Gabrielle Émilie Le Tonnelier de Breteuil, marquise du Châtelet (également du Chastelet, ou du Chastellet), née le 17 décembre 1706 à Paris et morte le 10 septembre 1749 à Lunéville, est une femme de lettres, mathématicienne et physicienne française, figure du Siècle des Lumières. Elle est renommée pour sa traduction en français des Principia Mathematica de Newton, qui fait encore autorité aujourd'hui. Elle a aussi contribué à diffuser en France l'œuvre physique de Leibniz, notamment en prouvant expérimentalement sa théorie selon laquelle l'énergie cinétique (appelée à l'époque « force vive ») est proportionnelle à la masse et au carré de la vitesse. Elle a eu une longue liaison avec Voltaire, qui l'a encouragée à poursuivre ses recherches scientifiques, mais c'est Samuel König, disciple de Jean Bernoulli, qui lui fait découvrir la physique de Leibniz.
Laura Maria Catarina Bassi, née le 31 octobre 1711 à Bologne (Italie) et morte le 20 février 1778 dans cette même ville, est une mathématicienne et physicienne italienne. Laura Maria Catarina Bassi naît à Bologne le 29 octobre 1711, son père y exerçant le droit. Reconnaissant ses dons intellectuels précoces, il confie son éducation à Gaetano Tacconi (it), qui enseigne la médecine à l’université de Bologne. Elle reçoit alors l’attention et le soutien du cardinal Prospero Lambertini, futur pape Benoît XIV (1675-1758). Elle soutient l’épreuve de disputatio devant cinq professeurs de philosophie le 17 avril 1732. La même année, elle enseigne l’anatomie à l’université et, l’année suivante, devient docteur en philosophie [au sens large de philosophie naturelle]. Le sénat de la ville lui offre une pension afin qu’elle puisse continuer ses études. Elle enseigne alors les mathématiques et la physique. Ses cours sont renommés et attirent des élèves de l’Europe entière. Parmi ses élèves, il faut citer notamment le biologiste Lazzaro Spallanzani (1729-1799) et le physicien Alessandro Volta (1745-1827). En 1738, elle se marie avec un autre membre de l’université, Giuseppe Veratti (1707-1793), qui y enseigne la médecine et la physique. Six enfants naissent de ce mariage. Laura Bassi continue à enseigner durant 28 ans. Laura Bassi contribue à introduire les idées newtoniennes en Italie. Certains de ses textes sur la physique cartésienne et newtonienne sont publiés par l’université de Bologne mais elle ne fait paraître aucun livre2. Elle reçoit la chaire de physique expérimentale, spécialement créée pour elle par l’Institut des sciences, et son mari devient son assistant. Son domaine de prédilection est l'électricité appliquée à la médecine. En 1745, le pape Benoît XIV, soucieux du progrès des sciences3, fonde une académie, les Benedettini, de vingt-cinq membres chargée de présenter chaque année une communication scientifique. Le pape manœuvre alors pour y faire admettre, comme vingt-cinquième membre, Laura Bassi. Les réactions à cette proposition de nomination sont contrastées, mais des professeurs italiens se mobilisent en sa faveur. À sa mort, son fauteuil reste vacant jusqu’à la nomination de l’obstétricienne Maria Dalle Donne (1778-1842). Sa carrière est exceptionnelle pour l’Europe, mais l’Italie a su honorer d’autres femmes scientifiques comme Maria Gaetana Agnesi (1718-1799). Parmi ses œuvres, citons De Problemate quodam Mechanico et De Problemate quodam Hydrometrico. Émilie du Châtelet, (1706-1749), physicienne française, traductrice des Principia Mathematica de Isaac Newton et elle-même admise en avril 1746 à l'Académie des sciences de l'institut de Bologne, fut l'une de ses admiratrices. L'amphithéâtre Lespinasse de l'Institut national des sciences appliquées de Lyon a été renommé Laura Bassi en 2020 et il y a l'astéroïde (15742) dit Laurabassi, de la ceinture principale. Il fut découvert le 6 juin 1991 à La Silla par Eric Walter Elst. Il présente une orbite caractérisée par un demi-grand axe de 2,69 UA, une excentricité de 0,03 et une inclinaison de 14,2° par rapport à l'écliptique.
La ceinture principale d'astéroïdes (parfois simplement ceinture d'astéroïdes ou ceinture principalea) est une formation du Système solaire située entre les orbites de Mars et de Jupiter. Elle est composée de milliards1 d'astéroïdes non agrégés en planètes, et s'est formée il y a 4,6 milliards d'années, en même temps que notre système solaire2. Tous les astéroïdes de cette ceinture sont des petits corps du Système solaire, à l'exception de Cérès, qui est une planète naine. La ceinture d'astéroïdes est une désignation ancienne qui remonte à l'époque où seule la ceinture dite principale était connue. Depuis a été découverte la Ceinture de Kuiper, beaucoup plus importante en masse et en étendue, puis le Nuage de Oort, dont la structure est encore hypothétique en raison de sa difficulté d'observation. Il n'est pas prévu actuellement de modifier la terminologie de la Ceinture d'astéroïdes mais elle est parfois précisée « ceinture d'astéroïdes principale » lorsqu'il s'agit de la distinguer d'autres ceintures analogues du Système solaire.
