a2 la courbure spatiale, G la constante de gravitation et ρ l'ensemble des densités d'énergie des différentes formes de matière qui emplissent l'univers. La courbure spatiale représente la forme géométrique de l'espace...

Comment définir un espace temps à une enveloppe indiquant une adresse qui n'existe plus quand celle ci ne comporte plus de timbres... Oui, L'expansion de l'Univers pourrait continuer indéfiniment1. Dans ce cas, l'Univers s'étendra et se refroidira, devenant éventuellement trop froid pour abriter la vie. Pour ces raisons, ce scénario est parfois appelé Grand Gel... L'adresse est tout comme le timbre... Bien sur; elle est liée à l'enveloppe... Il fait également allusion au fait qu'il existe... Au contraire d'une enveloppe sans timbre qui ne trouve intérêt que dans le contenu de sa lettre...

Alors certains lettres par absence de Timbres furent détruites: Pourtant dans la conscience de ce crime, un phénoméne apparait pour certaines et certains, il s'agit du Cosmos à expansion d'échelle de C. Johan Masreliez, où il n'y a aucune accélération, la quantité est w Q = − 1 / 3 {\displaystyle w_{\mathrm {Q} }=-1/3} {\displaystyle w_{\mathrm {Q} }=-1/3} exact, ce qui signifie courbure de l'espace-temps. En effet, ces enveloppes était adressées à une fonction de discutions entre deux personnalités de la communication...

Ainsi une Lettre avec ou sans timbre qui comporte une adresse est de l'importance de la densité d'énergie moyenne de l'Univers ainsi que de ses propriétés géométriques, sa courbure spatiale. Interviennent aussi certaines propriétés des différentes formes de matière qui emplissent l'Univers, en particulier leur pression: Qu'elle soit Orale, écrite ou informatique...
L'expansion s'arrête par définition quand le taux d'expansion H est nul. Cela ne peut se produire que si la courbure spatiale est positive ou éventuellement si la densité d'énergie totale devient négative. Cette dernière hypothèse étant a priori peu réaliste, seul le cas d'une courbure spatiale positive est susceptible d'être à l'origine d'un arrêt de l'expansion de l'Univers. Cependant, même si la courbure spatiale est positive, il n'y a pas nécessairement d'arrêt de l'expansion : il faut pour cela que la densité d'énergie totale décroisse suffisamment vite pour que le membre de droite de l'équation ci-dessous s'annule.

Ainsi, Le taux d'expansion de l'Univers, noté H, ne se résume pas à une lettre mais l'importance de transmettre une lettre d'un expéditeur à un destinataire équivaut à cette formule de vie que représente La Vie, la Force et l'Amour. Le sens, même du survivre dans Le destin de l'Univers... On ne sait jamais comment le destinataire répondra à la lettre reçu... Univers homogène et isotrope est l'aspect du Timbre sur une enveloppe alors que l'adresse vierge de timbre sur l’enveloppe équivaut à une entropie maximale...

Ecrit de
TAY
La chouette effraie
ou
Monsieur Tignard Yanis

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Kounak le chat....



En linguistique et en grammaire, la personne représente le trait grammatical décrivant le rôle qu'occupent les acteurs d'un dialogue (émetteur, récepteur, référents extérieurs au dialogue). Les verbes, les déterminants et pronoms personnels, principalement, sont concernés par la distinction de personne. Les noms peuvent aussi l'être, surtout dans les cas de possession indiquée par un suffixe personnel. En celtique, de plus, les prépositions peuvent aussi se fléchir selon la personne.

Distinctions fondamentales

Ces distinctions de personnes se retrouvent dans toutes les langues connaissant des distinctions de personnes.

On oppose trois personnes :

la première correspond au locuteur (l'émetteur), à celui qui s'exprime directement : en français, elle pourra être représentée par des pronoms comme je, moi, mon ;
la seconde est l'interlocuteur (le récepteur) : tu, toi, ton ;
la troisième est toute personne ou chose dont on parle et qui ne participe pas au dialogue : il / elle / on, lui / elle, son.

Ces personnes varient en nombre :

1re personne du pluriel → un ensemble de personnes auxquelles appartient le locuteur : « nous » (en tant que groupe dans lequel l'interlocuteur est ou non compris ; voir plus bas à « Nous inclusif / exclusif ») ;
2e personne du pluriel → un ensemble des personnes (présentes ou non) auxquelles s'adresse le locuteur : « vous » ;
3e personne du pluriel → un ensemble de personnes ou de choses dont on parle : ils / elles, eux.

