Le clans des mouettes
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 Les gouvernements Francais, Magellan et Y'becca

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yanis la chouette




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MessageSujet: Les gouvernements Francais, Magellan et Y'becca   Les gouvernements Francais, Magellan et Y'becca EmptyVen 9 Déc à 10:38

La piraterie des années 1800 dans la Caraïbe fut facilitée par la présence d'un nombre importants de militaires lors de la guerre de Sept Ans puis lors de la guerre d'indépendance américaine, les officiers basés à Saint-Domingue étant nombreux à combattre aux côtés de Lafayette et des futurs États-Unis.

Sommaire
1 Sous la Révolution française
1.1 En 1793, le citoyen Genêt perturbe la neutralité américaine
1.2 Les corsaires guadeloupéens, un ensemble hétéroclite
1.3 1796, le deuxième traité de San Ildefonso
1.4 Nouvelle vague d'exil français à Cuba en 1798
1.5 Le traité commercial de 1799 entre le général Toussaint Louverture, Londres et Philadelphie
2 Sous Napoléon Bonaparte
2.1 La quasi-guerre franco-américaine entre 1798 et 1801
2.2 En 1803, l'échec de l'expédition de Saint-Domingue nourrit la piraterie à Cuba et à Barataria
2.3 La contre-attaque de la République d'Haïti
2.4 La contrainte de 1809 : fuir Cuba et la partie orientale de Santo Domingo
3 Sous la Restauration
3.1 L'enclave texane de Galveston
4 Les principaux pirates, contrebandiers, et leurs complices
5 Bibliographie
6 Références