Bien que souhaitant participer à des débats scientifiques, Émilie du Châtelet en est empêchée par certains règlements de l'époque : d'une part, les conférences de l'Académie des sciences de Paris sont le lieu par excellence de discussions concernant les sujets de recherche, mais elles sont interdites aux femmes ; d'autre part, les lieux de discussion entre scientifiques renommés que sont les cafés parisiens refusent également les femmes8. En 1734, Émilie du Châtelet finit par se présenter vêtue en homme au Café Gradot, tournant le règlement en ridicule et pouvant enfin entrer et discuter avec de nombreux mathématiciens, astronomes et physiciens, y compris Maupertuis. Elle échange avec les mathématiciens davantage dans l'esprit d'échanges de collaboration que dans un esprit d'étudiante, même si elle parfait dans le même temps sa formation ; certains de ses interlocuteurs sont alors Maupertuis et Clairaut — ce dernier, qui connait aussi les théories de Newton, est un mathématicien et physicien célèbre en Europe, et il demeura l'un de ses professeurs jusqu'à la mort d’Émilie du Châtelet. La ceinture d'astéroïdes contient plusieurs centaines de milliers d'astéroïdes connus, et probablement plusieurs millions, d'une taille allant du grain de poussière au planétoïde de quelques centaines de kilomètres de diamètre ! Voltaire et du Châtelet ont longuement travaillé sur une lecture critique des Saintes Écritures dans les premières années de leur vie ensemble. Tandis que Voltaire travaille sur ses Éléments de la philosophie de Newton, en 1736, afin de vulgariser les théories du scientifique, il a échangé sur ces théories avec Du Châtelet ; il précisera dans la préface lors de la parution en 1738 qu'une certaine partie est issue du travail de celle-ci. Par ailleurs, selon Andrew Brown, un spécialiste de Voltaire : « Ils définissaient des sujets d'étude ensemble, travaillaient ensuite dans leur coin, puis comparaient leurs résultats ». Ils ont par exemple réalisé ensemble des expériences concernant la propagation du feu, ce qui sera l'objet pour chacun d'un traité.
En 2018, on connaît 240 astéroïdes de plus de 100 km3 tandis qu'une étude systématique de la ceinture dans les infrarouges a estimé entre 700 000 et 1 700 000 le nombre d'astéroïdes plus grands qu'un kilomètre4. La magnitude absolue médiane de ces astéroïdes est d'environ 165. On considère que le nombre d'astéroïdes d'une certaine taille augmente d'un facteur 100 lorsque le diamètre diminue d'un facteur 10 (c'est-à-dire qu'il existerait 100 fois plus d'astéroïdes d'un diamètre de 100 m que de 1 km). Cette progression subsiste jusqu'à ce que leur taille devienne suffisamment petite, soit inférieure à 0,1 µm. À ce stade, la pression de rayonnement du Soleil entre en compétition avec la gravité. Lorsque le rapport force de radiation sur force de gravité est supérieur à 0,5, ces poussières sont évacuées hors du Système solaire interne. Mais pour un rapport proche de 0,1, l'effet Poynting-Robertson conduit ces poussières à spiraler lentement vers le Soleil jusqu'à leur évaporation à environ une unité astronomique de celui-ci. Enfin, pour un rapport entre 0,1 et 0,5 le destin des poussières dépendra de leurs conditions initiales de vélocité. Contrairement à une idée courante, et malgré le nombre d'astéroïdes qui la composent, la ceinture d'astéroïdes reste très peu dense et chaque astéroïde est généralement séparé du plus proche par en moyenne un million de kilomètres : La masse totale de la ceinture d'astéroïdes est estimée entre 3,0 et 3,6 × 1021 kg (3 à 3,6 milliards de milliards de tonnes), soit 4 à 5 % de celle de la Lune. Les quatre plus grands objets, Cérès, Vesta, Pallas et Hygée, représentent quasiment la moitié de la masse totale de la ceinture ; Cérès compte pour un tiers à lui tout seul. Cérès est le seul astéroïde suffisamment grand pour que sa gravité lui fasse prendre une forme sphérique et il est désormais considéré comme une planète naine. Il orbite à 2,8 ua du Soleil, ce qui est également la distance du centre de masse de la ceinture d'astéroïdes. Vesta a par ailleurs une magnitude absolue plus élevée que les autres astéroïdes, aux environs de 3,20 !
