Le clans des mouettes
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Le clans des mouettes

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 Les Contes d'Hoffmann and Spitzer Hears Stellar'Heartbeat'

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yanis la chouette




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MessageSujet: Les Contes d'Hoffmann and Spitzer Hears Stellar'Heartbeat'    Les Contes d'Hoffmann and Spitzer Hears Stellar'Heartbeat'   EmptyMer 15 Fév à 2:22

Spitzer Hears Stellar 'Heartbeat' from Planetary Companion

A planet and a star are having a tumultuous romance that can be detected from 370 light-years away.

NASA's Spitzer Space Telescope has detected unusual pulsations in the outer shell of a star called HAT-P-2. Scientists' best guess is that a closely orbiting planet, called HAT-P-2b, causes these vibrations each time it gets close to the star in its orbit.

"Just in time for Valentine's Day, we have discovered the first example of a planet that seems to be causing a heartbeat-like behavior in its host star," said Julien de Wit, postdoctoral associate at the Massachusetts Institute of Technology, Cambridge. A study describing the findings was published today in Astrophysical Journal Letters.

The star's pulsations are the most subtle variations of light from any source that Spitzer has ever measured. A similar effect had been observed in binary systems called "heartbeat stars" in the past, but never before between a star and a planet.

Weighing in at about eight times the mass of Jupiter, HAT-P-2b is a relatively massive planet. It's a "hot Jupiter," meaning an exoplanet that is extremely warm and orbits its star tightly. But this hot Jupiter is tiny in relation to its host star, which is about 100 times more massive. That size difference makes the pulsation effect all the more unusual (For comparison, our sun is about 1,000 times more massive than Jupiter).

"It's remarkable that this relatively small planet seems to affect the whole star in a way that we can see from far away," said Heather Knutson, assistant professor of geological and planetary sciences at Caltech in Pasadena, California.

Known to the exoplanet community since 2007, HAT-P-2b was initially interesting to astronomers because of its "eccentric," or elliptical orbit. The planet spends most of its time relatively far from the star, but comes around for a close encounter every 5.6 days. Those are indeed hot dates for this planet, as it receives as much as 10 times the amount of light per unit area at closest approach than at its farthest point in the orbit.

Each time the planet swings around for that close approach, it appears to gives its star a little "kiss" as the gravitational forces of these two bodies interact. The star, in turn, beats like a heart as the planet travels around in its orbit again. For a less lovey-dovey analogy: The planet's gravity hits the star like a bell on closest approach, making it ring throughout the planet's orbit.

"We had intended the observations to provide a detailed look at HAT-P-2b's atmospheric circulation," said Nikole Lewis, co-author and astronomer at Space Telescope Science Institute, Baltimore. "The discovery of the oscillations was unexpected but adds another piece to the puzzle of how this system evolved."

Spitzer watched the planet-star interactions from the vantage point of our own solar system, in the telescope's Earth-trailing orbit around the sun, for about 350 hours between July 2011 and November 2015. Because of the system's alignment with respect to Earth, Spitzer was able to observe the planet cross directly in front of the star (in a process called a "transit") as well as behind it (called a "secondary eclipse"). These eclipses of the planet allowed scientists to determine that the pulsations originate from the star, not the planet. The point of closest approach occurs between the transit and secondary eclipse.

The planetary system still has scientists stumped. Calculations by co-author Jim Fuller, Caltech postdoctoral scholar, predicted that the pitter-patter of the star's vibrations should be quieter and at a lower frequency than what Spitzer found.

"Our observations suggest that our understanding of planet-star interactions is incomplete," said de Wit. "There's more to learn from studying stars in systems like this one and listening for the stories they tell through their 'heartbeats.'"

JPL manages the Spitzer Space Telescope mission for NASA's Science Mission Directorate, Washington. Science operations are conducted at the Spitzer Science Center at Caltech in Pasadena, California. Spacecraft operations are based at Lockheed Martin Space Systems Company, Littleton, Colorado. Data are archived at the Infrared Science Archive housed at the Infrared Processing and Analysis Center at Caltech. Caltech manages JPL for NASA. For more information about Spitzer, visit:

http://spitzer.caltech.edu

http://www.nasa.gov/spitzer

Les Contes d'Hoffmann est un opéra fantastique en un prologue, trois actes et un épilogue de Jacques Offenbach, livret de Jules Barbier d'après sa pièce écrite en 1851 avec Michel Carré1, créé à l'Opéra-Comique de Paris, le 10 février 1881.

Cette œuvre, créée de façon posthume2, est aujourd'hui l'un des opéras français les plus représentés dans le monde.

Argument
Prologue - La taverne de maître Luther

Une taverne de Nuremberg. La Muse apparaît. Elle révèle son intention d'attirer l'attention d'Hoffmann sur elle seule et de lui faire renier toutes ses autres amours afin qu'il soit complètement dévoué à elle : la poésie. Elle prend pour cela l'apparence du meilleur ami d'Hoffmann, l'étudiant Nicklausse.

La prima donna Stella, qui interprète dans la salle voisine le Don Giovanni de Mozart, envoie une lettre à Hoffmann lui demandant de venir la rencontrer dans sa loge après le spectacle. Cette lettre, contenant la clé de la loge, tombe entre les mains du conseiller Lindorf, qui a alors l'intention d'aller dans la loge de Stella à sa place. À l'entracte de la représentation, Hoffmann arrive dans la taverne où des étudiants l'attendaient et les amuse avec l'histoire du nain Kleinzach avant qu'ils ne le pressent de raconter ses trois histoires d'amour.
Acte I - Olympia
Illustration de l'acte d'Olympia d'après la première de 1881

Hoffmann est amoureux d'Olympia, la « fille » du scientifique Spalanzani. Celle-ci s'avère en fait être un automate dont Coppélius, un charlatan, a fourni à Spalanzani les yeux et vient présenter sa créance. Il vend à Hoffmann des lunettes magiques qui lui font voir Olympia comme une vraie femme. Hoffmann se croit alors aimé d'elle mais Niklausse, perplexe, tente en vain d'avertir son ami. Alors qu'il valse avec Olympia, Hoffmann tombe et ses lunettes se brisent. C'est alors que Coppélius qui veut se venger du chèque sans provision que lui a remis Spalanzani, revient et détruit Olympia. Hoffmann se rend compte de la vraie nature de celle qu'il aimait, cependant que la foule ricane de la naïveté du poète.
Acte II - Antonia
La mort d'Antonia lors de la création en 1881.
De gauche à droite : Hippolyte Belhomme (Crespel), Marguerite Ugalde (Nicklausse), Pierre Grivot (Frantz), Émile-Alexandre Taskin (Miracle) et Jean-Alexandre Talazac (Hoffmann), entourant Adèle Isaac (Antonia)

La maison du conseiller Crespel à Munich. Hoffmann et Antonia s'aiment mais ont été séparés par Crespel, le père de celle-ci. Antonia vit sous l'emprise d'une terrible maladie et elle doit pour cela éviter de chanter à tout prix, ce qui est dommage car elle a hérité de la magnifique voix de sa mère, une cantatrice décédée. C'est donc pour cette raison que Crespel défend à sa fille de chanter et, du même coup, de fréquenter Hoffmann car ce dernier l'encourage à poursuivre sa carrière de chanteuse. Lorsque Crespel sort de chez lui, Hoffmann en profite pour s'introduire dans la maison afin de retrouver Antonia. Crespel revient alors et reçoit la visite du docteur Miracle qui le persuade de le laisser soigner sa fille. Caché, Hoffmann entend la conversation et apprend de quelle terrible maladie elle souffre. Il lui fait promettre d'abandonner le chant. Antonia accepte à contre-cœur mais alors qu'elle est seule, le docteur Miracle vient à elle et tente de la convaincre de poursuivre son rêve car, selon lui, Hoffmann ne l'aime que pour sa beauté et se lassera avec le temps. À l'aide de ses pouvoirs magiques, il fait apparaître la défunte mère d'Antonia et persuade cette dernière de chanter. S'ensuit un trio intense avec Miracle, Antonia et le fantôme de la mère où Antonia enchaîne les vocalises jusqu'à la syncope. Crespel arrive juste à temps pour être témoin du dernier soupir de sa fille. Hoffmann entre dans la pièce où, menacé de mort par Crespel, il est sauvé par Nicklausse.
Acte III - Giulietta
Acte de Giuletta

Un palais à Venise. Hoffmann, désabusé par ses expériences précédentes, raille l'amour et célèbre l'ivresse en jurant de ne pas succomber aux charmes de la courtisane Giulietta. Celle-ci relève le défi de le séduire et, sous les ordres du capitaine Dapertutto, de lui voler son reflet à l'aide de son miroir magique. Hoffmann ne peut résister au charme de la courtisane et au cours d'un duo elle lui vole son reflet. Schlemil, une précédente victime de Giulietta et Dapertutto, veut sauver Hoffmann, qui ne veut rien entendre, de sa folle passion pour Giulietta. Il le provoque en duel mais est finalement tué. Hoffmann se lance à la recherche de Giulietta et la voit passer en gondole dans les bras de son nouvel amant, Pittichinaccio.

Dans la version originale, Hoffmann, revenu à lui et furieux d'avoir été trahi, tente de poignarder Giulietta mais, aveuglé par Dapertutto, il tue par erreur son nain Pittichinaccio ; dans la version de Richard Bonynge, Giulietta meurt empoisonnée en buvant par hasard le philtre que Dapertutto destine à Hoffmann
Épilogue - Stella

La taverne de Luther. Hoffmann, soûl, jure que jamais plus il n'aimera qui que ce soit. Il explique à ses auditeurs qu'Olympia, Antonia, et Giulietta ne sont en fait que trois facettes de la même personne : Stella, à la fois jeune fille, artiste et courtisane. La diva apparaît au même instant et, voyant l'état d'Hoffmann, repart au bras de Lindorf. Resté seul avec lui, Nicklausse dévoile son identité de Muse et déclare à Hoffmann : « Renais poète ! Je t'aime Hoffmann ! Appartiens moi ! ».

Les Contes d'Hoffmann and Spitzer Hears Stellar 'Heartbeat'
Rachele Gilmore - Met Debut - Olympia
https://www.youtube.com/watch?v=CHp4LLnlKIg

Romantisme d'un maitre Sith que je suis
Dark Obscur
Mouvance d'une lueur temporel de ma naiveté de Jedi.
TAY La chouette effraie
ou
Monsieur Tignard Yanis

-------------------------------------------------

Cher Nils Palard



Tout d'abord;



Je vous écrit cette lettre car une jeune fille m'a demandé de vous envoyer le bonjour.

Elle travaille au Colombia avec Rémi et Anaïs; elle a travaillé avec vous. Elle me l'as

demandé et je lui ai dit que oui. Elle m'as donné son prénom et il m'est sorti de la tête.

En tout cas, c'est pas grave, elle m'a dit que ça lui fera plaisir de vous revoir. Je transmets

le message...



je continue mes aventures d'écrivains et je poursuis ma carrière de Archiviste-Bibliothécaire;

Des visages et des figures me parviennent et j'ai joie d'être au milieu de ce tumulte: On y fait

de merveilleuses rencontres éphémères et pourtant, immortelle dans notre inconscient qui

nous révèle ses formes.



Je vous envoie mes amitiés ainsi qu'à vos ami"e"s ainsi que MERDE dans la réalisation

de votre maison familiale avec votre compagnon de route, votre amie. Vous lui

transmettrai mes amitiés les plus sincères. Cher Nills, sur ces belles espérances et histoires

qui peuplent l'humanité... Je vous dis Bonne route et garder souvenir du lutin que je suis

car je garde souvenir du Jar que vous êtes: Oui, votre travail dans l'aéroport.



Je vous dit bonne route, Compagnon d'aventure prénommé La vie...



Yanis
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MessageSujet: Re: Les Contes d'Hoffmann and Spitzer Hears Stellar'Heartbeat'    Les Contes d'Hoffmann and Spitzer Hears Stellar'Heartbeat'   EmptyMer 15 Fév à 2:28

Carmen: "L'amour est un oiseau rebelle" (Elina Garanca)
https://www.youtube.com/watch?v=K2snTkaD64U
Aaron Curtis, a postdoctoral scholar at JPL, peers into the caldera of Mt. Erebus, an active volcano in Antarctica. Image Credit: Dylan Taylor
For the love of Perséphone-Carmen for Aaron Curtis

Descent into a Frozen Underworld

JPL tests robotics in ice caves near active volcano

Mt. Erebus is at the end of our world -- and offers a portal to another.

It's our planet's southernmost active volcano, reaching 12,448 feet (3,794 meters) above Ross Island in Antarctica. Temperatures at the surface are well below freezing most of the year, but that doesn't stop visits from scientists: Erebus is also one of the few volcanoes in the world with an exposed lava lake. You can peer over the lip of its main crater and stare straight into it.

It's also a good stand-in for a frozen alien world, the kind NASA wants to send robots to someday. That's why Aaron Curtis, a post-doctoral scholar at NASA's Jet Propulsion Laboratory, Pasadena, California, spent the month of December exploring ice caves beneath the volcano. For several weeks, he tested robots, a drill and computer-aided mapping technology that could one day help us understand the icy worlds in our outer solar system.

It was Curtis' seventh visit to Mt. Erebus, which he made on behalf of both JPL and the Mt. Erebus Volcano Observatory. He traveled with several colleagues who were studying everything from the age of the rocks to the composition of gasses emitted from the lava lake.