Sous la Révolution française
En 1793, le citoyen Genêt perturbe la neutralité américaine[modifier | modifier le code]
La première vague de piraterie vise les navires britanniques, pendant la Révolution française. Le "citoyen Edmond-Charles Genêt" (1763-1834), premier ambassadeur de la Révolution française aux États-Unis, obtient un vrai succès populaire en faisant appel à des corsaires américains.
Le 8 avril 1793, au lieu de se rendre à Philadelphie, il reste à Charleston pour recruter des corsaires contre l'Espagne et l'Angleterre. Il n'arrive dans la capitale américaine que le 18 mai, après avoir remonté toute la côte, en créant des « sociétés de citoyens », puis continue ce genre d'actions dans la capitale, mettant dans l'embarras George Washington car les États-Unis ont proclamé leur neutralité le 22 avril 1793.
Edmond-Charles Genêt « croyait pouvoir entraîner l'Amérique dans la guerre au secours de sa patrie » et « s'était mis aussitôt en devoir de distribuer à grand bruit des lettres de marque, d'armer des corsaires, d'ordonner des recrutements », selon l'historien Cornélis Henri de Witt. Finalement « dans ses efforts pour réchauffer la haine des masses contre l'Angleterre », il « fit tout ce qu'il fallait pour les détacher complètement de la France et du parti français »1. Selon son biographe Claude Moisy, il se heurta en fait à la « relation spéciale » entre les Anglo-Saxons2.
Les corsaires guadeloupéens, un ensemble hétéroclite
Le Directoire veut prévenir toute éventuelle activité contre-révolutionnaire3. Il arme les corsaires guadeloupéens: des armateurs esclavagistes, mais aussi, parfois, d'anciens esclaves émancipés à la Guadeloupe y participent. Arrivé en 1794, Victor Hugues attisa la rébellion parmi les hommes libres de couleur à la Grenade, Sainte-Lucie et Saint-Vincent, et se saisit de plus de cinq cent navires (neutres ou ennemis).
Après la guerre d'indépendance, la Royal Navy a récupéré les gros navires de combat, les États-Unis devant se contenter des petits navires de commerce. Résultat, les navires de commerce américains sont attaqués dès octobre 1794, par les corsaires guadeloupéens qui les attendant au large de leur port d'attache. Ces navires "neutres" sont déclarés par les français de "bonne prise" dès lors qu'ils transportent des marchandises en provenance ou destinées à l'ennemi anglais.
Le 24 décembre 1796, Victor Hugues, gouverneur de la Guadeloupe prend un arrêté autorisant les corsaires guadeloupéens à attaquer les navires américains, car certains, moyennant finances, permettaient aux Britanniques d'utiliser le pavillon américain pour aborder les îles françaises.
1796, le deuxième traité de San Ildefonso[modifier | modifier le code]
Par le Traité de San Ildefonso (1796), signé entre l'Espagne et la France le 18 août 1796, les deux États s'engageaient à la défense et à l'attaque mutuelle face à l'Angleterre, qui à ce moment menaçait la flotte espagnole lors de ses traversées vers l'Amérique.
Selon l'historien Christian Lerat, c'est à partir de cette date que Santiago de Cuba va devenir une base corsaire, où vont s'installer des armateurs et marins français de Saint-Domingue4, qui s'y domicilieront définitivement après 1803 lorsque l'échec de l'expédition de Saint-Domingue leur fera perdre tout espoir de conserver leur possessions sur Saint-Domingue. L'année 1796 voit aussi la fondation de Santa Catalina de Guantànamo, qui deviendra Guantànamo.
L'anéantissement de l’armée corsaire guadeloupéenne par la Royal Navy en 1797 et la politique du général Desfourneaux, nommé par le Directoire pour remplacer Victor Hugues fit qu'à partir de 1798, les corsaires français se livrèrent de plus en plus souvent à la piraterie et échappèrent au contrôle des autorités des îles françaises5. Des mulâtres de Saint-Domingue se joignirent à eux, après la défaite de leur chef André Rigaud face à Toussaint Louverture dans la Guerre du sud, devenant les "Brigands de Rigaud ".
Plus tard, dans les années 1800, les corsaires français, devenus pirates, vont rebaptiser leurs navires du nom d'épopées napoléoniennes, Campo Formio, Retraite d'Égypte6.
Nouvelle vague d'exil français à Cuba en 1798[modifier | modifier le code]
La soulèvement des esclaves dans la plaine du Nord de Saint-Domingue, débutée en 1791, conduisit de fait à l'abolition de l'esclavage sur la colonie en 1793 par les commissaires français Poulverel et Sonthonax. Les grands planteurs français réagissent par le Traité de Whitehall signé avec les Anglais. Mais l'armée anglaise, épaulée par la milice de Saint-Domingue échoue à mater la révolte et doit négocier avec Toussaint Louverture l'armistice du 30 mars 1798.
Chassés de Saint-Domingue, les planteurs français signent un autre traité, cette fois avec les Espagnols, en promettant de s'abstenir de toute piraterie7. En échange, ils peuvent s'installer à Cuba. Les pirates français à Cuba violent ce traité car ils s'installent dans l'est de Cuba, peu peuplé, difficile à contrôler, et juste en face de Saint-Domingue, d'où ils peuvent intercepter les navires anglais et américains commerçant avec la révolution noire. Leur action s'ajoute à celle des corsaires guadeloupéens.
Les français sont installés à Baracoa, dans la baie de Guantánamo et à Santiago de Cuba8, où le gouverneur Juan Bautista Vaillant Berthier, arrivé en 1799, veut développer la partie orientale, car les terres y sont trois fois moins chères. Les français tentent de s'hispaniciser. Le recensement de 1800 dénombre 250 noms français de marins avec un prénom espagnol, dont un "Pedro Lafitta", alias Pierre Lafitte, frère du pirate Jean Laffite9. Parmi eux, les armateurs Pedro Ollanger, Pedro Raymond, Pedro Bossard et Esteban Redonnet. Les espagnols craignent qu'il n'importent le climat de violence de Saint-Domingue. En 1798, Vicente Perroussel, consul de France dans la ville est menacé de lynchage en raison de l'arrivée de noirs libres de Saint Domingue. Les capitaux accumulés dans la guerre de course en quelques années seront réinvestis par les immigrés français dans la révolution du café à Cuba. Beaucoup de Français de la région du Sud-Ouest de la France, en particulier de Bordeaux, se sont aussi réfugiés dans le secteur baptisé "Vuelta Abajo, mais cette fois dans la partie occidentale de Cuba, selon l'historien Bernard Lavallé10.
Le traité commercial de 1799 entre le général Toussaint Louverture, Londres et Philadelphie
Après avoir négocié avec les anglais l'armistice du 30 mars 1798, le général Toussaint Louverture, en tant que chef de la révolution noire de Saint Domingue, signe la convention commerciale tripartite de 1799 avec les États-Unis et l'Angleterre. Les Américains souhaitent commercer avec Saint-Domingue, qui pesait en 1789 pour la moitié de la production mondiale de coton et de café, et un tiers de celle de sucre. En avril 1799, ils nomment consul général à Saint-Domingue le docteur Edward Stevens, qui noue des relations d'amitié avec le général Toussaint Louverture11, fait approvisionner l'île par des navires américains12. Le 23 mai 1799, il rend public les directives controversées données par le Directoire français au général Toussaint Louverture, qui avait excédé ses fonctions13.
Les corsaires français arment à partir de la Guadeloupe mais aussi de Cuba14, d'où ils attaquent avec succès les navires de commerce des Anglais et les Américains dont ceux qui approvisionnent Saint-Domingue au titre de la convention commerciale tripartite de 1799. Ces actions profitent indirectement de la convention commerciale tripartite de 1799, qui relance les échanges entre Saint-Domingue, l'Angleterre et les États-Unis. Le trafic commercial qui en découle est détourné vers la Guadeloupe et Cuba par les corsaires français15 comme le montre en particulier l'accroissement du tonnage du port de Santiago de Cuba entre 1797 et 1801:
Année 1797 1798 1799 1800 1801
Tonnage 32,5 46,1 76,5 84 116,6