Dans ses écrits, Du Châtelet critique la philosophie de John Locke. Elle insiste sur la nécessité de vérifier la connaissance par l'expérience : « L'idée du célèbre Locke sur la possibilité de la matière pensante est […] abstruse »25. Sa critique de Locke trouve son origine dans son commentaire de La Fable des abeilles de Bernard de Mandeville, dans lequel elle se place fermement en faveur des principes universels qui pré-conditionnent la connaissance et l'action humaines, et soutient que ce type de loi est inné. Du Châtelet défend la nécessité d'un présupposé universel, car s'il n'y a pas de tel commencement, tout notre savoir est relatif. De cette manière, Du Châtelet rejette l'aversion de John Locke pour les idées innées et principes antérieurs. Elle rejette également la négation par Locke du principe de contradiction, principe qui constituera plus tard la base de ses réflexions méthodiques dans Institutions de Physique. Au contraire de Locke, elle se place en faveur de la nécessité de principes antérieurs et universels. « Deux et deux pourraient alors faire aussi bien 4 que 6 si les principes antérieurs n'existaient pas. » Les références faites par Pierre Louis Moreau de Maupertuis et Julien Offray de La Mettrie aux délibérations de Du Châtelet sur le mouvement, le libre arbitre, la matière, les nombres et sur la manière de faire de la métaphysique montrent l'importance de ses réflexions déjà de son vivant !
Au début du Système solaire, les astéroïdes ont subi un certain degré de fusion, permettant à leurs éléments d'être partiellement ou complètement différenciés par masse. Certains corps initiaux pourraient avoir connu une période de volcanisme explosif et des océans de magma. Cependant, du fait de leur petite taille, cette période de fusion fut brève (par rapport aux planètes) et s'est généralement terminée il y a 4,5 milliards d'années après avoir duré entre quelques dizaines et une centaine de millions d'années ! La ceinture d'astéroïdes comprend principalement trois catégories d'astéroïdes. Dans la partie externe, près de l'orbite de Jupiter, les astéroïdes riches en carbone prédominent14. Ces astéroïdes de type C incluent plus de 75 % de tous les astéroïdes visibles. Ils sont plus rouges que les autres astéroïdes et possèdent un albédo très faible. Leur composition de surface est similaire aux météorites chondrites carbonées. Du point de vue chimique, leur spectre indique une composition analogue à celle du Système solaire primitif, sans les éléments légers et volatils (comme les glaces).
Vers la portion interne de la ceinture, aux alentours de 2,5 UA du Soleil, les astéroïdes de type S (silicates) sont les plus courants14,15. Le spectre de leur surface révèle la présence de silicates et de quelques métaux, mais aucun composé carboné significatif. Ils sont donc constitués de matériaux profondément modifiés depuis les débuts du Système solaire. Leur mécanisme de formation supposé inclut une phase de fusion qui a provoqué une différenciation de masse. Ils possèdent un albédo relativement élevé et forment 17 % du total. Une troisième catégorie, regroupant 10 % du total, est celle des astéroïdes de type M (riches en métaux). Leur spectre ressemble à celui d'un alliage fer-nickel, avec une apparence blanche ou légèrement rouge et aucune caractéristique d'absorption. On pense que certains astéroïdes de type M se sont formés dans les noyaux métalliques d'objets plus gros qui ont été fragmentés par collision. Cependant, certains composés silicates peuvent produire une apparence similaire ; par exemple, l'astéroïde de type M Calliope ne semble pas être composé principalement de métal16. À l'intérieur de la ceinture, la distribution des astéroïdes de type M culmine à 2,7 UA du Soleil17. On ignore si tous les astéroïdes de type M ont une composition similaire ou s'il s'agit d'un label regroupant plusieurs variétés n'appartenant pas aux classes C et S18. La ceinture d'astéroïdes ne contient que peu d'astéroïdes de type V, basaltiques, un fait dont on ne connait pas la raison. Les théories de formation des astéroïdes prédisent que des objets de la taille de Vesta ou plus grands devraient former des croûtes et des manteaux, lesquels seraient principalement composés de roches basaltiques ; plus de la moitié des astéroïdes devraient alors être composés de basalte ou d'olivine. Les observations suggèrent que 99 % du basalte prédit n'existe pas. Jusqu'en 2001, on pensait que la plupart des corps basaltiques découverts dans la ceinture provenaient de Vesta (d'où leur nom de type V). Cependant, la découverte de (1459) Magnya a révélé une composition chimique légèrement différente des autres astéroïdes basaltiques, suggérant une origine distincte20. En 2007, (7472) Kumakiri et (10537) 1991 RY16 furent découverts possédant une composition basaltique et dont l'origine ne peut provenir de Vesta. À ce jour (octobre 2007), il s'agit des seuls astéroïdes de type V découverts dans la ceinture externe19. La température dans la ceinture varie en fonction de la distance au Soleil. Pour des particules de poussière, la température typique va de 200 K (-73 °C) à 2,2 UA à 165 K (-108 °C) à 3,2 UA21. Pour un astéroïde plus gros, sa rotation impose des variations plus importantes, sa surface étant exposée alternativement au rayonnement solaire et au fond stellaire !