Ocean worlds like Europa are sure to be distinctly more alien than Erebus. Europa's temperatures are hundreds of degrees below freezing; its ice is certain to be different than that of Earth's; its surface is bathed in Jupiter's radiation.

But there are some similarities that make Erebus a good testing ground for future technologies.

"We think some features of these caves are similar to what you might see on a moon like Europa," Curtis said.

Frozen beauty

For the ancient Greeks, Erebus was an entrance to the underworld. It's a fitting namesake: scientists have discovered that Mt. Erebus has its own underworld -- though one of stunning beauty.

The volcano's gases have carved out massive caves, which are filled with forests of hoarfrost and cathedral-like ice ceilings. Curtis said the heat from Erebus keeps the caves cozy -- close to 32 degrees Fahrenheit (0 degrees Celsius) -- and drives warm gases out of vents at the surface, where they freeze into towers. Within the caves, the mixing of warm and cold air forms icy "chimneys" that reach toward the ground.

While pursuing his doctorate at the New Mexico Institute of Mining and Technology, Curtis wrote his dissertation on the formation of these caves. He said that in recent years, scientists have also discovered a diverse array of microscopic organisms living in their interior. These extremophiles, as they're known, suggest that life might be possible on distant planets with similar cave systems.

Tools for an Icy Moon

Curtis joined JPL's Extreme Environments Robotics Group in 2016, where engineers are developing nimble machines that can climb, scurry and rove across difficult terrain.

Aaron Parness, manager of the Robotic Prototyping Lab, said Mt. Erebus was a good testing ground for some of the robots and instruments in development. When a member of the group is conducting field research, they often test each other's work. It's part of the rapid design prototyping that steers the group's efforts.

"Field testing shows you things that are hard to learn in the laboratory," Parness said. "We jump on those opportunities. Even if the prototype isn't ready to work perfectly, it doesn't mean it isn't ready to teach us lessons on how to make the next iteration better."

Curtis tested several unique projects at Mt. Erebus. There was the Ice Screw End Effector (ISEE), a kind of ice drill designed for the "feet" of a wall-climbing robot called LEMUR. The drill would allow LEMUR to attach itself to walls, while also pulling out samples of the ice with each step. Future designs might be able to check for chemical signs of life within these samples.

ISEE hadn't seen much field testing before this trip -- just the ice growing inside a fridge at JPL.

"We're trying to get a feel for what kind of ice this drill works in," Curtis said. He added that ice can be plastic or brittle depending on different densities, humidity and other factors. The ice caves under Erebus proved to have much higher concentrations of air than expected: "The differences involved can be like trying to climb a marshmallow versus a light metal."

Another test was for PUFFER, an origami-inspired robot that can sit flat during storage and "puff up" to explore a wider area. PUFFER has driven extensively around JPL, in Pasadena's Arroyo Seco and other desert environments -- but not on snow. Curtis joysticked the robot around using newly designed snow wheels, which have a broad, flat surface.

Another tool that that could be helpful for future explorers is a structured light sensor used for creating 3-D cave maps. JPL's Jeremy Nash and Renaud Detry provided the sensor, which relies on computer vision to map the interior of a cave.

Curtis said that ice is a hard material to 3-D model, in large part because it's so reflective. Light has a tendency to bounce off its surface, making it difficult for a computer to read that data and reconstruct a space.

"Ice sparkles, and the sparkly crystals look different from each angle," Curtis said. "It's like a hall of mirrors."

Adventurous Science

Make no mistake about it -- a research trip to Mt. Erebus isn't exactly a vacation.

Curtis and his colleagues faced three large blizzards during their trip, each lasting around a week. That led to travel delays when supply helicopters couldn't make safe passage.

The team also dealt with limited energy in a region that experiences six months of night, blocking out sunlight for solar cells. Wind turbines on the volcano are the most common form of energy, though they face their own challenges: frost builds up on the blades, causing them to vibrate themselves to bits.

But the chance to conduct research in such a desolate and awe-inspiring location is hard to pass up.

"When I smell that hydrogen sulfide perfuming the minus-25-degrees-Celsius air, there's nowhere I'd rather be," Curtis said.
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MessageSujet: Re: Les Contes d'Hoffmann and Spitzer Hears Stellar'Heartbeat'    Les Contes d'Hoffmann and Spitzer Hears Stellar'Heartbeat'   EmptyMer 15 Fév à 2:34

Les Contes d'Hoffmann est un opéra fantastique en un prologue, trois actes et un épilogue de Jacques Offenbach, livret de Jules Barbier d'après sa pièce écrite en 1851 avec Michel Carré1, créé à l'Opéra-Comique de Paris, le 10 février 1881.
Offenbach a pour sa part réutilisé certains extraits d’œuvres antérieures, notamment le Chant des Elfes des Fées du Rhin (1864) pour la célèbre barcarolle « Belle nuit, ô nuit d'amour » de l'acte de Giulietta.
Ces œuvre, créée de façon posthume, sont aujourd'hui des opéras français les plus représentés dans le monde.

Genèse
Sources littéraires

Le livret de Jules Barbier reprend en grande partie la pièce homonyme qu'il avait écrite en 1851 avec Michel Carré3. Tous deux sont principalement inspirés de trois histoires de l'écrivain et compositeur romantique allemand Ernst Theodor Amadeus Hoffmann :

Acte I (Olympia) : Der Sandmann (L'Homme au sable), extrait des Contes nocturnes, 1re partie (Nachtstücke, 1817) ; le héros s'y nomme Nathanael et rencontre le physicien Spalanzani et l'opticien Coppelius. Sigmund Freud y fait référence dans son étude du concept de « l'inquiétante étrangeté ».
Acte II (Antonia) : Rath Krespel (ou Rat Krespel), connu en France sous les titres Le Violon de Crémone ou Le Conseiller Crespel et rattaché aux Frères de Saint-Serapion, 1re partie (Die Serapionsbrüder, 1819) ; le narrateur y est appelé « l'étudiant » et le fiancé d'Antonia est le « compositeur B. ».
Acte III (Giulietta) : Abenteuer in der Silvesternacht (Les Aventures de la nuit de la Saint-Sylvestre), extrait des Fantaisies à la manière de Callot, 2e partie (Fantasiestücke in Callots Manier, 1814) et plus particulièrement du 4e chapitre : L'Histoire du reflet perdu (Die Geschichte vom verlorenen Spiegelbild) ; le héros s'y nomme Erasmus Spikher et rencontre Peter Schlemihl, le héros du conte de Adelbert von Chamisso, L’Histoire merveilleuse de Peter Schlemihl ou l’Homme qui a vendu son ombre (1813).

Il est également fait référence à d'autres œuvres d'Hoffmann comme dans la « chanson de Kleinzach »4 (acte I) qui brosse le portrait du héros grotesque d'un roman court de E. T. A. Hoffmann : Le Petit Zachée surnommé Cinabre ou Petit Zacharie, surnommé Cinabre (Klein Zaches, genannt Zinnober, 1818)5. Le personnage de Pittichinaccio est, lui, puisé dans la nouvelle Signor Formica (in Les Frères de Saint-Sérapion, 4e partie). Enfin Hoffmann consacra un chapitre des Fantaisies à la manière de Callot (1re partie, 1813) au Don Juan de Mozart, dans lequel la cantatrice qui interprète Donna Anna meurt d'avoir trop chanté, ce qui renvoie au rôle interprété par la cantatrice Stella (actes I et V)[réf. nécessaire], mais aussi à la mort d'Antonia (acte III).

La traduction française la plus connue en France au XIXe siècle était celle de Loève-Veimars (1829-1833), suivie par celles de Toussenel en 1830 et d'Henry Egmont en 1836. L'une des principales traductions modernes est celle dirigée par Albert Béguin et Madeleine Laval (1956-1958)6. Les auteurs ont unifié les différentes histoires empruntées à Hoffmann en faisant de l'écrivain lui-même le personnage central de l'opéra.

Les personnages et leurs créateurs

Jean-Alexandre Talazac : Hoffmann, poète (ténor)
Adèle Isaac : Olympia, poupée mécanique / Antonia, jeune fille / Giulietta, courtisane / Stella, cantatrice (soprano)
Émile-Alexandre Taskin : le conseiller Lindorf / Coppélius, opticien / le docteur Miracle / le capitaine Dapertutto (baryton-basse)
Marguerite Ugalde : la Muse / Nicklausse (mezzo-soprano)
Pierre Grivot : Andrès, valet de Stella / Cochenille, valet de Spalanzani / Frantz, valet de Crespel / Pittichinaccio, bouffon de Giulietta (ténor)
Chenevières : Nathanaël, étudiant (ténor)
Wilhelm, étudiant (ténor) - rôle coupé à la création
Teste : Hermann, étudiant (baryton)
Troy : Luther, cabaretier (basse)
E. Gourdon : Spalanzani, inventeur (ténor)
Hippolyte Belhomme : Crespel, père d'Antonia (basse)
Mme Dupuis : une voix (ou « la Voix de la tombe »), mère d'Antonia (mezzo-soprano)
Schlémil, amant de Giulietta (baryton) - rôle coupé à la création et restauré par la suite

Analyse

L'opéra est composé de cinq actes (certaines éditions indiquent un prologue, trois actes et un épilogue).

Offenbach mourut le 5 octobre 1880, alors que l'œuvre était en répétitions à l'Opéra-Comique. Il avait terminé la partition chant-piano mais n'avait orchestré que le prologue et le premier acte. Ernest Guiraud se chargea de terminer l'orchestration et de composer des récitatifs, comme il l'avait fait de Carmen à la mort de Georges Bizet. L'opéra, jugé trop long par le directeur de l'Opéra-Comique Léon Carvalho, fut toutefois amputé dès sa création de plus d'un tiers (dont la totalité de l'acte de Giulietta). Publiée par la maison Choudens, la partition connut plus de quatre éditions successives et fut remaniée à l'occasion des reprises ultérieures, avant qu'un travail de reconstruction ne soit entrepris à partir des années 1970 au fil des redécouvertes de matériel musical.

Voici une liste des principales modifications apportées à l'œuvre originale :

Changement de l'ordre des actes :

L'ordre proposé par Offenbach pour les « contes » est : Olympia - Antonia - Giulietta. L'acte de Giulietta précède cependant parfois celui d'Antonia, ce dernier étant jugé le plus accompli au point de vue musical et dramatique.

Changements dans l'histoire :

Dès le lendemain de la création, le prologue avec la Muse ainsi que l'acte de Giulietta sont coupés. Selon les versions « restaurées », Giulietta abandonne Hoffmann, meurt empoisonnée ou Hoffmann tue Pitichinaccio.

Changement de la distribution :

Comme Olympia, Antonia et Giulietta représentent trois facettes de la cantatrice Stella, les auteurs souhaitaient que les quatre rôles soient interprétés par la même artiste. De même pour les trois figures du « Diable » (Coppélius, Miracle, Dapertutto), qui sont des projections fantasmées du conseiller Lindorf, et du valet de Stella, Andrès. Certaines productions (notamment au disque dans les années 1940-1960) répartissent entre plusieurs chanteurs ces rôles. De même la suppression de première apparition de la Muse et de sa transformation en étudiant a longtemps conduit à sa dissociation du rôle de Nicklausse, certains directeurs allant jusqu'à attribuer le rôle à un baryton et non une mezzo-soprano (rôle travesti) comme initialement prévu.

Ajout de musique n'ayant pas été composée par Offenbach lui-même (versions de Pierre Barbier et Fritz Œser). Ex : l'air de Dapertutto « Scintille diamant » (inspiré du solo de violoncelle du Voyage dans la Lune) et le Septuor avec chœur composés par Raoul Gunsbourg et André Bloch pour la reprise de Monte-Carlo en 1904.

Même si la version « traditionnelle » des éditions Choudens (1907) reste fréquemment retenue, bien que très amputée, les importantes découvertes musicologiques effectuées depuis les années 1980 et la publication d'éditions critiques ont permis peu à peu de redonner à l'opéra sa forme initiale. On peut citer chronologiquement :

1958 : Walter Felsenstein (éd. Weinberger)
1971 : Richard Bonynge (enregistrement Decca)
1976 : Fritz Œser (éd. Alkor)
1987-1992 : Michael Kaye (éd. Schott)
2010 : Jean-Christophe Keck (éd. Boosey and Hawkes) - à paraître

Le documentaire Le Manuscrit disparu ou l'Histoire des Contes d'Hoffmann réalisé par Gérald Caillat en 20047 retrace l'histoire de l'œuvre et sa reconstruction, avec la redécouverte du manuscrit original dans son intégralité.
Maurice Béjart à la Monnaie (1961)

À la demande de la direction du théâtre de la Monnaie, Maurice Béjart accepte de mettre en scène l'œuvre d'Offenbach, pour laquelle il crée en 1961 une chorégraphie malgré sa réticence de longue date à l'idée de voir le ballet servir de faire valoir à l'opéra. Antoine Livio8 explique dans sa biographie de Béjart la genèse de ce « lâcher prise » : alors qu'il se rend en Espagne invité par Salvador Dalí, le chorégraphe, très affecté par la récente disparition de son père, entend la Barcarolle des Contes au moment où un enterrement passe devant sa voiture ; au rythme régulier de l'air répond le lent balancement du cortège. La lecture du livret confirme ce sentiment qui lui fait associer la musique à l'idée de mort symbolisée aussi à ses yeux par la ville de Venise où se déroule l'action de l'opéra. Béjart trouve dans l'étude des travaux d'Ernst Theodor Amadeus Hoffmann sur la musique et le théâtre le climat d'étrangeté qui n'existe pas dans la musique d'Offenbach et dont il s'inspire pour la création des interludes de musique électroacoustique que compose Henri Pousseur. Germinal Casado réalise une scénographie fantasque et poétique, appuyée par des projections de formes abstraites et la présence d'automates gigantesques, conçus par le décorateur Francis André. Dans cette atmosphère délirante, apparaît un personnage tout droit sorti de l'imagination de Béjart : l'âme du poète Hoffmann, dansé par Tania Bari. Dolorès Laga, Antonio Cano et Jörg Lanner sont les autres solistes de cette création par le Ballet du XXe siècle le 22 décembre 1961.