Sous Napoléon Bonaparte
La quasi-guerre franco-américaine entre 1798 et 1801
Dans les deux années précédent le coup d'État du 18 brumaire (9 novembre 1799) de Napoléon Bonaparte, les pirates français bloquent les accès à Saint-Domingue en harcelant les navires américains, contribuant à la quasi-guerre franco-américaine, concrétisée 7 juillet 1798 par la décision du Congrès américain d'abroger tous les traités bilatéraux avec la France.
Le président John Adams refusa d'engager son pays dans une guerre formelle, préférant un embargo sur les produits français. Il chargea Edward Stevens de soutenir la révolution haïtienne contre les Français et ordonna à la marine américaine de capturer les corsaires et pirates français. L'United States Navy aligna environ 30 vaisseaux, aidés d'un nombre important de bateaux privés, qu'il fallut armer.
La montée du parti français à Washington, contribue au triomphe du républicain Thomas Jefferson à l'élection présidentielle américaine de 1800. Le traité de Mortefontaine entre la France et les États-Unis, soumis au Sénat le 16 décembre 1800, met fin à la quasi-guerre. Il prévoit des réparations pour les dommages causés aux navires américains: les Français font un effort, sur fond de vente de la Louisiane, qui les voit rétrocéder 20 millions de francs aux Américains.
En juin 1803, avec la reprise de la guerre maritime, les registres de la Jamaïque témoignent de l'arrivée de nombreux prisonniers faits en mer : soldats et marins sont internés sur des pontons mais officiers et civils circulent librement sur parole16.
En 1803, l'échec de l'expédition de Saint-Domingue nourrit la piraterie à Cuba et à Barataria
L'historien Gabriel Debien fut le premier à signaler l'activité corsaire et pirate mise en œuvre par les réfugiés français de Saint-Domingue à Cuba, qui leur permet aussi d'alimenter en esclaves, par le biais de la contrebande, la Louisiane, via la "république de Barataria" de Jean Lafitte.
L'expédition de Saint-Domingue a réuni 25 000 soldats de Bonaparte, dont une grande partie périrent de la fièvre jaune ou désertèrent, créant des groupes armés indépendants. Parmi les militaires corrompus, Jean Joseph Amable Humbert ancien général de la Révolution française, devint pirate aux côtés de Jean Lafitte, qu'il épaulera plus tard en 1812 à la bataille de La Nouvelle-Orléans. Un autre participant à l'expédition de Saint-Domingue, le baron Henri de Ste Gême finance Jean Lafitte et le capitaine Jean Boze17, installé à Cuba puis à La Nouvelle-Orléans. Leur longue correspondance témoigne de la vie haute en couleur en Louisiane18.
Les historiens estiment que les forces rassemblées par les pirates rassemblés autour de Jean Laffite dans l'archipel de Barataria représentaient un total de 3 000 à 5 000 combattants clandestins19. Pierre Lafitte, le frère de Jean, s'installe à La Nouvelle-Orléans, pour gérer les affaires de la "République de Barataria". Le territoire est difficile d’accès, propice pour dissimuler sa flotte et les esclaves volés aux Espagnols.
Les pirates sont populaires en Louisiane car ils procurent des produits parfois difficiles à trouver. Jean Lafitte est l’amant de Catherine Villard. Son frère, celui de Marie Villard, la sœur de Catherine. Ils animent la vie mondaine de La Nouvelle-Orléans. Plus tard, en 1812, Jean Laffite décidera d'organiser des ventes aux enchères à Temple, à mi-chemin entre Grande Terre et La Nouvelle-Orléans. Les pirates opèrent aussi à Grand Isle et Cheniere Caminada.
La contre-attaque de la République d'Haïti[modifier | modifier le code]
Après 1804, le gouvernement d’Haïti, mené par Henri Christophe, Alexandre Pétion et Jean Boyer prit des mesures énergiques contre la traite négrière20, qu'avait cependant maintenu le général de division Toussaint Louverture dans sa constitution autonomiste de 1803. Ils font pourchasser les navires négriers portugais, espagnols ou cubains, pour libérer les captifs africains21. Ils combattirent en particulier les pirates espagnols établis à Santiago de Cuba, Baracoa ou Trinidad, qui étaient bien souvent d'origine française et capturaient de jeunes noirs pour les vendre comme esclaves aux planteurs cubains. Parmi ces négriers installés à Cuba, Jean-Baptiste Faget témoigne avoir été attaqué par des pirates haïtiens.
La course haïtienne, partant de Port-au-Prince, des Cayes ou de Jacmel, constitua un instrument de guerre contre la traite négrière, qui est officiellement interdite par l'Angleterre en 1808. Dès 1796, le gouverneur espagnol de la Louisiane, Francisco Luis Hector de Carondelet, avait interdit toute importation d'esclaves, tandis qu'en 1786 son prédécesseur Esteban Rodríguez Miró, avait banni l'importation d'esclaves nés dans la Caraïbe, la limitant à ceux qui venaient d'Afrique.
En combattant la piraterie, les navires haïtiens rendent la traite plus dangereuse et plus difficile. Résultat la traite des noirs est abolie par le Royaume-Uni en 1807, les États-Unis en 1808, et plus tard par la France en 1817. Mais ces trois pays n'aboliront respectivement l'esclavage qu'en 1833, 1860 et 184822.
La contrainte de 1809 : fuir Cuba et la partie orientale de Santo Domingo[modifier | modifier le code]
Pour faire le blocus des côtes atlantique en contrôlant le Portugal, Napoléon doit traverser l'Espagne. Mais le 2 mai 1808, les Madrilènes se révoltent contre la cavalerie de Murat. La répression fait 500 morts. L'insurrection gagne toute l'Espagne. Son frère Joseph Bonaparte arrive à Madrid le 20 juillet. Couronné roi d'Espagne, il doit s'enfuir, puis revient à Madrid le 4 décembre 1808, ce qui déclenche de violentes réactions anti-françaises dans l'empire espagnol. Des émeutes éclatent à La Havane en mars 180923. Le 11 avril, les autorités espagnoles décident l'expulsion des Français, en particulier des pirates français de Cuba24 installés dans la partie orientale de l'île.
Entre le 10 mai 1809 et le 17 août 1809, pas moins de 55 bateaux, appartenant pour la plupart à des pirates français, quittent Cuba pour La Nouvelle-Orléans, chargés de réfugiés français de Saint-Domingue à Cuba, qui deviennent des réfugiés français de Saint-Domingue en Amérique. Sur ces 55 bateaux, 48 viennent de Santiago de Cuba, six de Baracoa et un de La Havane25.
Avec l'aide des Anglais, qui ont terrassé dès 1806 les Français lors de la bataille de Santo Domingo, les Espagnols se révoltent aussi dans la partie est de Santo-Domingo, aujourd'hui République dominicaine, contrôlée par les généraux François-Marie Perichou de Kerversau et Jean-Louis Ferrand. Le 17 septembre 1808, Juan Sánchez Ramírez obtient l'aide du gouverneur de Porto Rico Toribio Montes pour attaquer les Français, qu'il terrasse le 7 novembre 1808 à la Bataille de Palo Hincado.
Attaquée par les Anglais qui ont aboli la traite négrière en 1807, la Martinique capitule en 1809, et la Guadeloupe en 1810, ce qui amène d'autres exils de colons français vers la Louisiane, venant grossir les rangs des pirates et participer à la création de la République de Floride occidentale puis à la guerre de 1812.