Analyse d'Émile Benveniste

Dans son ouvrage Problèmes de linguistique générale 1 Chapitre XVIII Structure des relations de personne dans le verbe et Chapitre XX La nature des pronoms, Émile Benveniste analyse séparément la personne stricte (je, tu, il au singulier) et la personne amplifiée (nous, vous, ils au pluriel) car le pluriel pronominal ne fonctionne pas de la même manière que le pluriel nominal (des GN).

Au singulier dans le discours, le « je » présuppose toujours un « tu », son allocutaire, je/tu forment alors un couple réuni par une corrélation de subjectivité ayant toujours un référent unique, interchangeable et actualisable par exemple le « je » qui désigne celui qui parle p. 252"instance de je comme référent, et instance de discours contenant je, comme référé" est à la fois réflexif puisque unique et orienté vers l'énonciateur de son propre discours. Benveniste appelle indicateur les embrayeurs personnels qui renvoient à l'acte d'énonciation. Ce qui fait qu'il y ait p. 229 un « désaccord entre la 3e personne et les deux premières » puisque celle-ci est non réflexive et se réfère à chaque fois soit à une personne différente, soit à un segment du discours, soit à tout autre objet du discours, et peut même soit p. 231 élever « l'interlocuteur au-dessus de la condition de personne et de la relation d'homme à homme » ou désigner une forme impersonnelle, et par le fait que dans les langues la forme verbale qui la sous-entend porte souvent un morphème zéro ou toute autre flexion l'y opposant aux deux premières, on peut suggérer que la forme pronominale « il » correspond à une non-personne.

p. 235 « D'une manière générale, la personne verbale au pluriel exprime une personne amplifiée et diffuse. Le »nous" annexe au « je » une globalité indistincte d'autres personnes". « Nous » n'est alors pas une multiplication de plusieurs « je » identiques mais une jonction entre le « je » et le « non-je » ce qui lui permet d'avoir 3 référents possibles: le « nous »(moi+vous) est un pronom pluriel inclusif puisque par rapport à « eux » le « non-je » inclut le « vous » et le « vous » étant en position d'allocutaire il y a une corrélation de subjectivité entre les 2 personnes. Dans une langue comme l'algokin(fox) ce « nous » possède même un morphème flexionnel de deuxième personne (ke-gunana, ke- ⇒ toi); le « nous »(moi+eux) qui est un pronom pluriel exclusif puisque par rapport à « eux », le « non-je » exclut le « vous » et le « eux » désignant une non-personne met en avant la même « corrélation de personne » qui oppose le je/tu(personne) à la non-personne(il); et le « nous » indifférencié que l'on dénomme pronom générique puisqu'il s'agit d'un « je » plus diffus et non multiplié. Nous avons un « vous » collectif et un « vous » de politesse et quant au « ils » la pluralisation de la non-personne peut être soit régulière(il+il+il) comme pour les GN soit irrégulière lorsque p. 235"elle exprime la généralité indécise du on". Donc p. 235 « Le pluriel est facteur d'illimitation, non de multiplication ».
Formes impersonnelles

Quand un terme ou une construction dénotant normalement une personne ne l'indique pas, on parle d'une forme impersonnelle.

Il existe en français trois modes impersonnels :

l'infinitif
le participe
le gérondif

Ces modes en effet ne s'accordent pas en personne mais en nombre et/ou en genre.

Il existe aussi des tournures impersonnelles se présentant comme des formes personnelles.

en français, ce rôle est tenu par la troisième personne du singulier masculin : il faut, il neige, il me semble, voire il y a. Ni on ni elle ne peuvent s’y substituer. On retrouve là l’origine des genres grammaticaux, qui n'ont rien de sexué : il ne marque pas le masculin mais le genre non marqué.
en latin (au passif impersonnel) : videtur (« il est vu » ou « on voit » ou encore « il semble »).

Distinctions annexes

Ces distinctions sont propres à certaines langues ou familles de langues. Un bon nombre concerne principalement les marques de politesse.
Possession

Les déterminants possessifs dépendent de la personne. Leur fonctionnement, cependant, varie d'une langue à l'autre. En français, par exemple, les possessifs s'accordent en personne avec le possesseur, et en genre et en nombre avec l'objet possédé (dans « la queue du chat », « la queue » est le possédé, « le chat » le possesseur, dans « mon chat », « je » non exprimé est le possesseur, « chat » le possédé). Ainsi, on dit « ma pomme » mais « mon chat ».

L'anglais, cependant, ne distingue pas le genre au moyen des possessifs sauf à la troisième personne. Cette fois-ci, ils s'accordent au genre du possesseur : his apple « sa pomme (à lui) », her apple « sa pomme (à elle) », its apple « sa pomme (à un inanimé, comme un arbre) ».