Pour Antoine Livio, les Contes de Béjart « demeura longtemps la plus belle production du Théâtre royal de la Monnaie ». Présentée au théâtre des Champs-Élysées le 5 avril 19639, elle fut reprise à la Monnaie en 1964-65 et 1965-66 avec Pierre Fleta dans le rôle-titre.
Adaptations

Une adaptation cinématographique britannique est sortie en 1951 : Les Contes d'Hoffmann réalisé par Michael Powell et Emeric Pressburger.
La célèbre barcarolle a été souvent reprise, comme dans le film La vie est belle de Roberto Benigni.

Discographie sélective

1948 : André Cluytens (dir.), Raoul Jobin (Hoffmann), Renée Doria (Olympia), Vina Bovy (Giulietta), Géori Boué (Antonia), Louis Musy (Lindorf), André Pernet (Coppélius), Charles Soix (Dapertutto), Roger Bourdin (Miracle), Fanely Revoil (Nicklausse), Renée Faure (la Muse), André Bourvil (Andrès/Cochenille/Pitichinaccio/Frantz), chœurs et orchestre de l'Opéra-Comique - EMI ; réédition Naxos (version Choudens)
1965 : André Cluytens (dir.), Nicolai Gedda (Hoffmann), Gianna D'Angelo (Olympia), Elisabeth Schwarzkopf (Giulietta), Victoria de los Ángeles (Antonia), Renée Faure (Stella/la Muse), Nicola Ghiuselev (Lindorf), George London (Coppélius/Miracle), Ernest Blanc (Dapertutto), Jean-Christophe Benoît (Nicklausse), Jacques Loreau (Andrès/Cochenille/Pitichinaccio/Frantz), chœurs René Duclos, Orchestre de la Société des concerts du Conservatoire - EMI (version Choudens)
1971 : Richard Bonynge (dir.), Placido Domingo (Hoffmann), Joan Sutherland (Olympia/Giulietta/Antonia/Stella), Gabriel Bacquier (Lindorf/Coppélius/Dapertutto/Miracle), Huguette Tourangeau (Nicklausse, la Muse), Hugues Cuenod (Andrès/Cochenille/Pitichinaccio/Frantz), chœurs et orchestre de la Suisse romande - Decca (version Bonynge)
1973 : Julius Rudel (dir.), Stuart Burrows (Hoffmann), Beverly Sills (Olympia/Giulietta/Antonia/Stella), Norman Treigle (Lindorf/Coppélius/Dapertutto/Miracle), Susanne Marsee (Nicklausse/la Muse), Nico Castel (Andrès/Spalanzani/Pitichinaccio/Frantz), John Alldis Choir, Orchestre symphonique de Londres - Westminster (version Choudens)
1981 : Georges Prêtre (dir.), Plácido Domingo (Hoffmann), Luciana Serra (Olympia), Agnès Baltsa (Giulietta), Ileana Cotrubaş (Antonia), Claire Powell (Nicklausse/la Muse), Robert Lloyd (Lindorf), Paul Crook (Andrès/Cochenille), Robert Tear (Spalanzani), Francis Egerton (Pitichinaccio), Gwynne Howell (Crespel), Bernard Dickerson (Frantz), Nicola Ghiuselev (Dr Miracle), Geraint Evans (Coppélius), Siegmund Nimsgern (Dapertutto), Phyllis Cannan (Mère d'Antonia), Robin Leggate (Nathanaël), Chœurs et Orchestre du Covent Garden, Royal Opera House (version Choudens)
1988 : Sylvain Cambreling (dir.), Neil Shicoff (Hoffmann), Luciana Serra (Olympia), Jessye Norman (Giulietta), Rosalind Plowright (Antonia), José van Dam (Lindorf/Coppélius/Dapertutto/Miracle), Ann Murray (Nicklausse/la Muse), Robert Tear (Andrès/Cochenille/Pitichinaccio/Frantz), chœurs et Orchestre Symphonique de La Monnaie - EMI (version Œser)
1989 : Seiji Ozawa (dir.), Plácido Domingo (Hoffmann), Edita Gruberová (Olympia/Giulietta/Antonia/Stella), Andreas Schmidt (Lindorf), Gabriel Bacquier (Coppélius), Justino Díaz(Dapertutto), James Morris (Miracle), Claudia Eder (Nicklausse/la Muse), Robert Gambill (Andrès), Paul Crook (Cochenille/Pitichinaccio), Michel Sénéchal (Frantz), chœur de Radio France, Orchestre national de France - Deutsche Grammophon (version Choudens/Œser)
1992 : Jeffrey Tate (dir.), Francisco Araiza (Hoffmann), Eva Lind (Olympia), Cheryl Studer (Giulietta), Jessye Norman (Antonia), Samuel Ramey (Lindorf/Coppélius/Dapertutto/Miracle), Anne Sofie von Otter (Nicklausse/la Muse), Georges Gautier (Andrès, Cochenille, Pitichinaccio, Frantz), Rundfunkchor Leipzig, Staatskapelle de Dresde - Philips (version Kaye 2 avec parlés)
1996 : Kent Nagano (dir.), Roberto Alagna (Hoffmann), Natalie Dessay (Olympia), Sumi Jo (Giulietta), Leontina Vaduva (Antonia), Juanita Lascarro (Stella), José van Dam (Lindorf/Coppélius/Dapertutto/Miracle), Catherine Dubosc (Nicklausse/la Muse), Gilles Ragon (Andrès/Cochenille/Pitichinaccio/Frantz), chœurs et orchestre de l'Opéra national de Lyon - Erato (version Kaye 2 avec récitatifs)

Notes et références

↑ Les Contes d'Hoffmann, drame fantastique en cinq actes de J. Barbier et M. Carré, musique d'Ancessy, créé au théâtre de l'Odéon le 21 mars 1851.
↑ Et sujette dès l'origine à de nombreuses suppressions ou ajouts indépendants de la volonté du compositeur (cf. #Analyse).
↑ Mort en 1872, ce qui explique qu'il n'ait pas participé à la rédaction du livret.
↑ Transformation de « Klein Zach », litt. « le petit Zach » en allemand
↑ Traduit en 1836 par Henry Egmont
↑ Rééditée dans les années 2000 dans la collection Libretto aux éditions Phébus (14 vol.).
↑ Production Ideale Audience.
↑ Antoine Livio, Béjart, Éditions L'Âge d'Homme, 2004, 280 p. (ISBN 978-2-8251-1894-Cool
↑ data.bnf.fr [archive]

Annexes

Sur les autres projets Wikimedia :

Les Contes d’Hoffmann de Jacques Offenbach (version de 1881 en un prologue, 3 actes et un épilogue), sur Wikisource

Bibliographie

L'Avant-scène opéra n°25, Premières Loges, Paris, 1980 - réédition octobre 1993

Liens externes

Notices d'autoritéVoir et modifier les données sur Wikidata : Fichier d'autorité international virtuel • Bibliothèque nationale de France (données) • Gemeinsame Normdatei
Partitions libres de Les contes d'Hoffmann sur l'International Music Score Library Project
Dossier sur Les Contes d'Hoffmann [archive]
Communiqué du musicologue Jean-Christophe Keck concernant la redécouverte d'un manuscrit en 2005 [archive]
(de) Intégralité des contes d'E.T.A. Hoffmann [archive] en version originale sur le projet Gutenberg

Nabucco - Hebrew Slaves Chorus
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This chorus is one of the main inspirations for the unification of Italy. The opera and this chorus are a veiled anti-Austrian manifesto. This is the unofficial national anthem of Italy.

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Der Sandmann (Hoffmann)

Der Sandmann ist eine Erzählung in der Tradition des Kunstmärchens der Schwarzen Romantik (häufig auch als Schauerroman bezeichnet) von E. T. A. Hoffmann, die erstmals 1816 veröffentlicht wurde. Sie erschien ohne bestimmte Autorenangabe in Berlin, Realschulbuchhandlung, als erste Erzählung in dem Zyklus Nachtstücke. Herausgegeben von dem Verfasser der Fantasiestücke in Callots Manier. Ferner sind dort enthalten: Die Jesuitenkirche in G., Ignaz Denner, Das Sanctus. 1817 folgte ein zweiter Teil der Nachtstücke mit den Erzählungen Das öde Haus, Das Majorat, Das Gelübde und Das steinerne Herz. Der Sandmann bietet viele Deutungsansätze und zählt zu den bedeutendsten Werken des Autors, so dass hier das Nachwort der Reclam-Ausgabe zitiert sei: „[…], dass die Zahl der Deutungen in den letzten Jahren ein derartiges Ausmaß erreicht hat, dass die Interpretation des Sandmanns wie eine literaturwissenschaftliche Spezialdisziplin anmutet, an der Vertreter aller methodischen Richtungen teilhaben.“

Handelnde Personen

Nathanael (das Gottesgeschenk oder das Geschenk Gottes): narzisstisch veranlagter Protagonist, dessen Name auf Leben (Geburt = Natal) und Tod (Thanatos = gr. Todesgott) anspielt.
Clara (die Klare): Nathanaels Verlobte mit ruhigem, besonnenem, aber dennoch heiterem Gemüt.
Coppelius: furchteinflößender, großer und unförmiger Kerl, welcher Nathanael und dessen Geschwistern in der Kindheit die Lebensfreude verdirbt. Er taucht abends bei Nathanael auf und führt mit dessen Vater alchemistische Experimente durch.
Coppola: italienischer Händler, in dem Nathanael Coppelius wiedererkennt. Er verkauft Nathanael ein Perspektiv.
Olimpia („die vom Olymp kommt“; ein Hohn auf die Klassik): „Tochter“ von Nathanaels Professor, die sich später als Automat (Holzpuppe) erweist und ein Grund für Nathanaels Wahnsinn ist.
Siegmund (Schutz): versucht als Freund, Nathanael vor dem Unglück zu bewahren.
Lothar: Bruder Claras und Freund Nathanaels.
Spalanzani (andere Schreibweise für Spallanzani, ein italienischer Naturforscher, der sich u. a. mit künstlichen Befruchtungen beschäftigte): Nathanaels Professor, der Olimpia als seine Tochter ausgibt.
Nathanaels Vater: führt in Nathanaels Kindheit mit Coppelius alchemistische Versuche durch und kommt dabei ums Leben.
Nathanaels Mutter: nutzt Sandmannmärchen, um Nathanael zum Schlafen zu bringen; sie selbst verabscheut das Märchen.
Amme/Kindermädchen: erzählt die Geschichte des Sandmannes, welche der Ursprung für Nathanaels Angst vor dem Sandmann ist.

Inhalt
Zeichnung von E. T. A. Hoffmann zu seinem Buch „Der Sandmann“

Der Student Nathanael erzählt seinem Freund Lothar in einem Brief, er habe in der Gestalt des Wetterglas­händlers Coppola den Advokaten Coppelius wiedergetroffen. Dieser hatte während Nathanaels Kindheit mit dessen Vater alchemistische Experimente durchgeführt, die letztlich zum Tod des Vaters geführt hatten. Coppelius steht in Verbindung mit einem Kindheitstrauma Nathanaels, weswegen er in ihm die Gestalt des Sandmanns sieht, eines Monsters, das Kindern die Augen ausreißt.

In seiner Verwirrung adressiert Nathanael den Brief jedoch nicht an Lothar, sondern an seine Verlobte Clara, die ihm in einem Antwortschreiben rät, seine Fantasie zu zügeln, da der Sandmann nur eine Ausgeburt seines Unterbewusstseins und Coppolas Ähnlichkeit mit Coppelius rein zufällig sei.

In einem weiteren Brief an Lothar bittet Nathanael ihn, nicht mehr mit Clara über seine Probleme zu sprechen. Er berichtet ihm außerdem, dass er sich in der Identität Coppolas geirrt habe und es wohl nicht Coppelius sei, da er einen recht ausgeprägten Akzent besitze und Coppelius Deutscher gewesen sei. Weiterhin erzählt er ihm von Spalanzani, einem italienischen Physiker und Dozenten an der Universität, an der er studiert, und von dessen häufig eingesperrter „Tochter“ Olimpia, die ihm merkwürdig, aber nicht unsympathisch vorkomme, jedoch zunächst keine weitere Bedeutung für ihn habe. Am Ende des Briefes erfährt der Leser, dass Nathanael Lothar und Clara besuchen fährt, um Abstand von der unliebsamen Begegnung mit Coppola zu gewinnen.

