Le clans des mouettes
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 Juan de la Cierva y Codorníu, James George Weir et Y'becca

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yanis la chouette




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MessageSujet: Juan de la Cierva y Codorníu, James George Weir et Y'becca   Juan de la Cierva y Codorníu, James George Weir et Y'becca EmptyVen 9 Déc à 3:04

Juan de la Cierva y Codorníu, né à Murcie en Espagne le 21 septembre 1895 et mort le 9 décembre 1936 à Croydon, Angleterre, est un inventeur espagnol. Son père était le maire de Murcie Juan de la Cierva y Peñafiel, plus tard ministre de la Guerre (1917-1918, 1921-1922).

En 1923 il invente l'autogire, ou « gyroplane », appareil similaire à l'hélicoptère mais dont la voilure tournante, qui assure la sustentation, est libre. L'autogire doit tout de même disposer d'un moteur pour son hélice de propulsion.

En 1936, la société de construction aéronautique Cierva Autogiro Company est créée pour développer ses études, avec le soutien financier de James George Weir (en), un industriel écossais et aviateur.

Il est mort avec Arvid Lindman et 13 autres personnes dans le crash au décollage (en) d'un Douglas DC-2 de la KLM, ce vol commercial avait pour destination Amsterdam.

et

Salomon Arvid Achates Lindman est un homme politique, officier naval et industriel suédois né le 19 septembre 1862 à Österbybruk, dans l'actuelle commune d'Östhammar, et mort le 9 décembre 1936 à Purley.

Membre de la Ligue électorale générale, il est Ministre d'État à deux reprises, de 1906 à 1911 et de 1928 à 1930.

Il est mort avec Juan de la Cierva y Codorníu et 13 autres personnes après le décollage (en) d'un Douglas DC-2 de la KLM de Croydon, ce vol commercial avait pour destination Amsterdam.
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yanis la chouette




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MessageSujet: Re: Juan de la Cierva y Codorníu, James George Weir et Y'becca   Juan de la Cierva y Codorníu, James George Weir et Y'becca EmptyVen 9 Déc à 3:07

La République batave (en néerlandais : Bataafse Republiek ou Bataafsch Gemeenebest), également appelée Batavie, est une République ayant existé entre 1795 et 1806, qui englobait la majeure partie du territoire actuel des Pays-Bas. La Batavie est la première et la plus durable des Républiques sœurs de la France. En théorie indépendante, elle était en réalité sous tutelle française.

Le terme « Batave » fait référence aux Bataves, peuple germain qui s'est révolté contre la tutelle de Rome au Ier siècle. Les Néerlandais éclairés voient dans les Bataves leurs ancêtres et progressivement, Batave tend à désigner les Néerlandais « patriotes » puis devient le gentilé officiel des habitants de la République batave.

Sommaire

1 Fondation
2 Centralisme ou fédéralisme ?
3 Succession
4 Notes et références
5 Bibliographie
6 Voir aussi
7 Lien externe

Fondation
Article détaillé : Révolution batave.
Drapeau et fanion de la République batave

La République batave est l'aboutissement d'un mouvement révolutionnaire entamé dès les années 1780, marqué par les Lumières et la révolution américaine. Les élites urbaines, réunies sous l'appellation de « patriotes », et les régents s'opposent au stathouder, Guillaume V d'Orange-Nassau, qu'ils soupçonnent de vouloir transformer la république des Provinces-Unies en monarchie. Cette révolution batave se déroule en deux temps : une première révolte écrasée en 1787, puis la fuite du stathouder à la suite de l'invasion du pays par les troupes françaises en janvier 1795.

Le 1er février 1793, la Convention française déclare la guerre à l'Angleterre et aux Provinces-Unies. À la fin de décembre 1794 et au début du mois de janvier, les troupes françaises commandées par le général Pichegru traversent les bras gelés de la Meuse et du Rhin. Les comités révolutionnaires se soulèvent dans les grandes villes. Guillaume V est poussé à l'exil en Angleterre le 18 janvier et le même jour, le comité d'Amsterdam prend le contrôle de la municipalité de la ville « au nom de la République batave1. »

Arrivés en libérateurs, les Français se comportent bientôt en occupants et le comité de salut public refuse de reconnaître la nouvelle république tant qu'elle n'aura pas signé avec lui un traité de paix. Les négociations sont tendues entre les envoyés bataves Jacob Blauw et Caspard Meijer et la commission française composée de Merlin de Douai, Reubell et Sieyès, si bien que Reubell et Sieyès sont envoyés à La Haye à la fin du mois d'avril pour négocier directement avec les États généraux bataves. Ces négociations aboutissent au traité de La Haye, signé le 16 mai. Il prévoit une alliance offensive et défensive, la cession de la Flandre zélandaise, Maastricht et Venlo, ainsi que l'entretien d'une armée française de 25 000 hommes et une contribution de 100 millions de florins, somme énorme destinée à renflouer les caisses de la République française2.
Centralisme ou fédéralisme ?