Dans nombre de langues, comme le turc ou encore les langues sémitiques, il n'existe pas de déterminants possessifs mais un jeu de suffixes personnels dérivés des désinences verbales. En sorte, on assiste à une forme de conjugaison du nom. Par exemple, en turc les suffixes personnels verbaux sont :

1re personne (sg. / pl.) : -im / -iz ;
2e personne : -sin / -siniz ;
3e personne : -Ø / -diler ou lerdi.

Les suffixes possessifs leur sont proches :

1re : -im / -imiz ;
2e : -in / -iniz ;
3e : - i / -leri.

Ainsi, sur göz, « œil », on obtient (les voyelles s'adaptant par harmonie vocalique) : göz-üm (« mon œil »), göz-ün (« ton œil »), göz-ü (« son œil »), etc.

L'arabe fait de même, bien que ses suffixes possessifs (ou pronoms enclitiques) ne soient pas autant raccordés aux désinences verbales qu'en turc :
Personne Singulier Pluriel Duel
1re -(n)ī -nā ─
2e (masc.) -ka -kum -kumā
2e (fém.) -ki -kunna
3e (masc.) -hu -hum -humā
3e (fém.) -hā -hunna

On remarque de plus que ces suffixes dépendent du genre du possesseur, sauf à la première personne.
Tutoiement et vouvoiement
Article détaillé : Tutoiement et vouvoiement.

La distinction T(u)-V(ous) ─ ou « distinction entre le tutoiement et le voussoiement / vouvoiement » ─ est un concept grammatical et linguistique familier aux locuteurs des langues romanes, germaniques (sauf dans l'anglais courant) et slaves.

Il s'agit d'une opposition entre deux deuxièmes personnes (servant à s'adresser à un interlocuteur), le premier (tutoiement : « tu, te, toi, ton », etc.) utilisé pour les proches ou dans un registre de langue familier (voire insultant par sa familiarité) et le second (vouvoiement : « vous, votre ») pour les personnes auxquelles on doit un certain respect, ce qui peut comprendre les inconnus, les supérieurs, les personnes âgées, etc.
Autres expressions personnelles de la politesse
« Sa » majesté

Quelques faits notables se présentent dans certaines langues quand il s'agit de s'adresser à un très haut dirigeant ou dignitaire (un roi, un pape, un empereur, etc.) appartenant au clergé ou à la noblesse.

On pourra en effet employer une troisième personne du singulier précédée d'expressions comme Sa Majesté ou Son Altesse, appellatifs dont le genre n'importe pas (on peut appeler un homme « Sa Majesté ») et que l'on retrouve quand on parle de ces personnes :

« Son Altesse désire-t-elle une tasse de thé ? « Monseigneur prendra-t-il une verveine ? » ;
« on aurait vu Son Altesse la reine M.* de G.* boire une tasse de thé en compagnie de Monseigneur V., lequel aurait pris une verveine ».

Parfois, c'est un déterminant possessif de 2e personne polie qui s'utilise : « Que désire Votre Altesse ? ».

Les mêmes catégories de personnes peuvent aussi s'exprimer à la troisième personne (en plus, souvent, d'une forme de pluriel de majesté) : « Nous désirerions que vous laissiez Son Altesse tranquille » (où « Son Altesse » désigne bien le locuteur, « nous », mis pour « je »), « il plaît à Sa Majesté d'agir ainsi ».
Pluriel / Singulier de majesté / de modestie
Article détaillé : Nous de majesté.

Dans plusieurs langues européennes, dont le français, on peut employer à la place de la 1re personne du singulier un pluriel marquant la majesté : rois et dignitaires, institutions, administration peuvent s'exprimer ainsi. En français, les mots dépendant de ce pronom pluriel peuvent rester au singulier. Ainsi : « Nous sommes fier de vous » pour « Je suis fier de vous » (dit par un roi à l'un de ses sujets, par exemple). Le catalan, quant à lui, possède un pronom archaïque nós de première personne du pluriel servant aux dignitaires et rois. On parle quelquefois aussi de pluriel d'emphase.

Au contraire, dans la langue latine, il n'est pas rare que l'auteur s'exprime aussi au pluriel, mais ici dans un but supposé de modestie, quand il parle de lui. L'usage est resté dans la langue soutenue et scolaire : « Dans la première partie de cette dissertation, nous montrerons que Cicéron... » pour « Dans la première partie de cette dissertation, je montrerai que Cicéron... ». C'est un pluriel similaire qu'on trouve dans la littérature moderne pour des personnages ─ souvent féminins ─ voulant atténuer par modestie ou par réserve leurs propos[réf. nécessaire].