Der auktoriale Erzähler spricht im Anschluss an die drei einleitenden Briefe direkt zum Leser: Er berichtet ihm, dass Lothar ein Freund von ihm sei und er so von Nathanaels Schicksal erfahren habe. Er gibt verschiedene Möglichkeiten an, wie er die Geschichte hätte beginnen können, kommt dann jedoch zum Schluss, dass die Briefe am besten geeignet seien, dem Leser die Tragik Nathanaels näher zu bringen. Er berichtet außerdem von Nathanaels Lebenssituation und beschreibt Clara, zu der er eine sehr positive Position einnimmt.

Nathanael verändert sich nun sehr stark: Er versinkt in düstere Träume und glaubt, dass das Leben von einer höheren Macht bestimmt werde, was Clara sehr zuwider ist, besonders als Nathanael Coppelius als das böse Prinzip betrachtet, das das Liebesglück der beiden störe. Nathanael versinkt immer stärker in seiner Gedankenwelt und beginnt, über Coppelius und Claras Augen zu fantasieren. Mit der Zeit ist Clara vom nimmerendenden Fluss von Erzählung und Dichtung, die Nathanael ihr vorträgt, gelangweilt und wird zunehmend abweisender. Nathanael fühlt sich dadurch missverstanden, so dass er Clara in einem Ausbruch von Wut als „lebloses Automat“ bezeichnet. Lothar, der auf Clara trifft und durch Nathanaels respektloses Verhalten ihr gegenüber erzürnt ist, fordert Nathanael zum Duell, das Clara gerade noch verhindern kann. Anschließend wirft sich Nathanael dramatisch vor Clara und beteuert ihr seine grenzenlose Liebe, stark im Gegensatz zu Claras Enttäuschung über die nicht vorhandene Liebe Nathanaels. Er bittet nun auch Lothar aus tiefstem Herzen um Vergebung.

Als Nathanael bald darauf in seine Wohnung zurückkehrt, findet er sie abgebrannt vor. Ein Feuer war in der darunterliegenden Apotheke ausgebrochen und hatte sich weiter ausgebreitet. Sein Hab und Gut konnte jedoch in ein neues Haus gerettet werden, das nun direkt Spalanzanis Haus gegenüberliegt. Ihm fällt auf, dass Olimpia die ganze Zeit, ohne etwas anderes zu tun, in ihrem Zimmer sitzt (in das er guten Einblick hat) und zu ihm hinüberzusehen scheint. Er findet sie hübsch und wird mit sehr großer Neugierde erfüllt. Völlig überraschend besucht ihn Coppola, dem er aus Verlegenheit wegen des vorherigen Rauswurfes eines seiner Perspektive abkauft. Um Olimpia endlich genauer betrachten zu können, richtet er es auf sie. Erst jetzt erkennt er ihre wahre „himmlische Schönheit“ und ist wie „festgezaubert“ an das Fenster. Als Coppola, auf der Treppe laut lachend, wieder verschwindet, bekommt Nathanael ein seltsames Gefühl; es ist ihm, als ginge ein „tiefer Todesseufzer“ durch den Raum, doch schiebt er, sich auf Clara berufend, es auf das wahrscheinlich viel zu teure Perspektiv, das er soeben gekauft hat.

An den folgenden Tagen kann er nicht mehr von Olimpia lassen und beobachtet sie die ganze Zeit durch das Perspektiv. Seine „herzgeliebte“ Clara und Lothar sind ihm wie entfallen und er schenkt ihnen keinen einzigen Gedanken mehr.

Als er erfährt, dass Spalanzani plant, ein Fest zu geben, auf dem er seine Tochter das erste Mal der Öffentlichkeit vorstellen will, ist Nathanael hocherfreut. Auf diesem Ball wagt Nathanael es als einziger, sie zum Tanzen aufzufordern, wodurch er noch stärker in ihren Bann gezogen wird. Allen anderen erscheint Olimpia sehr „mechanisch“, leblos und fast zu perfekt. Er dagegen verliert die letzten Zweifel an seiner Liebe zu ihr, und sie küssen sich. Er beginnt sich häufiger mit Olimpia zu treffen, um ihr seine Gedichte und Erzählungen vorzulesen. Anders als die kritische Clara antwortet sie ausschließlich „Ach! Ach!“, was Nathanael als Ausdruck eines sehr poetischen und tiefgründigen Gemütes interpretiert; er sieht sie als die Person an, die ihn ganz versteht. Als Nathanael Anspielungen gegenüber Spalanzani macht, sie heiraten zu wollen, gibt ihm dieser zu verstehen, dass er ihr völlig freie Wahl lassen werde. Daraufhin beschließt er, Olimpia einen Heiratsantrag zu machen, doch platzt er mitten in einen Kampf zwischen Coppola und Spalanzani um Olimpia herein, die er jetzt erst als das erkennt, was sie ist: eine automatisierte Holzpuppe. Nach einer gewalttätigen Auseinandersetzung entkommt Coppola mit Olimpias Körper, und Spalanzani fordert Nathanael auf, ihm zu folgen, um den Automaten wiederzuerlangen. Doch Nathanael, der Olimpias „blutige Augen“ (ihre Glasaugen im Blut Spalanzanis) auf dem Boden liegen sieht, springt ihm an den Hals, um ihn zu töten, was jedoch durch die mittlerweile eintreffende Menschenmenge verhindert wird. Nathanael verfällt in den Wahnsinn und wird ins Tollhaus gebracht, wo er eine nicht näher bestimmte Zeit verbringt.

Der fiktive Erzähler spricht erneut zum Leser und berichtet, dass Spalanzani die Universität verlassen muss, da er „die Menschheit mit der mechanischen Puppe“ betrogen hat. Coppola bleibt (abermals) verschwunden.

Nathanael scheint vom Wahnsinn befreit zu sein und plant, Clara zu heiraten und mit ihr aufs Land zu ziehen. Bei einem abschließenden Einkauf in der Stadt steigen Nathanael und Clara auf den Ratsturm, um die Aussicht noch einmal zu genießen. Oben angekommen, macht Clara Nathanael auf einen sich nähernden grauen Busch aufmerksam, woraufhin dieser in seine Seitentasche greift und das Perspektiv des Coppola erfasst. Als er Clara durch dieses erblickt, scheint er erneut vom Wahnsinn befallen zu werden und versucht, sie den Turm hinunterzustürzen. Lothar kann sie gerade noch retten, da erblickt Nathanael Coppelius, der in einer Menschenansammlung am Fuße des Turmes steht. Coppelius hält die Menschen mit den Worten „Ha ha – wartet nur, der kommt schon herunter von selbst“ davon ab, Nathanael aufzuhalten. Mit den Worten „Ha! Sköne Oke – Sköne Oke“, mit denen auch der Wetterglashändler Coppola seine Perspektive angeboten hatte, stürzt sich Nathanael in den Tod. Coppelius verschwindet in der Menge.

Nach mehreren Jahren soll Clara mit einem Mann und zwei Kindern das ruhige häusliche Glück doch noch gefunden haben, jedenfalls „will man in einer entfernten Gegend Clara gesehen haben“. Der letzte Satz lautet wie folgt: „Es wäre daraus zu schließen, daß Clara das ruhige häusliche Glück noch fand, das ihrem heitern lebenslustigen Sinn zusagte und das ihr der im Innern zerrissene Nathanael niemals hätte gewähren können.“ Das Schicksal Claras bleibt dennoch ungewiss, und der Ausblick könnte auch nur Illusion sein.
Interpretation

E.T.A. Hoffmann verarbeitet in „Der Sandmann“ verschiedene Themen:

Das Augenmotiv: Sowohl beim Sandmann im Ammenmärchen als auch bei Olimpia spielen die Augen eine entscheidende Rolle. Sie spiegeln, wie sprichwörtlich bekannt, die Seele eines Menschen wider. Da der Sandmann Sand in die Augen streut, verdirbt er also im weitesten Sinn die Seelen der Kinder. Weiterhin wird in Hoffmanns Werk immer wieder deutlich, dass Nathanael besonders dann Mensch und Maschine vertauscht, wenn er in die Augen seines Gegenübers blickt. Immer dann, wenn die Augen zu glänzen scheinen, erscheint Nathanael dies als menschlich.
Das Verhältnis Mensch – Maschine: Durch das Perspektiv, ein wissenschaftliches Instrument, wird der Wahnsinn Nathanaels immer wieder ungewollt hervorgerufen. Auch die Gäste auf Spalanzanis Ball scheinen nicht auf den ersten Blick den Unterschied von Mensch und Maschine zu erkennen. Weiterhin wird der damalige Wissenschaftler in Form des Spalanzani kritisiert, der die Grenzen der Wissenschaft nicht zu kennen scheint und seine Mitmenschen bewusst hintergeht.
Kritik an der aufklärerischen Gesellschaft
Motiv der Frau: „Der Sandmann“ ist mit kleineren ironischen Bemerkungen seitens des Erzählers gespickt, welche das damalige Frauenbild kritisieren. In einem Abschnitt wird hier zum Beispiel beschrieben, wie die verschiedenen männlichen Vertreter bestimmter Berufsgruppen (Nebler und Schwebler, Künstler, etc.) Clara einschätzen. Hieraus geht hervor, dass diese Clara nicht als ganze Persönlichkeit wahrnehmen, sondern nur einige Eigenschaften für sich interpretieren. In einem weiteren Abschnitt des Werkes ist die Reaktion der Gesellschaft auf Spalanzanis Betrug beschrieben: Die Männer wünschen hier von ihren Frauen, dass sie schief singen, nicht im Takt tanzen und tiefsinnigere Konversation führen. Begründet wird dies dadurch, dass man sonst die Frauen nicht von Robotern wie Olimpia unterscheiden könne. Dies macht deutlich, wie wenig den Frauen zugetraut wurde.
Das Feuermotiv: Feuer steht in „Der Sandmann“ immer am Anfang einer Veränderung. Durch alchemistische Experimente stirbt Nathanaels Vater bei einer Explosion. Nathanael ist daraufhin wochenlang krank. Auch das Feuer in seinem Studentenzimmer führt dazu, dass er in das Haus gegenüber von Spalanzani einzieht und so auf Olimpia trifft. Feuer und Hitze stehen in Zusammenhang mit Nathanaels zunehmendem Wahnsinn. Zu Beginn empfindet er noch eine „glühende Liebeslust“ für Clara, später bezeichnet er Olimpias Augen als „lebendig flammend“. Der Höhepunkt des Wahnsinns wird erreicht, als Nathanael auf dem Turm mehrmals „Feuerkreis – Feuerkreis“ ruft und anschließend in den Tod springt.

Adaption
In der Musik

Die Erzählung Der Sandmann hat in den zweiten Akt der Oper Hoffmanns Erzählungen von Jacques Offenbach Eingang gefunden.
Die Oper in neun Szenen Der Sandmann von Andrea Lorenzo Scartazzini basiert ebenfalls auf Motiven dieser Erzählung.[1] – Uraufführung Theater Basel, 20. Oktober 2012, nach dem Libretto von Thomas Jonigk, Regie Christof Loy[2]
Nach dieser Erzählung entstand das Ballet Coppélia von Léo Delibes.
Ein weiteres Ballett, choreographiert und inszeniert von Christian Spuck, basiert ebenfalls auf der Erzählung. Es wurde am 7. April 2006 in Stuttgart mit dem Stuttgarter Ballett aufgeführt. Musik: Robert Schumann, Martin Donner.[3]
Die Kopenhagener Band „The Sandmen“ benannte sich nach dem „Sandmann“ von E.T.A. Hoffmann, zu hören ist sie unter anderem auf dem Soundtrack zu dem Film Nightwatch.
Außerdem gibt es die (nach einer Figur Hoffmanns Erzählung benannte) Berliner Band Coppelius.
Das 2005 erschienene Konzeptalbum The Final Fall der Band Duskmachine behandelt in seinen Liedern inhaltlich "Der Sandmann" sowie "Der Bergwerke zu Falun", welches ebenfalls von E. T. A. Hoffman stammt.
Das 2007 erschienene Konzeptalbum The Voice of Midnight der amerikanischen Avantgarde-Band The Residents befasst sich thematisch und musikalisch mit der Erzählung, wobei der Name Nathanael in „Nate“ amerikanisiert wurde, und aus Clara wurde „Claire“.
Auf dem 2013 erschienenen Album Das schwarze 1×1 der Mittelalterband Saltatio Mortis handelt das Stück Der Sandmann von dem von Hoffmann beschriebenen Märchen
Der deutsche Rapkünstler Pyrin verwendet Ausschnitte aus E.T.A. Hoffmanns „Sandmann“ im Lied „Ein und Alles“ (Album: Der Rote Teppich im Nichts) und lässt den gesamten Text auf der Geschichte basieren

Im Film

Regisseur Paul Berry animierte einen Stop-Motion-Film nach Motiven aus Hoffmanns Erzählung.
Es existieren drei Verfilmungen aus dem Jahre 1992[4], 2011[5] und aus dem Jahr 2012 im Rahmen einer Bachelorarbeit (Animierter Kurzfilm).[6]
Ernst Lubitschs Film Die Puppe von 1919 basiert auf Motiven aus Hoffmanns Der Sandmann.