Au sein des États généraux et dans la classe politique batave, les patriotes se divisent sur la question du type de régime à adopter, entre « unitaristes » — partisans d'un État centralisé — et les « fédéralistes » — partisans de légères modifications de l'Union d'Utrecht, considérée comme la constitution des Provinces-Unies. Le parti unitaire, parfois appelé les jacobins, est emmené par des hommes comme Pieter Paulus, Pieter Vreede, Alexander Gogel ou le général Daendels. Ces divisions se traduisent dans la géographie, les provinces de Hollande et Zélande étant pour une constitution unitaire, les provinces de Frise ou de Gueldre étant favorables à une constitution fédérale.

Si ces différences sont dictées par l'idéologie, inspirée par la Révolution française d'une part et par la tradition néerlandaise de l'autre, elles peuvent toutefois être dictées par pragmatisme. L'unité de la république suppose en particulier l'amalgame des dettes des provinces. Or la dette de la Hollande atteint 454 millions de florins, soit 70 % de la dette de l'ensemble des provinces. À titre de comparaison, la dette du Brabant (qui jusque-là n'était pas une province à part entière, de même que Drenthe) est de moins de 2 millions. Les provinces ont donc des intérêts tout à fait différents qui trouvent leur écho dans la question du caractère unitaire ou fédéraliste de la république3.

La première chose est de remplacer les États généraux pour établir une constitution. Là encore, les représentants s'affrontent sur le type d'assemblée à convoquer. Faut-il convoquer de nouveaux États généraux, représentant les provinces, ou faut-il convoquer une Assemblée nationale, représentant l'ensemble des citoyens bataves ? Les discussions traînent en longueur aux États généraux jusqu'au mois de janvier 1796. À cette date, quelques habitants de Leeuwarden, la capitale de la Frise, arrêtent des représentants de la Frise aux États généraux et les remplacent par des représentants unitaristes. Cela suffit à faire basculer la majorité vers la décision de convoquer une Assemblée nationale pour le 1er mars 1796.

La première Assemblée nationale batave est élue dans le courant du mois de février 1796. Composée de 127 députés, elle est à majorité fédéraliste. Ce sont, pour la plupart, des hommes neufs : seuls 34 ont eu une expérience politique avant la révolution batave4. Une commission constitutionnelle est instaurée, là aussi à majorité fédéraliste. Le débat dure jusqu'au mois de décembre 1796. Le 2 décembre, l'assemblée adopte un décret proclamant la « République une et indivisible ». Le projet porte sur une république unitaire mais accordant une large autonomie aux provinces. Le gouvernement est un directoire de sept membres et le corps législatif est bicaméral. Le statu quo est adopté pour la question des dettes. Ce projet ne sera adopté que le 30 mai 1797 par l'Assemblée pour être soumis à un référendum. Projet de compromis ne satisfaisant en définitive personne, il est rejeté par le peuple batave le 8 août 17975.
Le général Daendels.