Enfin, le français utilise outre nous pour la première personne du pluriel on, normalement pronom indéfini de 3e personne du singulier (remplaçable par quelqu'un : on vient = quelqu'un vient). L'emploi de on en remplacement de nous (seulement sujet) est attendu dans les registres courant à vulgaire. Nous, dans un contexte courant devant des interlocuteurs auxquels on n'a pas à témoigner une certaine distance, peut même sembler pédant. Les accords se font au masculin singulier ou, par syllepse, au féminin, au pluriel, etc., selon les cas :

forme soutenue : nous sommes allé(e)s au cinéma, où Jean nous a retrouvé(e)s ;
forme courante : on est allé / est allés (syllepse pour le nombre) / est allées (syllepse de nombre et de genre si on renvoie à un groupe de femmes) au cinéma, où Jean nous (remplacement par on non sujet impossible) a retrouvé(e)s.

Dans la langue courante écrite, par correction, on n'emploie normalement pas on en remplacement de nous alors que nous peut être très rarement employé dans les faits. On peut conclure en disant que c'est bien un « singulier de modestie ». L'utilisation d'un terme ou d'une expression normalement à la 3e personne à une autre personne n'est pas rare voire fréquente dans les formes de vouvoiement (cf. espagnol usted, allemand Sie).
Usages atypiques en français

On entend parfois, notamment de la part de commerçants, l'usage de la 3e personne du singulier au lieu de la 2e :[réf. nécessaire]

Qu'est-ce qu’il prendra ? Un petit blanc, comme d'habitude ?
Ah, si c'est la route de Paris qu’elle cherche, alors faut qu’elle fasse demi-tour.
[…] L'épicier dit : « bonjour il va bien ce matin, qu'est ce qu'il lui fallait ? », alors « il dit » qu'il voudrait des piles. […] Pierre Desproges, « Les Piles » in Textes de scène, Seuil 1997

Cet emploi est généralement ressenti comme très familier, voire impoli, ou encore ironique.

On peut aussi entendre la 1re personne du pluriel (au lieu de vous), suggérant une certaine complicité :

Alors, Monsieur Martin, comment nous sentons-nous ce matin ?

Coréen, japonais et vietnamien

Le coréen, le japonais et le vietnamien (mais pas exclusivement ces langues) partagent tous les trois une particularité importante, celle d'exprimer grammaticalement et lexicalement de manière très précise les rapports sociaux et hiérarchiques, comme si elles possédaient un grand nombre de personnes, chacune renvoyant à un système de respect hiérarchique. En fait, dans ces langues l'expression de la politesse peut remplacer celle de la personne.

Le coréen utilise deux « modes » de politesse et sept registres de langue exprimés grammaticalement (et non seulement lexicalement) permettant de construire pour un verbe donné quatorze paradigmes possibles (tous n'étant pas fréquemment utilisés). Les modes de politesse (neutre ~ poli) concernent ce dont on parle et sont indiqués par un choix lexical (à la manière de l'opposition entre chaussure et godasse), la suffixation (comme pour blond ~ blondasse). À la différence du français, les verbes reçoivent une marque, un infixe -si-, pour passer au mode poli, sans forcément changer de radical (comme vivre ~ vivoter si le principe était systématique) et s'étendent aux verbes et adjectifs, qui reçoivent des marques spécifiques.

Les sept registres, quant à eux, indiquent le respect qu'on témoigne à l'interlocuteur (à l'image de notre vouvoiement). Il est important pour les locuteurs de respecter l'expression grammaticale du point de vue et de la politesse, chaque situation de communication entraînant un mode et un registre particulier (entre inconnus, avec un supérieur, entre collègues, entre amis proches, etc.). Tout écart est connoté et témoigne d'une agression verbale, d'une marque de mépris, de pédantisme (ou d'une erreur si le locuteur est visiblement étranger). Il est cependant possible aux interlocuteurs de changer de mode de politesse en le demandant, de même que les francophones peuvent demander à utiliser le tutoiement mutuel. Les pronoms personnels suivent évidemment le même principe : chaque gradation dans la politesse demande un pronom particulier.

Le japonais suit des principes très proches (double lexique, conjugaisons variant en politesse) et se montre surtout étonnant quant à sa richesse en pronoms personnels. En effet, il en existe tellement, quelle que soit la personne, qu'on peut les considérer comme plus que des pronoms, de véritables noms portant leurs connotations. Chacun de ces noms concerne une personne donnée et indique le point de vue du locuteur, réel ou imposé par les conventions, sur la personne concernée par le pronom, son interlocuteur, lui-même.