En 1737, le concours de l'Académie royale des sciences pour l'année suivante porte sur la nature du feu et sa propagation. Voltaire s'y inscrit et reprend la théorie des quatre éléments qu'avait élaborée Aristote : le feu étant alors une substance matérielle, il est caractérisé par un poids, et Voltaire décide d'expérimenter afin d'établir cela. Il fait mener des expériences sur la fonte en fusion dans les forges de Cirey, mais elles n'aboutissent pas à ce qu'il attendait : il émet alors une hypothèse qui use de deux théories de l'époque (d'une part en lien avec la phlogistique, d'autre part en lien avec l'oxygène) qui s'affronteront jusqu'aux travaux d'Antoine Lavoisier trente-cinq ans après. Émilie du Châtelet, qui assiste aux expériences mais ne partage pas les hypothèses et analyses de Voltaire, réalise de son côté sa propre Dissertation sur la nature et la propagation du feu et elle participera anonymement au concours sans en parler à Voltaire dans un premier temps; elle réalise ainsi 139 pages de dissertation tentant de synthétiser l'ensemble des connaissances sur le sujet7. Aucun des deux érudits ne remportera le prix — qui sera gagné par Euler —, mais la qualité du travail d’Émilie du Châtelet fera qu'il sera publié anonymement par l'Académie en 1739 et réédité sous son nom en 1744 puis en 1752. C'est le premier ouvrage écrit par une femme que publie l'Académie et il donne à son auteure une place particulière dans la communauté scientifique du pays. Le mémoire de Voltaire sera également publié par l'Académie.
La grande majorité des astéroïdes de la ceinture principale a une excentricité inférieure à 0,4 et une inclinaison inférieure à 30°. Leur distribution orbitale est maximale pour une excentricité d'environ 0,07 et une inclinaison inférieure à 4°5. De façon schématique, un astéroïde typique de la ceinture principale possède une orbite relativement circulaire située près du plan de l'écliptique, mais il existe des exceptions. Le terme de « ceinture principale » est parfois utilisé pour désigner exclusivement la région centrale où la concentration en astéroïdes est la plus grande. Elle est située entre les lacunes de Kirkwood 4:1 et 2:1, entre 2,06 et 3,27 UA et ses composants ont une excentricité plus petite que 0,33 et une inclinaison inférieure à 20°. Cette région contient 93,4 % de tous les astéroïdes numérotés du Système solaire. Les deux diagrammes suivants mettent en évidence certains éléments orbitaux des astéroïdes connus en fonction de leur demi-grand axe (en UA) ; les astéroïdes de la ceinture sont indiqués en rouge et bleu, entre 2 et 4 UA (le rouge correspondant à la région la plus peuplée de la ceinture). Le groupe d'astéroïdes situé vers 5,2 UA est celui des troyens. La distribution des demi-grands axes des astéroïdes (et donc, lorsque leur excentricité est faible, de leur période orbitale) fait apparaître des zones clairement dépourvues d'astéroïdes, appelées lacunes de Kirkwood. Ces lacunes apparaissent pour les demi-grands axes où le rapport entre la période orbitale d'un astéroïde et celle de Jupiter est une fraction entière. Pour un petit objet répondant à cette condition, les effets de résonance avec la planète sont suffisants pour en perturber les éléments orbitaux. En pratique, les astéroïdes qui ont pu se situer par le passé sur de telles orbites (soit initialement à cause de la migration de l'orbite de Jupiter ou à cause de perturbations ou collisions antérieures) ont graduellement été déplacés vers des orbites possédant un demi-grand axe différent. Les lacunes de Kirkwood n'apparaissent que dans l'examen de la distribution des demi-grands axes des astéroïdes. En pratique, l'orbite de ceux-ci étant elliptique, de nombreux astéroïdes traversent la distance au Soleil correspondant aux lacunes ; à un moment quelconque, la densité d'astéroïdes dans les lacunes n'est pas significativement différente de celle des régions voisines. Les lacunes principales se produisent en résonance 3:1, 5:2, 7:3 et 2:1 avec Jupiter. Ainsi, un astéroïde situé dans la lacune 3:1 réaliserait 3 orbites autour du Soleil pour chaque orbite de Jupiter. Des résonances plus faibles se produisent pour d'autres valeurs des demi-grands axes, causant un nombre moins important d'astéroïdes à posséder ces valeurs (par exemple la résonance 8:3 pour le demi-grand axe de 2,71 UA). La région centrale de la ceinture d'astéroïdes est parfois subdivisée en trois zones, fondées sur les lacunes de Kirkwood les plus importantes. La zone I s'étend de la résonance 4:1 (2,06 UA) à la résonance 3:1 (2,5 UA). La zone II part de la fin de la zone I jusqu'à la résonance 5:2 (2,82 UA). La zone III débute à la limite externe de la zone II jusqu'à la lacune de la résonance 2:1 (3,28 UA). La ceinture principale peut également être divisée en ceinture interne et ceinture externe. La ceinture interne est composée des astéroïdes orbitant plus près de Mars que la lacune de Kirkwood de résonance 3:1 (2,5 UA) et la ceinture externe du reste des astéroïdes. Certains auteurs définissent ces deux ceintures à partir de la résonance 2:1 (3,3 UA). D'autres poussent la subdivision en définissant les ceintures interne, moyenne et externe.