Sous la Restauration
L'enclave texane de Galveston[modifier | modifier le code]
Les frères Jean Lafitte et Pierre Lafitte ont ensuite fondé la colonie de Galveston, sur l'île de Galveston, qui deviendra plus tard le premier port cotonnier du Texas. Ils en chassent le corsaire français Louis-Michel Aury, au service d'un groupe d'associés de La Nouvelle-Orléans qui projetaient une attaque des rebelles mexicains contre les ports royalistes mexicains, dans le cadre de la révolte mexicaine contre l'empire espagnol. Louis-Michel Aury utilise Galveston pour harceler les espagnols.
Jean Lafitte et Pierre Lafitte y furent espions au service de l'Espagne, contre les révolutionnaires mexicains utilisant cette base arrière, entre novembre 1815 et juin 1816, selon les archives espagnoles à Séville. En 1819, le site est peuplée par 1 000 à 2 000 personnes et Jean Lafitte est nommé gouverneur de l'île par James Long, gouverneur sauvage d'un Texas qui n'a aucune existence juridique. L'île compte 1 520 esclaves dès 1850 et exporte en 1860 les deux tiers du coton texan.
En 1820-1821, ils doivent quitter cette nouvelle base opérationnelle, livrant aux flammes leur « maison rouge » sur Galveston, qui reste après leur départ la première ville du Texas.
Les principaux pirates, contrebandiers, et leurs complices[modifier | modifier le code]
Dominique
Jean Lafitte
Pierre Lafitte
Vincent Gambie
Renato Beluche pirate (ancien de Saint-Domingue)
Jacques Plaideau
Louis-Michel Aury (réfugiés français de Saint-Domingue en Amérique)
Luis Brion
Paul Lanusse (Traite négrière)
Jacques Reynard (vétéran des guerres de la révolution)
Jean Boze (réfugiés français de Saint-Domingue en Amérique a participé à l'expédition de Saint-Domingue)
Henri de Ste Gême (réfugiés français de Saint-Domingue en Amérique a participé à l'expédition de Saint-Domingue)
Jean Joseph Amable Humbert (pirate et ancien général de la Révolution française, ayant participé à l'expédition de Saint-Domingue.
Elias Beauregard (réfugiés français de Saint-Domingue en Amérique)
Arsène Lacarrière-Latour(1775-1837), espion espagnol
Jean Lacoste (capitaine)
Enrique de Peytavin (planteur)
Lorenzo Mousnier
Capitaine Jean-François Landolphe: ancien négrier, a pris 63 navires aux anglo-saxons
Joseph Savary (lieutenant colonel)34
Joseph Sauvinet (armateur de La Nouvelle-Orléans)
Jean Blanque
Felix Formento (1790-1888) (physicien installé aux Champ d'asile31
Guy R. Champlin (capitaine pirate, présent à Galveston en 1817-1818)31
Arsene Lebleu
Michel Lebrequet
Jacques Lacroix
Sébastien Boguier (Venezuela)
Étienne de Boré (planteur d'indigo puis de sucre)
Jean Jannet
Eugène Fortier (Bayou Lafourche)
Jean Leloupe
Ange Michel Brouard
Louis Bourdier (planteur)
Peter Paillet (complice de Lafitte)
Barthélémy Lafon (pirate) et (réfugiés français de Saint-Domingue en Amérique)36
Pierre Labatut ex-officier, Carthagène en mai 1813
Pedro Ollanger (armateur à Cuba)
Pedro Raymond (armateur à Cuba)
Pedro Bossard (armateur à Cuba)
Esteban Redonnet (armateur à Cuba)