Par exemple, pour la seule première personne, « je/moi », on peut compter :

générique soutenu : 私 (わたし) watashi ;
locuteur femme donnant d'elle l'image attendue d'une personne charmante, mignonne : あたし atashi, あっし asshi(rare) ou あたい atai (rare) ;
locuteur âgé : 儂 ou 私 (わし) washi ;
locuteur homme, registre neutre mais pas assez soutenu dans certains cas : 僕 (ぼく) boku (nom signifiant « serviteur ») ;
locuteur homme voulant donner de lui une image virile et arrogante : 俺 (おれ) ore.

Note : il va de soi qu'employer un terme peu soutenu dans un contexte qui ne s'y prête pas pour parler de soi ne signifie pas que l'on se dénigre mais que l'on dénigre l'interlocuteur.

La gradation dans la politesse s'opère, par exemple, en passant de boku à watashi. S'il faut être encore plus poli, il convient d'éviter les pronoms pour utiliser des périphrases comme 我が社 (わがしゃ) waga sha, « mon humble société » ou 此方 (こちら) kochira, « cette direction (près de moi) ». On fait bien sûr de même avec la seconde personne.
Nous inclusif / exclusif
Article détaillé : « nous » exclusif et inclusif.

La 1re personne du pluriel peut désigner deux groupes différents dans lesquels se trouve le locuteur :

un groupe comprenant le locuteur (je), l'interlocuteur (tu) ainsi qu'éventuellement d'autres personnes ;
un groupe composé du locuteur et d'autres personnes mais sans l'interlocuteur.

On parle dans le premier cas de « nous inclusif » (il inclut l'interlocuteur), dans le second de « nous exclusif » (il l'exclut). Si le français ne permet pas de distinguer clairement ces deux nous, le mandarin le fait de manière plus ou moins précise avec un premier pronom non marqué, 我們/我们 wǒmen, « nous » et un second plus inclusif, 咱 zán ou 咱們/咱们 zánmen, « nous (et toi) ». On pourra ainsi préciser : 你們是女子﹐ 我們是男人﹐ 咱(們)都是人/你们是女子, 我们是男人, 咱(们)都是人 (Nǐmen shi nǚzi, wǒmen shi nánrén, zánmen dōu shi rén.), soit « Vous êtes des femmes, nous sommes des hommes, (vous et) nous tous sommes des êtres humains ».

D'autres langues et des pidgins suivent ce principe, parmi lesquelles (inclusif ~ exclusif) :

le guarani : ñande ~ ore ;
le tagalog : tayo ~ kami ;
le nuer (langue nilo-saharienne) (transcription API) : [kɔ́ːn] ~ [kɔ̀n]. Ces deux pronoms s'opposent à [kɔːn], forme de duel servant quand seuls le locuteur et son interlocuteur sont concernés ;
le vietnamien: chúng ta ~ chúng tôi ;
en tok pisin, le système est similaire : mipela (nous exclusif pluriel : « moi et eux ») ~ mitupela (nous exclusif duel : « moi et lui / elle ») ~ yumitupela (nous inclusif duel : « moi et toi »).
Le Poular, La langue peule (encore appelée fula, fulfulde ou pulaar) en Afrique de l'Ouest: [en] ~ [men].

Notes et références

Cet article est partiellement ou en totalité issu de l'article intitulé « Pronom personnel en discours » (voir la liste des auteurs).


Articles connexes

Tutoiement et vouvoiement
« nous » exclusif et inclusif
Nombre (grammaire)
Genre (grammaire)
Trait grammatical
Verbe défectif

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MessageSujet: Re: Médée de Corneille, L’assassinat politique et La Justice   Médée de Corneille, L’assassinat politique et La Justice EmptyMar 28 Mar à 9:23

L'Homme arrête sa réflexion; il ouvre sa fenêtre
pour laisser l'air pénétrer la pièce...
Il laisse ses ides et idées, s'envoler et
s'évaporer devant un pot de fleur:
Il s’étend sur le parquet... L'homme
fixe le plafond et replonge dans le calme.

Une femme traverse son esprit
et puis un désir de reconquête enflamme
le cœur du déchu... Et puis alors le masculin
du désir s'éveille dans le ventre de cet homme,
qui devient "cette homme"

Le Clans des mouettes se prononce différemment
du Clan des mouettes... L'Homme pousse un profond
soupir et fixe l'Horloge... Un rendez vous est prévu
sur ce sens de l'aiguille entre le masculin et le féminin;
entre le pluriel et le singulier ainsi Tel le décrit Platon
dans la caverne; l'orthographe assimile l'hermaphrodisme
par le son et l’ambiguïté du temps...