Émilie du Châtelet traduit les textes latins de Newton, mais elle refait aussi les calculs du scientifique ; elle ajoute à la suite de l’œuvre de Newton un Commentaire décrivant le système planétaire, définissant les termes utilisés et citant différents scientifiques, puis adjoint au tout une partie scientifique inspirée des travaux de Clairaut avant de terminer avec un résumé des travaux de Daniel Bernoulli concernant les marées ; elle consacrera cinq ans à l'ensemble de ce travail. Au cours de ce travail, elle a aussi un regard critique sur ce qu'elle traduit et émet des hypothèses, qui seront plus tard confirmées par les travaux de Pierre-Simon de Laplace (1749-1827), notamment concernant l'inclinaison de la Terre sur un point qu'avait omis Newton. Clairaut participe à la supervision de la traduction et des calculs. Concernant la partie Commentaire Algébrique, qui vient après la traduction de l’œuvre de Newton, Voltaire indique dans la préface de l'ouvrage : « c'est un Ouvrage au-dessus de la traduction. Madame du Châtelet y travailla sur les idées de M. Clairaut : elle fit tous les calculs elle-même, et quand elle avait achevé un chapitre, M. Clairaut l'examinait et le corrigeait. (...) M. Clairaut faisait encore revoir par un tiers les calculs, quand ils étaient mis au net, de sorte qu'il est moralement impossible qu'il se soit glissé dans cet Ouvrage une erreur d'inattention (...) ». L'édition finale de cette traduction est publiée en 1759, dix ans après la mort de la traductrice : elle comporte deux volumes in-4° et fait environ 400 pages ; la traduction de l’œuvre de Newton en occupe un volume et demi, le reste étant formé par le commentaire et les compléments apportés par Émilie du Châtelet. Il existe toutefois 8 à 12 exemplaires connus datés de 1756 selon l'historien I. Cohen, antérieurs à l'édition principale. Lors d'une période à Bruxelles, durant laquelle elle prend notamment des cours de mathématiques avec le mathématicien Samuel König, Émilie du Châtelet travaille sur son nouvel ouvrage ; ce nouveau professeur lui permet de mieux connaitre les travaux de Leibniz en physique. Les Institutions de physique sont l'œuvre majeure d’Émilie du Châtelet. L'érudite utilise et confronte les points de vue de Descartes, Isaac Newton et Leibniz afin d'enseigner les nouvelles idées en physique à son fils alors âgé de treize ans. Cette œuvre, parue au printemps de 1741, fut saluée notamment par Maupertuis, mais fut aussi attaquée par le mathématicien, astronome et géophysicien de Mairan, alors secrétaire cartésien de l’Académie des Sciences, ce qui renouvela la « querelle des forces vives » déclenchée en 1686. Trois ans après sa parution, ce traité est traduit dans plusieurs langues, dont l'italien. En mai 1746, Émilie du Châtelet devient membre associé de l’Académie de Bologne !
Aucun astéroïde connu plus grand que 100 m ne possède une période de rotation inférieure à 2,2 h. Sur un astéroïde tournant plus rapidement, tout matériau de surface faiblement fixé serait éjecté. Cependant, un objet solide serait capable de tourner plus rapidement sans se briser. Ceci suggère que la majorité des astéroïdes de plus de 100 m sont des empilements de débris formés par accumulation après collisions entre astéroïdes. Du fait du grand nombre d'objets qu'elle contient, la ceinture d'astéroïdes est un environnement très actif et les collisions s'y produisent fréquemment (à l'échelle astronomique). On estime qu'une collision entre deux corps d'un diamètre supérieur à 10 km s'y produit tous les 10 millions d'années. Une collision peut fragmenter un astéroïde en plusieurs morceaux plus petits (et éventuellement former une nouvelle famille) et certains de ces débris peuvent former des météoroïdes. Inversement, les collisions qui se produisent à des vitesses relatives faibles peuvent fusionner deux astéroïdes. La ceinture d'astéroïdes contient des bandes de poussière (particules de moins d'un centième de µm) provenant en partie de collisions entre astéroïdes et d'impacts de micrométéorites. À cause de l'effet Poynting-Robertson, la pression du rayonnement solaire conduit cette poussière à spiraler lentement vers le Soleil. La combinaison de cette poussière et du matériau éjecté par les comètes provoque la lumière zodiacale. Cette lueur peut être perçue la nuit dans la direction du Soleil le long du plan de l'écliptique. Les particules qui la produisent mesurent en moyenne 40 µm et ont une durée de vie de l'ordre de 700 000 ans. Afin de maintenir les bandes de poussières, de nouvelles particules doivent être produites régulièrement dans la ceinture d'astéroïdes. Certaines familles d'astéroïdes se sont formées récemment du point de vue astronomique. La famille de Karin semble s'être formée il y a 5,7 millions d'années à la suite d'une collision avec un astéroïde de 16 km de rayon. La