Literatur

Peter Bekes: Lektüreschlüssel. E.T.A. Hoffmann: Der Sandmann. Reclam, Stuttgart 2005. ISBN 978-3-15-015354-3.
Sigmund Freud: Das Unheimliche (1919). In: Sigmund Freud: Gesammelte Werke. Band 12: Werke aus den Jahren 1917–1920. Herausgegeben von Anna Freud. Fischer Taschenbuch-Verlag, Frankfurt am Main 1999, ISBN 3-596-50300-0, S. 227–278.
Ernst Jentsch: Zur Psychologie des Unheimlichen. In: Psychiatrisch-neurologische Wochenschrift. 22, 1906, ZDB-ID 200460-4, S. 203–205.
Friedrich Kittler: „Das Phantom unseres Ichs“ und die Literaturpsychologie. E. T. A. Hoffmann – Freud – Lacan. In: Friedrich A. Kittler, Horst Turk (Hrsg.): Urszenen. Literaturwissenschaft als Diskursanalyse und Diskurskritik. Suhrkamp, Frankfurt am Main 1977, ISBN 3-518-07475-X, S. 139–166.
Detlef Kremer: E. T. A. Hoffmann. Erzählungen und Romane. Schmidt, Berlin 1999, ISBN 3-503-04939-8, S. 64–86 (Klassiker-Lektüren 1).
Barbara Neymeyr: Narzißtische Destruktion. Zum Stellenwert von Realitätsverlust und Selbstentfremdung in E.T.A. Hoffmanns Nachtstück „Der Sandmann“. In: Poetica 29 (1997), S. 499–531.
Günter Saße: Der Sandmann. Kommunikative Isolation und narzisstische Selbstverfallenheit. In: Günter Saße (Hrsg.): E. T. A. Hoffmann. Romane und Erzählungen. Reclam, Stuttgart 2004, ISBN 3-15-017526-7, S. 96–116 (Reclams Universal-Bibliothek 17526, Interpretationen).
Dieter Schrey: „Sköne Oke“. Die Überwältigung der Einbildungskraft durch die „ungeheure Wirklichkeit“ – E.T.A. Hoffmanns »Der Sandmann«. 2006, http://home.bn-ulm.de/~ulschrey/literatur/hoffmann/sandmann-interpretation.html
Timotheus Schwake: E. T. A. Hoffmann, Der Sandmann. Herausgegeben von Johannes Diekhans. Schöningh, Paderborn 2006, ISBN 3-14-022357-9 (Einfach Deutsch – Unterrichtsmodell).
Peter Tepe, Jürgen Rauter, Tanja Semlow: Interpretationskonflikte am Beispiel von E. T. A. Hoffmanns „Der Sandmann“. Kognitive Hermeneutik in der praktischen Anwendung. Königshausen & Neumann, Würzburg 2009, ISBN 978-3-8260-4094-8 (Studienbuch Literaturwissenschaft 1).

Weblinks
Wikisource: Der Sandmann – Quellen und Volltexte

Figurenlexikon zu Der Sandmann von Tanja Begon im Portal Literaturlexikon online
www.sandmann-derfilm.de

Einzelnachweise

Über die Oper von Scartazzini im Theater Basel
Homepage Theater Basel, abgerufen am 21. Oktober 2012
Informationen aus dem Jahresprogramm des Staatstheaters Stuttgart, Spielzeit 2005/06.
Der Sandmann (1992/93)
E.T.A. Hoffmanns Der Sandmann (2011)

Der Sandmann. Ein animierter Kurzfilm. (2012)

Einklappen
Werke von E. T. A. Hoffmann

Romane
Die Elixiere des Teufels | Lebens-Ansichten des Katers Murr

Prosazyklen
Fantasiestücke in Callots Manier
Jaques Callot | Ritter Gluck | Kreisleriana | Don Juan | Nachricht von den neuesten Schicksalen des Hundes Berganza | Der Magnetiseur | Der goldne Topf | Die Abenteuer der Sylvester-Nacht

Nachtstücke
Der Sandmann | Das Gelübde | Ignaz Denner | Die Jesuiterkirche in G. | Das Majorat | Das öde Haus | Das Sanctus | Das steinerne Herz

Die Serapionsbrüder
Rat Krespel | Die Fermate | Der Dichter und der Komponist | Ein Fragment aus dem Leben dreier Freunde | Der Artushof | Die Bergwerke zu Falun | Nußknacker und Mausekönig | Der Kampf der Sänger | Die Königsbraut | Die Automate | Doge und Dogaresse | Meister Martin der Küfner und seine Gesellen | Das fremde Kind | Der unheimliche Gast | Das Fräulein von Scuderi | Spieler-Glück | Der Baron von B. | Signor Formica

Erzählungen
Seltsame Leiden eines Theater-Direktors | Haimatochare | Die Marquise de la Pivardiere | Prinzessin Brambilla | Die Irrungen | Die Geheimnisse | Die Räuber | Die Doppeltgänger | Der Elementargeist | Meister Floh | Des Vetters Eckfenster

Märchen
Klein Zaches, genannt Zinnober

Red Army Choir - The Chorus of the Hebrew Slaves
https://www.youtube.com/watch?v=h1rRhQ5Q1dg
Concert in Paris December 2003.
"Va, Pensiero" ("Chorus of the Hebrew Slaves") from Giuseppe Verdi's "Nabucco".
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MessageSujet: Re: Les Contes d'Hoffmann and Spitzer Hears Stellar'Heartbeat'    Les Contes d'Hoffmann and Spitzer Hears Stellar'Heartbeat'   EmptyMer 15 Fév à 2:41

L'inquiétante étrangeté (Das Unheimliche en allemand) est un concept freudien.

L'essai, paru en 1919 et traduit en français par Marie Bonaparte, analyse le malaise né d'une rupture dans la rationalité rassurante de la vie quotidienne. D'après sa correspondance avec Sándor Ferenczi dans une lettre datée du 12 mai 1919, Freud déclare avoir exhumé un vieux travail. Les notes en bas de page indiquent que son ouvrage Totem et Tabou était déjà paru. La date exacte de cette première version n'est pas connue.

Unheimlich dans la littérature germanophone

Unheimlich est un terme très présent dans la littérature allemande, en particulier la littérature romantique. Jacob et Wilhelm Grimm lui consacrent un important article dans leur dictionnaire. Il est également très présent dans les écrits d'Ernst Theodor Amadeus Hoffmann, Clemens Brentano, Justinus Kerner, Theodor Körner, Ludwig Tieck, etc.1,2.

Leopold von Sacher-Masoch emploie « unheimlich » pour qualifier l'impression faite par Nadeshda, comtesse Baragreff, sur le héros, Henryk Tarnow, dans la nouvelle L'Amour de Platon3.
Unheimlich : un mot sans équivalent en français

Unheimlich vient de Heim. Ce mot signifie « le foyer », la maison et introduit une notion de familiarité, mais il est aussi employé comme racine du mot Geheimnis, qu'on peut traduire par « secret », dans le sens de « ce qui est familier » ou « ce qui doit rester caché4 ». Les anglophones le traduisent par « the uncanny5 », terme ayant donné l'idée d'Uncanny valley (Vallée dérangeante), non sans rapport avec le concept de Freud.

L’« inquiétante étrangeté » est la traduction donnée, faute d'équivalent en français, par Marie Bonaparte de l’allemand unheimlich, traduit par d'autres comme l'« inquiétante familiarité » (Roger Dadoun), « l'étrange familier » (François Roustang) ou les « démons familiers » (François Stirn)6. Heimlich a plusieurs significations. C’est d’abord ce qui fait partie de la maison (häuslich), de la famille. Cela concerne l’intimité, une situation tranquille et satisfaisante. Heimlich est aussi synonyme de dissimulation, de secret, de peu sûr ou même de sacré. La pièce heimlich de la maison correspond aux WC, un art heimlich s’apparente à de la magie. Un- est un préfixe antonymique, Unheimlich est le contraire de heimlich, au sens premier comme au sens second. En effet, il peut correspondre à une situation mettant mal à l’aise, qui suscite une angoisse, voire de l'épouvante ; et à un secret divulgué, qui est sorti de l’ombre alors qu’il devait rester confidentiel. En 1959, Lacan inventa le mot 'extimité'. Cette expression donnait l'idée de quelque chose intérieur, appartenant au sujet, et en même temps non pas reconnu en tant que tel – rendant le sujet mal à l’aise et appréhensif.
L'Unheimlich chez Jentsch

Le premier à avoir étudié ce concept est Ernst Jentsch, auteur de Zur Psychologie des Unheimlichen en 1906. Celui-ci décrit le concept comme le doute suscité soit par un objet apparemment animé dont on se demande s'il s'agit réellement d'un être vivant, soit par un objet sans vie dont on se demande s'il ne pourrait pas s'animer. Par ailleurs, il favorise sa diffusion dans la fiction. Pour lui, l'écrivain romantique allemand Ernst Theodor Amadeus Hoffmann utilise cet effet dans son œuvre, particulièrement dans L'Homme au sable, où il met en scène une poupée douée de vie, Olympia.
Une ré-élaboration freudienne

Le concept est repris par Freud en 1919. Il lui donne une certaine notoriété en l'intégrant à l'édifice théorique de la psychanalyse. Comme Jentsch, il fonde son analyse sur L'Homme au sable d'Hoffmann, qu'il présente comme « le maître incomparable de l’unheimlich en littérature ».

Freud suppose (à partir de cas clinique d'obsessionnels ainsi que de la littérature) que l'origine de l'inquiétante étrangeté correspond au retour du même, du semblable. Par exemple, Freud voyageait dans un train, il se leva de sa banquette pour interpeller le contrôleur. Lorsqu'il se leva, il vit un homme, à l'extérieur de son compartiment, à la silhouette antipathique, désagréable, voire inquiétante. Cet homme qu'il apercevait sans réellement distinguer ses traits était en fait son reflet que lui renvoyait la vitre de la porte. Dans cet exemple, on voit bien le retour du semblable, du reflet. Cette image d'abord dérangeante devient, une fois identifiée, la sienne.

Cet essai, inscrit dans la première topique freudienne, avant le remaniement de sa pensée que constitue la seconde topique, montre que le refoulement d'une représentation laisse libre un affect qui se transforme en angoisse (c'est le refoulement qui provoque l'angoisse). Le retour du refoulé, qu'il soit traumatique ou non, se voit chargé de l'angoisse. Il distingue aussi une seconde forme d'inquiétante étrangeté, celle qui émane de complexes infantiles refoulés (complexe de castration, fantasme du sein maternel...).
L'Unheimlich au cinéma

Au cinéma, la notion d'inquiétante étrangeté est très présente, notamment à travers d'œuvres qui par leur étrangeté et leur atypie peuvent déranger le spectateur, le genre recourant le plus à ce genre d'ambiance est surement le film fantastique, comme le prouve de nombreuses œuvres de Lynch, comme Lost Highway, Inland Empire, Mulholland Drive ou encore Eraserhead, mais aussi des œuvres d'Aronofsky, comme PI ou Black Swan, ou d'autres réalisateurs comme Merhighe avec Begotten, ainsi qu'Harvey avec Le Carnaval Des Âmes.

Mais cette notion est aussi utilisés dans des films d'horreur et des thrillers, comme la trilogie des appartements maudits de Polanski (Rosemary's Baby, Le Locataire et Répulsion), Antichrist de Lars Von Trier, Les diaboliques de Clouzot ( Notamment au climax ) mais l'exemple le plus frappant reste les films de Bergman, notamment Persona et L'heure du loup, qui utilise des flous, des musiques assourdissantes et des expérimentations visuelles pour créer un malaise pesant chez le spectateur, et qui ont d'ailleurs fortement inspirés David Lynch et ses films.
Bibliographie

Sigmund Freud, L'inquiétant familier (suivi de : "Le marchand de sable" de E.T.A. Hoffmann), Paris, Payot, coll. "Petite Bibliothèque Payot", 2012 (ISBN 9782228906746).
Sigmund Freud, L'inquiétante étrangeté et autres essais, Paris, Folio essais, 1985.
Hanania Alain Amar, Inquiétante étrangeté et autres récits, Paris, L'Harmattan, 2002.
Revue Insistance N°7, octobre 2012, Editions ERES. 189 pages. Ce numéro contient les actes du colloque des 15, 16, 17 avril 2005 à Paris. Clinique, écriture et poésie de l'Hilflosigkeit.
Pascal Le Maléfan, L'inquiétante étrangeté entre Jentsch et Freud, Études psychothérapiques, 1998, 17 : 49-66
Ernst Jentsch, L'inquiétante étrangeté (traduction de Pascal Le Maléfan et Frauke Felgentreu), Études psychothérapiques, 1998, 17 : 37-48.
Sigmund Freud Essais de psychanalyse appliquée. Collection idées nrf. Editions Gallimard. Traduction Marie Bonaparte. L'inquiétante étrangeté p163 à 210.

Notes et références

↑ Henri et Madeleine Vermorel, Sigmund Freud et Romain Rolland, Presses Universitaires de France, 1993, 657 p., p. 564.
↑ André Stanguennec, La philosophie romantique allemande : Un philosopher infini, Vrin, 2011, 224 p. (lire en ligne [archive]), p. 128.
↑ Leopold von Sacher-Masoch, Écrits autobiographiques et autres textes, Éditions Léo Scheer, 2004, p. 233.
↑ Sandrine Bazile, Gérard Peylet, Imaginaire et écriture dans le roman haussérien, Presses universitaires de Bordeaux, 2007 (lire en ligne [archive]), p. 143.
↑ Sophie Geoffroy-Menoux, Introduction à l'étude des textes fantastiques dans la littérature anglo-américaine, Éditions du Temps, 2000, 214 p., p. 102.
↑ Voir les commentaires de François Stirn dans : Sigmund Freud, L'Inquiétante étrangeté (lire en ligne [archive]), p. 4.