Bibliographie
Nicolas Terrien, "Des patriotes sans patrie", Histoire des corsaires insurgés de l'Amérique espagnole (1810-1825), Rennes: Les Perséides, 2015, 384 pp.
David Head, Privateers of the Americas: Spanish American Privateering from the United States in the Eearly Republic, Athens: University of Georgia Press, 2015, 224 pp.
Edgardo Pérez Morales, El gran diablo hecho barco, Corsarios, esclavos y revolución en Cartagena y el Gran Caribe, 1791-1817, Bucaramanga: Universidad Industrial de Santander, 2012, 292 pp.
Feliciano Gámez Duarte, El desafío insurgente, análisis del corso hispanoamericano desde una perspectiva peninsular, 1812-1828, University of Cádiz, Ph.D. Dissertation, 2004, 632 pp. [archive]
Matthew McCarthy, 'A Sure Defence against the Foe’? Maritime Predation & British Commercial Policy during the Spanish American Wars of Independence, 1810-1830, University of Hull, Ph.D. Dissertation, 2011, 277 pp. [archive]
Encyclopedia of the War of 1812, par David Stephen Heidler et Jeanne T. Heidler [archive]
Le monde caraïbe: Défis et dynamique. Tome II. Géopolitique, intégration, par Christian Lerat [archive] (pages 98 à 114)
Références[modifier | modifier le code]
↑ Thomas Jefferson : étude historique sur la démocratie américaine Par Cornélis Henri de Witt, page 223
↑ Le citoyen Genet : la Révolution française à l'assaut de l'Amérique, par Claude Moisy
http://books.google.fr/books?id=k2GvtGespmoC&pg=PA109&dq=%22Lorenzo+Mousnier%22&hl=fr&ei=2b5ETJHjNaiN4gbM8qSXDg&sa=X&oi=book_result&ct=result&resnum=1&ved=0CC0Q6AEwAA#v=onepage&q=%22Lorenzo%20Mousnier%22&f=false [archive]
http://books.google.fr/books?id=k2GvtGespmoC&pg=PA97&lpg=PA97&dq=armateur+saint-domingue+cuba&source=bl&ots=c6gjwOShFT&sig=sHN9UM72eE8uTKs50ycIqy0no7Q&hl=fr&ei=HzvKTZy9JtSDhQeYtuWoAg&sa=X&oi=book_result&ct=result&resnum=9&ved=0CF0Q6AEwCA#v=onepage&q=armateur%20saint-domingue%20cuba&f=false [archive]
http://www.scribd.com/doc/8650472/Entre-Resistance-piraterie-et-republicanisme [archive]
http://books.google.fr/books?id=2tH77GJt6SEC&pg=PA104&lpg=PA104&dq=%22corsaires+guadeloup%C3%A9ens%22+r%C3%A9volution&source=bl&ots=mD7Ro1oWfM&sig=jnjI_DWlXnuo8TpW3gfgWJJ_UCI&hl=fr&ei=J1LITfXKJdDxsgbfn9maAw&sa=X&oi=book_result&ct=result&resnum=4&ved=0CC0Q6AEwAw#v=onepage&q=%22corsaires%20guadeloup%C3%A9ens%22%20r%C3%A9volution&f=false [archive]
http://books.google.fr/books?nid=YqpwmQCEy2kC&printsec=frontcover&dq=pierre+laffite+cuba&hl=fr&ei=sn9ETI_jCOWX4gbGmYCCDg&sa=X&oi=book_result&ct=result&resnum=5&ved=0CEMQ6AEwBA#v=onepage&q=pierre%20laffite%20cuba&f=false [archive]
http://books.google.fr/books?id=k2GvtGespmoC&pg=PA97&lpg=PA97&dq=%22de+saint-domingue+%C3%A0+Cuba%22&source=bl&ots=c5jkBHJpEK&sig=yhgrp4MWBQS0QdXpodzvEfORmes&hl=fr&ei=dM-zSaxWiLKMB-6P2fEF&sa=X&oi=book_result&resnum=4&ct=result#PPA98,M1 [archive]
http://books.google.fr/books?id=k2GvtGespmoC&pg=PA98&lpg=PA98&dq=%22Juan+Bautista+Vaillant+Berthier%22&source=bl&ots=c5jkBHKkHT&sig=PiiXBguVsYlpzdVrz2Kl2mi5Rpk&hl=fr&ei=j9GzScXRHeDDjAe3nazOBQ&sa=X&oi=book_result&resnum=1&ct=result#PPA101,M1 [archive]
http://sfhom.free.fr/Annuaire.php?pageNum_LesMembres=5&totalRows_LesMembres=115&membre_courant=84 [archive]
↑ Haïti : économie politique de la corruption. L'État marron, 1870-1915 par Leslie Jean-Robert Péan, page 87
http://books.google.fr/books?id=nPp6AjEDDCgC&pg=PA88&lpg=PA88&dq=Edward+Stevens++r%C3%A9volution+ha%C3%AFtienne&source=bl&ots=TRKMUEp9Z3&sig=i7w-tLbdFjaXHGGUSxev1sDb_Es&hl=fr&ei=uAZLTJ7QLI_74AbelZiaDA&sa=X&oi=book_result&ct=result&resnum=3&ved=0CCQQ6AEwAg#v=onepage&q=Edward%20Stevens%20%20r%C3%A9volution%20ha%C3%AFtienne&f=false [archive]
http://www.webster.edu/~corbetre/haiti/history/revolution/revolution4.htm [archive]
↑ Michel Roudigneaux La guerre de course en Guadeloupe xviiie et xixe siècles ou Alger sous les tropiques. L'Harmattan. 2006. ISBN 2-296-01531-X.