Une nouvelle assemblée est élue dans la suite de l'annonce du rejet du projet constitutionnel. Elle se réunit pour la première fois le 1er septembre. Trois jours plus tard a lieu à Paris le coup d'État du 18 fructidor an V qui marque un virement à gauche du Directoire en invalidant les élections des députés royalistes. Les unitaristes entendent profiter de ce changement et rentrent en négociations secrètes avec Paul Barras. Pierre Daunou, qui avait déjà participé à l'élaboration de la constitution de l'an III, est chargé de rédiger un projet secret en s'inspirant de celle-ci et du projet rejeté en août. Ce nouveau projet est mis dans les mains du nouvel ambassadeur français à La Haye, Charles-François Delacroix, qui doit le faire adopter par la nouvelle assemblée. 43 députés unitaristes publient le 12 décembre une déclaration dans laquelle ils réclament l'établissement d'un gouvernement populaire responsable devant l'assemblée. Celle-ci est épurée quelques jours après l'arrivée de Delacroix, le 22 janvier 1798. Le général Daendels, avec l'aide du général Joubert fait arrêter 18 députés fédéralistes et pousse les autres à la démission. La cinquantaine de députés restant, emmenés par Pieter Vreede travaille à rédiger une nouvelle constitution, avec pour base la déclaration des 43 ; le projet Daunou est écarté. Le Directoire exécutif est réduit à cinq membres et le corps législatif est divisé en deux chambres, une chambre de discussion et une chambre de délibération. Les dettes sont amalgamées en une dette nationale et les provinces sont supprimées et remplacées par des départements : il s'agit de substituer un sentiment national à un sentiment provincial6.

Ce projet est adopté par référendum le 25 avril. Le gouvernement provisoire se charge de convoquer un nouveau corps législatif, conformément à la nouvelle constitution. Le 4 mai, l'assemblée épurée en janvier décide, poussée par Delacroix qui agit sans ordre de Paris, que les deux tiers de ses membres seront automatiquement réélus7. Le 12 juin, furieux de cet abus de pouvoir, Daendels renverse les hommes du 22 janvier et les remplace par des modérés, parmi lesquels figure Rutger Jan Schimmelpenninck, qui est envoyé à Paris à la fin de l'été comme ambassadeur.
Succession

La République batave est remplacée en 1806 par le royaume de Hollande.
Notes et références

↑ Schama, p. 191
↑ Annie Jourdan, « la république batave et le 18 brumaire », in Annales historiques de la Révolution française, n° 318, octobre-décembre 1999 [archive]
↑ Tom Pfeil, « La hantise de la banqueroute, les finances publiques dans la période franco-batave (1795-1810) » [archive] dans « La Révolution batave, péripétie d’une République-sœur, 1795-1813 », in Annales historiques de la Révolution française, n° 326, octobre-décembre 2001
↑ Schama, p. 247
↑ Par 109 000 voix contre et 28 000 pour, sur un corps électoral de 400 000 citoyens. Arthur Elias, « La néerlandicité de la constitution de 1798 » [archive] dans « La Révolution batave, péripétie d’une République-sœur, 1795-1813 », in Annales historiques de la Révolution française, n° 326, octobre-décembre 2001
↑ Elias, op. cit.
↑ Schama, p. 338

Bibliographie

Wayne Te BRAKE, Regents and Rebels, The Revolutionary World of an Eighteenth-Century Dutch City, Cambridge, Cambridge Mass, 1989, 213 p.
Pieter GEYL, La Révolution batave, 1783 – 1798, Paris, Société des études robespierristes, 1971, 386 p.
Annie JOURDAN et Joep LEERSSEN (eds.), Remous révolutionnaires : République batave, armée française, Actes du colloque de Paris, Amsterdam, Amsterdam University Press, 1996, 258 p.
Annie JOURDAN, La révolution Batave, entre la France et l’Amérique (1795-1806), Presse Universitaire de Rennes, 2008
Louis LEGRAND, La Révolution française en Hollande, Paris, Hachette, 1894, 398 p.
Jean-Bernard MANGER, Recherches sur les relations économiques entre la France et la Hollande pendant la Révolution française (1785-1795), Paris, Librairie ancienne Honoré Champion, 1923, 170 p.
Simon SCHAMA, Patriots and Liberators, Revolution in the Netherlands, 1780-1813, Londres, Collins, 1977, 744 p.

Articles :
Arthur ELIAS, « La néerlandicité de la constitution de 1798 » [archive] dans « La Révolution batave, péripétie d’une République-sœur, 1795-1813 », in Annales historiques de la Révolution française, n° 326, octobre-décembre 2001, pp. 43-52
Annie JOURDAN, « la république batave et le 18 brumaire » [archive], in Annales historiques de la Révolution française, n° 318, octobre-décembre 1999, pp. 755-772
Annie JOURDAN et Joost ROSENDAAL, « La révolution batave à l’entrée du troisième millénaire : nouveaux problèmes, nouvelles approches, nouveaux objets » [archive], in Annales historiques de la Révolution française, n° 326, octobre/décembre 2001, pp. 1-23
Niek van SAS, « L’impératif patriotique, mutation conceptuelle et conjoncture politique 1795-1813 » [archive], in Annales historiques de la Révolution française, n° 326, octobre/décembre 2001, pp. 25-42