Liens externes

(en) Sigmund Freud, L'inquiétante étrangeté [archive]
(fr) Sigmund Freud, L'inquiétante étrangeté [archive] Traduit de l'allemand par Marie Bonaparte et Mme E. Marty.
http://www.senscritique.com/liste/La_liste_qui_derange_et_perturbe/4421 [archive] Liste de films déreangeants et perturbants par David Huriot sur SensCritique .

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MessageSujet: Re: Les Contes d'Hoffmann and Spitzer Hears Stellar'Heartbeat'    Les Contes d'Hoffmann and Spitzer Hears Stellar'Heartbeat'   EmptyMer 15 Fév à 2:56

Zipper Fly Minceur javel Laver étroites Pieds Color Block épissage jeans pour hommes...
-----------------------------------------------------------------------------------

"Bohemian Rhapsody"

Depuis l'ile des nains, la flotte se prépare à force à débloquer le blocus... les nains
se vouent à une chance ultime, l'invisibilité de leur femmes peut être leurs plus grands
des atouts... dans la plus simple des tenues, elles devront se recouvrir d'une forme
huile de synthése afin de ne permettre aucune visibilité de leurs présences...
Leurs actions sera rapide... Mais cela ne pourrait suffire sans un acte du destin...

Zipper Fly Minceur, javel Laver étroites et Pieds Color Block sont le genre de fribouilles
qui aiment piller les richesses des Nains mais avec galanterie... Cette situation auquel
sont soumis le peuple des nains n'est pas bon pour leurs affaires et pour le morale
des flibustiers, des pirates et des mercenaires suisse qui composent leurs flottes
maritimes et ariennes...

"Les sartriennes sont elles prétes" demande Zipper Fly Minceur
"Ma flotte de dirigeables est prête" réponds un lieutenant de javel Laver étroites
"R.E.M. - Losing My Religion, mes démons..." s'écrient les hommes de Pieds Color Block

Alors la "Bohemian Rhapsody" élabore un plan et ils attaqueront les démons et
les orcs par les airs... Ainsi, le signal sera lancé aux nains et au Roi Galabrul de lancer
l'attaque des invisibles...

Une ombre aux allures bien sinistre apparait alors aux pirates et à l'armée de la
"Bohemian Rhapsody"...

"Nous te saluons, O reine..." chante alors Pieds Color Block.

Avec le spectre royal de Hathor la Lionne, Nephtys la douce laisse apparaitre
son caractère de combattante... Elle qui est si peu décrite dans son rôle de Femme,
de Reine et de Guerrière...

"Femmes et Hommes de la "Bohemian Rhapsody"..., je vous conjure de dresser
les marques brune, rouge, blanche, noire et arc en ciel de notre confrérie...
En ce jour premier, nous nous dressons en une armée réunie devant les scélérats
et nous allons délivrer ce peuple d’orfèvres, ces nains, enfants d'Anvers...
La Mort elle même nous accompagne de sa faux..."

La "Bohemian Rhapsody" dans un silence de peur et d'admiration, car Nephtys
dépose le spectre de Hathor tout en brandissant la Faux de la Grande faucheuse:

"Voilà ce que me dit La Mort: L’éthique, le spectre de la mort et la passion du signifiant;
À l’heure où le rapport du sujet à la pensée, à sa pensée intime, à ce qui fait de lui un
sujet humain, est menacé d’occultation, et face à l’intensité de l’existence,
comment la passion de ce même sujet peut-elle se situer, se projeter, s’exprimer ?
C'est avec votre coeur et dans ses espérances; "Bohemian Rhapsody"; je vous conjure
dans mes actes, je ne suis pas toujours Justice... Mais en ce jour, j'enfreins la règle
du destin... Quand leurs regards se porteront sur mon spectre et sur ma Faux... Alors,
l’essence et la matière d’une passion amicale se mélangeront dans leurs esprits avec
la relation de la parole au signifiant. les questions de la communion, de la vérité,
mais aussi de l’éternité et de la mort, seront convoquées. Alors le Destin vous
confondra envers ma personne et une porte souverainement s'ouvrirera pour vous
et l'Humanité... Celle d'une victoire incertaine et d'une défaite honorable à leurs yeux,
mais qui engendrera la colère du Père sur le Fils... De Mâl l'ensorceleur sur
Baal..."

Zipper Fly Minceur, javel Laver étroites et Pieds Color Block ainsi que tous les éléments
leve leurs glaives aux ciels et baissent les yeux devant les reines Nephys et Hathor...
Et ils prétent ce serment... avec leurs Opiorphines...

"Nous serons des chacals dans la mort et l’éternité, O Majesté... Ainsi que pour
La République..."

Seth Isräel le Prince des Capricornes, Fils de Adam le père de Bastet et d'Eve La nymphe
des mers, issus des larmes de Adam... Ne peut s’empêcher de s'écrier...

" J"ai deux frères à rejoindre dans les enfers, Cain et Abel ainsi que Bastet ma soeur
malgré le fait qu'elle soit fille de Lilith... la stigmatisation de la haine pour la force
de l'Espérance.Et je m'engage de protéger Lilith dans la victoire...
Je la placerai sous la protection de Rhadamente et de Bastet... En mémoire de mon ami,
Luciole ou le dit Prométhée..."

"C'est mon ami, pardonnez lui, Majesté..." s'interpose Pieds Color Block qui ne gifle pas
Seth Israël mais lui fait signe de rejoindre les rangs...

"Le Maléfique et Israël, les Deux Seth, voilà une nouvelle prophétie qui se réalise...
Les passions de la passion : du corps abîmé à l’écriture de l’abîme. le seul objet de
son désir, le passionné est prêt à tout pour en obtenir la possession.
les excès de la passion qui empêchent ceux qui s’y laissent prendre d’être sujet
de leur conduite. Une mystique de la Passion à un phénomène inédit. "Nous serons."
Quels autres tours la passion de la Passion peut-elle prendre ? Oui, la victoire sur
l'apocalyptique fin divine pour engendrer l’apothéose Naturel...
Oui, Je vois le TAY... Je vois le fleuve des serpents... La mort viendra vous saluer
chère compagnons des enfers..."

Un grand silence... La Reine vient d'annoncer une prophétie... elle est joyeuse
et cette prophétie regonfle l'assurance de La "Bohemian Rhapsody".

"Envoyer la Prophétie à travers les vents et les contrées... Je viens vous
chercher mon père et mes frères. Oui, Nephtys... Tu connais la douleur
que j'ai ressenti Le Deuil, Le Bannissement et la Douleur d'une famille
divisé et humble dans son rancœur... Je vous remercie de m'avoir accueillir
dans la "Bohemian Rhapsody."". rajoute Seth Israël dans les rangs et à haute voix
sous le regard de Pieds Color Block, fier d'avoir bien plus qu'un Capricone
mais d'avoir un frère et un ami au sein de son équipage.

"Lancer l'Attaque..." s'écrie alors un vent qui en a envie de découdre...
Et bien sur, ce vent est Yahvé, Allah, Dieu, L’Éternel qui retrouve vigueur
quand l'espérance l'emporte sur l'ignorance et l'Obscurantisme Sectaire...
Il est certes jaloux Yahvé mais il n'est pas possessif: Il sait entendre !

----------------------------------------------------
La grande famine: Le premier age ou Une Oeuvre Laïque ...
https://leclandesmouettes.1fr1.net/t7-la-grande-famine-le-premier-age-ou-une-oeuvre-laique
Red Army Chorus - Song of the Volga Boatmen
https://www.youtube.com/watch?v=E-qz4Icl3_Q

J'ai pour espoir de délivrer l'armée rouge du Centralisme afin de la conduire dans l’individualisme.
J'ai pour espoir de délivrer l’individualisme du Centralisme afin de la conduire dans l'aspect d'échange.

Carmen: "Près des remparts de Séville" (Elina Garanca)
https://www.youtube.com/watch?v=sHjnVz7Ayyw

« le maître incomparable de l’unheimlich en littérature »
Durant cette année 2016, il ne fut jamais mis en lumière les jeux olympiques
qui se déroulèrent à Berlin et à Barcelone... Et ils osent parler de patriostisme
envers l'Europe ou leur nation... Malgré mon aspect... Durant 1936...
Il y a eu Barcelone et Berlin ou Berlin et Barcelone...
Alors je dis :

Il Barbiere di Siviglia: "Largo al factotum" (Peter Mattei)
https://www.youtube.com/watch?v=-ipb9xbXSAY

Marie Bonaparte, « princesse Bonaparte », puis, par son mariage, princesse de Grèce et de Danemark, est née le 2 juillet 1882 à Saint-Cloud (dans les Hauts-de-Seine) et morte le 21 septembre 1962 à Gassin (dans le Var) est une femme de lettres et une pionnière de la psychanalyse en France. Elle a contribué à la fondation de la première société psychanalytique française, la Société psychanalytique de Paris, et à la création de la Revue française de psychanalyse. Elle est une proche de Sigmund Freud, dont elle traduit l'œuvre en français et qu'elle aide à quitter Vienne en 1938.



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MessageSujet: Re: Les Contes d'Hoffmann and Spitzer Hears Stellar'Heartbeat'    Les Contes d'Hoffmann and Spitzer Hears Stellar'Heartbeat'   EmptyMer 15 Fév à 3:06

Cher Monsieur Tignard de la part de la psychanalyse
de votre dévoué organisme sur le fait que les entités
Macron, Fillon et tant d'autres qui se croient irremplaçable
pour les autorités régalienne de la République

Découverte de la psychanalyse par Marie Bonaparte

"""""Elle souffre de frigidité. C'est cette difficulté qui oriente ses premières tentatives d'étude de la sexualité dont elle parle ouvertement."""""""
Il Barbiere di Siviglia: "Largo al factotum"

En 1923, Marie Bonaparte lit l'Introduction à la psychanalyse de Sigmund Freud qui lui avait été conseillé par Gustave Le Bon. Le 29 novembre 1923 elle fait la connaissance de René Laforgue qui avait lu Freud dès 1913 et avait consacré en 1922 sa thèse de médecine à « L’affectivité des schizophrènes du point de vue psychanalytique ». Elle fréquente ses causeries, qui présentaient à un public restreint les premières notions de la psychanalyse. Elle entame une longue correspondance avec lui.

Parallèlement, elle fréquente les hôpitaux (opérations chirurgicales du nez, des seins) et elle écrit, sous le pseudonyme de « A. E. Narjani », un article intitulé « Considérations sur les causes anatomiques de la frigidité chez la femme », dans lequel elle explique la frigidité féminine par une fixation clitoridienne induite par une distance trop grande entre le clitoris et le vagin. Elle appuie sa thèse par la mesure de la distance du clitoris et du méat urétral sur une population de 200 femmes, prises au hasard. Obsédée par son « accomplissement orgasmique », même après son analyse avec Freud, elle ne renoncera jamais à ses convictions et se fera opérer plusieurs fois, notamment par le Prof. Josef von Halban afin de se faire déplacer le clitoris4. Elle écrit : « Les hommes se sentent menacés par ce qui aurait une apparence phallique chez la femme, c'est pourquoi ils insistent pour que le clitoris soit enlevé »5.
La rencontre avec Freud
Sigmund Freud, l'ami de la princesse Marie Bonaparte.

En 1924 à la suite de la mort de son père, elle fait une dépression. En 1925, elle convainc Laforgue d'intercéder auprès de Freud pour que ce dernier la prenne en psychanalyse. Celui-ci est d'abord réticent ; elle insiste, le rencontre et finit par convaincre Freud de la prendre comme patiente, le 30 septembre de cette année. Cette psychanalyse se déroule jusqu'en 1938, au gré de séjours plus ou moins longs (de deux à six mois), qu'elle fait à Vienne, car elle mène de front sa cure, sa vie mondaine et ses obligations familiales.

Sa psychanalyse auprès de Freud, son influence mondaine et sociale, les fréquents voyages entre Vienne et Paris vont lui donner un rôle d'intermédiaire entre le premier groupe des psychanalystes parisiens et Freud. Cette position est entérinée par Freud, qui la dissuade d'entreprendre des études de médecine à 44 ans, et lui demande de se consacrer au développement de la psychanalyse en France : elle devient sa représentante à Paris.

En 1936, elle achète à un marchand d'objets d'art la correspondance de Freud avec Wilhelm Fliess, mise en vente par la veuve de ce dernier. Elle refuse de restituer à Freud ces documents, pressentant qu'il aurait pu les détruire. Elle ne les fait paraître, dans une version expurgée, qu'après la mort de Freud, en 1950, en collaboration avec Anna Freud et Ernst Kris, sous le titre La naissance de la psychanalyse.
Le départ de Freud

Marie Bonaparte intervient personnellement, en faisant jouer ses relations sociales et diplomatiques, afin de permettre à Freud et à sa famille de quitter l'Autriche passée sous domination nazie. Elle verse aux nazis une « rançon6 » de 4 824 dollars, que Freud lui rembourse à son arrivée à Londres. Freud, sur son trajet vers Londres, fait une escale à Paris, où il est reçu chez la princesse, rue Adolphe-Yvon. Elle envoie vers Freud le médecin Antoine Lacassagne pour soigner le cancer de la mâchoire dont il est atteint depuis 1923.
Rôle dans le développement de la psychanalyse française

Représentante officieuse de Freud à Paris, Marie Bonaparte joue un rôle institutionnel important et complexe dans le développement de la psychanalyse française.
Une pionnière de la psychanalyse

Le 4 novembre 1926, Marie Bonaparte fait partie des neuf membres fondateurs de la fondation de la Société psychanalytique de Paris, contribuant sur le plan institutionnel et financier.
Article détaillé : Société psychanalytique de Paris.