↑ Le monde caraïbe: Défis et dynamique. Tome II. Géopolitique, intégration, par Christian Lerat, page 112 (contribution de Maria-Elena Orozco-Melgar, professeur à l'université de Bordeaux))
↑ "La diaspora des colons de Saint-Domingue et le monde créole : le cas de la Jamaïque", par Jacques de Cauna, dans la Revue française d'histoire d'outre-mer 1994, Volume 81, numéro 304 [1] [archive]
↑ De Jean Boze à Henri de Ste Gême, La Nouvelle-Orléans, 1818-1839, par Nathalie Dessens, université Toulouse-Le Mirail
http://www.ehess.fr/cena/colloques/2006/lettres/dessens-texte.pdf [archive]
http://books.google.fr/books?id=_c09EJgek50C&pg=PA34&dq=%22dominique+Youx%22&hl=fr&ei=cLJETIy1DcmN4gbl2uGRDg&sa=X&oi=book_result&ct=result&resnum=3&ved=0CDgQ6AEwAg#v=onepage&q=%22dominique%20Youx%22&f=false [archive]
http://www.piankhy.com/modules/news/article.php?storyid=48 [archive]
↑ Sur la capture et parfois le meurtre de marins espagnols, voir « El Gobernador Marqués de Someruelos da cuenta de haber apresado los negros de Santo Domingo un bergantin español y del cruel procedimiento que resulta tubieron con la tripulación (16 de Octubre de 1804) », (AHN, Estado, leg. 6366, exp. 95; « El Gobernador Marqués de Someruelos ynstruye del apresamiento de un buque español por los negros rebeldes de Santo Domingo, 1804 » (AHN, Estado, leg. 6366, exp. 100); « Joseph Murillo a Someruelos (7 de Octubre de 1804) » (AGI, Cuba, leg. 1648); et témoignage de Juan Bautista Faget (16 avril 1804) (AGI Cuba, leg. 1648). Sur la capture de vaisseaux d’esclaves par les forces haïtiennes, voir « Oficio de la Junta Consular al Capitán General (26 de Junio de 1811) » (Biblioteca Nacional José Martí [BNJM], CM Morales, t. 79, no 26).
↑ Christian Delacampagne, Histoire de l'esclavage. De l'Antiquité à nos jours, Paris, Le livre de poche, 2002 (ISBN 2253905933), p. 208
http://books.google.fr/books?id=opK0j16bb4EC&pg=PA80&lpg=PA80&dq=Francis+O'Duhigg&source=bl&ots=5CppqTIASj&sig=qLZ1_tw3ytDA1bx2mgi4TIIlGHQ&hl=fr&ei=dZS1SYusB4S2jAeJzpToBQ&sa=X&oi=book_result&resnum=3&ct=result#PPA91,M1 [archive]
↑ The Pirates Laffite: The Treacherous World of the Corsairs of the Gulf, par William C. Davis, page 45
↑ The Pirates Laffite: The Treacherous World of the Corsairs of the Gulf, par William C. Davis, page 45
↑ a, b et c http://books.google.fr/books?id=XLRB97l63lcC&pg=PA7&dq=%22dominique+Youx%22&hl=fr&ei=cLJETIy1DcmN4gbl2uGRDg&sa=X&oi=book_result&ct=result&resnum=2&ved=0CDMQ6AEwAQ#v=onepage&q=%22dominique%20Youx%22&f=false [archive]
↑ a et b http://books.google.fr/books?id=uSV_VbDkyBMC&pg=PA269&dq=Joseph+Sauvinet&hl=fr&ei=4MtETM_LH42L4Aat3uTEBw&sa=X&oi=book_result&ct=result&resnum=10&ved=0CFwQ6AEwCQ#v=onepage&q=Joseph%20Sauvinet&f=false [archive]
↑ a et b The Pirates Laffite: The Treacherous World of the Corsairs of the Gulf, par William C. Davis, page 32
↑ The Pirates Laffite: The Treacherous World of the Corsairs of the Gulf, par William C. Davis, page 41
↑ a, b et c The Pirates Laffite: The Treacherous World of the Corsairs of the Gulf, par William C. Davis, page 33
↑ a, b, c, d, e, f, g et h http://www.thelaffitesociety.com/JLaffite15a.html [archive]
↑ The Pirates Laffite: The Treacherous World of the Corsairs of the Gulf, par William C. Davis, page 34
↑ The Pirates Laffite: The Treacherous World of the Corsairs of the Gulf, par William C. Davis, page 40
↑ The Pirates Laffite: The Treacherous World of the Corsairs of the Gulf, par William C. Davis, page 48
↑ The Pirates Laffite: The Treacherous World of the Corsairs of the Gulf, par William C. Davis, page 56
↑ The Pirates Laffite: The Treacherous World of the Corsairs of the Gulf, par William C. Davis, page 59
↑ The Pirates Laffite: The Treacherous World of the Corsairs of the Gulf, par William C. Davis, page 67