famille de Veritas s'est formée il y a 8,3 millions d'années et des preuves de cet événement ont pris la forme d'une poussière interplanétaire retrouvée dans des sédiments océaniques. Le groupe de Datura s'est semble-t-il formé il y a 450 000 ans par collision. Cette estimation est basée sur la probabilité que ses membres possèdent leur orbite actuelle plutôt qu'une preuve physique. Il pourrait avoir contribué à la poussière zodiacale37. D'autres groupes récents, comme celui d'Iannini (entre 1 et 5 millions d'années) pourraient avoir contribué à cette poussière. La plupart des scientifiques considèrent que la ceinture d'astéroïdes est composée de résidus du Système solaire primitif qui n'ont jamais formé de planète. À l'origine, il avait été avancé que la ceinture proviendrait de la fragmentation d'une planète (nommée Phaéton). Cette hypothèse est tombée en désuétude à cause d'un certain nombre de problèmes. Le premier concerne l'énorme énergie nécessaire. Un autre est la faible masse totale de la ceinture, qui n'est qu'une fraction de celle de la Lune. Enfin, les différences de composition chimique entre les astéroïdes sont difficiles à expliquer si tous proviennent du même corps. On pense que la formation des planètes suit un processus analogue à l'hypothèse de la nébuleuse solaire, qui suppose qu'un nuage de poussière et de gaz interplanétaire s'est effondré sous l'influence de sa propre gravité pour former un disque en rotation qui s'est condensé pour former le soleil et les planètes40. Pendant les premiers millions d'années du Système solaire, un processus d'accrétion a graduellement accru la taille des corps, jusqu'à former les différentes planètes. Dans les régions où la vitesse moyenne des collisions était trop élevée, la dislocation des planétésimaux tendait à dominer l'accrétion, empêchant la formation de corps suffisamment grands. De plus, les effets de résonance orbitale avec Jupiter tendent à perturber les petits corps vers d'autres orbites. La région située entre Mars et Jupiter contient plusieurs fortes résonances. Jupiter ayant migré vers le Soleil à la suite de sa formation, ces résonances ont balayé la ceinture d'astéroïdes, excitant la population des planétésimaux, accroissant leur vitesse relative. Les planétésimaux de cette région furent (et continuent à être) trop perturbés pour former une planète. Ils continuent à orbiter autour du Soleil indépendamment et à entrer en collision de façon occasionnelle. La ceinture d'astéroïdes peut être considérée comme une relique du Système solaire primitif.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_de_femmes_scientifiquesMémoire sur la nature du feu, 1739 ; premier mémoire scientifique élaboré par une femme à être publié par l'Académie des sciences de Paris.
Institutions de Physique32, Paris, 1740, in-8°. Le contenu de l'ouvrage est à l'origine d'une controverse sur la théorie des forces, entre Émilie du Châtelet et le mathématicien Jean-Jacques Dortous de Mairan16.
Réponse de Madame *** à la lettre que M. de Mairan,... lui a écrite le 18 février 1741 sur la question des forces vives... Bruxelles : Foppens, 174133. Et aussi : Réponse de Mme la Mise Du Chastelet à la lettre que M. de Mairan, secrétaire perpétuel de l'Académie royale des sciences, lui a écrite, le 18 février 1741, sur la question des forces vives. Bruxelles : Foppens, 1741.
Analyse de la philosophie de Leibniz, 1740.
Réponse de Mme la Marquise Du Chastelet à la lettre que M. de Mairan, secrétaire perpétuel de l'Académie royale des sciences, lui a écrite, le 18 février 1741, sur la question des forces vives34 (16 mars 1741).
Dissertation sur la nature et la propagation du feu, Paris, 1744, in-8°.
Trad. des Principes de Newton, édition préliminaire (1756) et définitive (Paris : Desaint et Saillant, 1759) posthume, publiée sous le titre de Principes mathématiques de la philosophie naturelle, éditée35 et revue36 par Clairaut, avec une préface de Roger Cotes et une préface de Voltaire30 (Éloge). 2 vol.
Principes mathématiques de la philosophie naturelle, traduction de Newton, Paris, 1766.
Discours sur le bonheur, écrit vers 1747, publié en 177913 ou en 1796 dans Opuscules philosophiques et littéraires, la plupart posthumes ou inédites33.
Doutes sur les religions révélées, adressés à Voltaire. Paris, 1792, in-8°.
Opuscules philosophiques et littéraires, 1796. Contient des textes de plusieurs auteurs : Denis Diderot (1713-1784), Gabrielle-Émilie Le Tonnelier de Breteuil Du Châtelet (marquise, 1706-1749), César Chesneau Du Marsais (1676-1756), Jacques Necker (1732-1804).
De l'existence de Dieu38 (imprimé à la suite de l’édition de ses lettres de 1806, chez N. Xhrouet) et un certain nombre de lettres inédites au comte d’Argental, Paris, 1782 ; Paris, 1806, in-12° ; Paris, 1818, in-8°, éditées par Eugène Asse, Paris, 1878, in-12°.