Elle subventionne la première revue psychanalytique française, la Revue française de psychanalyse en 1927, dans laquelle elle publie une dizaine de communications, notamment ses traductions de L'Avenir d'une illusion et d'Introduction à la théorie des instincts et ses cours professés de janvier à mars 1934, à l’Institut de Psychanalyse.
Article détaillé : Revue française de psychanalyse.

Elle intervient dans les débats de la jeune société avec autorité. En 1926, dans l'une de ses lettres à Laforgue, apparaît l'expression, de « Freud pense comme moi » qui contribuera, dans le cénacle des psychanalystes parisiens, à la faire surnommer Freud m'a dit[réf. souhaitée].

Marie Bonaparte favorisera la venue à Paris (en 1925) de Rudolph Loewenstein et aide à sa naturalisation en 1930. Elle favorisea également l'arrivée en France des médecins psychanalystes suisses Raymond de Saussure, Charles Odier et Henri Flournoy.

Elle pratique la psychanalyse dans un cabinet rue Adolphe Yvon à Paris puis à Saint-Cloud avec des méthodes originales : elle envoie son taxi pour aller chercher ses clients et les ramener, et les reçoit sur une chaise longue en faisant du tricot.

En mai 1939, l’Institut de Psychanalyse est fermé, et la Revue Française de Psychanalyse interrompt sa publication. Paris occupé et la Grèce menacée, elle prend le chemin de l'exil avec la famille royale grecque : Crète, Alexandrie, puis Le Cap, en Afrique du Sud.
La traductrice

Marie Bonaparte a traduit plusieurs textes de Sigmund Freud. Cette dimension de son action pour la psychanalyse ne doit pas être négligée car, avec ces traductions, la question de la formulation des concepts était posée. Cette question cruciale fut abordée très tôt par le groupe français et donna lieu à des débats passionnés. En mai 1927, elle s'allie à Pichon contre Hesnard pour faire traduire par le « ça » le « Es » allemand.

En 1927, une traduction du Souvenir d'enfance de Léonard de Vinci de Freud paraît sous son nom. C'est un scandale pour son milieu mondain, à tel point que son mari tente de la faire rompre avec Freud2. Elle traduit les Cinq psychanalyses en collaboration avec Loewenstein.
Bilan de son activité et fin de sa vie

Fin 1944, elle est à Londres, puis rentre à Paris début octobre 1945. À la mi-décembre 1945 elle retourne à Londres, avant de gagner les États-Unis. Après la guerre, elle n'a plus les moyens de financer la Société Psychanalytique de Paris qui renaît en novembre 1946 grâce à René Laforgue et Bernard Steele.

Elle défend encore une fois l'«analyse profane», c'est-à-dire conduite par un analyste qui n'est pas médecin, en 1950 lors du procès de Margaret Clark-Williams7.

Du fait de son opposition à Jacques Lacan, elle s'investit de moins en moins dans la Société Psychanalytique de Paris à partir de 1957, doutant de la psychanalyse depuis la scission de la Société psychanalytique de Paris. Elle écrit à ce sujet : « Freud s'est trompé. Il a surestimé sa puissance, la puissance de la thérapie et celle des évènements de l'enfance2 ». La scission de la SPP avait réveillé un désaccord avec Jacques Lacan de qui elle s'était déjà fermement distanciée comme en témoigne une de ses lettres de 1948 à Loewenstein où elle écrit : « Quant à Lacan, il est trop teinté de paranoïa et fait des choses d’un narcissisme discutable, se permettant trop d’interventions personnelles ». En 1960, elle s'engage dans la lutte contre la peine de mort, se rend aux États-Unis et essaye en vain de sauver Caryl Chessman de la chambre à gaz.

Fragilisée par une fracture du col du fémur, elle se replie dans sa résidence varoise, le Lys-de-Mer. Atteinte d'une leucémie, « la dernière des Bonaparte8 » meurt à la clinique de Saint-Tropez. Elle lègue à la Société Psychanalytique de Paris des autographes de Freud, plusieurs collections complètes de ses œuvres, et des revues de psychanalyse rares.

Elle repose auprès de son époux dans la nécropole royale du domaine de Tatoï, près d'Athènes.

Ernest Jones, Alain de Mijolla et Michelle Moreau Ricaud s'accordent sur le fait que Marie Bonaparte a joué un rôle important dans l'implantation de la psychanalyse en France. Pour cette raison, elle est surnommée la « princesse de la psychanalyse en France ». Entièrement dévouée à la personne de Freud, elle a sans doute, par ses interventions dans la jeune Société psychanalytique de Paris, évité que la psychanalyse française ne s'oriente vers une « psychanalyse à la française » redoutée par Freud et voulue notamment par Édouard Pichon9,10.

Livres de Marie Bonaparte

Guerres militaires et guerres sociales: méditations, Paris, Flammarion, Bibliothèque de philosophie scientifique, 1920.
Le Printemps sur mon jardin, Paris, Flammarion, 1924.
Deuil, nécrophilie et sadisme. À propos d'Edgar Poe, Paris, Denoël et Steele, 1932, coll. « Bibliothèque psychanalytique », (19 p.).
La Prophylaxie infantile des névroses, Paris, Denoël et Steele, coll. « Bibliothèque psychanalytique ».
Edgar Poe, étude psychanalytique, avant-propos de S. Freud, Paris, Denoël, 1933 (réédition, Paris, PUF, 1958; trad. allemande, Vienne, 1934; trad. anglaise, 1949).
Introduction à la théorie des instincts, Paris, Denoël et Steele, 1934, coll. « Bibliothèque psychanalytique » , (151 p.).
Topsy, chow-chow au poil d'or, Paris, Denoël et Steele, 1937, (129 p.).
Mythes de guerre, Imago Publishing Ltd, 1947, (trad. anglaise, 1947).
Essais de psychanalyse, Imago Publishing Ltd, 1950.
Monologues devant la vie et la mort, Imago Publishing Ltd, 1950.
Les Glauques aventures de Flyda des Mers, Imago Publishing Ltd, 1950.
Chronos et Éros, Imago Publishing Ltd, 1950.
Les Glanes des jours, (recueil de maximes dédié à Gustave Le Bon), Paris, PUF, 1950.
Souvenirs de jeunesse, tome I, Derrière les vitres closes, Paris, PUF, 1958.
Souvenirs de jeunesse, tome II, L'Appel des sèves, Paris, PUF, 1958.
De la sexualité de la femme, Paris, UGE, 1977, coll. « 10/18 ».

Articles

Freud : L'homme et l'œuvre (14.06.1938), en ligne [archive]
Sigmund Freud. L'instinct et la raison. Le IIIe Reich n‘a pas besoin de penseurs (19.06.1938), en ligne [archive].
La mort de Freud (4.10.1939), en ligne [archive].

Traduction de textes de Freud par Marie Bonaparte

Un souvenir d'enfance de Léonard de Vinci, Paris, Gallimard, 1927.
Délire et rêves dans la Gradiva de W. Jensen, Paris, Gallimard, 1931.
Le mot d'esprit et ses rapports avec l'inconscient avec M. Nathan, Paris, Gallimard, 1930.
Ma vie et la psychanalyse, Paris, Gallimard, 1930.
L'Avenir d'une illusion, Paris, Denoël & Steele, 1932.
Essais de psychanalyse appliquée avec Mme E. Marty, Paris, Gallimard, 1933.
Cinq psychanalyses avec R. Loewenstein, Paris, Denoël & Steele, 1935.
Métapsychologie avec Anne Berman, Paris, Gallimard, 1940.

Document sonore
Princesse Marie (France 2 / Arte) with Catherine Deneuve
Enregistrement de 24 secondes, en ligne [archive]
http://archive.wikiwix.com/cache/?url=http%3A%2F%2Ftoutsurdeneuve.free.fr%2FFrancais%2FPages%2FCarriere_Films%2FPrincesse_Marie.htm

Dark Obscur, Seigneur Sith de la République
ou TAY
La chouette effraie

Luciano Pavarotti - La Donna È Mobile (Rigoletto) Il Duca di Mantova
https://www.youtube.com/watch?v=xCFEk6Y8TmM

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MessageSujet: Re: Les Contes d'Hoffmann and Spitzer Hears Stellar'Heartbeat'    Les Contes d'Hoffmann and Spitzer Hears Stellar'Heartbeat'   EmptyMer 15 Fév à 3:19

Découverte de la psychanalyse

Elle souffre de frigidité. C'est cette difficulté qui oriente ses premières tentatives d'étude de la sexualité dont elle parle ouvertement.

En 1923, Marie Bonaparte lit l'Introduction à la psychanalyse de Sigmund Freud qui lui avait été conseillé par Gustave Le Bon. Le 29 novembre 1923 elle fait la connaissance de René Laforgue qui avait lu Freud dès 1913 et avait consacré en 1922 sa thèse de médecine à « L’affectivité des schizophrènes du point de vue psychanalytique ». Elle fréquente ses causeries, qui présentaient à un public restreint les premières notions de la psychanalyse. Elle entame une longue correspondance avec lui.

Parallèlement, elle fréquente les hôpitaux (opérations chirurgicales du nez, des seins) et elle écrit, sous le pseudonyme de « A. E. Narjani », un article intitulé « Considérations sur les causes anatomiques de la frigidité chez la femme », dans lequel elle explique la frigidité féminine par une fixation clitoridienne induite par une distance trop grande entre le clitoris et le vagin. Elle appuie sa thèse par la mesure de la distance du clitoris et du méat urétral sur une population de 200 femmes, prises au hasard. Obsédée par son « accomplissement orgasmique », même après son analyse avec Freud, elle ne renoncera jamais à ses convictions et se fera opérer plusieurs fois, notamment par le Prof. Josef von Halban afin de se faire déplacer le clitoris4. Elle écrit : « Les hommes se sentent menacés par ce qui aurait une apparence phallique chez la femme, c'est pourquoi ils insistent pour que le clitoris soit enlevé »5.
La rencontre avec Freud fut plus qu'un échappatoire, il réveilla la flamme d'un lionne ignorée qu'elle possédait en son sein... Elle intervient dans les débats de la jeune société avec autorité. En 1926, dans l'une de ses lettres à Laforgue, apparaît l'expression, de « Freud pense comme moi » qui contribuera, dans le cénacle des psychanalystes parisiens, à la faire surnommer Freud m'a dit

pourtant,

Marie commence sa vie mondaine en 1905 et elle est invitée aux bals de l'aristocratie du faubourg Saint-Germain. Elle est la cousine germaine de la duchesse de Bisaccia et du prince Léon Radziwill, ami de Proust. Sa dot suscitant un intérêt certain dans le grand monde, son père tente de la marier selon ses vues, mais finalement, en 1906, elle rencontre le roi Georges Ier de Grèce qui favorise un mariage en grande pompe à Athènes le 12 septembre 1907 avec son second fils, Georges de Grèce.

De leur union naissent deux enfants :

Pierre de Grèce (1908-1980), prince de Grèce et de Danemark, qui épouse une femme divorcée d'origine russe Irène Aleksandrovna Ovtchinnikova (1900-1990). Faisant ainsi une mésalliance, le prince perd ses droits dynastiques. Sans postérité ;
Eugénie de Grèce (1910-1988), princesse de Grèce et de Danemark, qui épouse le prince Dominique Radziwill (1911-1976) mais en divorce en 1948, se remarie l’année suivante avec Raymond von Thurn und Taxis (1907-1986), prince della Torre e Tasso et duc de Castel Duino, avant de divorcer une seconde fois en 1965. Elle a deux enfants de son premier mariage et un troisième du second.

Elle est une proche de Gustave Le Bon3, du chirurgien Albert Reverdin, du psychanalyste Rudolph Loewenstein ou encore du médecin Jean Troisier, qui apparaissent sous pseudonymes dans les écrits de Marie Bonaparte : "X" ou "l'Ami").



puis

Une pionnière de la psychanalyse

Le 4 novembre 1926, Marie Bonaparte fait partie des neuf membres fondateurs de la fondation de la Société psychanalytique de Paris, contribuant sur le plan institutionnel et financier. Elle subventionne la première revue psychanalytique française, la Revue française de psychanalyse en 1927, dans laquelle elle publie une dizaine de communications, notamment ses traductions de L'Avenir d'une illusion et d'Introduction à la théorie des instincts et ses cours professés de janvier à mars 1934, à l’Institut de Psychanalyse. Marie Bonaparte favorisera la venue à Paris (en 1925) de Rudolph Loewenstein et aide à sa naturalisation en 1930. Elle favorisea également l'arrivée en France des médecins psychanalystes suisses Raymond de Saussure, Charles Odier et Henri Flournoy.

Elle pratique la psychanalyse dans un cabinet rue Adolphe Yvon à Paris puis à Saint-Cloud avec des méthodes originales : elle envoie son taxi pour aller chercher ses clients et les ramener, et les reçoit sur une chaise longue en faisant du tricot.

En mai 1939, l’Institut de Psychanalyse est fermé, et la Revue Française de Psychanalyse interrompt sa publication. Paris occupé et la Grèce menacée, elle prend le chemin de l'exil avec la famille royale grecque : Crète, Alexandrie, puis Le Cap, en Afrique du Sud.