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MessageSujet: Re: Les gouvernements Francais, Magellan et Y'becca   Les gouvernements Francais, Magellan et Y'becca EmptyLun 12 Déc à 2:54

@ fn_officiel, f_phillipot, mlp_officiel, mation_m_

L'espérance est un socle sur lequel a jaillit la démocratie. Voilà qui sépare Nièce et tante par TAY.
Amen. Âmes.

On sera jamais amis car je suis un païen nourrissant les mouettes et les corbeaux tel Paul et Nina.

J'aime La Sainte Vierge car elle fut courageuse dans l'existence. Les Femmes doivent s'exprimer fièrement

Ce que je regrette, c'est qu'on ait peur de vous. L'avortement, Mademoiselle Le Pen. Oui, luttez contre le viol.

Les hommes qui béatifient les femmes en les exposant comme des carcasses sont criminels de leurs tourments.

Les femmes sont divisés sur le regard de celle ci en Société. Elles sont à l'images des Lionnes : Les Lionceaux.

Pour les positions de l'avortement, il y a un manquement de tendresse envers celle qui demandent.

@apolline de malherbewakeup
Apolline, clin d'oeil, je ne suis pas journaliste politique mais je serai une sorte de procureur si je l'étais.

@bfmpolitique @bfmtv
je suis de l'europe spatiale "E.S.A" qui cohabite dans l'espace au contraire de la C.E.E curie qui porte Macron

Twitter

Moi au sujet de l'Europe... je suis de l’Europe spatiale "E.S.A" qui cohabite dans l'espace au contraire de la C.E.E curie qui porte Macron.

Le fait de donner à manger aux mouettes ainsi qu'aux autres espèces me permet de rester accrocher aux termes de partage et fraternité. Amen.

Les procureurs doivent retrouver les criminels et permettre aux peuples d’assister aux témoignages des victimes de la cruauté des attentats.

Sur Facebook...

Peuple: Mouettes de la Garonne ainsi que tous les oiseaux avec qui je partage le pain, soutiennent les pompiers et policiers Toulousains.

La Justice de Lot abattra sur ceux qui créent des attentats sur autrui"s" et par conséquent sur le peuple.