Voir aussi

Révolution française
Pays-Bas
Provinces-Unies
Département des Pays-Bas
Willem Huart

Lien externe

en néerlandais : La constitution (Staatsregeling) de la République batave [archive]
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MessageSujet: Re: Juan de la Cierva y Codorníu, James George Weir et Y'becca   Juan de la Cierva y Codorníu, James George Weir et Y'becca EmptyJeu 12 Jan à 9:01

Le référendum est une institution et en cela, il n'est jamais dit que le principe du Referendum est une forme d'émancipation envers les autorités publiques... Le Referendum est la manière la plus noble auquel une loi peut être établi: Pourtant, un jour, Louis Napoléon utilisa cette manière du suffrage universel direct qui marqua les esprits... Le Peuple ne peut pourtant nier le rôle évident que représente le referendum dans le principe civique et morale de "l'individue et de l'individu" dans le terme de Démocratie... Ce principe pourtant, peut être juste consultatif mais il permet ainsi à l'individu de se mettre en situation auquel se retrouve exposer les élu"e"s... Certains voient dans le referendum une forme de combat de coq ou de boxe, en tout cas, à l'image d'un vote électif, il est un aspect fondamentale d'une cohésion morale auquel la démocratie doit faire face: Il surpasse l'aspect de l'état et sans le remettre en cause, il est capable de pointer certaines choses de la vie quotidienne. Dans certains pays, il y a l'aspect de pétition qui peuvent être soumise au suffrage universel indirect... Le suffrage universel direct auquel appartient le Référendum est un aspect essentiel du caractère humain auquel un peuple veut s'adresse envers ses nouvelles générations... Le fait de débattre est un outil essentiel en terme de communication et pourtant dans certains cas, la question du Référendum relève de l'intérêt de l'état régalien, c'est en cela que certains hésitent sur son aspect même mais il montre l'aspect même de l'interlocuteur qui propose le sujet de la question. Le référendum est une loi d'utopie qui pourtant montre l'aspect réel de l'individu dans la société: En cela, j'accorde une importance réelle dans la constitution de Y'becca et des Républiques d'Israël et de la Palestine ainsi que dans toutes les Nations Morales et Physiques pour une reconnaissance morale et intellectuel dans le référendum: Son vote est lié malheureusement à des disputes entre des élu"e"s du Suffrage universel indirect... Toutefois, tout comme le vote direct du parlement et tout vote indirect du parlement, le référendum ne peut être organiser pour un Conflits d’intérêts et en cela, c'est au pouvoir judiciaire et à ses membres qu'il soit public et privé tout en maintenant et mettant l'aspect du service public militaire et civil dans la lutte contre les Conflits d’intérêts qui pourrait s'ingérer dans la teneur du débat et du vote: L'aspect du Général, de la société et l'individu doit être soulever en soulevant toutes les égalités et inégalités que peuvent engendrer le référendum... Certains peuvent s'amuser à créer de lois et des référendum pour des Conflits d’intérêts, pour créer des désordres et par gloire personnel... Cela n'est pas dans l'intérêt de l'harmonie sereine auquel nous devons être en ces situations profondes de changement de climat: "De jour en jour; le petit Nuage de Magellan et La Galaxie d'Andromède évolue depuis µ Êta Careme" s'écrie Nagaliew la mouette aux yeux verts..."
L'aspect du référendum est un droit de cité et de navire dans les prochains siècles à venir; et le juge suprême de la république de l'olivier s'y engage et dans des situations d'urgence, notre professionnalisme institué par la philosophie et la prudence du référendum nous permettra d'avoir l'anticipation sur le danger qu'il soit matérielle, morale et naturelle, ils peuvent être distinct ou englobé, Le référendum et ses principes il est un aspect fondamentale d'une cohésion morale auquel la démocratie, une armée ou un navire doit faire face... Le Laïc et l'Eternel devant la démocratie et la Nature. Conflits d’intérêts... Le clans des mouettes et la cinquième république devant l'adversité des peurs et des intérêts... Nous sommes prêt à faire face à l'avenir... La République de l'Olivier...

Ecrit de
TAY
La chouette effraie
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