L'ORQUE ET L'ORAGE DES TEMPS OU SCORPION DE L'EDEN ET NARVAL EN LE TEMPS, LE MOUVEMENT, L’ÉQUILIBRE, LE BOULEVERSEMENT, LA SITUATION ET LES ASPECTS !
https://leclandesmouettes.1fr1.net/t489-admin-le-temps-le-mouvement-lequilibre-la-situationcompagnon.yanis.tignard @Yanis_Tignard · 18h
AUX CŒURS DES ÉVÉNEMENTS, LE SANG FROID ET
LA COORDINATION SONT LA FORCE ET LA SOURCE DU
PEUPLE. LE SILENCE PEUT ÊTRE UNE SOURCE DANS UN ESPRIT COMMUNAUTAIRE :
TEL UN PHARE ÉCLAIRANT LES NAVIRES ET LES NUAGES DANS LES TÉNÈBRES ET LA CONJONCTURE.
SOYEZ VERS LA VÉRITÉ.
Y'BECCA.
TAY
LA PRÉVENTION EST UNE INSTITUTION QUI PERMET
DE DÉVELOPPER UN INSTINCT ET DES SENTIMENTS :
LA TRANSITION ÉCOLOGIQUE EST LIÉE AUX STRUCTURES
DE L'HOMME ET À UNE NATURE QUI ÉVOLUE DANS LES PRINCIPES
DE LA TERRE ET DE L'UNIVERS : TOUTES EXISTENCES ENGENDRENT.
Y'BECCA.
TAY
LE PACTE DE LA TERRE ET L'OMBRE DU PASSÉ REGARDE LA LUNE EN MÉDITANT SUR L'UNIVERS,
LA SONDE CASSINI, YAHVÉ ET LA LAÏCITÉ : LA NATURE EST LA CHRYSALIDE DU PAPILLON.
SI L'HOMME ÉVOLUE, LA TERRE AUSSI :
LA GÉOGRAPHIE VIENT DES SOUFFLES INTIMES DU VERBE : LA LAVE ET L’OCÉAN.
TAY
TIGNARD YANIS @Yanis_Tignard · 28 min
En réponse à @UN_Women
AU VÉRITABLE DE L'EXISTENCE, CONTRAIRE S'EST LE MÉLANGE DU CONCEPT ET CONTEXTE
FACE AUX ÉVÉNEMENTS PERMETTANT AINSI DE JAUGER L'ADVERSITÉ INDIVIDUELLE : L'INSTANT.
L'AMOUR N'EST PAS UNE ADVERSITÉ DANS L'EXISTENCE DE LA SURVIE : LA RAISON ET SES FORMES DANS LE TEMPS.
Y'BECCA.
TAY
LE TABERNACLE OUVRE SON URNE ET URANUS SOULÈVERA LES PENSÉES COMME LES VENTS ENGENDRENT LA GRANDE DÉRIVE
DE LA GRAVITÉ: L'UNIVERS EST. PLURIELS ET SINGULIERS DANS L'EXISTENCE DE LA SURVIE SONT AUSSI LE MÉLANGE
DU CONCEPT ET CONTEXTE : ENTENDRE SA VOIX DANS LE TEMPS.
TAY
DES ERREURS D'ÊTRE ET DE NOTRE ARROGANCE, LES GENS NE SE SOUCIENT PLUS DU TABERNACLE EN OUBLIANT LA CONSCIENCE,
LA RAISON ET L’ÂME : DES ESPRITS VIOLENT L’ÉTHIQUE DES MÉDECINES, L'ABNÉGATION DU SECOURISME ET LA FRATERNITÉ
DES SAVOIRS. NOUS MÉRITONS LA VÉRITÉ DES ÉVÉNEMENTS.
TAY
NATURE.
AUX CHANTS DU FROID, LE FEU MURMURE AU DÉSERT ET LA DOUCEUR DE L'AURORE EST LE DON DE L'AUBE :
LA MER ESTOMPE LE RIVAGE POUR ANNONCER SES NUITS SUR LES MARINS. LE SERPENT ET LA MORT REGARDENT
LE MOT DU VIVANT ET LE TESTAMENT N'EST PLUS LE DON DU RÉCONFORT :
LA LUNE.
TAY
LA LUNE.
LA BELLE REGARDE SES CYCLONES DE SON VIVANT ET CHAVIRE SES LARMES SUR L’HUMANITÉ. LE SOLEIL MIRE SES ECHOS SUR LA BELLE JUPITER ET SATURNE SE DORE DE CES AURORES. LA CLAMEUR RETENDIT SUR LA RÉSONANCE ORBITALE POUR FAIRE ROUGIR L'HORIZON DES ÉVÉNEMENTS ET SES REJETS.
TAY
AUX CLAMEURS DE L'ATOME, JE SUIS EN LA TEMPÊTE ET TEL LES MARINS RESTAIENT AUX PORTS POUR PERMETTRE AUX PHARES DE BRILLER DE MILLE LUMIÈRES EN L’OBSCURITÉ, LE SOUFFLE ET LES SECOUSSES. Y'BECCA EST FIÈRE D’ÊTRE DE CELLES ET CEUX DONT LE CŒUR EST DE BÂTIR EN L'ESSENCE DU CRI.
TAY
LA JUSTICE SERA POUR LES ORPHELINS ET LES VEUVES PROTÉGERONT LE LOUP DE LA LUNE : LE PEUPLE CONNAIT LA NATURE ET
SES ÉVOLUTIONS ÉPIDÉMIOLOGIQUES. LA CHAUVE SOURIS A ÉTÉ DANS LE VAMPIRISME ET C'EST UNE FAUTE GRAVE QUE L'UTILISER COMME COBAYE DANS DES TESTS PHARMACEUTIQUES.