Il lui reste dix minutes à se reposer... Puis deux ou même
trois minutes après, il décide de quitter son appartement...
Car, l'avance est une source de tranquillité... Il se reflete
dans un miroir qu'il appelle photographie; son ombre se mélange
à la substance créative de nuages. Fier d'avoir déjouer
pour un instant, la prophétie du cabinet noir et de l'Homme
pressé. Oui, il savoure d'avoir traversé les rives du Jourdain;

Un nouveau baptême enflamme son cœur. Il prie pour les ombres
et les vivants qui accompagne ces ombres. il décrit l'adversité
à venir mais celle ci n'est que soulagement devant le triomphe
de l'espérance Libérée... Le Testament n'est qu'un aspect
de son héritage; il laisse l'empreinte d'un art sur l'obscurantisme.
Dans le tréfonds d'un puit, il est l’âne qui est remonté de la
poussière qu'on lui jetait.

Une femme traverse son esprit
et puis un désir de reconquête enflamme
le cœur du déchu... Et puis alors le masculin
du désir s'éveille dans le ventre de cet homme,
qui devient "cette homme".

Souviens toi d'elle, cette douce vierge apeuré par le sang et la douleur
mais ivre de marcher et de courir, défiant l'Horizon de son arrogance.
elle est loin d'être morte dans le fait de grandir, devenue femme qu'elle
est une douleur qui ne s'estompe pas: celui du Siège. Oui, Marcher.
Souviens toi de toi, ce jeune libertaire qui voulait devenir
archéologue des pierres et qui devient comme
L’Anticonstitutionnellement. L'Inconstitutionnellement se mue en jalousie
et en prophétie antique sur le progrès et la persécution...

Moi, j'ai évolué dans une forme de sympathie ayant une forme de compassion;
ces paraphrases de discours sont les premières étapes qui conduisent les
hommes physiques vers l’exéma et qui les éloigne du sens de morale,
puis de pardon. La Constitution morale est tout comme une goutte d'eau.
Elle s’avère selon le caractère être une source d'océan et pour d'autres,
un chuchotement conduisant à la folie... Construite est ma conscience...

Ecrit de
Monsieur Tignard Yanis
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yanis la chouette




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Médée de Corneille, L’assassinat politique et La Justice Empty
MessageSujet: Re: Médée de Corneille, L’assassinat politique et La Justice   Médée de Corneille, L’assassinat politique et La Justice EmptyMar 4 Avr à 9:34

Mariee Sioux-Wild Eyes
https://www.youtube.com/watch?v=28yuWPnX33w

Si sur Terre, ces musiques furent brulés lors des bombardements, Tomaso Giovanni Albinoni est le plus grands
des chefs d'Orchestres sur L'Univers de La Contre: Il est le Seul que Mal l'Ensorceleur permet de désenvouter
Lilith par sa musique et qui donne des instants magique entre la Mère et sa fille, Bastet... Si ce monde vous parait bien proche de notre univers; c'est qu'il est en mesure de vous entendre... L'importance du lieu n'est pas d'être dans l'aspect de la vision mais dans celui de l’Ouïe...

Ainsi, les esprits se conduisent en fonction du chant qui résonne en leurs cœurs... Ainsi, Notre esprit dans la mort redevient l'animal; il se laisse emporter par une hormone divine: celui de l'écho du soi devant l'essence du corporel... Oui dans la métaphysique de l'attrait, le corps est parti composante de l'esprit: On appelle cela le fluide... Les phéromones n’obéissent qu'à la musique de leurs sens afin de se reconstituer en une cellule renfermant l'information de l'existence ancienne, propre et présente construisant ainsi l'aspect d'Avenir... Ainsi l'aspect de l’Âme redevient chair et permet la reconstitution de
A horse with no name... L'Univers n'a pas de limite car comme l'as appris Magellan l'Albatros à sa Fille Nagalïéw et à Minouska
La chatte : "Il y a des étoiles au delà de L'Infini..." Chante TAY La chouette effraie en direction des Enfers et de Bâal le démoniaque...

" Étrange phénomène... A venir.. Une nouvelle composition de Without You, Ma Douce Lilith..." Mal l'ensorceleur regarde Bastet et lui dit :

"Si tu veux rejoindre Hector, Ma Belle Fille... Je n'y vois aucune objection... Je n'ai jamais été aussi barbare envers ta mère... Tu peux même partir avec ton père Adam, Le code de L'Honneur a plus de valeur que la brisure du Temps..."

Lilith regarde sa fille : "La mort est un souvenir de mon présent; je ne puis venir m'excuser auprès des hommes et des elfes... Leur Jugement serai autre que celui Mâl et je pense que malgré la bonté de ton père, Bastet... Dis lui que tu es la plus belle des manière qui soit... Je ne peux retourner dans votre monde et c'est ici que je suis chez moi... Je ne prendrai pas part à la guerre des sorcelleries: Je suis lasse et le fais d'avoir revu ton père à changer mon âme..."