Ecrit de
TAY
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MessageSujet: Re: Les gouvernements Francais, Magellan et Y'becca   Les gouvernements Francais, Magellan et Y'becca EmptyLun 12 Déc à 4:00

Selon Lot, Neveu d'Abraham, En témoignage des horreurs à Istanbul, d'Égypte et Ailleurs : Il est des combats qui se gagne par la patience, la tolérance et la volonté. L'attentat ne dessert que l'âme et la conscience d'une lutte quelle qu'elle soit. Les crimes ainsi élaboré démontre d'une malfaisance que même le démon ne pratique pas. Ainsi quelque soit le laïc, le fou, le religieux ou le ainsi, il est dénommé comme une forme intégrisme sur la forme de vie. C'est à la justice et ses textes en vigueur de déterminer la sentence à appliquer à ces individus de la souffrance sans pardon des innocents.

Ecrit de
TAY la chouette effraie.

Oerees
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MessageSujet: Re: Les gouvernements Francais, Magellan et Y'becca   Les gouvernements Francais, Magellan et Y'becca EmptyJeu 12 Jan à 8:56

Le référendum est une institution et en cela, il n'est jamais dit que le principe du Referendum est une forme d'émancipation envers les autorités publiques... Le Referendum est la manière la plus noble auquel une loi peut être établi: Pourtant, un jour, Louis Napoléon utilisa cette manière du suffrage universel direct qui marqua les esprits... Le Peuple ne peut pourtant nier le rôle évident que représente le referendum dans le principe civique et morale de "l'individue et de l'individu" dans le terme de Démocratie... Ce principe pourtant, peut être juste consultatif mais il permet ainsi à l'individu de se mettre en situation auquel se retrouve exposer les élu"e"s... Certains voient dans le referendum une forme de combat de coq ou de boxe, en tout cas, à l'image d'un vote électif, il est un aspect fondamentale d'une cohésion morale auquel la démocratie doit faire face: Il surpasse l'aspect de l'état et sans le remettre en cause, il est capable de pointer certaines choses de la vie quotidienne. Dans certains pays, il y a l'aspect de pétition qui peuvent être soumise au suffrage universel indirect... Le suffrage universel direct auquel appartient le Référendum est un aspect essentiel du caractère humain auquel un peuple veut s'adresse envers ses nouvelles générations... Le fait de débattre est un outil essentiel en terme de communication et pourtant dans certains cas, la question du Référendum relève de l'intérêt de l'état régalien, c'est en cela que certains hésitent sur son aspect même mais il montre l'aspect même de l'interlocuteur qui propose le sujet de la question. Le référendum est une loi d'utopie qui pourtant montre l'aspect réel de l'individu dans la société: En cela, j'accorde une importance réelle dans la constitution de Y'becca et des Républiques d'Israël et de la Palestine ainsi que dans toutes les Nations Morales et Physiques pour une reconnaissance morale et intellectuel dans le référendum: Son vote est lié malheureusement à des disputes entre des élu"e"s du Suffrage universel indirect... Toutefois, tout comme le vote direct du parlement et tout vote indirect du parlement, le référendum ne peut être organiser pour un Conflits d’intérêts et en cela, c'est au pouvoir judiciaire et à ses membres qu'il soit public et privé tout en maintenant et mettant l'aspect du service public militaire et civil dans la lutte contre les Conflits d’intérêts qui pourrait s'ingérer dans la teneur du débat et du vote: L'aspect du Général, de la société et l'individu doit être soulever en soulevant toutes les égalités et inégalités que peuvent engendrer le référendum... Certains peuvent s'amuser à créer de lois et des référendum pour des Conflits d’intérêts, pour créer des désordres et par gloire personnel... Cela n'est pas dans l'intérêt de l'harmonie sereine auquel nous devons être en ces situations profondes de changement de climat: "De jour en jour; le petit Nuage de Magellan et La Galaxie d'Andromède évolue depuis µ Êta Careme" s'écrie Nagaliew la mouette aux yeux verts..."
L'aspect du référendum est un droit de cité et de navire dans les prochains siècles à venir; et le juge suprême de la république de l'olivier s'y engage et dans des situations d'urgence, notre professionnalisme institué par la philosophie et la prudence du référendum nous permettra d'avoir l'anticipation sur le danger qu'il soit matérielle, morale et naturelle, ils peuvent être distinct ou englobé, Le référendum et ses principes il est un aspect fondamentale d'une cohésion morale auquel la démocratie, une armée ou un navire doit faire face... Le Laïc et l'Eternel devant la démocratie et la Nature. Conflits d’intérêts... Le clans des mouettes et la cinquième république devant l'adversité des peurs et des intérêts... Nous sommes prêt à faire face à l'avenir... La République de l'Olivier...

Ecrit de
TAY
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