TAY
LES AVOCATS, LES JUGES ET LES PROCUREURS SONT DANS LE RECOURS DES URGENCES ET DES RAISONS :
LA JUSTICE ET LA VÉRITÉ SONT LES MEILLEURES ARMES POUR LA MÉDECINE POUR VAINCRE CE CORONAVIRUS DEVENU LE COVID-19
CAR IL FAUT DÉCRYPTER SES ÉVOLUTIONS, SON INFORMATION ET SA SOURCE.
TAY
AMANDINE NIETZSCHE-RIMBAUD ET LE GRAND NUAGE DE MAGELLAN.
https://leclandesmouettes.1fr1.net/t1047-amandine-nietzsche-rimbaud-et-le-grand-nuage-de-magellanhttps://leclandesmouettes.1fr1.net/t1046-amandine-nietzsche-rimbaud-et-l-ile-tromelinhttps://leclandesmouettes.1fr1.net/t1031-amandine-nietzsche-rimbaud-locean-et-le-corbeau-de-yahveL’ANTARCTIQUE, LE DROIT DES BALEINES ET LA VÉRITÉ DES ÂMES.
https://la-5ieme-republique.actifforum.com/t432-lantarctique-le-droit-des-baleines-et-la-verite-des-ames#10202https://la-5ieme-republique.actifforum.com/t689-la-cinquieme-republique-le-message-de-yahve-et-la-justicehttps://la-5ieme-republique.actifforum.com/t708-le-gign-histoire-des-sciences-et-alexandre-koyreY'BECCA.
TAY
LA CONDITION ET LE TÉMOIGNAGE EN CE VIF LIEN QU'EST L'ÉNIGME ET LA DOULEUR CHANTENT LE MYSTÈRE ET LE PARTAGE : LA DÉCISION, LA DÉCENTRALISATION, LA NOMINATION ET LES ÉLECTIONS DANS LES VALEURS ET LES LUMIÈRES DE LA DÉMOCRATIE PARLEMENTAIRE EN L'INDÉPENDANCE DE LA JUSTICE !
TAY
LE SOUFFLE DE LA NATURE DANS LA DISTANCE ET L’ÉLOIGNEMENT OÙ LA MORT EST ÉGALITAIRE MAIS TOUTE SOUFFRANCE EST INTÉRIEURE ?
L'AUTREFOIS, LE PRÉSENT ET L'INSTANT EN LA NATURE SAUVAGE ET EN L'INDÉPENDANCE DE LA JUSTICE SUR LES FAITS DE RÉPONDRE DES AVIS, DES VIFS OU DES ACTES !
TAY
LE TÉMOIGNAGE DES HIRONDELLES DANS LE COMPRÉHENSIBLE DES GRAINES OÙ LES ACTES SEMANT LE VENT !
POLLENS ET VALEURS DANS LE THÉÂTRE ET LE DOMAINE DE L'EXPANSION DU MONDE VERS LE CENTRE DU SIDÉRAL DANS L'INFINI ?
LE TOURBILLON ET LE CYCLONE DANS LES FISSURES ET LES INVERSIONS !
TAY
EN UN ÉTAT, EN UNE UTOPIE ET EN DES CORPS ?
LA NATURE SOUFFLE SUR LA NAISSANCE OÙ LES URGENCES SONT OUBLIÉES DES ÉVÉNEMENTS ALORS QUE LES PATIENTES ET LES PATIENTS AUGMENTENT :
L'AUTREFOIS, LE PRÉSENT ET L'INSTANT EN LA NATURE SAUVAGE ET DANS L'INDÉPENDANCE DE LA JUSTICE !
TAY
TÉMOIGNAGES DU
COMPAGNON TIGNARD YANIS,
LE JUGE DE LA RÉPUBLIQUE DE L'OLIVIER...
MINISTRE DU SECOURISME COMMUN
DE LA RÉPUBLIQUE D’ISRAËL ET DE LA COMMUNAUTÉ PARLEMENTAIRE DE LA PALESTINE,
AINSI QUE PROTECTEUR DE LA COMMUNAUTÉ PARLEMENTAIRE DU SAHARA OCCIDENTAL,
PN 3286 de la Cour Européenne des droits de la femme, de l'enfant, de l'animal, des plantes, des logiciels, des robots et de l'homme,
ALIAS
TAY
La chouette effraie,
Y'BECCA EN JÉRUSALEM :
les peuples dans le l'horizon, le vent et le verbe vers l'infini, le souffle et le vivant
DANS L'ABNÉGATION DE L’ÉGIDE DE DAME AMANDINE NIETZSCHE-RIMBAUD ET DE DAME CHARLOTTE DU STYLISME ARTISANAL DE LA CHAMBRE SYNDICALE : ÊTRE !
Y'BECCA EN JÉRUSALEM AVEC IN GOD WE TRUST ! Les peuples dans l'horizon vers l'infini !