"Lilith... Pardonne Moi... Et toi; Bastet, je mérite ta Haine et je promets de protéger Hector dans ce duel face à Baal... Je vais arrêter mes incantions contre Antinéa..."

"Tu as tuer Luciole, Le Mauvais que tu es !" crie Bastet contre Mal...

"Non... Je l'ai offert à Baâl... Mais, il est toujours en vie... Tu dois rejoindre les Dragons... Et en cela, tu dois défier mon Fils
en présence de Antinéa..." Réponds Mal l'Ensorceleur...

"Que veux tu en échange, Vil Serpent..."

"Si je me livres à tes chaines, m'accorderas tu de permettre à ta mère de venir me parler malgré mon châtiment..."

"Non..." S'exclame Bastet mais elle entends un cri de colère contre Elle. Ce sont Nephtys et Rhadamente...

"La Justice des enfers ne peut aller à l'encontre de cet amour... Ils sont des amants maudits tel Un Roméo et une Juliette...
Et puis, tu dois penser à Luciole... Et puis, nous sommes devenus esprits des enfers à présent... C'est notre quotidien..."

"Et mon mariage... Oui, j'ai souhait à devenir épouse... Je suis la conscience du devenir... Me voici tel que vous, ma Mère...
Je suis prête à l'avance de la masculinité... Je n'en puis d'être dans cet aspect de platonique, je veux être ..." dit Bastet
en jetant regard sur Lilith

" Une Sweet Escape, Ma fille... A ton aise, tu as raison; je suis ton Octavie... J'accepte de me marier à ce goujat de Baäl...
Je ne suis pas du genre à m'attendrir devant le remord... Le fils comprendrai le piège... Tu es sournoise, ma fille Bastet..."
ricane Lilith...

" Annonce à Baal, chère Nephtys... Que je lui accorde la Main de ma Mère et que celle ci est soumise à ma décision... A présent, Mâl l'ensorceleur pense tu vraiment que je puisse avoir une quelconque émotion sur ton sort..."

Il la regarde et lui donne un sourire... L’amertume n'est pas une mesure de culpabilité dans son esprit... Tu sais et elle sait...
L'infini des aspects est tel que Demain restera demain... Il croyait le faire réagir mais Yahvé resta dans son grand silence...

"Très bien, Bastet... Fini la plaisanterie... Ta mère épouseras Mon Fils et Toi, Rejoins tes amis avec ton père... Je tiendrai ma promesse... Je vais vous rendre Luciole... Si mon fils est incapable te conquérir ton coeur; moi je me soumettrai à ta haine:
Ainsi tu finiras par m'aimer... Dans le désert je te trainerai tout comme Lot fit avec ses filles..."

Lilith resta muette comme une statue de sel... Elle était devenue source des mirages des pouvoirs... Elle était devenue Octavie... Cela lui ouvrait un horizon bien plus radieux qu'ils ne pouvaient imaginer... Tel le Lotus, elle pouvait renaitre dans un autre attrait du Moteur Immobile ou de Dieu...

" Они нас всех ненавидят!
Смертную казнь всем детям дьявола, что заливают кровью наши города в попытке запугать и посеять смуту!
Ils nous haïssent tous ! La peine de mort pour tous les enfants du diable, qui verse le sang de nos villes pour tenter d’intimider et de semer la discorde ! " s'écria une paysanne vers un pourtour... La Faim les affamait tous et aucun d'entre eux malgré L’intérêt commun, ne parvenait à discerner la lueur de raison devant ce siège qui s'éternisait.

La ville de Fézia pleurait sous le regard de la lune rouge; aucune pluie ne venait étancher leur soif. Aucun d'entre eux n'étaient prêt à entendre la moindre clameur de foi... Ils se croyaient abandonner du destin et même la discorde leur était source de souffrance...

Seth restait là... Il ressentit que le moment était d'agir avec le soi... Il devait agir en groupe limité et parvenir à créer un mouvement de frénésie dans l'armée des Orcs et des Démons... Pour cela, il devait faire appel à se qui c'était jurer de ne jamais employer sur ce monde d'Accueil...

Alors, il appella Fenrir, Brouillard, Yanis, Hector, Antinéa, Force de Tyria, Hermine Blanche de Syvia, Police la Coatie et Eyodeleiw le dragon de feu... Il leur dit de prévenir Piquelle la Mouette ainsi que l'ensemble des mondes connus et engloutis.