La traductrice

Fin 1944, elle est à Londres, puis rentre à Paris début octobre 1945. À la mi-décembre 1945 elle retourne à Londres, avant de gagner les États-Unis. Après la guerre, elle n'a plus les moyens de financer la Société Psychanalytique de Paris qui renaît en novembre 1946 grâce à René Laforgue et Bernard Steele.

Elle défend encore une fois l'«analyse profane», c'est-à-dire conduite par un analyste qui n'est pas médecin, en 1950 lors du procès de Margaret Clark-Williams7.

Du fait de son opposition à Jacques Lacan, elle s'investit de moins en moins dans la Société Psychanalytique de Paris à partir de 1957, doutant de la psychanalyse depuis la scission de la Société psychanalytique de Paris. Elle écrit à ce sujet : « Freud s'est trompé. Il a surestimé sa puissance, la puissance de la thérapie et celle des évènements de l'enfance2 ». La scission de la SPP avait réveillé un désaccord avec Jacques Lacan de qui elle s'était déjà fermement distanciée comme en témoigne une de ses lettres de 1948 à Loewenstein où elle écrit : « Quant à Lacan, il est trop teinté de paranoïa et fait des choses d’un narcissisme discutable, se permettant trop d’interventions personnelles ». En 1960, elle s'engage dans la lutte contre la peine de mort, se rend aux États-Unis et essaye en vain de sauver Caryl Chessman de la chambre à gaz.

Fragilisée par une fracture du col du fémur, elle se replie dans sa résidence varoise, le Lys-de-Mer. Atteinte d'une leucémie, « la dernière des Bonaparte8 » meurt à la clinique de Saint-Tropez. Elle lègue à la Société Psychanalytique de Paris des autographes de Freud, plusieurs collections complètes de ses œuvres, et des revues de psychanalyse rares.

Elle repose auprès de son époux dans la nécropole royale du domaine de Tatoï, près d'Athènes.

Ernest Jones, Alain de Mijolla et Michelle Moreau Ricaud s'accordent sur le fait que Marie Bonaparte a joué un rôle important dans l'implantation de la psychanalyse en France. Pour cette raison, elle est surnommée la « princesse de la psychanalyse en France ». Entièrement dévouée à la personne de Freud, elle a sans doute, par ses interventions dans la jeune Société psychanalytique de Paris, évité que la psychanalyse française ne s'oriente vers une « psychanalyse à la française » redoutée par Freud et voulue notamment par Édouard Pichon.

Découverte de la psychanalyse qui est une ode à l'humanisme et à l'instinct de préservation...
Quand j'entends cela, je comprends que certains veuillent atteindre l'inaccessible...

Maria Callas Opera Arias: La Traviata, Norma, Madama Butterfly, Lucia di Lammermoor & many others
https://www.youtube.com/watch?v=_MrYuebMNmg

Oui, Quand j'entends cela, je comprends que certains veuillent atteindre l'inaccessible... Étoile... Don Quichotte...
je poursuivrais le chemin entrepris par La République et L'Espérance....

Dark Obscur, Seigneur Sith de la République
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yanis la chouette




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Les Contes d'Hoffmann and Spitzer Hears Stellar'Heartbeat'   Empty
MessageSujet: Re: Les Contes d'Hoffmann and Spitzer Hears Stellar'Heartbeat'    Les Contes d'Hoffmann and Spitzer Hears Stellar'Heartbeat'   EmptyMer 15 Fév à 3:54

Marie Bonaparte and Spitzer Hears Stellar'Heartbeat'
http://la-5ieme-republique.actifforum.com/t245-marie-bonaparte-and-spitzer-hears-stellar-heartbeat#5015

Processus de Paix des secouristes de la république de l'Olivier.

Je crois qu'à l'avenir, plus personne ne pourra recréer des bulles d'exclusions...
Pour cela, je ne peux me permettre de mettre à l'écart tout individu(e) et "État".

Je ne suis qu'une femme ou un homme humble qui en vous adressant ces ces vers,
espère qu'il puisse vous conduire vers l'expérience, le travail et la communauté...
La solitude augmente ou diminue le nervosité... Cela s'appelle le malheur...

Alors par décision, on recherche à se tranquilliser et remettre la balance sur le zéro;
alors par construction, on décèle la notion d'une fragile tolérance:
Celle d'insulter !

Par Yahvé, cela est une horreur et une erreur...

La République de l'Olivier dit :
"Oui à la gréve, Non à l'Esclavage..."
la constitution rajoute :
"Oui à la Bibliothèque et Non à la Faim."
et le peuple doit rajouter :
"Oui à l'écoute et Non aux viols physiques et moraux."

Alors le Novice du Secourisme prends en charge sa nouvelle fonction autre qu'un service
militaire mais basé aussi sur la protection du Bien et du Corps.

"Je suis Y'becca"

Ecrit de
TAY
La chouette effraie.

-----------------------------------------

Y'becca est soumis à toujours suivre un dossier médical, on ne peut se reposer sur des radios anciennes et toutes opérations auquel Lise Verdier ne peut être bâclé... Certains medecins oublient d'osculter la gorge quand un patien à une fiévre... Il est des gestes de précautions auquel la médecine n'a pas la droit de s'occulter... Y'becca doit répondre à ces faits là et son secouriste ne doit jamais dire jamais sur le fait que l'expérience ne donne jamais d'acquis et il est une chose auquel je voue une grande discipline et rigueur: Celle d'entendre la Prudence lorsque le temps le permet... quel que soit l'opération, on agit avec prudence du temps, de l'aspect et des allergies possibles auquel le patient ou la patiente peut être soumis en fonction de son age et de sa corpulence...

"La grâce est à la beauté ce que la souplesse est à la rose. Sans grâce, la beauté n'est qu'une fleur artificielle, qu'un colibri sans vie."
Citation de Jean-Napoléon Vernier ; Fables, pensées et poésies (1865). L'association pour Lise et pour vous, s'inspire de cette citation de Jean-Napoléon Vernier qui est si réelle sur l'aspect du courage d'être dans des situation auquel l'aspect humain se doit de se reconsidérer dans l'aspect de l'adversité dans l'être. Cette citation cherche à nous monter des aspects qui nous semblent enfoie par l'adversité et la douleur mais qui ne demande qu'à renaitre afin de permettre à la rose de devenir Rosier...


Aide pour le retour à domicile d’une personne lourdement handicapée.

L’Association Pour Lise et pour Vous, a but non lucratif, met à la disposition des personnes en situation de grand handicap et leurs familles, son expertise dans la prise en charge du retour au domicile.

Plus largement, l’association veut favoriser et permettre le développement des soins de qualité et le maintien à son domicile de tout enfant, adolescent ou jeune adulte, atteint d’une maladie grave ou d’un handicap lourd.

Nous sommes à votre écoute pour parler et construire ensemble de votre projet de vie, nous sommes à vos côtés pour le concrétiser.


Pour Lise Et Pour Vous
le Bourg Chevreau, 53600 SAINTE GEMMES LE ROBERT
Association humanitaire, d'entraide, sociale



"La grâce est à la beauté ce que la souplesse est à la rose. Sans grâce, la beauté n'est qu'une fleur artificielle, qu'un colibri sans vie."
Citation de Jean-Napoléon Vernier ; Fables, pensées et poésies (1865)

"La beauté sans grâce est un printemps sans verdure."
Citation de Mirabeau ; Lettres à Sophie Ruffei (1777-1780)

"La beauté sans grâce est un hameçon sans appâts."
Citation de Ninon de Lenclos ; Confessions (1700)

"On admire d'un coup d'œil la beauté, elle ne laisse plus rien à deviner ; la grâce se fait aimer peu à peu par des détails variés, imprévus, qui vous plaisent d'autant plus qu'ils vous surprennent, et ses petits défauts d'ensemble sont quelquefois des charmes qui nous attachent."
Citation de Louis-Philippe de Ségur ; L'ennui (1816)

"La grâce, ce charme suprême de la beauté, ne se développe que dans le repos du naturel."
Citation de Madame de Staël ; L'influence des passions (1796)

"La beauté ne déplaît jamais, mais sans la grâce, elle est dépourvue de ce charme secret qui invite à la regarder."
Citation de Voltaire ; Dictionnaire philosophique (1764)

"Les grâces préférables à la beauté, ornent la femme de tous ce qu'elles ont de séduisant."
Citation de Marie-Geneviève-Charlotte Darlus ; Traité des passions (1764)

"Il y a un art caché dans la simplicité qui donne une grâce à l'esprit et à la beauté."
Citation de Alexander Pope ; Maximes et réflexions morales (1739)

"Aucune grâce extérieure n'est complète si la beauté intérieure ne la vivifie."
Citation de Victor Hugo ; Post-scriptum de ma vie (1901)

"Brillante de beauté, de grâces, de jeunesse, pour vous plaire, on accourt, on s'empresse."
Citation de Charles-Guillaume Étienne ; L'Intrigante, I, 9, le 6 mars 1813.

"Sans le fard de l'amour, par qui tout s'apprécie, les grâces sont sans force, et la beauté sans vie."
Citation de Antoine Bret ; La double extravagance, VII, le 27 juillet 1750.

"La beauté est la clef des coeurs, la grâce le passe-partout."
Citation de Paul Masson ; Les pensées d'un Yoghi (1896)

"La beauté réside dans la forme ; la grâce dans les mouvements, le charme dans l'expression."
Citation de Lucien Arréat ; Réflexions et maximes (1911)

"La grâce, plus belle encore que la beauté."
Citation de Jean de La Fontaine ; Adonis (1658)

Compte rendu de
TAY
La chouette effraie

Les Flutistes de la Communauté du Roseau.

Amalgame des mots afin d'être proche
de l'être et de son oreille:
l'Intelligence démontre son envie d'étendre,
d'être lasse.

La petite femmes pointe du doigt l’élégance
afin de faire étendre ses connaissances, ses goûts
et ses couleurs. Une Barrière protégè les légumes
tout comme la vertu sème les graines du Partage
dans la déchirure de la discorde: Le ventre.

Un Au-revoir s'adresse à un ami(e) ou un adieu
s'adresse à une espérance... Regard dans cette
image, tu y verra une tendresse... Le bleu oscille
entre le vert: Cela s'appelle le feu et le cercle de
la Danse du Roseau...

Ecrit de
TAY
La chouette effraie.

Les oies blanches de la Garonne.

S'est progressivement lorsque
le Soleil décline Lentement
que les oies du Capitole comprennent
que l'heure du noir et des chouettes approchent.

Alors, elles rentrent dans l'ombre pour se préparer
à la baisse des températures qu'entraine le Soir,
la Rotation et le Soleil; Alors, elle Navigue avec son Jar
paisiblement en compagnie des canards voyant
le crépuscule et en quête d'un valeureux moustique
ou d'une fameuse mouche

--------------------------------------------------------

Le Canari et le Corbeau

-"C'est au cœur d'une foret que j'ai établi mon nid"
chante le canari;

-"Croaw Croaw." fait le corbeau...

-"She is a hot day, today."siffle le canari

-"Croaw Croaw." fait le corbeau.

-"Siège de grosse variation d'éclat !" entonne le canari.

-"Croaw Croaw Croaw." fait le corbeau.

-"Nue comme dans des actes pour rejoindre son univers !" Balance le canari

-"Jaune... Croaw... Anthologie... Croaw... L'Homme, la fronde et l'arche."
dit le corbeau d'un esprit très Irlandais.

-"Les fleurs s'évaporent tout comme les parfums d'étoiles dont les arômes issus
égarent l'âme des chimères." s'esclaffe le pacifique et diplomatique canari.

Alors le canari et le corbeau se comprirent par ce chant... Par l’atmosphère, les secrets
des taches solaires nous dévoilent l'excroissance de la matière et la production de l'apesanteur
par le vide.
------------------------------------------------------------------------------
Ecrits de
TAY
La chouette effraie.

Les Femmes et la douane.

La Femme n'est pas un jouet...
Il est détestable de frapper sa femme
quand celle-ci refuse d'agréer à une union
entre l'homme et sa servante.

La Femme n'est pas un jouet...
La situation reste malheureusement préoccupante.
Les Citoyens se mobilisent pour les grandes causes, et
il est vrai que pour une autre part de la population, cela est
un fait acquis. La population ne doit étouffer le parole
de la Citoyenne et des son Vote.

La Femmes n'est pas un jouet...
Le Régime de Séjour ou d'utilisation temporaires
sous formes de marchandises de nos Citoyennes...
Qui de plus qu'il s'agit d’entrepôt de stockage
où l'importation et l'exportation s'affrontent
dans l'échange de la durée, nous est insupportable
car il s'agit d'Esclavage. Nos lois répriment de telles faits
envers les citoyennes.

Ecrit de
TAY
La chouette effraie.

Le chemin de l'olivier et la chatte Athéna.

Sur les bords d'une fenêtre, la Chatte Athéna sauta
de la fenêtre entrouverte... Tel un gentleman, la chatte
s'aventura vers les hordes de l’automobile... Tous les
chats étaient là, mais sa force anaconda lui permit de
sauvegarder sa pudeur et ses principes face à ses mâles
encombrants.

La belle Féline alors, adressa un miaulement en direction
des fauves et alla méditer sur les manières qu'elle pourrait
apporter à son petit appartement...

Ecrit de
TAY
La chouette effraie.

_________________
Kounak le chat....
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