"Il me dois une dette..." leur dit il
Un vent fit entendre une voix douce et infantile...
"Je suis avec toi, mon époux... Le Livres des Morts... Voilà une chose qui arrive au meilleur des moments !"

Sans le savoir, Seth le Maléfique allait bouleverser le scénario établi par Bastet et Mal l'ensorceleur au sujet du mariage
de Bâal et Lilith...

" Je suis ce Rê qui brille la nuit,
tout homme qui est à sa suite vit dans la suite de Thot
et fait des apparitions comme le grand Horus céleste.
Je suis venu à toi mon père Rê,
j’ai parcouru l’espace céleste et je suis parvenu
à cet Ancien aux limites de l’horizon et je l’ai écarté.
Mon âme respecte la crainte
que tu inspires et honore ton prestige.
Je suis devenu quelqu’un qui transmet les ordres de Rê dans le ciel.
Montre toi, Dieu Jaloux, Universel et Unique...
Dans la clarté de La nuit, la Lune soulève tes pas de chacal
et Le Vent emporte tes plumes divines dans la clarté
de l'Astre Divin... Je me fais à ton Image car tout comme
Toi, Je suis Jaloux et Universel...
Montre toi, Yahvé... Et je te montrerai mon silence... Celui que
tu entends à travers mes prières et connu de toi seul.
Je les ferai universel à ton Nom comme Autrefois Père du Destin..."

Alors, l'impensable se fit devant le monde de La Contre, Une
Aurore Boréale Divine se fit devant le Blasphème de Seth le Maléfique...
Et d'une voix, elle parla vers lui et ceux qui l'entouraient am"e"is et ennemi"e"s.

"Rien n'est établi,... Seule l'essence est source d'inspiration et la cellule ne vient
pas de la chair: elle se construit par la conscience et la connaissance,
dans la nudité tout comme dans l'armure, je suis établi en charge de la responsabilité
de la conception, de l'Immaculé et de la valeur... Morale et éthique, Je suis...
j’envoie toujours des Anges semer ma colère et la Mort; mais en cet instant;
je suis d'une humeur à faire entendre la conscience même de mon image...
Morale et Éthique, Je suis... Majuscule et Minuscule... Imaginé et Imaginaire...
tout en me montrant, je garde mon mystère... Marchez en votre Nom et soyez
dans l'espérance d'une conquête sur l'adversité...
et si cela t'amuse maléfique obscurantisme que tu es, chante cela:
Dresse-toi Rê !
Afin que tu engloutisses les vents,
Que tu avales la brise du Nord,
Que tu prennes au piège le jour,
Que tu respires Maât,
Et que tu vogues en barque vers le ciel inférieur !
Tu reviens rajeuni chaque jour car tu es cette image d’or sous les ombrages d’Itenou."
J'ai suffisamment entendu ces chants à travers mon existence pour reconnaitre
un Orphée d'un ... En bref, Seth... Si ton chant ne peut les séduire; tu pourra
les faire fuir..."

La voix s’interrompit... Mais l'Aurore Boréale demeura bien après le lever de soleil...
Elle les aveuglai où leur brulaient les yeux... Quelque chose les désengrenait...
Tout comme Fézia, ils étaient à nouveau en proie avec le doute de l'existence...
Et la Nouvelle de la Rupture entre Bastet et Baal ainsi que la répudiation de Lilith
par Mâl l'Ensorceleur déclencha des mutineries de clans et de meutes...

Et Ainsi, Par la Force de L'Aurore Boréale envoyé par Yahvé à Seth le Maléfique
qui ne l'est plus tout à fait depuis qu'il a présenté ses excuses à Nephtys aux
yeux de Toutes et Tous... Tous comprirent que dire Osiris avait commis
un adultère avec sa femme alors que c'était faux: cela était le plus pire des
mensonges qui soit, car il s'agit de la diffamation...

Alors tous les citadins libérés de la Ville de Fézia s’écrièrent:
" Éternel est L’Éternel..."

Croaw Croaw le Corbeau regarda le Ciel et vit que sa présence était toujours là...
Il avait décidé de remettre certaine chose en place dans les enfers...

"Éternel est L’Éternel tout comme la Nature du chant des étoiles...!"
Chanta le Corbeau sous forme de croassement...

"Je suis heureux pour eux car dans cette naïveté de monde; je sens une espérance que je
peux vous transmettre, Vous, Peuples de La Terre et d'autres Mondes de L'infini et des Étoiles...
Mais rassurez vous, L'Histoire n'est pas encore fini: Elle est inspiré de la philosophie Laïque..."
Dit Monsieur Tignard Yanis aux enfants et Adultes de la Bibliothèque de Toulouse...
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